Trois pour moi !
par Conrad
Je vais vous raconter une aventure qui m’est arrivé il y a quelques semaines; aventure qui semble sortir tout droit d’un roman, mais qui est heureusement une belle page de ma vie. Je venais de terminer la construction d’un patio à la maison de campagne de ma copine Clara. Il était environ 16.heures. Après avoir pris une bonne douche, je m’étendis dans le hamac que nous avions installé sur le patio et en ai profité pour faire un somme pendant que ma copine allait faire un petit tour en ville afin de ramener de quoi dîner. Dans mon sommeil, je sentis une main qui parcourait mon corps. J’ouvris les yeux et je vis ma blonde Clara étendu face à moi dans le hamac qui me flattait l’entrecuisse tout en se masturbant; et surprise des surprises, elle était complètement rasée, chose que je lui avais demandé depuis plusieurs mois sans résultats.
Beau spectacle que de voir sa copine nue et sans aucun poil se masturber et en jouir. Je lui flattai les cuisses de mes grandes mains et elle les écarta doucement pour me donner une meilleure vue. Pendant qu’elle frottait son clitoris rose, elle s’enfonça un, puis deux doigts dans son vagin en un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. Après quelques minutes de ce manège et tout en continuant à se masturber, elle mit ses doigts dans sa bouche pour lécher son propre jus. Ne voulant pas être en reste, je pris mon pénis à pleine main et commençai à me masturber lui donnant un spectacle à mon tour. Elle semblait apprécier et je fus sur le point de jouir lorsque j’entendis un bruit sur le coin de la maison (il faut vous dire que la maison de Clara est retirée et l’accès est très difficile en voiture, les visiteurs doivent parcourir les dernier 500 mètres à pied). Donc, j’entendis un bruit et mon regard se porta vers cette direction: quelle ne fut pas ma surprise de voir Lucie, une voisine et amie de Clara (voisine toute relative, elle habite à deux kilomètres), une grande rousse d’une trentaine d’année, accompagnée d’une autre femme beaucoup plus mûre qui nous regardaient et qui semblaient apprécier ce qu’elles voyaient.
– Venez, venez ! Leur cria Clara.
Quelques minutes après, Lucie visiblement émoustillé, retirait son chemisier laissant échapper une grosse paire de seins encore fermes, s’approcha de ma copine et l’embrassa tout en enlevant son short sous lequel elle ne portait pas de petite culotte. Elle commença à se masturber d’une main et de l’autre elle pétrissait les petits seins de Clara. Des spasmes de jouissance parcoururent le corps de ma copine et elle répondit goulûment au baiser de Lucie. J’ai presque joui à la vue de ces deux femmes qui s’embrassaient et se masturbaient; mais la femme mûre (Léa) m’interpella et me dit de me contrôler, que ce serait encore meilleur: elle déboutonna sa robe soleil, elle aussi ne portait rien dessous, et je pus voir de superbes seins gros comme des pamplemousses et un mont de vénus avec seulement quelques poils; elle se flattait partout sans s’arrêter à un endroit précis.
Elle s’approcha et fit le tour du hamac face à son amie, se pencha et goûta au jus qui s’écoulait du vagin de Clara qui était en transe tellement elle jouissait. Je sentais les seins de Léa sur ma cuisse et sa main bien ferme sur mon pénis: je ne pus me retenir plus longtemps et j’ai joui si fort que ça ne semblait pas s’arrêter. Ensuite, Léa me lécha le pénis pendant que je glissais un doigt dans sa fente. Elle garda mon pénis dans sa bouche et glissa un doigt dans son vagin me guidant pour qu’elle atteigne l’extase. Clara et Lucie nous regardaient tout en se faisant des câlins. Léa s’installa contre moi et nous nous demandions l’un l’autre ce que nous avions apprécié le plus. Nous sommes par la suite entrés à l’intérieur nous préparer un petit repas et j’eus droit au plus fantastique dessert qu’un homme puisse rêver : trois jolies femmes qui voulaient ma langue entre leurs cuisses. Ce fut une aussi belle soirée.
Conrad.
Je suis persuadé d’avoir déjà lu cette histoire sur ce site sous un autre titre et en plus développée, mais je ne retrouve pas
Après recherches, j’ai effectivement trouvé ce récit:
Le Patio par Enzo Cagliari Ce dernier s’explique en fin de texte.
c’est pas déjà commencé que c’est déjà terminé