En face d’elle… par viva_libertad
Cette histoire me fait toujours le même effet lorsque j’y repense et c’est encore le cas lorsque je vous l’écris…
Lorsque ça s’est passé j’avais 18 ans, j’étais fâché avec mes parents et je vivais chez ma sœur. A l’époque elle avait un nouveau compagnon qui venait régulièrement dormir chez elle. Il s’appelait Paul et je le trouvais plutôt sympa.
J’étais en terminale, rien de particulier dans ma vie à ce moment précis si ce n’est que je ne passais pas une journée sans de régulières montées de plaisirs… normal à mon âge, et encore plus du fait que je n’avais eu personne depuis un moment, et que surtout je n’avais jamais été jusqu’au mélange des corps avec une fille. Mise à part quelques amies auxquelles je ne me confiais pas, la seule présence féminine régulière était ma sœur. On est d’origine berbère et elle a de bonnes formes qui n’ont rien à envier, et son teint bronzé lui donne l’impression d’être toujours de retour de vacances. On a toujours eu de très bons rapports et elle s’est toujours bien occupée de moi. J’avoue avoir ces derniers temps quelques tendances à m’accrocher sur ces formes et à laisser voguer mon imagination, sans pour autant risquer que ça se sache…
C’était la fin de l’année scolaire, les examens étaient finis et enfin les vacances en attendant les résultats du Bac.
On est vendredi, et j’ai passé la nuit chez un pote qui habitait prêt de chez elle et je rentre chez ma sœur en fin d’après-midi. Le soleil est au rendez-vous et c’est tenue décontractée pour tout le monde, on sent que c’est l’été… j’habite en plein centre-ville alors sur le retour je croise beaucoup de monde qui se balade et qui profite de cette chaleur, beaucoup de minijupes et de long décolletés sont au rendez-vous et je ne manque pas de reluquer tout ça, après tout c’est aussi fait pour…
J’habite un pavillon un peu reculé dans une petite ruelle piétonne, ce qui donne à la fois un sentiment de tranquillité et de proximité au centre-ville, j’aime beaucoup notre maison. Au moment d’arriver au portail je trouve la porte verrouillé et malgré ma clé je n’arrive pas à ouvrir, cependant, j’aperçois qu’il y a la voiture de Paul garée dans le jardin et Paul n’est là que si ma sœur est chez elle. Je vais pour sonner et me rappelle que je n’avais pas prévenu de mon retour. Du coup je me dis que si à cette heure-là c’est fermé c’est qu’il y a une bonne raison. J’avais cru comprendre plusieurs fois qu’ils étaient assez amateur de petits jeux coquins et du coup je deviens assez curieux. Je me dis que c’est une occasion en or pour vérifier ça. Je sais que ce n’est pas vraiment moral mais je dois bien avouez que l’idée me plait et je me sens d’attaque pour tenter le coup. Ce n’est pas tant pour les mater, c’est tout de même ma sœur, que plus de la curiosité de savoir pourquoi ils ont pris le soin de s’enfermer. Ma décision est prise, je passe par-dessus le portail et décide de passer à gauche de la cour, sur l’herbe, et ainsi de faire le tour du pavillon. C’est stratégique parce que je peux arriver direct au jardin sans me faire repérer et ainsi accéder à une bonne partie des pièces de la maison par les grandes baies vitrées. Une fois sur la gauche de la maison je peux voir, caché derrière un arbuste, le salon à travers la grande vitre, je ne vois rien de particulier. J’avance donc vers le jardin et là je vois une bouteille de champagne sur la table de jardin mais aucun verre à côté. J’avance doucement et là je commence à entendre du bruit.
La chambre de ma sœur se trouve à l’étage et un escalier partant du jardin amène directement à sa porte, qui là est légèrement entre ouverte. Je m’y avance alors doucement et entend un long gémissement… je ressens alors un sentiment de honte d’être là et de culpabilité… malgré tout je sens bien que la situation m’excite et je n’arrive pas à faire demi-tour, je veux les voir… je ne me reconnais plus parce que je sens que je commence à avoir chaud et moi qui suis en bermuda j’ai du mal à cacher mon sexe qui commence à se raidir. Alors je continue et arrive face à cet escalier et continue à entendre des petits cris, ceux de ma sœur, et l’excitation ne me lâche pas. Je commence à monter très discrètement pour ne pas éveiller de soupçon et trouve une culotte à ma sœur sur une marche, ça commence à être très étrange comme situation mais je continue. Je suis quasiment couché sur l’escalier de façon à entrevoir ce qui se passe dans sa chambre sans pour autant risquer d’être vu mais la porte n’est qu’entre ouverte. Finalement je trouve un bon angle et là je vois une partie du lit et je les vois dessus. Ma sœur est assise sur lui et fait des va-et-vient en poussant de petits gémissements… c’est obscène, je vois le cul de ma sœur là devant moi en train de se faire prendre et ça m’excite terriblement, mon sexe est tendu à l’extrême et me fais mal. C’est magnifique de voir ça malgré l’interdit ou justement à cause de l’interdit, je ne sais plus, et je ne suis plus en condition de réfléchir… c’est trop dur de rester comme ça, je descends ma main dans mon slip et prend à pleine main ma bite qui est gonflé à l’extrême et qui ne demande qu’à sortir. C’est tellement bon et je m’imagine même à la place de Paul en train de prendre ma sœur, son cul bronzé et de profiter de ses gros seins que je ne peux malheureusement pas voir d’où je suis. En plus de ça je commence à percevoir quelques odeurs et j’en deviens fou…
J’ai l’impression d’avoir quitté le réel et du coup au point où j’en suis je finis par prendre la culotte de ma sœur restée sur une marche pour sentir sa douce odeur de plus près. Je la prends et la respire et j’en suis dingue, comment n’avoir pas pensé avant à lui en piquer une qu’elle avait déjà portée… J’ai dans ma main gauche la culotte de ma sœur et de ma main droite je me branle en regardant le beau cul de ma sœur se faire empaler par la bite de Paul que j’imagine assez conséquente vu de leur position. Cela dure quelques minutes de pur extase et jusqu’à ce que ma sœur se lève du sexe de Paul pour le prendre à pleine bouche. Il est énorme, tellement gros et long, et encore luisant de la mouille de ma sœur, j’en suis encore plus excité. Je me retrouve à voir ma sœur tailler une bonne pipe à son copain sous mes yeux et c’est incroyable comme situation…
– Vas-y branle la bien comme tu sais le faire, bonne salope que tu es… Lui dit Paul
– Une bonne grosse bite comme ça mérite un bon traitement ne t’inquiète pas. lui répond ma sœur
C’est surréaliste et pourtant je ne peux pas m’empêcher de faire des va-et-vient sur ma bite sortie, longue et gonflée. J’imagine même que c’est ma bite que ma sœur suce et là l’effet est immédiat : je ne contrôle plus rien et je sens que malgré moi je vais tout sortir et pour ne pas en mettre sur moi ou sur les marches je prends la culotte de ma sœur, que j’avais sous mon nez pour la porter à mon gland rouge d’excitation qui va tout décharger… c’est tellement bon mais je me rend compte de ce que je viens de faire et malgré que je sois en face du plus beau spectacle que j’ai jamais vu je reprends mes esprits, et file aussi discrètement que je suis arrivé pour ne pas être vu en prenant soin d’emmener la culotte de ma sœur…
Je repars au centre-ville le temps de me changer les esprits et attend un long moment avant de revenir chez moi et de sonner…
Il est maintenant 21 h et lorsque je rentre tout est comme si rien ne s’était passez en apparence sauf que je ne les regarde plus comme avant :
– Ça va Titou, ta soirée hier c’est bien passé ? me demande t’elle
– Ça va ouais, plutôt tranquille ! Et je détourne vite le visage n’osant pas la regarder dans les yeux…
Paul, lui, est assis dans le salon et je ne peux m’empêcher lorsque je le vois de repenser à son sexe énorme que ma sœur essayé, avec du mal, à mettre dans sa bouche il y a quelques heures….
– Je monte dans ma chambre je suis naze, bonne nuit à vous ….
Arrivé dans ma chambre je ressors la culotte de ma sœur imprégnée de mon foutre et je la porte à mon nez et l’effet est direct, je bande comme un cheval et descend mon caleçon pour être à l’aise et me fous sur mon lit la queue dressée… l’odeur m’exalte mais j’aperçois un détail que je n’avais pas remarqué à savoir qu’elle était tout de même très odorante et une petite trace marron sentait sa bonne odeur de cul… un régal que je ne pus m’empêcher de lécher délicatement…La nuit fut terrible après une pareil expérience et ce fut difficile de trouver le sommeil…
Le matin au réveil j’étais encore tout chamboulé de ça et descend dans la cuisine prendre mon petit déjeuner, personne n’est encore levé. Cinq minutes plus tard j’entends une porte à l’étage et c’est ma sœur qui descend, en chemise de nuit.
– Ça va Titou, bien dormi, t’as pas eu trop chaud ? me demande t’elle
– Nan, ça va, plutôt bien dormi…
Si elle savait que j’avais pensé à son cul toute la nuit et que j’avais rêvé d’avoir sa bouche empalé sur ma bite…
Je ne me reconnais plus et lorsqu’elle s’approche me faire la bise habituel je fixe sa bouche et rêve de lui attraper sa langue et lui porter ma bite à sa bouche. Elle se penche pour prendre une tasse dans le lave-vaisselle et elle se retrouve penché de dos avec sa nuisette qui remonte jusqu’au haut de ses fesses et pas de culotte ! Quel spectacle ! J’entrevois sa belle fente et, surprise, de petites traces marrons autour de ses fesses, comme si elle venait d’aller aux toilettes et qu’elle ne s’était pas essuyée ! Et là c’en ai de trop, impossible de calmer mes envies et je rêve d’aller l’enculer là sur place… c’est terrible comme je suis dans un autre état. Je ne contrôle alors plus rien et je sens ma grosse bite gonflée et prendre forme dans mon caleçon et je ne porte que ça sur moi vu la chaleur, pourvu qu’elle ne s’en aperçoive pas… elle pose sa tasse et s’assoit en face de moi. Sa nuisette, mal fermée, laisse ressortir une partie de sa poitrine, et dans l’état où je suis c’est intenable et je me retrouve à fixer ses gros seins. Après un mouvement de sa part c’est carrément un téton que j’ai face à moi et mon caleçon est tendu sans qu’elle s’en rende compte. Bander autant devient presque douloureux et de voir en face de moi la bouche de ma sœur, et son téton pointer après avoir reluqué son gros cul me rend fou. Le pire advient après lorsqu’après avoir fixé son beau téton je relève les yeux et voit qu’elle m’a vu, et elle me sourit en refermant sa nuisette… j’en deviens dingue ! Une minute après elle fait tomber sa cuillère et la ramasse sous la table, j’en suis tétanisé ! Elle s’attarde et en remontant me dis avec un sourire de vicieuse :
– Alors tu m’as l’air un peu tendu ce matin… j’espère que ce n’est pas de ma faute… Dit-elle en descendant une main sous la table que j’imagine destinée à sa jolie chatte…
Pris de panique je change de sujet et comme je ne peux même pas me lever, j’attends qu’elle se lève et me tourne le dos pour aller filer à l’étage prendre ma douche et me décharger de toute cette excitation. Je rentre dans la salle de bain, le caleçon tendu vers l’avant et vais pour le descendre sauf que je me retrouve en face de Paul, nu, le sexe semi-bandé dans sa main droite…
– Excuse moi je ne savais pas que tu étais là… Lui dis-je ne réalisant même pas la situation….
– Nan, nan, rentre au contraire j’allais t’appeler, j’avais besoin d’un conseil. Il me dit.
Un conseil ? Il a sa bite dans sa main et il veut un conseil ? C’est quoi cette histoire ?
– Qu’est que tu veux me demander ? je lui dis
Il s’approche de moi et me montre son sexe qui malgré l’apparence et sa longueur n’étais même pas bandé, juste en semi-érection dans sa main. Il me dit alors :
– Tu vois c’est délicat mais je crois que j’ai chopé une petite allergie sur mon sexe et ça m’inquiète, j’ai pensé qu’entre hommes je pouvais te demander si ça t’étais déjà arrivé…
Il me montre alors son sexe et le décalotte pour me laisser entrevoir un magnifique gland et une petite rougeur sous le frein.
– Tu vois je ne sais pas si c’est inquiétant ou pas, ça t’es déjà arrivé ?
– Nan je crois pas. Je lui dis, et je me surprends à me mettre à genoux devant lui pour mieux voir.
– Je peux toucher ? Je lui demande.
– Vas-y oui, sans problème .
Je me retrouve à genoux devant lui avec sa belle bite énorme à 10 centimètres de moi en train de regarder sa rougeur. Sa bite sent fort et ça m’excite terriblement et j’en profite pour lui caresser la rougeur en lui demandant si ça lui faisait mal.
– Euh, nan, ça ne me fais rien… Me répond-il
Je marmonne deux trois mots et sens que sa bite gonfle entre mes doigts et prend une taille incroyable. En même temps dans mon caleçon ma bite a repris de sa vigueur et la situation devient très délicate, très gênante. De l’avoir gonflé entre mes doigts j’ai envie de la prendre à pleine bouche et de le pomper jusqu’à ce qu’il me crache tout en pleine face. Je sens qu’il n’est pas indifférent mais je ne sais pas s’il fera le pas de provoquer la situation. Je prends alors les choses en main, et je positionne ma main droite comme si j’allais le branler et part du bout de son gland énorme jusqu’au bout de sa tige en lui demandant si c’est douloureux. Il me répond alors tout troublé que non et d’un mouvement de bassin rentre son gland dans ma bouche qui n’attendait que ça et je me retrouve à sucer une bite, chose que je n’avais jamais faite. Elle est douce et tellement bonne que je descends mon caleçon pour caresser la mienne en même temps. Situation aussi incroyable qu’hier… je continue mes va-et-vient jusqu’à entendre les pas de ma sœur montant les escaliers et appelant Paul. Aussitôt je me faufile derrière le bac à linge et laisse Paul tout seul avec son sexe bien bandé. Ma sœur arrive alors et lui dit :
– Ah bah je vois que tu t’ennuies pas sans moi, ça t’as pas suffi la bonne pipe de ce matin mon gros cochon… t’en veux encore ?
D’où je suis-je vois toute la scène et je suis au première loge, les yeux fixé sur son énorme bite que ma sœur prend d’une main.
– Oui j’en veux encore, ta bouche est magique pour ça, prend la tout de suite ! Il lui répond, en commençant déjà à doigter ma sœur qui a l’air d’apprécier…
– Ça rentre tout seul… et c’est encore chaud… Qu’est ce qui t’excite comme ça ma petite cochonne ?
– Mon frère en bas qui bandait comme un taureau tout à l’heure, il a maté mes seins ce petit pervers, et je suis sûre qu’il n’a pas loupé une seconde de mon cul vu que je n’avais pas de culotte, n’empêche que j’aurai bien pris en bouche sa grosse bite à lui aussi… en parlant de mon gros cul je t’ai fait une petite surprise, je ne me suis pas torché tout à l’heure pour que tu me nettoie ça, gros cochon que tu es…
Elle lui tourne alors le dos et se cambre en avant pendant et écarte ses deux globes fessiers pour lui offrir ces délicieuses traces marrons que j’ai vu tout à l’heure…
– Hum, cochon va, nettoie bien avec ta langue…
Paul s’exécute alors avec un plaisir non dissimulé et semble faire comme s’il je n’étais pas là…
– Attends cochonne, vu l’état de ton cul j’imagine que ça doit être pareil à l’intérieur…
Il lui met alors un doigt pendant qu’elle se tortille dans tous les sens et lui ressort sous son nez
– T’aime l’odeur de ton cul hein belle salope que tu es…
Ma bite est gonflée et je me branle frénétiquement en sentant d’ici l’odeur du cul de ma sœur, c’est le rêve. Elle qui a dit qu’elle me sucerait bien ma bite. J’en peux plus d’excitation et je suis au paradis pendant qu’elle se fait doigter l’anus par Paul…
Paul dit alors :
– Sors de là petit salaud, viens nous rejoindre au lieu de te branler tout seul dans ton coin
Mon souffle s’est coupé court et le monde s’est arrêté.
– Viens-là, t’as entendu ta sœur dire qu’elle aimera bien sucer ta grosse bite, viens…
Je me lève alors, le sexe dressé jusqu’au nombril et regarde ma sœur qui me dit :
– Viens mon Titou, depuis le temps que j’ai envie de connaître son goût… en plus elle a l’air d’être à point, viens me la fourrer dans la bouche…
Elle avait des yeux de cochonne et je n’ai pas hésité un moment à me placer devant elle pour lui offrir ma grosse bite. Elle a tout de suite ouvert sa bouche et j’ai commencé mes mouvements de va-et-vient dans sa grosse bouche pendant que Paul continuait de lui dilater son anus plein de merde afin de pouvoir mieux l’enculer ensuite.
J’étais sur une autre planète et ma sœur qui gémissait comme une bonne salope me dit alors :
– Qu’elle est bonne ta queue mon frangin, elle m’a manqué depuis l’époque où je te branlais dans ton bain pendant que tu t’amusais avec ma grosse chatte…, tu t’en souviens ?
– Nan ! Je lui réponds. Par contre c’est certain que maintenant je n’oublierai pas le goût de ta bouche et que tu vas souvent avoir ma grosse bite dans ta bouche, belle salope que tu es !
– Encule-moi mon Titou, j’ai tellement envie de ta queue dans mon cul, depuis le temps que j’en rêve… encule moi vas-y vite ! me crie-t-elle.
Paul me laissa gentiment la place et je me retrouvai avec ma bite devant l’anus de ma sœur, bien dilaté et qui sentais une odeur bien excitante et malgré la grosseur de ma bite je n’eu pas de mal à entrer et à l’enculer cette bonne chienne de sœur ! Et je lui dis :
– Alors tu aimes la bite de ton Titou ? Grosse salope ! T’avais pas mis de culotte exprès pour voir bander ma grosse bite hein ? Et maintenant tu l’as dans le cul, tu la sens bien là ! Et t’as pas fini de la prendre et de la sentir sale chiennasse ! Maintenant tu me tailleras des pipes dès qu’on aura l’occasion salope !
– Oui mon chéri on a du temps à rattraper… et tu fais ça tellement bien… depuis le temps que j’observais ta bite en espérant la sentir en moi…
Le mouvement était sauvage et elle adorait ça et ne se gênait pas pour crier ! Sa mouille coulait sur moi et tombait par terre, c’était l’extase à l’état pur. Pendant que je l’enculais, elle suçait Paul et son énorme bite qui finit par lui foutre tout son sperme dans sa bouche qu’elle avala jusqu’au bout.
Et ça a duré de bonnes minutes jusqu’à ce que je lui foute tout mon sperme dans son cul…
– Tu sais mon Titou, j’aimerais bien que Paul t’encule devant moi ! Elle me dit.
– C’est qu’elle est grosse ! Je lui réponds.
– Tourne toi, tu verra comme c’est bon !
Je me suis retourné offrant mon cul à la grosse bite de Paul
Advienne_que_pourra@hotmail.fr
On a déjà lu des choses un peu semblables sur ce site, mais ce récit est néanmoins très agréable à lire de par sa décontraction.
Excellent récit qui m’a bien fait bander la bite !
Moi aussi j’aime bien parfois lécher les « petites traces marrons »
Très excitant
J’avoue avoir bandé à la lecture de ce récit très coquin même si l’obsession dimensionnelle est un peu pénible
Je cite « une petite trace marron sentait sa bonne odeur de cul… un régal que je ne pus m’empêcher de lécher délicatement… ». voilà le genre de phrase que j’aime à lire et à relire. Beau récit
un récit très cru et très osé, rédigé d’une écriture agréable et qui m’a profondément excité