Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne – 2 – Quatuor en rut majeur par Maud-Anne Amaro
– Dzing, dzing.
– Ton portable sonne, mon petit professeur !
– Ah oui… c’est Gérard ! Allo Gérard !
Gérard Petit Couture et sa compagne Florentine ont accompagné le professeur Martinov dans plusieurs de ses aventures. Lui est un ancien agent secret et il en a conservé la carte, il a aussi été ministre, juste quelques semaines, avant de se faire éjecter suite à une immonde campagne de presse. Sa compagne, Florentine est une ancienne callgirl, embauchée pour piéger Gérard mais victime du syndrome de Stockholm, elle en est tombée amoureuse.(Voir Martinov 4- Le grimoire magique)
– Allô Martinov, c’est pour t’inviter à un vernissage…
– Ah ? Et c’est qui l’artiste ?
– C’est moi. C’est le 29, chez Mansard, place des Vosges .
– Super.
– Je t’envoie deux cartons, ou plutôt je vais te les apporter cet après-midi.
– Je ne suis pas chez moi, on est à Bourg-la-Nonne, c’est à côté d’Angers, une affaire à la con, on est bloqué, Béatrice s’est fait cambrioler sa bagnole…
– Raconte !
Et le professeur lui narra toute l’histoire…
– C’est con que tu es rompu le contrat, tu vas perdre du fric…
– J’en mourrai pas.
– Tu ne peux pas rattraper le coup ?
– Pourquoi faire ?
– Parce que ça m’aurait amusé de te donner un coup de main, tu sais bien qu’avec ma carte de la DGSE, je fais parfois des miracles.
– Pourquoi pas ? Dans ce cas on se partagera la prime.
– Mais non, mais non… le temps de faire une petite valise et on arrive, il n’y a que trois heures de route. Réserve-moi une chambre… dans ton hôtel, ce serait bien.
– Il faudrait acheter un peu de matériel, il nous faudrait un stéthoscope et une micro-caméra enregistreuse… On te remboursera…
– D’accord, j’achèterai ça à Angers en passant
– Béatrice, je te laisse téléphoner au châtelain, tu es davantage diplomate que moi.
– Je me demande si on ne fait pas une connerie ?
– Avec Gérard j’ai plutôt confiance !
– Si Lemboley nous envoie chier on aura l’air fin.
– Prends ta voix d’hôtesse de l’air, ça va le faire.
Béatrice fait plusieurs essais « à blanc » avant d’appeler le chatelain.
– Allô, monsieur Lemboley, c’est mademoiselle Clerc Fontaine…
– Et pourquoi cet appel ? Vous avez égaré quelque chose ?
– Non, mais je voulais vous présenter mes excuses, monsieur Martinov et moi-même étions très énervés, je pense que vous pouvez le comprendre.
– Admettons…
– Donc si vous n’y voyez pas d’objection nous allons reprendre nos investigations…
– Et quelle est la raison de ce revirement ?
– Disons qu’on a un peu réfléchi. Mais comme la situation n’est pas exempte de danger, nous avons demandé le concours de deux enquêteurs supplémentaires spécialisés dans les cas de figures difficiles…
– Donc le devis ne tient plus ?
– Il ne change pas, il y aura simplement davantage de faux frais.
– Alors d’accord, faites pour le mieux !
Gérard et Florentine rejoignirent Martinov et Béa à l’hôtel. Bisous, bisous tout le monde est content de se retrouver.
– T’es toujours aussi belle ! Indiqua Béatrice à Florentine avant de l’embrasser goulument tout en lui pelotant les seins.
– Toi, j’ai comme l’impression que tu me lécherais volontiers la moule.
– Hi hi !
– Bon les nanas, intervient Gérard, arrêtez de nous exciter, sinon je vais encore faire des bêtises avec l’ami Martinov.
– Si tu as envie de faire des bêtises avec moi, ne te gêne surtout pas ! Rétorqua l’intéressé.
– C’est vrai ? Tu as envie que je te foute ma bite dans le cul ?
– Ça ne me déplairait pas !
Comme vous le voyez, l’ambiance est électrique. Du coup Gérard se déshabille entièrement et s’en va poser ses fringues délicatement sur le dossier d’une chaise. Il bande un peu mou mais sait que le professeur va lui arranger ça.
Ce bon Martinov s’est déshabillé à son tour, les deux hommes sont nus face à face. Chacun attrape les tétons de l’autre et les serre fortement. Une pratique qui fait bander immédiatement 90 % des hommes. (si l’on en croit certaines statistiques confidentielles)
Voici donc nos deux coquins, la bite toute raide. Subjugué par le spectacle de ce bel organe au gland décalotté, le professeur effectue une flexion du genou… et hop… la bite de Gérard dans la bouche.
C’est qu’il aime ça, les bites, le professeur Martinov, il prend un énorme plaisir à sucer, il se régale de cette texture si douce, il lèche avec la langue, il pompe avec les lèvres, il s’égare sur les valseuses tandis que sa main passe derrière, lui caresse les fesses atteint le petit trou dans lequel un doigt fureteur vient s’immiscer…
Mais maintenant, c’est dans son cul qu’il la veut, cette jolie bite. Aussi se place-t-il en levrette sur le bord du lit, en écartant les fesses.
– Vas-y Gérard, viens m’enculer !
Le temps d’enfiler une capote, (ces messieurs en ont toujours sur eux !) et Gérard se retrouve devant l’anus du professeur. Il va pour ouvrir une dosette de gel intime, puis se ravise,
« Rien ne vaut le naturel ! »
Et alors qu’il allait lui lécher la rondelle, Florentine, elle aussi complétement nue intervient.
– Laisse-moi lui préparer le cul ! Dit-elle.
Et c’est qu’elle se régale la Florentine.
– Oh quel goût divin ! Commente-t-elle avant d’essayer de faire pénétrer l’extrémité de sa langue dans l’étroit orifice.
Voilà un exercice qui n’est pas si évident… avec le doigt c’est tout de même bien plus facile de pénétrer, non ? Alors, elle mouille son doigt et le lui rentre dans le cul, puis se met à effectuer quelques bons va-et-vient. Elle ressort, elle lèche, on vous le dit c’est une cochonne.
La place est maintenant libre pour Gérard… Mais me direz-vous que fait Béatrice pendant tout ce temps ?
Eh bien, figurez-vous que celle-ci après s’être déshabillée à son tour n’a rien trouvé de mieux que de venir voir derrière Gérard ce qu’elle pourrait bien faire comme coquinerie. Alors à l’instar de son amie, elle joue avec ce cul offert, le lèche, le doigte. On le vous le répète ce sont des cochonnes
Gerard est entré dans le cul de Martinov et le pilonne « à la sportive » Il en miaule de plaisir ce bon professeur. Mais l’enculeur ne tient pas la distance, il sent son plaisir monter et se laisse aller.
Il décule, retire sa capote laissant apparaître une bite gluante de sperme.
A cette vue les deux femmes accourent, se précipitent pour la lui nettoyer, avant de s’échanger un bon gros patin au sperme. Non, on ne va pas vous répéter que ce sont des cochonnes, vous l’aviez compris !
Et elles s’en vont de l’autre côté du lit, ou elles se pelotent, se caressent partout, s’embrassent, se mordillent et se broutent le gazon.
Et Martinov, il n’a pas joui, le pauvre. Mais Gérard en délicieux gentlemen sait rendre les plaisirs qu’on lui a donné et propose au professeur de l’enculer à son tour.
Après tout pourquoi pas ? C’est pas mal d’être switch, non ?
Nos quatre amis passèrent au château pour une première prise de contact. Une caméra fut placée discrètement devant le frigo dont l’intérieur fut d’abord pris en photo.
Le mur suspect fut ensuite passé au stéthoscope.
– Effectivement on entend comme une conversation ! Admit Gérard. Mais on ne comprend pas grand-chose… Bizarre ! il y aurait donc des squatters, mais ils seraient entrés comment ? Avez-vous un plan du château, monsieur Lemboley ?
– C’est en annexe au titre de propriété, je vais vous chercher ça.
Le plan est un peu fouillis, mais on s’y retrouve…
– Effectivement il y a une pièce ici mais où est l’entrée ?
Cela commençait à devenir très mystérieux. La pièce en question n’était apparemment mitoyenne d’aucune autre pièce que la chambre de Lemboley. L’examen du plafond et du plancher ne révéla aucune trappe.
– Il y a une fenêtre ! Fit remarquer quelqu’un.
– On va regarder à l’extérieur.
La fenêtre en question était en fait une meurtrière, dont l’espace insuffisant ne pouvait permettre le passage d’un homme.
– Il y a donc un passage secret. Beaucoup sont actionnés avec des gonds métalliques. On reviendra demain avec un détecteur de métaux
Malgré tout ils se mirent à tripoter le mur en tous sens dans le but de déclencher quelque chose, ce fut peine perdue
A suivre
Une belle rencontre de joyeux obsédés !
Un quatuor à cordes c’est superbe, mais un quatuor pour bites et chatte, c’est divin
Et un quatuor sexuel avec en fond sonore le quatuor américain de Dvorak ce ne doit pas être mal non plus !