Vacances en Provence 2 – par Showlap1

Vacances en Provence
Partie 2
par Showlap1

Au bord de la piscine
Dans les jours qui suivent, la vie reprend un cours plus paisible. Les longues heures d’oisiveté me permettent de me replonger dans les souvenirs de mes deux expériences successives à trois. La première, avec deux femmes dont ma partenaire habituelle, en réalisant un fantasme très ancien, avait quelque chose de « naturel ». La deuxième, avec une femme et un homme, correspondait sans doute à un désir beaucoup plus enfoui, consistant à assister et surtout à s’immiscer dans les ébats d’un couple constitué. L’impression qui demeure dépasse complètement tout ce que j’aurais pu imaginer. En plus de l’immense plaisir ressenti, je ne parviens pas à m’habituer au trouble intense résultant du contact, nouveau pour moi, avec le corps, le sexe d’un autre homme. Une porte s’est ouverte me permettant de découvrir un nouveau territoire, s’ajoutant à celui que je connaissais déjà, mon désir des femmes n’étant en rien affaibli. Pourtant, une frustration demeure, qui me pousse à aller jusqu’au bout de l’expérience. Il est clair que Germain ne s’était pas privé de donner libre cours à ses envies vis-à-vis de moi, qu’il avait été terriblement excité par tous les contacts entre nous. Mais pour lui comme pour moi, qui n’avions aucun antécédent homo, cela pouvait être l’effet bien compréhensible des circonstances de notre rencontre, par l’intermédiaire de Marie-Claude. Depuis cette mémorable matinée, aucun de nous trois n’a fait d’allusion à ce qui s’est passé. Mais (illusion de ma part ?), je crois deviner, en croisant le regard de Germain, que son état d’esprit n’est pas très différent du mien… Il me paraît presque certain que son désir pour sa femme, et le souci de lui procurer le maximum de plaisir, n’étaient ses seules motivations. Mais comment m’en assurer ? Comment savoir jusqu’où il a envie d’aller ?

L’occasion se présente un après-midi où la chaleur est encore plus oppressante que les jours précédents. Au déjeuner, les filles proposent d’aller à la plage. Germain, qui généralement accompagne Marie-Claude à contrecœur, refuse catégoriquement cette fois-ci, l’idée de se faire griller sur le sable par 40 degrés lui paraissant déraisonnable.

Je saute sur l’occasion :

« Moi non plus, ça ne me dit rien, je préfère rester là. Et puis comme ça, avec Germain, on pourra se faire une petite partie d’échecs. Qu’est-ce que tu en penses ?
– Mais, pourquoi pas ? », me répond-il.

Ces dames parties à la plage, nous voilà seuls à la maison pour l’après-midi. Je monte enfiler un maillot de bain et plonge dans la piscine aussitôt redescendu. Après quelques longueurs, je sors de l’eau, étale une serviette sur une chaise longue et m’étends pour me faire sécher.

« Attention aux coups de soleil, me lance Germain.
– Oui, tu as raison. Tu peux m’apporter la crème, s’il te plait ? »

Je suis allongé sur le ventre, et, tournant la tête, je le vois s’approcher avec le tube à la main, d’une démarche bien peu naturelle.

« Tu veux que je t’en passe dans le dos ? », me demande-t-il. Cette fois, plus d’inquiétude : ses intentions sont en phase avec les miennes.
« Ah, mais avec plaisir ! »

Il s’installe à genoux près de moi, et commence par m’enduire les épaules, puis le milieu du dos. Je tire mon maillot vers le bas pour découvrir le haut de mes fesses.

« Vas-y, n’hésite pas… », lui dis-je.

Il hésite tout de même un peu, passe sur le bas de mon dos sans aller trop loin, puis s’occupe de mes jambes en partant des pieds, pour remonter sur mes mollets, l’arrière des genoux, puis les cuisses. Il reste sage, mais prend tout de même son temps. La pression de ses mains se fait plus légère, ses doigts insistent sur l’intérieur de mes cuisses.

« Je continue de l’autre côté ? » demande Germain.

Sans rien dire, je me retourne sur le dos pour lui permettre de constater l’efficacité de sa prestation. Il fait mine de ne pas remarquer la bosse qui gonfle mon maillot, et applique une nouvelle dose de crème sur ma poitrine. Sa main glisse de plus en plus lentement, son pouce s’arrête et appuie quelques fractions de secondes supplémentaires sur les pointes de mes tétons. Elle descend jusqu’à mon ventre découvert jusqu’en haut de mon pubis, et ce qui devait arriver se produit inévitablement : mon sexe qui n’en finit plus de gonfler passe sous l’élastique et vient heurter sa main.

Il sursaute, et avale sa salive avec difficulté.

« Ah oui, tu es bien à l’étroit là-dedans, estime-t-il.
– Oui, je crois qu’il vaut mieux que tu me l’enlèves. »

Il ne se fait pas prier, et je me retrouve nu, allongé sur le dos, le sexe dressé jusqu’au nombril. Je remarque en passant que son maillot est lui aussi prêt à exploser. Mais il a manifestement décidé de faire durer l’attente, car il finit de m’enduire les jambes de crème en repartant à nouveau de mes pieds. Il s’applique, tout en observant, à quelques centimètres de son visage, les soubresauts de mon sexe au bout duquel perle une première goutte de liquide séminal. Arrivé à mes cuisses, il dirige progressivement ses caresses vers l’intérieur, et c’est tout naturellement qu’il prend mes testicules dans sa paume, les soupèse, les fait rouler.

« J’ai adoré te voir pénétrer Marie-Claude, tu sais, me dit-il. Ta queue si gonflée, si dure… J’avais vraiment envie de la prendre dans ma bouche…
– Eh bien, je crois que c’est le moment… »

Ma réponse ne l’a pas surpris, et il tire légèrement sur mes testicules pour faire dresser mon sexe à la verticale, puis plonge dessus sans hésiter pour l’englober d’un seul coup.

Sa bouche est chaude et enveloppante. Il me savoure comme il le ferait d’un sucre d’orge, en faisant tourner sa langue autour de ma tige, de mon gland. Quand il la fait sortir de sa bouche, il en profite pour me branler avec douceur et fermeté.

« Qu’est-ce qu’elle est bonne ta queue, commente-t-il. Je te suce comme une grosse salope, mais j’adore ça. »

Il reprend ses caresses avec plus d’insistance. Sa main gauche glisse sur mon ventre, ma poitrine, pince mes tétons. Sa main droite écarte mes cuisses, pour permettre à ses doigts de passer entre mes fesses. D’un doigt, il exerce une pression circulaire sur mon anus, puis il finit par introduire son majeur. Ca suffit à déclencher une succession de spasmes qui me font frissonner de la pointe des orteils jusqu’aux épaules, pendant que de mon sexe, qui me donne l’impression d’avoir triplé de volume, jaillissent des flots de sperme qui viennent inonder le fond de la gorge de Germain, qui avale tout avec gourmandise. Il me garde en bouche encore une ou deux minutes, continuant à me branler et à me pomper tout doucement, pendant que je reprends progressivement mes esprits.

« C’est fou, me dit-il. Si j’avais pu imaginer que je me comporterais un jour comme une petite…
– Mais enfin, je l’interromps, il ne faut pas du tout voir les choses comme ça ! Ce qui compte c’est que tu as aimé ça, et qu’en même temps tu m’as donné beaucoup de plaisir.
– C’est vrai, ça t’as plu ?
– Je n’ai pas eu l’air d’apprécier ?
– Si, si, bien sûr…
– Et en plus, lui dis-je, tu as deviné à quel point j’étais sensible de ce côté-là… »

Une jambe relevée, je glisse mon majeur là où il avait introduit le sien quelques instants plus tôt. A nouveau, sa gorge se contracte… Je n’ai pas oublié que pour l’instant, je suis le seul avoir eu un orgasme. Et j’ajoute :

« Si tu avais du gel, c’est moi qui pourrais être ta petite pute, maintenant… »

Il sursaute, part en courant et revient quelques secondes plus tard avec le tube en main. J’ai eu le temps de glisser un coussin sous mes reins, et je me présente à lui les jambes bien relevées, dans une posture d’une totale obscénité. Il commence par ôter son maillot, puis vient se placer entre mes cuisses, passe une main sous chaque fesse, et vient lécher avec application mon anus, partant du bas de mon dos, à la naissance de la raie, s’attardant sur mon trou pour y glisser la pointe de sa langue dans un mouvement tournant, pour remonter ensuite jusqu’à mes testicules.

Anxieux et impatient de ce qui va m’arriver, je décide de précipiter les choses, et m’empare du tube.

« Viens, je lui demande, je vais m’occuper de toi, aussi. »

Je me redresse, m’assieds sur la chaise longue, et il vient se placer debout devant moi. Son gland brillant de sperme est appétissant : je referme ma bouche dessus pour le sentir se gonfler. Quand mes mains pressent ses testicules, son membre prend encore plus de place de ma bouche, en largeur et en longueur. Maintenant qu’il est bien raide, je le sors de ma bouche, et des deux mains, lui étale une bonne quantité de gel, en le massant bien sur toute la longueur. Je me réinstalle sur le dos, le cul bien relevé, les jambes écartées, les mains derrière les genoux.

« Viens enfiler ta petite salope ! »

Pas besoin de lui dire deux fois… Il colle tout de suite son gland à l’entrée de mon anus, appuie doucement et, surpris de rencontrer si peu de résistance, finit en deux ou trois va-et-vient par introduire son sexe tout entier, ses couilles venant buter contre mes fesses. Du fait de ma position totalement ouverte, de la quantité de gel, et des dimensions raisonnables de sa queue, cette présence inattendue me provoque une délicieuse sensation d’envahissement. Il s’appuie plus lourdement sur moi, et cette sensation se propage comme une immense chaleur dans tout mon bassin. Quelques va-et-vient supplémentaires, et un spasme inconnu me fait crier de surprise, mon anus se contracte sporadiquement et mon sexe, dont je n’avais même par remarqué la nouvelle érection, expulse un petit jet de liqueur blanche.

Après quelques vigoureux coups de bite, Germain jouit à son tour dans un grondement surpuissant et vient répandre son sperme dans mon cul. Il s’effondre sur moi, totalement vidé.

Après avoir pris une douche, et fait disparaître les traces de nos ébats, nous finissons l’après-midi écroulés, chacun sur une chaise longue, une revue ou un livre à la main. Marie-Claude, Patricia et Valérie rentrent à la maison, écrasées de chaleur.

« Alors cette partie d’échecs, nous demande Valérie. Qui est-ce qui a gagné ?
– Partie nulle, je réponds. Par répétition de coups. »

Germain, impassible, plonge le nez dans son bouquin…

Punition
Les jours suivants se déroulent selon un mode plus classique. Les couples ont repris leurs ébats habituels, sans inviter de nouveaux partenaires… Pourtant, aujourd’hui, il me semble que quelque chose de nouveau se trame. Dans l’après-midi, Patricia s’est absentée sans explication et, ce soir, Patricia et Valérie ont eu quelques conciliabules qui me laissent présager que la nuit va être mouvementée.

Effectivement, au moment de nous coucher, le ton de la voix de Valérie ne me parait pas tout à fait naturel. Nus sur le lit nous commençons à nous cajoler quand Valérie me demande :

« Dis, tu ne voudrais pas essayer un truc complètement nouveau ?
– Si, si, bien sûr, je réponds, légèrement inquiet malgré tout.
– Alors, c’est moi qui dirige les opérations. Tu me promets que tu te laisses faire ?
– Promis. »

Elle soulève un oreiller, et je découvre une paire de menottes, dont un des bracelets est déjà accroché à un montant du lit.

« Approche ta main ! »

J’obtempère. Elle referme l’autre bracelet autour de mon poignet gauche, et je me retrouve prisonnier, bien qu’allongé confortablement en diagonale sur le lit.

« Bon, très bien, dit-elle. Maintenant je vais aller chercher Patricia. Elle a des choses à nous raconter, ajoute-t-elle, une nuance de menace clairement perceptible dans la voix. »

Elle revient avec Patricia qui a adopté une attitude et une tenue que je ne lui connais pas. Elle est juste vêtue d’un string et d’un soutien-gorge noirs, et est chaussée d’escarpins vernis, noirs également. Elle tient en main, cachée derrière son dos, une boite qu’elle pose rapidement au pied du lit, hors de mon champ de vision.

« Tu acceptes toujours d’obéir à ta chérie ? me demande-t-elle.
– Euh, oui…
– Parfait. Car ce soir, elle m’a délégué le pouvoir de parler et d’agir en son nom, pour une raison que je vais t’expliquer. Toujours d’accord ? »

J’acquiesce silencieusement.

Elle vient se camper au pied du lit, debout jambes légèrement écartées, perchée sur ses escarpins. Elle m’observe d’un air amusé, moi qui suis toujours nu, sur le dos, entravé au montant du lit. Elle continue :

« Je n’ai pas encore expliqué à Valérie pourquoi j’ai décidé cette petite mise en scène… Voilà… Figurez-vous que la nuit dernière, j’avais un petit creux. Je descends à la cuisine sans faire de bruit pour chercher un yaourt, et en passant devant la chambre de mes parents j’entends mon père qui raconte à ma mère… comment il s’est envoyé ce garçon au bord de la piscine, l’après-midi où nous étions toutes les trois à la plage !

– Pardon ??? S’étrangle Valérie.
– Oui, oui. Germain racontait qu’il avait commencé par le sucer, puis qu’il a ensuite enculé cette petite pédale !
– Patricia, enfin… je proteste.
– C’est vrai ou c’est faux ?
– Oui, c’est vrai !… Mais enfin, on est libres de faire ce qu’on veut, non ?
– Certes, certes… Et tu ne racontes rien à ta chérie ?
– Si, si, c’était prévu… Mais tu aurais pu me laisser choisir le moment !
– Oui, bon… répond Patricia, qui a soudain perdu un peu de son assurance. Mais tu peux comprendre que ça me paraît bizarre d’apprendre que tu baises avec mon père !
– Oui, je peux comprendre… mais, je vais tout vous expliquer. »

Je raconte dans tous ses détails l’après-midi torride que nous avons vécu avec Germain, mettant cette aventure sur le compte d’une soudaine envie de tenter une expérience nouvelle, sans évoquer l’épisode précédent avec Marie-Claude, qui en était à l’origine. La sincérité de mon récit, parsemé de détails scabreux qui n’ont pas manqué d’émoustiller mes auditrices, a permis de détendre l’atmosphère.

« En somme, c’est la belle vie, pour toi, rigole Valérie. Tu baises avec tout le monde ici, ajoute-t-elle, sans mesurer l’impact de ses paroles.

– Mais, pas avec Marie-Claude, quand même ? Sursaute Patricia.
– Enfin, Patricia… je réponds, l’air sincèrement scandalisé.
– Mouais, bon… En tout cas, si Valérie est d’accord, je propose de maintenir la punition.
– Tu es tellement superbe comme ça, dit Valérie à Patricia, ça serait dommage de modifier le programme. Et Philippe m’a promis d’être sage. »

Je baisse les yeux en signe de soumission. La colère de Patricia étant retombée, je suis en fait très impatient de découvrir ce qu’elle a prévu.

« Parfait, dit-elle. Tourne-toi. »

Pivotant autour de mon bras, toujours entravé, je me mets à plat ventre. Pendant ce retournement un peu difficile, elle ouvre la boite qu’elle a apportée, s’empare de l’objet qui s’y trouvait. Elle s’agenouille sur le lit à côté de moi, et vient coller contre mon visage un gode souple en latex noir, au formes très réalistes.

« Regarde ce que j’ai pour toi, mon mignon. Il a fallu que j’aille jusqu’à Marseille pour trouver ce bel objet. Et attends, ce n’est pas tout… »

A la base du gode, une vingtaine de lanières en caoutchouc souple viennent donner une fonction supplémentaire à l’objet, que Patricia me fait découvrir sans attendre, en les faisant cingler sur mon dos. Je pousse un cri, davantage dû à la surprise qu’à la douleur.

« Silence ! Impose-t-elle. Apprends à souffrir sans bruit, ou sinon on trouvera un moyen de te bâillonner. »

Les coups de lanières reprennent. Patricia les appuie suffisamment pour qu’ils soient plus que symboliques, mais pas trop non plus, pour que la douleur reste supportable. Elle fouette mon dos, puis mes jambes, puis remonte jusqu’à mes fesses. Elle me demande d’écarter les jambes, et alterne les coups en travers, sur mes deux globes en même temps, et ceux dans le sens de la longueur, qui permettent aux lanières d’atteindre mon anus et mes testicules.

« Tu dois avoir bien chaud au cul, mon gaillard, dit-elle après quelques minutes de ce régime. »

Elle fait glisser ses mains sur mon derrière, qui a probablement changé de couleur.

« Allez, tourne-toi, maintenant. »

Elle éclate de rire en voyant la belle érection que m’a provoquée cette séance torride.

« Mais c’est qu’il a aimé ça, le petit salaud. C’est bien la peine que je me fatigue le poignet à le punir. Attends, dit-elle en regardant Valérie, on va changer de méthode. Assieds-toi à califourchon au-dessus de son ventre, face à moi. Écarte-lui les jambes. Passe tes mains sous ses cuisses, derrière ses genoux. Remonte-lui bien le cul. Oui, c’est parfait, comme ça. »


Patricia a enduit le gode de gel. Elle essuie ses doigts sur ma rosette, puis rentre une phalange en tournant, pour élargir l’ouverture et faire pénétrer le produit sur un ou deux centimètres.

« Alors comme ça, tu aimes bien prendre dans le cul ? Tu vas être servi, tu vas voir. »

Elle appuie le gode sur mon anus, puis progresse par poussées de plus en plus fortes. L’objet s’enfonce entièrement en moi, sans plus de difficulté que n’en avait eu le sexe de Germain. Je pousse un long gémissement.

« Chut ! Occupe-lui la bouche, ou sinon il va réveiller toute la maison, demande Patricia. »

Valérie se recule pour venir coller ses fesses sur mon visage, et en profite pour prendre mon sexe dans sa bouche. Patricia continue ses vigoureuses pénétrations, me procurant un des plus violents orgasmes que j’ai jamais connu. Je décharge dans la bouche de Valérie qui, en guise de remerciement, attrape Patricia par la nuque pour lui rouler une pelle. Mon sperme dégouline de leurs bouches réunies. C’est magnifique.

Bien nettoyé, le gode a repris du service et a terminé la nuit entre les cuisses des demoiselles, leur procurant également de jolis orgasmes. Les nuits suivantes, et jusqu’à la fin des vacances, j’ai même pu, en l’appuyant sur mon ventre, faire connaître les joies de la double pénétration à mes deux amies qui, je pense, s’en souviennent encore.

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Une réponse à Vacances en Provence 2 – par Showlap1

  1. Jugan dit :

    Un récit très excitant, en fait il y a deux récits qui se suivent, mais ils sont bons tous les deux, il faut bien varier les plaisirs, non ?

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