Une bonne partie de Golf… et ce qui suit 2 par Jeromedici

Une bonne partie de Golf… et ce qui suit 2 par Jeromedici

Nous nous sommes quittés, amis lecteurs, alors que, sur un parking, Claudine et moi n’avions pu résister à libérer d’urgence les effets fébriles de notre passion.

De là, nous sommes partis pour le restaurant que ma compagne avait choisi. Calmé par nos premiers ébats, le repas fut sage. Claudine ne cessait de me couver de ses yeux langoureux et sa main se promenait sur la mienne, pleine d’attente.

Sorti, elle me dit :

– Tu sais, mon chéri, j’ai encore envie de toi. Mais, où aller ? Chez moi c’est impossible car les voisins sont curieux et mon mari saurait vite que j’ai reçu un homme en son absence. Ne peut-on aller à ton hôtel ?

Je n’avais pas trop envie de l’emmener à mon hôtel car ce n’était vraiment pas le genre d’arriver en pleine nuit avec une femme qui n’est pas la sienne ! De plus, c’était le local du ROTARY de la région et je n’avais nulle envie de m’y faire connaître !! J’ai donc réussit à me dérober en lui promettant encore un arrêt-campagne !!

Heureusement, ma voiture était confortable. Ce n’était pas une Porsche comme le craignait un de mes « critiques » mais une bonne quatre portières Mercedes.

Bizarre cette Claudine, avec son attachement soudain et cette grande faim sexuelle. J’en ai profité pour l’interroger sur elle et son mari. Elle me raconta :

– Oui, c’est vrai, tu me plais et j’ai eu tout de suite envie de toi. Entre mon mari et moi, au lit, ce n’est guère brillant. Comme il est absent souvent pour son métier, lorsqu’il revient, c’est presque devenu une corvée de le satisfaire. Lui, de son côté, il n’est pas très exigeant. Figure-toi que la dernière fois, c’était il y a quinze jours, il s’est couché en pyjama. Croyant lui faire plaisir, je me suis approché de lui et j’ai voulu caresser son sexe. Tu sais la réaction qu’il a eu ? Il m’a regardé avec des yeux étonnés et a dit : Ah ! bon. Sans enlever sa culotte de pyjama, il m’a pris très rapidement, en bête position du missionnaire… a vite joui et s’est retourné sans un mot. J’étais frustrée. Tu sais ce que j’ai fait ? Je me suis levée et j’ai été me masturber comme une malade à la toilette en faisant pipi sur mes doigts. Avoue que c’est pas marrant !!

Nous étions à nouveau arrivés au parking discret et j’ai arrêté ma voiture. Vite, Claudine s’est blottie dans mes bras, m’offrant doucement sa bouche. Nous nous sommes livrés là, sans bouger, à un très long baiser vraiment d’amour. Elle avait ouvert sa bouche en grand et engloutissait mes lèvres dans une grande aspiration. Sa langue me semblait être un petit animal très mobile qui tournait comme un écureuil en cage pourrait le faire. C’était très bon…

Sans rompre le charme de ce baiser, j’allais dire presque chaste, de deux amants, j’ai mis ma main sous sa robe, remontant doucement vers son entre jambes. Elle me laissait faire, me facilitant l’accès en ouvrant ses cuisses. J’ai atteint vite sa chatte qui fondait littéralement. Sa toison assez fournie et longue de poils, était trempée. Notre baiser, ou plutôt le sien, car c’est elle qui en avait l’initiative, l’avait excitée formidablement sans qu’elle ne veuille me le dire. Douce Claudine !

Mes doigts s’étaient mis à explorer son intimité et de petits râles de plaisir témoignaient de sa satisfaction.

Sa main à elle avait réussi adroitement à ouvrir mon pantalon et à sortir mon sexe. Elle promenait ses doigts sur lui avec une agilité et une science diabolique, car je sentais que je ne retiendrais plus longtemps.

Elle me dit :

– Je voudrais t’avoir en moi… viens !

J’ai mis les sièges en position couchette et nous avons tous deux tentés de nous dénuder et de chercher une position plus ou moins confortable pour pouvoir longuement nous aimer. Je ne sais pas si vous avez déjà fait l’amour en voiture ? Moi, c’est rare et je trouve cela vraiment peu confortable. On est quand même plus des adolescents qui se pelotent par manque d’argent pour se louer une chambre !!

Nous nous sommes vite rendu compte, qu’à part se provoquer des courbatures, on arriverait à rien de bien ainsi et, sans même nous en parler, nous nous sommes glissés hors de la voiture.

Claudine avait la robe ouverte et moi, ce n’est pas très élégant, j’avais le pantalon et le caleçon sur les talons ! La portière côté conducteur étant ouverte, ma compagne a posé ses deux mains sur le siège, le cul bien redressé, les cuisses ouvertes et d’une main rapide, elle a retroussé sa robe. Je dois dire que ce beau cul qui m’était ainsi offert m’attirait, car l’érotisme de la scène était évidemment grand.

Elle se trémoussait déjà comme pour appeler la pénétration.

Vu son état, j’ai eu facile à m’introduire en elle en cette position de levrette-automobile ! J’avoue que j’avais bon de sentir bouger le cul de cette jouisseuse qui savait donner du plaisir à son partenaire tout en exigeant de même.

Les mains bien agrippées à ses hanches, j’ai commencé un très lent mouvement de va-et-vient, voulant faire durer notre plaisir le plus longtemps possible. J’aime toujours le bruit que fait le mouvement d’une queue dans un vagin humide. Sexuellement, c’est pour moi un stimulant. Faut dire qu’ici j’étais gâté !

Ma compagne jappait comme un petit chien et elle imprimait à son cul des mouvements divers qui s’accélérait au fur et à mesure de la montée de sa jouissance. Finalement, elle me cria presque :

– Plus vite, plus vite.. oui.. continue…

Je me rendais bien compte que, tous deux, nous étions proches de conclure. Comme il est d’ailleurs exaltant de pouvoir conduire une femme vers son plaisir tout en modérant le sien, pour une explosion commune.

Cette fois, c’était le déchaînement total et je devais bien m’agripper à ses hanches pour ne pas laisser échapper ma pénétration. C’était devenu une sorte de rodéo texan, sauf que ma compagne voulait me conserver en elle !!

Son cul allait de gauche à droite, d’avant en arrière, sans rythme particulier, comme s’il recherchait lui-même la meilleure position… Je n’étais plus le guide mais l’outil de son plaisir. Cela ne me déplaisait pas !

Finalement, ses jappements se sont transformés en grognements qui semblaient provenir de la nuit des temps. C’était la BETE en rut qui manifestait son plaisir.

Je me suis laissé aller et, longuement, j’ai jouis en elle, l’aspergeant bien de ma semence. Subitement, me sentant venir, elle avait retenu ses mouvements, jouissant de la seule chaleur que je lui envoyais dans le ventre.

Longtemps, je suis resté enfoncé en elle… c’était bon.

C’est elle qui a rompu le contact et se redressant et se retournant, elle est venue coller sa bouche à la mienne pour un subtil baiser distillé comme un MERCI.

Soudain, elle s’est accroupie devant moi et, comme à son habitude, elle a fait un long pipi. J’ai dû faire un pas en arrière, sinon elle mouillait mon pantalon qui était en boule autour de mes chevilles. Je la regardais uriner, car je trouve chez une femme cette position si pleine d’abandon, que ce en est presque une offrande qu’elle fait à l’homme qui vient de la combler.

J’avais également besoin de faire pipi et, ayant remonté mon pantalon, je me suis dit qu’un peu de jeu serait agréable, j’ai dit à Claudine :

– Viens, tiens-moi la queue pendant mon pipi…

Elle ne se le fit pas dire deux fois et, avec beaucoup d’habileté et probablement d’expérience, elle dirigea mon jet sur sa toison, l’arrosant copieusement. Comme sa robe était ouverte et remontée, elle ne risquait pas de la mouiller.

Mon urine dégoulinait le long de ses jambes et nos deux flaques se sont rejointes.

Je n’étais pas du tout un adepte de ce genre de sport, mais j’avoue y prendre désormais un plaisir certain…

Bien calmement, nous nous sommes rhabillés et je l’ai reconduite chez elle, avec un simple baiser sur la joue (pour les voisins…)

Rendez-vous était pris pour le lendemain à 10 heures pour un parcours de golf.

Je suis arrivé vanné à mon hôtel. Une enveloppe m’y attendait. C’était un mot de My Chan.

« Mon chéri, j’ai essayé de t’appeler ce soir, mais tu étais absent… avec cette garce de Claudine sûrement ! Jouons au golf demain matin, veux-tu ? Je serai sur le parcours dès 9 heures 30 et t’attendrai. J’ai toute la journée pour moi et je te promets une sieste du tonnerre. My Chan qui mouille déjà ! »

Qu’est- ce que je leur fais à toutes ces bonnes femmes pour qu’elles tombent ainsi toutes comme des cailles rôties à point. Y aurait-il un manque d’homme dans la région ? Messieurs les maris, réveillez-vous SVP !!!

Bon, demain sera un autre jour (comme dirait certainement My Chan en anglais !)

Jeromedici. Peut-être une 3ème et dernière suite et puis Fin !! Première publication sur Vassilia, le 08/07/2001

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Une réponse à Une bonne partie de Golf… et ce qui suit 2 par Jeromedici

  1. Héléna Sevigsky dit :

    On aurait pour ce second opus pu craindre la redite, c’est d’ailleurs un peu le cas, mas cette façon de décrie, le choix des mots et des expressions, tout cela mêlé à un érotisme torride finit par emporter l’adhésion

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