Une soirée de plaisirs – Rencontre par Daniel952

 

Une soirée de plaisirs
Rencontre
par Daniel952


Six mois ! Six mois déjà que nous sommes ensemble Julie et moi. Déjà l’Amour avec un grand A ? Je n’ai que 28 ans et je veux vivre au maximum avant de me fixer, connaître toutes les joies de tous les plaisirs, savourer chaque instant qui passe, apprécier les rencontres d’autres femmes et d’autres hommes aussi, pourquoi pas.

Julie est dans le même état d’esprit que moi, c’est sans doute pour cela que nous sommes encore ensemble, nous nous permettons de petits (et grands) écarts, à la condition de ne rien nous cacher, et même si on en a envie, de nous raconter avec tous les détails croustillants nos ébats amoureux en toute complicité, cela nous excite et nous faisons l’amour à la fin de chacun de nos récits, c’est cela le bonheur ?

En tout cas cela marche pour l’instant avec une intensité rare dans nos ébats sexuels.

Ce dimanche je reçois un coup de téléphone de Karl, un ami à peine plus âgé que moi. Nous nous sommes connus lors d’un stage d’alpinisme à Chamonix et avons tissé de solides liens malgré notre éloignement géographique, lui habite Paris, moi Chamonix.

Julie ne le connaît que par mes récits de sortis entre hommes lors de ce stage, jamais eu le temps ni l’occasion de se retrouver et de lui présenter.

– Damien, c’est Karl au téléphone, tu le prends ?
– Bien sur je le prends, cela fait un bail que je lui ai parlé.

Après nous avoir raconté nos vies, Karl me propose de le rejoindre quelques jours à Paris avec Julie. Il est seul en ce moment et voudrait bien nous voir et faire la connaissance de ma délicieuse Julie. Oh il la connait déjà très bien, en photo bien sûr, mais aussi par ce que je lui ai confié sur le fonctionnement de notre couple, seule entorse à notre pacte de Julie et moi, elle ne sait pas qu’il sait… Mais bon c’est un ami, non ?

Après avoir raccroché en lui disant que je parlerai à Julie de son invitation, j’étais tout troublé. Que cachait cette invitation, était-t-il malade ou tout simplement seul et avait-t-il tout bêtement envie de la présence d’amis pendant quelques jours comme il le disait ?

– Julie, Karl nous invite à passer quelques jours avec lui à Paris, qu’en penses-tu, je dois le rappeler.
– Qu’est ce qui se passe, il est malade, il a un problème ?
– Non, il est seul en ce moment et il voudrait me revoir et aussi faire ta connaissance depuis le temps que je lui parle de toi.
– En bien j’espère. D’accord, ça me fera plaisir de le connaître depuis le temps que tu me parle de lui.
– Tu es mignonne Julie, tu me fais un grand plaisir, je le rappelle maintenant.

Paris en plein mois d’aout.

Karl est là pour nous accueillir à la gare, nous tombons dans les bras l’un de l’autre, Julie est heureuse de faire la connaissance de mon ami.

Il nous amène chez lui sans attendre et nous pouvons enfin nous reposer un peu notre ce voyage.

Karl habite un duplex très beau au 3ème étage, mais comme il nous raconte, il est seul depuis quelque temps et l’appartement est un peu grand pour lui, mais parfait quand j’invite des amis hommes ou femmes.

– Mettez-vous à l’aise, vous voulez boire quelque chose ? Comme je suis heureux que vous soyez là vraiment, j’en avais besoin, merci Julie d’être là, je vois que tu es aussi magnifique que dans les descriptions que m’as faites Damien.

Karl est un grand costaud aux cheveux bruns, bel homme qui ne devrait pas rester seul trop longtemps.

– Alors Karl, qu’as-tu pour avoir besoin de notre présence, tu sais que tu peux tout nous dire.
– Tu es gentil mais rien de grave tu sais, j’avais tout simplement très envie de vous voir.

Je sentais dans le son de sa voix qu’il nous cachait quelque chose mais quoi, cela m’intrigua quelques instants vite oubliés par les rigolades habituelles qui nous occupaient quand on se parlait, Julie y participa et cela me rendit fou de joie. Nous étions à ce moment précis très heureux.

– Il est tard, on se fait un petit chinois pour calmer notre faim, il y a un traiteur pas loin d’ici, je lui téléphone, vous aimez, non ?

Oui on aimait, et l’idée de se faire une petite bouffe sympa entre amis nous comblait d’aise.

La soirée se passa bien, très bien même. Nos blagues et nos rires s’entre mêlaient, nous étions bien. Karl faisait la connaissance de Julie qui l’appréciait comme un ami.

– Bien, vous devez être fatigués tous les deux, allez, au dodo. Vous dormez là-haut, j’ai un petit coin en bas pas de soucis, faîtes comme chez vous. Demain on se racontera nos vies.

On ne se fit pas prier, et nous montâmes dans la chambre qui allait être la nôtre durant quelques jours. La décoration était sympa et le lit très confortable.

– Sympa ton ami, il m’a beaucoup amusé avec ses blagues. Viens mon chérie faire un gros câlin dans mes bras.

J’aimai quand elle me parlait comme ça, j’avais l’impression de retourner en enfance, et l’idée du câlin sous entendait beaucoup de choses.

Oui le lit était très confortable, la peau de Julie étonnamment douce se moulait sous la pression de mes mains, j’avais l’impression de la sculpter, d’entrer dans son corps, dans ces moments-là nous ne formions plus qu’un. Nous nous sommes aimés ce soir-là, malgré notre fatigue, ou peut être grâce à elle, nous fondions l’un dans l’autre, nos sexes réunis, l’un absorbant l’autre, Julie était sur moi et se déchainait de plaisir sur mon membre en érection. Elle poussait de petits cris et des gémissements de plaisirs sortaient de sa bouche pulpeuse. Ses hanchent n’arrêtaient pas de bouger pour mieux me sentir et je dû la freiner un peu pour ne pas jouir trop vite.

Elle adorait cela, me mettre à la limite de la jouissance, puis reprendre ses mouvements lentement, en nous faisant apprécier chaque seconde de notre plaisir, puis elle accélérait de nouveau le mouvement de ses hanches, de ses fesses, pour me sentir en elle le plus profond possible pour que son vagin s’emplisse de mon sperme. Je n’en pouvais plus et je dû me résoudre à jouir avec un tel plaisir que j’avais l’impression d’exploser en elle.

C’est toujours à ce moment-là que ma Julie jouissait elle aussi, nous prenions un malin plaisir à monter au 7ème ciel en même temps, chaque fois que nous le pouvions.

Je dois être honnête, nous ne le pouvions pas toujours et nous aimions même aussi faire jouir l’autre sans jouir sois même, rien que pour voir la jouissance sur le visage de l’autre et ainsi nous donner l’envie de recommencer quand nos forces nous le permettaient…

Nous nous sommes endormis, comme ça tout d’un coup, comme une masse qui vient de tomber.

C’est vers 1 heure que je fus réveillé par un bruit étrange, enfin pas vraiment un bruit mais une sorte de murmure, je ne sais pas trop pourquoi mais je me levai, Julie dormait comme une enfant, ses longs cheveux blonds ornaient ses épaules, elle était sur le ventre et je pu admirer son dos, ses hanches, ses petites fesses rebondies, ses cuisses légèrement écartées qui me laissait apparaitre son sexe qui je le savais, contenait encore mon sperme dégoulinant. Je ne pus m’empêcher de mettre mes doigts au contact de ses lèvres accueillantes, ce qui eut pour effet que ses cuisses s’écartèrent un peu plus, m’offrant un spectacle qui me fit bander de nouveau, oh pas beaucoup mais tout de même suffisamment pour me faire sourire, d’un sourire tendre.

Mais il me fallait voir d’où provenaient ses petits bruits, et je me levai. Après avoir satisfait un besoin naturel je me laissai conduire vers l’escalier d’où provenaient ses mystérieux gémissements car il s’agissait bien de gémissements maintenant, c’était clair dans ma tête.

Quelques marches suffirent pour voir ce qui se passait en bas. Je n’avais pas fait de bruit en descendant ces quelques marches et je m’immobilisais et m’agenouillait doucement. La télévision diffusant, le son en sourdine, un film de… cul !!!

Je regardais quelques secondes et appréciait les corps en extases, les bites branlées et sucées par d’autres hommes, les chattes qui s’offraient aux caresses d’autres femmes, aux regards vicieux et connaisseurs. Les caresses changeaient de partenaires, les partenaires changeaient entre eux… J’avoue que ces quelques secondes, ou minutes je ne sais pas trop, me plaisaient énormément. Je m’aperçus que j’étais nu et que mon membre avait grossi un peu plus que tout à l’heure. En un mot, je bandais dur !

Tellement absorbé par ce qui se passait à l’écran je n’avais pas vu venir ma Julie revêtue d’une sortie de bain avec dans ses bras une robe de chambre.

Elle murmura, comme si elle ne voulait pas me surprendre :

– Met ça chérie, tu vas prendre froid. Tu regardes quoi assis dans l’escalier ? Ah oui je vois, dit donc, tu ne t’embête pas toi. Je peux regarder avec toi ?
– Bien sur ma douce, installe toi.

Et nous voilà tous les deux, assis dans l’escalier, à mater un film de cul…

– Dit Damien, il est où Karl, parce que je pense que la télé ne fonctionne pas pour nous deux, non ?
– C’est vrai ça, je ne le vois pas.

Je me levais doucement en enfilant la robe de chambre pour regarder d’un peu plus près le canapé qui faisait face à la télé, et là je le vis.

– Là Julie, regarde.

Allongé sur son canapé, Karl en robe de chambre entre-ouverte laissait apparaître son sexe bandant, ses mains le caressaient avec une tendre douceur, en un mot, il se masturbait gentiment en remuant ses hanches…

Je regardais Julie qui n’en perdait pas une miette.

– He bien, il bande dure ton ami.

Oui, il bandait dure. Je regardais mon ami avec un certain intérêt, pas un instant je me posais la question de ce que pouvait penser Julie, mon regard était pour ce membre qui recevait tant de caresses.

Me voyant dans un certain état, Julie me demanda :

– Dit Damien, tu es dans cet état pour le film ou pour Karl, parce que si c’est pour ton ami ne te gène surtout pas pour moi, descend je vous mate.

Là c’est moi qui étais gêné. Ma Julie qui me poussait dans les bras d’un homme, fusse-t-il être mon ami. Et pourtant elle me facilita la tâche en me mettant à l’aise. J’étais dans un tel état d’excitation que je l’embrassais goulument, nos langues se mélangèrent avec tant d’amour, nos bouches se dévorèrent, puis je descendis doucement les marches un peu secoué…

Je m’approchais du canapé avec naturel comme si de rien était, et m’assis sur la moquette, la tête contre l’assise du canapé où était allongé Karl. Je ne le laissai pas réagir et m’efforçais de ne pas le regarder.

– Pas mal ton film Karl, j’aime bien. Je peux rester ?
– Bien sur Damien profite, c’est en effet un bon film…

Je sentais bien que je l’avais dérangé et qu’il se revêtit un peu sans toutefois se lever. Nous restâmes un petit moment ainsi, laissant monter nos envies personnelles en matant le film.

La chaleur montait dans mon corps et je sentais bien que pour Karl il en était de même. Imperceptiblement ma tête se mettait un peu plus en arrière cherchant un contact, une présence. Elle ne tarda pas à venir, je senti la main de Karl frôler mes cheveux et je forçais ma tête un peu plus en arrière pour lui faire comprendre que j’appréciais.

Il s’en aperçu bien sûr et sa main caressait maintenant ma tête puis très vite ma joue. Mon instinct me dit que son autre main reprenait ses caresses sur son sexe.

Moi-même je commençais à caresser mon ventre, mes seins. J’ouvrais un peu plus ma robe de chambre et mon autre main s’approchait maintenant de mon sexe qui réclamait mes caresses.

La main de Karl s’attardait maintenant sur mon torse, et j’aimai sa main chaude qui palpait mes seins qui se tendaient, réclamant des pressions plus fortes.

J’étais dans un état second et je ne pensais plus du tout qu’il s’agissait de Karl, mon ami, qui me caressait…

Je pris sa main et l’emmena doucement tout d’abord sur mon ventre, mes hanches allaient vers l’avant comme pour lui faire comprendre qu’il fallait descendre un peu plus bas. J’accompagnais sa main avec la mienne, exerçant des pressions douces et l’amenant sur mon sexe, mon bas ventre en avant. Oh que c’était bon. Une complicité parfaite unissait nos souhaits, nos désirs.

Karl caressait maintenant doucement ma bite, nos désirs les plus intimes étaient déclarés. Nous pouvions donner libre court à nos instincts, à nos souhaits les plus inavouables en toute liberté, dans un abandon total de nos corps. La promesse d’une jouissance parfaite et partagée était faîte et nous allions nous donner du plaisir, notre plaisir à nous partager.

Aucune parole pour l’instant n’était prononcée, tout était ressenti, senti avec une grande force. Karl me masturbait maintenant, son autre main caressant mes seins. Je le laissai faire et doucement approcha une main vers sa tête que j’attirai vers mon visage. Sa bouche effleura mes lèvres, de petits baisers jouaient avec nos sens, puis nous nous embrassâmes goulument, nos langues, nos lèvres, nos bouches s’acharnaient dans des mouvements incontrôlables.

Nous n’étions plus que deux êtres s’aimant sexuellement, oubliant tout, ne pensant qu’aux plaisirs partagés.

Karl glissa du canapé et se trouva sur moi, j’en profitai pour prendre sa bite toute gluante, abandonnant sa bouche pour mettre son sexe dans la mienne, je le suçais, encore et encore tout en le masturbant. Il se mit à gémir de plaisir et plus il gémissait, plus je le branlais.

– Arrête, me dit-t-il doucement.

Oui, il me fallait faire durer le plaisir. En profiter un maximum, maintenant. Nous consacrer à nos instincts le plus longtemps possible.

Nous nous trouvions maintenant en position de 69, Karl happa ma bite qui ne demandait que cela, et j’en fis de même avec la sienne. Quel délice de sucer la bite d’un homme tout en étant sucé soi-même, quel bonheur, quel abandon.

Je senti les doigts de Karl caresser mon anus, et j’écartais mes cuisses pour faciliter la pénétration qu’il s’apprêtait à faire. Ses doigts entraient et ressortaient de mon cul tout mouillé. C’est moi maintenant qui gémissais de plaisir.

– Encore, encore, oh oui encore…. Oh que c’est bon……

Moi aussi maintenant je le pénétrai avec mes doigts et je sentais bien qu’il aimait cela à la façon qu’il avait d’aider mes mouvements avec son bassin.

Dans nos délires, dans notre plaisir, je senti tout à coup une caresse plus tendre, plus douce que je connaissais bien. Julie me caressait les cuisses aux endroits qu’elle seule savait, à l’intérieur de mes jambes pour que je les écarte encore un peu. Elle accompagna les doigts de Karl avec les siens pour entrer dans mon intimité, le plus profond possible, faisant des va-et-vient avec des pressions un peu plus appuyées pour me faire sentir un plaisir qu’elle savait intense pour moi. Karl retira les siens qui prirent possession des fesses de Julie. Cela me fit quelque chose de sentir que Julie s’abandonnait aux caresses de Karl, et je fus surpris de m’apercevoir que j’aimais ça. J’étais prêt à partager ma Julie avec mon ami Karl !

Il caressait ses seins, ses hanches, sa chatte qui s’offrait à lui, continuant de son autre main à branler ma bite prêtre à exploser. Moi j’avais pris possession de son sexe et le suçait avec un plaisir coquin, je sentais son envie de jouir et l’abandonna pour qu’il se retienne. J’en profitai pour regarder Julie gémir de plaisir sentant approcher la bite de Karl vers sa chatte ouverte et toute trempée. Elle l’accueillie avec de petits cris pendant que je lui caressais son petit trou qui s’ouvrait pour que mes doigts s’agitent dans son cul. Elle adorait être doigtée de cette façon et là il y avait en prime la bite de Karl qui manœuvrait dans son vagin. Elle était assise face à lui sur sa grosse bite toute droite, Karl allongé sur le dos et moi derrière et sentant que je pouvais aussi la pénétrer dans son cul qui m’appelai lorsqu’elle se penchait en avant. Je ne me fis pas prier et entrai doucement ma bite toute mouillée dans le cul de Julie. Elle faisait des vas et viens à son rythme, pour sentir nos deux membres si proche dans son corps, seulement séparées par la paroi entre son vagin et son petit cul.

Oh quel délice de l’enculer de cette façon, sentant le sexe de Karl qui la remuait dans tout son corps. Elle se caressait ses seins, les malaxant avec un plaisir déclaré, elle aimait, elle s’aimait, elle nous aimait !!!! Elle appréciait chaque coup de butoir, chaque mouvement augmentait son désir, tous les trois ne formions plus qu’un être débordant de jouissance.

Sentant qu’elle allait exploser de plaisir, Karl se retira doucement laissant Julie à quatre pattes, tendant son bassin le plus en arrière possible pour sentir mon membre dans ses entrailles.

Je senti plus que je ne voyais Karl me contourner, et la pression de son corps contre mes fesses réveilla en moi un autre plaisir que je savais très fort, le plaisir de me faire enculer par cette grosse bite que j’avais sucé avec tant de gourmandise. Je l’avais eu dans la bouche, je la voulais dans mon cul, oh oui, maintenant.

Sans toutefois délaisser le cul de Julie qui était très cambrée, je me cambrai aussi le plus possible pour recevoir Karl dans mes entrailles. Ce fut un moment de pure merveille, il remuait en moi, il était rentré doucement, tendrement, mon anus était tellement mouillé d’envie, sa bite déjà gluante glissait maintenant dans mon cul accueillant. Karl m’enculait et je me sentais femme tout en donnant du plaisir à Julie qui gémissait si fort qu’elle augmentait nos jouissances.

Les va-et-vient très appuyés de Karl nous remuaient Julie et moi, augmentant à chaque coup de butoir nos envies de jouir. Mais, il ne fallait pas, pas maintenant !!!

Julie sentant sans doute son envie venir se retira de mon étreinte, me laissant, le cul tendu vers Karl, à la merci, tout entier, de sa bite gonflée qui emplissait mon intimité.

Elle se leva tout en masturbant sa chatte trempée de sa mouille, puis s’allongea sur le dos offrant son vagin ouvert à ma bouche gourmande, ses doigts rentraient et ressortaient de sa chatte gluante, ma langue la léchait, la buvait à pleine bouche, sentant ses doigts remuant dans son plaisir.

Karl sortit de mon trou béant pour aller se faire sucer sa belle bite par Julie qui ne demandait que ça. Elle avala son sexe qui venait de sortir de mon cul et appréciait ce mélange d’odeur et de saveur dans sa bouche toute entière.

Karl attrapa ma bite qui voulait être branlée par sa main experte. Les vas-et-viens de sa main sur ma verge attiraient la mienne aussi et je l’accompagnai en prenant soin qu’il ne quitte pas ma bite de son contact.

Nous avons joui, oh oui, joui presque ensemble, moi dans la bouche de Karl qui avait décidé de me sucer goulument, Julie grâce à ma langue et ses doigts avec les miens qui branlaient son cul, Karl dans la bouche de Julie qui a tout avalé en le branlant avec insistance.

Oh oui, nous avons joui, nous avons éclatés nos plaisirs, nous nous sommes donnés l’un à l’autre sans réserve, tout entiers, nos corps n’étaient plus que plaisir, et quel plaisir !!! …

Ecroulés de fatigue, nos corps nus offert à nos caresses, nous nous sommes endormis, l’un sur l’autre, en abandon total, nos chairs, nos sexes réunies dans une étreinte d’amour.

La télévision fonctionnait toujours mais ne diffusait plus qu’un écran noir, plein de neige…

Post scriptum : Si je n’ai pas décrit d’usage de préservatif dans mon texte, il est bien évident qu’une telle protection est malgré tout indispensable pour le bien de toutes et de tous…

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3 réponses à Une soirée de plaisirs – Rencontre par Daniel952

  1. Follereau dit :

    Du bon bisex très réaliste

  2. Darrigade dit :

    C’est très classique, mais le trip sexuel est remarquablement décrit, il y a même des passage comme quand la fille suce la bite qui sort du cul du mec… Oh lala !

  3. Ducatel dit :

    C’est du bisex « classique » mais c’est bien agréable à lire. Ma bite m’a accompagné dans ma lecture, elle était contente, du coup je lui ai prété ma main.

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