Depuis un an, Marie et moi, vivons dans une nouvelle ville. Pendant cette période d’adaptation, nous sommes restés un couple bien sage, trop occupés par de nombreuses priorités de la vie. Mais nous n’avons pas tiré un trait sur nos désirs sexuels et fantasmes; je vais vous raconter notre dernière aventure.
Ma petite femme profite du retour du printemps pour revêtir ses tenues frivoles et laisser libre cours à son côté exhibitionniste. De la sentir en chasse m’excite toujours autant.
Je travaille depuis quelques mois dans une petite agence immobilière dont je suis le seul salarié, hormis une secrétaire à mi-temps. En cette fin d’après-midi, Marie passe au bureau pour que nous rentrions ensemble, en voiture, à la maison. Elle vient de faire du lèche-vitrine en ville :
« Je ne te dérange pas? Je suis fatiguée de marcher, me dit-elle.
– Non, assieds-toi; dans une heure j’aurai terminé. »
Quelques instants plus tard, mon patron rentre dans le bureau, poser un dossier. C’est un homme de 45 ans, élégant et séduisant; il se prénomme Michel. Je fais les présentations. Au lieu de nous laisser, il prend une chaise et s’assoie face à mon épouse. Tout en discutant de banalités, il profite avec un plaisir certain, du généreux décolleté de Marie: le bouton supérieur de son chemisier est défait et sa poitrine est mise en valeur par un soutien gorge à balconnet. Et que dire de la vue sur ses jambes entrecroisées, découvertes jusqu’en haut des cuisses, en cette position assise.
Le courant passe entre eux, avec une complicité qui saute aux yeux. Connaissant Marie, je devine ce qui lui trotte par la tête, et je vais en avoir rapidement confirmation. Tout en fixant mon patron dans les yeux, elle décroise ses jambes et les écartent légèrement; cela suffit à Michel pour se rendre compte qu’elle ne porte pas de slip. Quelle satisfaction sur son visage, Marie lui offre son intimité, il ne s’attendait pas à un tel spectacle. En général, je n’aime guère que ma femme choisisse pour amant, un homme que je connaisse, car c’est toujours une situation difficile à gérer; cette fois-ci, j’ai encore une réticence à ce qu’il se passe quelque chose , d’autant que mon patron est assez distant, parfois hautain, à mon égard. Mais il y a aussi une réelle excitation qui monte en moi: je sais que Marie a choisi et qu’elle ira au bout de ses envies; je bande déjà, en m‘imaginant la suite.
« Vous êtes charmante, Marie, je dirais même désirable, si je peux me permettre.
– Merci pour le compliment; je vous avoue que ce sentiment est réciproque.
– Vous sortez souvent en ville, vêtue aussi court et sans culotte?
– Oui, toujours, j’aime ces tenues, pourquoi, vous les trouvez indécentes?
– Oh non, loin de là, je dirais même que je les adore. Peu de femmes osent s’habiller ainsi.
– C’est vrai, mais pour moi, c’est naturel, et je n’y vois pas de mal.
– Et vous, Julien, vous n’y voyez aucune objection?
– Non, aucune; c’est comme ça que je l’aime. C’est sympa, non?
– Tout à fait. Vous devez porter des cornes, mon cher?
– En effet, je suis cocu, et pour tout vous dire, j’y prends bien du plaisir.
– Son fantasme, enchaîne Marie, c’est de me voir baiser par des mecs et de subir des humiliations mentales et physiques de leur part.
– Hum, très intéressant, dit Michel, vous êtes un couple digne d‘intérêt. »
Il se lève et vient se placer, droit, derrière ma femme. Il pose ses mains sur ses épaules ; doucement, elles glissent vers le décolleté pour disparaître sous le chemisier.
« Cela vous excite tous les deux ? »
Marie répond que oui, tout à son plaisir de se faire caresser les seins. Je ne dis rien, mais dégrafe ma brayette et sort ma queue déjà bien raide; je me branle en regardant mon patron dénuder mon épouse. Elle n’a plus que sa mini jupe sur elle. Il lui pétri les seins, tout en lui suçant le cou. Elle dirige sa main vers sa jambe. Michel interrompt ses caresses, le temps de sortir sa queue. Il se place à coté de Marie et frotte son sexe contre sa poitrine, puis la promène sur son visage. Marie le cherche de ses lèvres, le trouve, lui titille le gland de sa langue experte, avant de l’avaler jusqu’au fond de sa gorge. Mon patron dit à ma femme, tout en me fixant:
« Regardes ma chérie, ta petite pute se branle pendant que tu me suces. C’est trop bon! Venez, allons dans l’appartement.
Par un escalier, nous montons à l’étage. Michel dit:
« Ici, nous serons plus à l’aise. Julien, fous toi à poil! »
Je me déshabille, ma femme fait glisser sa mini pour être en tenue d’Eve, et mon patron en fait de même.
« Julien, ma petite pute, tu es rasé complètement, comme ta femme. »
Il s’allonge sur le dos à même le sol.
Ma femme présente son cul et sa chatte au visage de Michel. Quant à moi, je rampe jusqu’à son sexe que je caresse avant de pratiquer une fellation. De ses cuisses, il emprisonne ma tête, et lui imprime un va et vient forcé. Puis il me repousse en me traitant de lavette, fait glisser Marie le long de son corps et la pénètre; graduellement, les coups de bites s’accélèrent. Marie halète, elle est secouée sans ménagement. Vient un moment de repos, où ils restent enlacés, s’embrassent longuement; ils se chuchotent des mots doux. Marie se redresse et pose sa tête sur sa cuisse. D’une main, elle caresse la bite toujours bien raide, elle promène ses lèvres des bourses au gland. Puis, elle me dit d‘un ton sec:
« Dis donc, tu n’as rien d’autre à faire que de nous regarder en te branlant?
-attends, dis Michel, c’est nous qui allons le regarder. »
Il se dirige vers la cuisine et en revient avec une bouteille de vin déjà débouchée et une bouteille d‘huile. Il les pose par terre:
« Vas-y ma pute, assieds-toi dessus et enfonces-toi la dans le fion. Tu peux la lubrifier si tu veux. »
Je mouille mes doigts avec un peu d’huile d’olive puis lubrifie le goulot de la bouteille de vin. Je m’introduis un doigt dans l’anus afin de le dilater. Pendant que je m‘enfonce la bouteille, mon patron invite ma femme à se mettre à quatre pattes, face à moi. Il fait couler quelques gouttes d’huile dans la raie du cul de Marie et lui introduit un doigt, puis deux; enfin prête, il la sodomise, la chevauche un moment. Puis, ils se relèvent, toujours mélangés; les mains de Michel se promènent sur ses cuisses, sa chatte, il lui pince les tétons; c’est dans cette positions qu’ils atteignent l’orgasme. Assis, sur le canapé, l’amant m’ordonne de venir lécher leur sexe, ce que je fais docilement.
C’est ainsi que se termine cette partie de jambes en l’air. Ils se quittent en promettant de se revoir; ils s’échangent leur numéro de téléphone, garant d’un contact régulier…
Plus bâclé, tu meurs
Si vous croyez encore que s’échanger des numéro de téléphone est garant d’un contact régulier, vous êtes bien naïf, cher monsieur…
On a du mal a y croire tellement c’est précipité, mais ça reste très excitant. Moi aussi j’aimerais bien sucer une bonne bite pendant que ma femme se fait sauter
Le souci c’est que l’on n’y crois pas une seconde. certe le fantasme existe bel et bien mais les choses ne se passent jamais de façon si abupte
merci pour ce recit il est formidable je le trouve bandant