Viviane n’est pas commode
par Firmin Dumigron
Bonjour, j’ai la trentaine et suis technicien en informatique.
C’était au mois de juin, mes activités nécessitaient une mission d’une quinzaine de jours en province. Plutôt que de séjourner à l’hôtel mon entreprise m’avait proposé d’élire provisoirement domicile chez la responsable locale, qui vivant seule car divorcée et disposant d’un grand pavillon. Je n’ai pas eu mon mot à dire. La responsable en question est une très belle femme d’une quarantaine d’années, très élégante, fausse blonde et peut être à peine un tout petit peu ronde. Elle se prénomme Viviane, mais je n’ai pas su son prénom tout de suite.
De suite elle a mis les choses au point.
– La boite m’a proposé cette solution d’hébergement, je suppose que ça leur fait économiser des frais généraux, il n’y a pas de petites économies. Je n’ai pas pu refuser, mais bon ici ce n’est pas une pension de famille, vous prendrez donc vos repas ou vous voudrez mais pas ici, je tiens à rester chez moi…
– Même pas le petit déjeuner ?
– Il y a un café brasserie un peu plus loin ! Pour les toilettes et la douche il y a une salle de bain indépendante à l’étage. Et ne vous croyez pas obligé de me faire la conversation, on m’a imposé cette situation, pas la peine d’en rajouter.
On ne saurait être plus aimable.
Il y avait un poste de télévision dans ma chambre et je m’étais acheté un petit lecteur de DVD.
Elle ne venait jamais dans ma chambre et n’avait aucune raison d’y venir, mais on n’est jamais trop prudent. Mais ce soir-là elle m’avait prévenu qu’elle rentrerait tard et que je ne devais ouvrir à personne… bref les instructions d’usage. Me sentant libre j’avais décidé d’en profiter pour me livrer à de petits jeux érotiques et solitaires. En effet, je n’ai aucun goût pour les petites masturbations à la sauvette et j’aime m’organiser des mises en scène qui réclament du temps et de la tranquillité.
Donc après avoir glissé dans le lecteur de DVD, un petit film porno où une belle maîtresse fouettait deux esclaves soumis à grand renfort de coups de cravaches je m’étais attaché nu sur mon lit, pas vraiment attaché car mes mains et mes pieds étaient simplement passés dans des anneaux de corde juste assez étroits pour ne pas pouvoir s’en libérer trop facilement. C’est un petit jeu auquel je me suis déjà livré plus d’une fois et qui me procure toujours autant d’excitation. J’étais donc étendu, bras et jambes écartés, nu, des pinces aux seins et aux testicules et un bon gode vibrant dans le trou du cul. Cette situation me mettait vraiment dans tous mes états : je tremblais d’excitation et je bandais si fort que mon sexe en était presque douloureux. Je ne pouvais plus tenir et j’étais sur le point de libérer une de mes mains pour me soulager, le moindre contact sur mon sexe gonflé pouvant libérer mon plaisir…
C’est alors que Viviane rentrée prématurément et trompé par le son du DVD fit irruption dans ma chambre que j’avais eu l’imprudence de laisser entrouverte. Je l’ai vu apparaître devant moi, médusée par le spectacle que je lui offrais.
– Vous faites quoi exactement, là ? Demande-t-elle en s’approchant.
En entendant frapper, pris de panique, j’avais tenté maladroitement de me libérer sans y parvenir et j’étais devant elle en train de me contorsionner lorsque soudain j’ai senti que je commençais à jouir avec une violence que je n’avais jamais connue jusqu’alors. Tout mon corps se tendit comme un arc tandis que de longues giclées de sperme jaillissaient sur mon ventre tandis que je m’abandonnais au plaisir dans un sanglot sous le regard de Viviane. Elle était là debout devant ce lit où je gisais mort de honte, me sentant encore plus nu sous le regard de cette femme vêtue d’un tailleur strict et élégant, totalement impuissant à échapper à son regard.
Je me suis alors aperçu que du sperme avait giclé sur son tailleur.
– Vous me devrez le nettoyage de mon tailleur, espèce de gros dégueulasse ! S’écria-t-elle en me giflant deux fois de suite.
– C’est pas la peine de vous mettre dans des états pareils…
– Vous allez faire votre valise et me foutre le camp, et tout de suite.
– Attendez, on peut discuter, si vous pouviez me libérer…
– Parce qu’en plus vous vous êtes entravé, il faut vraiment être con !
– Personne n’est parfait.
Et la voilà qui au lieu de me défaire mes liens elle les resserre davantage. C’est à ce moment-là, que l’expression de ses yeux m’a paru étrange, la colère laissant place à autre chose… mais quoi ?
Elle se recule, enlève sa veste de tailleur.
– Tu m’en a même foutu sur mon chemisier, connard !
Elle le retire, et fait de même avec la jupe, la voici en sous-vêtement ! Pas mal roulée la meuf ! Y’a du monde dans le soutien-gorge !
Elle se dirige vers mon pantalon et en extrait la ceinture, elle revient avec en faisant une curieuse mimique.
– Alors comme ça, on joue au maso ?
– Ce n’est pas interdit.
Je n’ai pas vu arriver le coup de ceinture sur mon ventre.
– Puisque t’es maso, on peut peut-être s’amuser ! On va faire comme si j’étais ta maîtresse, une maîtresse très sévère, un peu comme la pétasse sur son DVD.
En voilà une idée, mais comme je viens de jouir, ma motivation n’est pas évidente, mais comment lui dire ?
– Non, ça ne te dit rien, je ne te fais pas bander ? Et si je te montrai mes nichons ?
Elle va le faire, elle le fait ! Mais c’est qu’ils sont magnifiques ses nénés, du coup popaul commence à se redresser.
– Ah, je me disais aussi, c’est mieux une vraie femme, non ? Et puis c’est quoi ce truc ?
Elle me désigne le gode qui est ressorti de mon cul.
– En plus il est tout merdeux ! Nettoie-moi ça si tu veux qu’on s’amuse !
Elle me le porte à la bouche, je n’éprouve aucune difficulté à le lécher ayant déjà fait ce genre de choses.
– Mais c’est qu’il aime ça, ce gros dégueulasse ! Tiens je vais te foutre mes doigts tu vas voir, ce sera meilleur que ton gode !
Et la voilà qui me doigte l’anus, le dilatant de plus en plus jusqu’à pouvoir y introduire deux puis trois doigts. J’ignore jusqu’où elle aurait pu aller si soudain, n’y pouvant plus tenir, elle n’avait renoncé à me pénétrer pour arracher son collant et sa culotte avant de venir s’empaler sur mon sexe.
Après quelques mouvements furieux tout son corps se tendit comme un arc et elle commença à gémir tandis que je sentais son vagin se contracter spasmodiquement autour de mon pénis ce qui me provoqua rapidement une nouvelle éjaculation. Déçue de sentir mon érection faiblir elle vint alors sur mon visage me faisant boire à la liqueur mêlée de mon sperme qui s’écoulait abondamment de son sexe ce qui l’excitait au plus haut point car elle eut très vite un nouvel orgasme.
Elle s’immobilisa alors un moment, semblant se concentrer, puis me pissa soudain dans la bouche. N’étant pas contre cette fantaisie, c’est avec grand plaisir que je m’efforçais de recueillir sa bière chaude… Mais ne pouvant tout avaler au rythme où le liquide jaillissait, le lit finit par s’imprégner. Elle manifesta alors sa réprobation en me balançant quelques gifles (pas trop fortes, rassurez-vous) et en me crachant dessus, plusieurs fois de suite
– Ouvre la bouche, connard !.
Elle semble réfléchir quelques instants.
– De toute façon, il faudra refaire le lit.
Et la voilà qui revient au niveau de mon visage.
– Puisque tu aimes ma merde je vais t’offrir la mienne, je vais te chier sur la gueule.
Elle ne me demande pas mon avis, mais je n’ai pas protesté non plus.
Un joli boudin chaud et odorant se tortille à la sortie de son cul avant de m’atterrir sur le menton et de glisser dans mon cou. Elle me le retire, le porte à sa bouche, le lèche un peu avec un air de défi avant de me proposer d’en faire autant.
– Maintenant nettoie -moi le cul !
Je l’ai fait, elle m’a détaché.
– Je te laisse nettoyer tout ça ! Je vais t’apporter des draps propres, quand tu auras fini rejoint moi en bas, on boira un coup.
Le temps de faire tout ça, de prendre une douche rapide, elle m’attendait au salon revêtue d’un joli kimono en fumant une cigarette dans un fauteuil.
– Champagne ?
– Volontiers !
– Votre pyjama est très moche ! me dit-elle
Elle redevient elle-même, je ne réponds pas.
– Trinquons ! il est bien évident qu’il ne s’est jamais rien passé ! J’ai mis mes affaires tachées dans un sac plastique, vous les ferez nettoyer à vos frais.
– J’y comptais bien !
– Vous ferez aussi nettoyer les draps. Au fait, vous partez quand ?
– Dans une semaine.
– Il n’est pas impossible qu’il me prenne l’envie de jouer avec vous, mais je vous le ferais savoir.
– Bien !
– Au fait votre DVD, vous pouvez me le prêter
– Bien sûr !
Fin
Un délire maso uro scato qui ne m’a pas laissé indifférente
La mise en situation est classique et on en trouvera plusieurs variations sur ce site. Celle-ci est très crue, bien écrite, relativement émoustillante mais trop courte