Tant va le Temps…Tant va le Cul… 23 – Service rapide… par Verdon

Tant va le Temps…Tant va le Cul… 23 – Service rapide… par Verdon

Julien est un Monsieur ‘bien comme il faut’, il a quarante-cinq ans et travaille dans une grande entreprise. Il habite avec Véro, sa charmante épouse, dans un petit pavillon de banlieue. Tous les deux mènent une vie tranquille, sortent de ci, de là avec des amis, mais sans plus… des ‘gens sérieux’, quoi !

Ils s’entendent sexuellement. Comme tout un chacun ils aiment bien jouir entre eux de plaisirs ordinaires et se faire de petites soirées câlines, sans s’abandonner toutefois à des gâteries plus chaudes, voire pernicieuses. Sodomies et fessées, ne sont pas leur genre d’occupation. Pourtant Julien aimerait bien pratiquer ces choses de temps à autre avec son épouse et en douceur bien entendu. Cependant, timide il n’ose pas lui demander de telles variations dans leurs habitudes amoureuses. Il ne la connaît pas très bien et se méfie de ses réactions.

Il faut dire qu’il la craint un peu et que c’est elle qui mène le ménage. Alors la bagatelle, c’est elle qui décide et c’est plutôt la fantaisie que la gaudriole.

Lui il compense en se masturbant quelques fois. De temps en temps il va voir une prostituée. C’est sympa une pute. Ça n’a pas mal à la tête. Dommage ça ne se fait pas enculer… tout au moins celles qu’il va voir. (C’est terrible ces nanas qui ont un cul d’enfer mais qui ne veulent pas vous le prêter !) .

Il s’est payé le kif de se faire la femme de ménage qui avait le cul bien large, tout autant que ses idées, d’ailleurs ! Il en garde un bon souvenir, bien que deux jours après elle se soit fait mettre à la porte… il n’a pas bien compris pourquoi, le nigaud !

Depuis il y a les amours du samedi soir, la branlette les autres jours et l’achat de quelques revues pornos qu’il bouquine en cachette quand madame n’est pas là pour qu’elle ne le surprenne pas en train de juter sur la photo d’une super nana qui se fait enfiler par un beau noir !

Maintenant, de par son métier il manipule fort bien, les nouveaux moyens informatiques et utilise en particulier des sites marchands sur internet pour faire des achats qui lui sont livrés rapidement à la maison et en toute discrétion.

Ça lui permet de se procurer des outils, des livres, des biens d’équipements ménagers, voire des fleurs pour sa chérie. C’est vraiment très pratique, discret et ça évite beaucoup de problèmes et de déplacements.

Bien sûr et chacun le sait quand on fouine ainsi sur internet, on tombe toujours sur des fenêtres coquines qui s’ouvrent et titillent votre curiosité, sinon votre libido en vous faisant découvrir certains sites avec des photos croustillantes. Il va voir des sites pornos pour visionner des parties coquines entre couples qui font de l’échangisme et toutes sortes de lubricités sexuelles. Ça le tente beaucoup, mais il n’ose toujours pas en parler à sa chérie.

Si Madame est dans les parages, d’un clic il lui est facile de faire disparaître la page, mais dès son dos tourné, il y revient, regarde et s’appesantit sur telle ou telle vidéo ou sur des photos des plus explicites… il se branle et l’écran de son micro en a fait souvent les frais. Il finit par découvrir des offres alléchantes (c’est le cas de le dire)… des aides à l’amour, des gadgets très réalistes et pourquoi ne pas se laisser tenter par un petit achat personnel.

– Tiens, ce joli gode ! Hi, hi… il a souvent eu envie de s’en acheter un, Julien, mais allez en sex-shop, ramener cela à la maison ça le gênait beaucoup. Et si Véro le découvrait !…. il ne s’est jamais décidé.

Pourtant c’est un petit émotif le Julien… Il a bien envie de jouer avec un de ces jolis sexe… ce serait mieux que de s’enfiler avec un manche de tournevis… Humm ! (c’est qu’il a une jolie collection de ces outils dans son atelier !).

Aujourd’hui c’est plus facile de faire des achats sur le net, un colis parmi d’autres, ça passera inaperçu et sa femme n’ira pas y mettre le nez dedans. Elle n’est pas curieuse Véro… (Humm ?).

Ça y est, il a passé commande notre hésitant. Du coup il est impatient. Il guette le suivi de son colis, des fois que son épouse le réceptionne avant lui.

Il choisit donc un gode très réaliste, avec un gros gland et une bonne longueur… (il n’est pas modeste le monsieur !). Par précaution il ajoute un tube de gel, ça aidera, et des préservatifs. En cadeau il a droit en plus à un petit gode vibrant, pour Madame qu’ils disent dans la pub ! Tu parles… ce n’est pas le genre de jouet pour Véro !… pouf !

Quand il fait chaud, Julien est un gars (comme votre serviteur en ce moment..) qui se balade toujours à poil chez lui. Ça ne dérange pas son épouse qui en fait autant bien souvent.

Le colis devrait arriver aujourd’hui, mais on est à la fin de l’après-midi et toujours rien, c’est désespérant… Pour passer le temps Julien est dans le petit bureau à côté de la salle de séjour et toujours à poil devant son ordi il se branle devant une vidéo porno où des sexes très sympathiques envahissent l’écran en long, en large et même en profondeur. Julien se câline la pine, mais ce n’est pas facile de tapoter le clavier et de se doigter le cul en même temps … Inutile de vous dire qu’entre ses jambes, sa bite qui bande dur a tendance à se rapprocher verticalement de l’écran. Mais voilà que soudain on frappe à la porte…

Subjugué, Julien se précipite dans la salle de séjour pour enfiler son short qu’il a déposé sur le dossier d’une chaise…

– Mais putain où est mon froc, je l’ai pourtant bien déposé sur le dossier de cette chaise ?

Il cherche toujours quand en relevant la tête il se retrouve soudain tout effaré, nu et bandant face à la préposée chargée de livrer le colis ! Une jolie jeune blonde, cheveux courts, chemisier volumineux et jean très serré. Elle est face à lui ébahie… (Mais pas hébétée du tout).

– Oh ! Pardon, s’écrie-t-elle, plus joyeusement surprise par ce qu’elle voit, que vraiment affolée.

Figé devant elle, lui ne comprend pas ! Il est sidéré sur place.

– Ouah ! Qu’est-ce qu’elle fout ici, celle-là ?.. .la porte d’entrée était pourtant bien fermée ! Nom de dieu que fait-elle là, plantée devant moi ? elle ne peut pas au moins se tourner !

Désemparé, Julien saisit un coussin sur un siège pour camoufler maladroitement sa gaillardise qu’il a du mal à retenir de sa main gauche, car il se rebelle le trublion derrière l’inconvenant cache-sexe.

Attirée par le bruit… voilà Véro qui déboule pour savoir ce qu’il se passe.

Julien regarde successivement et avec effarement le fameux colis qu’a posé la fille sur la table, et Véro qui s’en approche.

– Mais qu’est-ce que tu fous dans cette tenue ! Tu ne peux pas t’habiller avant de recevoir cette personne ?… et vous Madame… c’est pour le colis,… bon. Ok vous en avez assez vu … alors merci et au revoir, la porte est derrière vous !
– Oh désolée Madame !… mais soyez rassurée, je n’ai rien vu…
– Mon œil, vous avez rien vu !… allez ouste !
– Mais c’est qu’il me faut une signature s’il vous plaît, Madame…
– Ben, vous voyez-bien qu’il a les mains occupées… Ok, je vais signer pour lui, allez filez maintenant !
– Il faut aussi ouvrir le colis devant moi. C’est mon chef qui me l’a dit. C’est impératif car paraît-il, il y a beaucoup de litiges avec ce fournisseur.
– Nonnnnn !! S’écrie Julien… c’est inutile, on accepte les déboires s’il y en a … vous pouvez aller !
– Comment ça ? on accepte les déboires ! ça ne va pas !… Si son chef lui a dit cela c’est qu’il a parlé en connaissance de cause… alors on va l’ouvrir ce colis, tiens aide-moi, et va te rhabiller d’abord ! Qu’on en finisse avec cette affaire !

Julien se tourne pour aller chercher son vêtement…

– Hi, hi… l’autre côté vaut bien le devant qu’elle chuchote la livreuse en lorgnant le joli postérieur avec un petit sourire qui en dit long !
– Non ! Mais de quoi tu te mêles, poufiasse ! Tu n’en as pas autant chez toi, sans doute !
– Oh pardon Madame… je suis désolée.
– Pas tant, pas tant il me semble !

Sur ce, Julien revient et découvre dans les mains de Véro époustouflée le magnifique engin qu’il a commandé. Il ne sait plus où se mettre. Elle le lui fourre sous le nez. Il est tout rouge, Julien.

Et l’autre conne qui rigole. Une main sur la bouche elle semble s’étouffer de rire et de larmes. Elle rit à en pisser dans sa culotte la cochonne, et une grosse tache foncée commence à apparaître sur l’entre-jambes de son jean.

– Eh bien mon salaud je commence à comprendre ton désarroi… on va avoir une explication tous les deux. Elle le menace avec le gode. Aller fous moi ta pétasse de pisseuse à la porte je vais m’occuper de ton engin !
– Mais c’est que, Madame, mon chef m’a dit aussi qu’il fallait vérifier si le produit livré était en bon état de fonctionnement !

Julien est livide. Il ne sait plus quoi faire.
Virer la pisseuse ?…
Arracher le jouet que son épouse a l’air de tripoter maintenant avec plus que de la curiosité ?…
Ou se sauver dans son bureau pour cacher sa honte et oublier l’objet du litige ?…

– Ton chef t’a bien dit de vérifier le bon fonctionnement de cet appareil ?
– Ben ! Oui ! Madame c’est normal…
– Comment ‘c’est normal’ ?…Qui c’est ce chef ? Je voudrais bien lui dire deux mots, moi à ton chef !
– C’est qu’il n’est pas facile, vous savez !… c’est un impétueux mon chef !
– Ce n’est pas pour me déplaire… Oups ! Qu’elle dit l’épouse …
– Eh bien si vous saviez comme il la grosse… pff !
– Bon j’ai compris, on va l’essayer l’objet, n’est-ce pas Julien… non tu n’es pas d’avis ? … Oh que moi si, je le suis ! N’est-ce pas mademoiselle qu’on va l’essayer…tu sais t’en servir toi ?
– Ben non ! Oh… je ne sais pas… Euh ! Si… mais pas ici en tous cas… non, ce n’est pas possible et avec qui ?
– Pardi, avec ce monsieur ma chère… enfin avec cet individu qui était un Monsieur, jusqu’à présent !
– Tu es bien là pour ça… et puis il doit savoir s’en servir, lui, puisqu’il l’a acheté ! Tu vas le lui mettre à l’endroit prévu pour un bon essayage… ne crois-tu pas ! Il va nous le montrer le bel endroit !
– Eh bien Madame, moi, je m’en vais… je vous laisse l’essayer ensemble, moi je ne peux pas… c’est une affaire entre vous… je vous laisse l’essayer.
– Ta, ta, ta… le chef a dit : vérification ! Alors Vérifions… D’abord comment t’appelles-tu ?
– Ginette, Madame, pour vous servir… (Oh ! La petite gueule d’innocence !…).
– Eh bien rassures-toi, tu es donc apte au service, je compte sur toi ! Hé ! Julien, baisse ton froc et ramène justement ton fion !… mon cochon ! Ginette est là pour vérifier s’il marche bien ton jouet… elle est gentille Ginette ! Ça fait partie de son boulot… elle doit s’y connaître ! (sûrement d’après ce qu’elle a dit sur son chef !).

Il n’en peut plus le mari. Il est à la fois penaud, honteux, inquiet… il débande évidemment.

– Mais qu’est-ce qu’elles ont dans la tête ces deux nanas ? c’est qu’elle serait capable d’aller au bout de ses idées ma garce d’épouse… Mais moi, je ne veux pas !…

Il veut fuir, mais allez savoir pourquoi, il reste là… figé…

– Merde elle est bien jolie la Nana !

Cependant ça a l’air de prendre un petit tour érotico-comique la chose. Elles s’excitent les deux folles. Finalement sous l’insistance de sa femme, il se déculotte… ou plutôt à toutes le deux elles le déculottent. Il se laisse faire sans trop résister…

Il est là, le cul ouvert et il sent non sans une certaine jubilation, le regard de la fille se poser sur son anus… c’est frais ! c’est jouissif. Après tout si elle veut voir son cul la Ginette, eh bien qu’elle regarde… ça ne lui déplaît pas à lui… Au point où il en est ! i>(et puis ce n’est pas tous les jours qu’on peut se faire déculotter par deux Nanas !). Il resserre instinctivement son trou de balle (ben oui, chacun connaît bien ces instants intenses qui vous contractent en même temps le cerveau et l’anus quand on appréhende avec autant d’envie que de craintes, la suite des événements…n’est-ce pas, petits voyous !)…

– Tourne-toi, appuie-toi des deux bras sur le fauteuil et montre-lui ton cul à l’essayeuse.
– Oh ! Madame… vous croyez ?
– Ben oui. Si j’y crois… et toi la poufiasse, je vois bien que tu as les yeux qui brillent !

Oh la honte ! Les deux mains sur son sexe, il présente tout de même son cul à la préposée qui rit de plus belle.

Dans cette position, comment ne pas ressentir cette petite excitation qui grimpe dans sa raie du cul ! Ses fesses se détendent et voilà qu’il rebande… (Vous n’en feriez pas autant vous aussi, le cul ouvert devant deux nanas ?). Et quand Véro lui tartine la rondelle avec une noix de gel… Humm !… il serre le trou de balle.

– Oh Putain ! Ce doigt ! Voilà qui n’est pas désagréable, se dit-il.

La livreuse qui a pris le gode dans ses mains, l’enduit maintenant lascivement de bon gel avec les mêmes gestes que si c’était une vraie bite, non sans se pourlécher les lèvres et envoyer quelques petits regards très lubriques en direction de la patronne. Elle fait même quelques petits bisous envieux sur la pointe du gros gland.

– Bon, tu lui fous ou on s’assoit dessus ! s’écrie Véro qui en même temps de sa main gauche appuie sur les épaules de son mec pour l’obliger à faire le dos rond.

Elle jubile Véro… Elle serre les dents, comme si c’était elle qui allait se faire enculer… Elle lui écarte bien les fesses… Elle a envie de le voir faire des grimaces son mec… Elle n’en loupe pas une !

Eh bien oui, elle le lui fout l’engin, la préposée… nom de dieu ! Et d’un coup et d’un seul, avec un plaisir sadique et une joie qui se lit sur son visage et sur celui de Véro la salope !

– Aye ! Aaaaaaye, conasses ! qu’il crie le Julien en faisant un bon en avant.

Bien sûr l’outil qui avait pris sa place, s’échappe avec le joli bruit d’un Dom Pérignon qu’on débouche… (Ce doit être un bon cru !).

– Putain, vous êtes connes ! C’est trop gros, ce machin-là !
– Tiens, pourtant ce n’est pas ce que tu me dis quand tu m’enfiles, mon salaud !… Alors tu ne vas pas nous faire ta chochotte… s’il est gros c’est parce que tu l’as choisi gros, non ?
– Ça fait trop mal ! Elle ne peut pas aller plus doucement cette connasse ?
– Eh bien la conasse elle va te le mettre doucement… mais ouvre-le donc ton cul ! Il est fait pour ça… comme quand tu me fais un gros boudin sur les nichons, mon cochon !

Alors une nouvelle noisette de gel sur l’anus (ils ont pensé à tous les marchands de gadgets !) et Véro grimpe à cheval sur le dos de son homme…

– Vas-y qu’elle dit à la fille, commence par lui mettre un doigt au cul, puis un second…il aime cela le petit enculé ! Doigte-le bien, ce salaud ! Tu vas voir il ne va plus crier. (Ben oui, c’est connu, ‘trou du cul bien rempli et la bouche est ravie’ !).

En effet il ne crie plus le bavard… il miaule, il aime, il savoure, il jouit de sa honte… Humm ! C’est qu’elle y met un peu de passion la Ginette… elle lui masse doucement la rosette et sans dissimuler sa joie fait pénétrer et tournicoter son doigt dans l’étroit conduit.

– Putain elle a un bon doigt la conne !
– Tiens ! Suce-le un peu mon doigt…ça rentrera mieux…Il a bon goût ton doigt ?

Un doigt, deux doigts, trois doigts…des petits plaisirs qui grandissent autant que s’ouvre la rosette et qu’elle tortille son doigt au fond de la cavité anale.

De bons sourires s’échangent entre la fouteuse et Véro qui n’hésite pas de tapoter avec rage, le cul de son bonhomme en lui écartant les fesses pour que la visiteuse enfile l’engin au bon endroit.

– Tu aimes ça mon cochon ! Tu vas voir ton cul, elle va te le gâter.
– Hi, hi…regardez, il s’ouvre son anus… il va rentrer le joli gode !

Là, il commence à craindre le garçon. Le gode qui se termine par un gros gland, pénètre lentement dans le petit orifice. Elle pousse un peu plus… ça dérape. Il se rebiffe un peu en mettant une main devant son cul… Véro lui retire la main, coincé, il ne peut plus bouger… la rondelle s’évase sous les yeux écarquillés et vicieux de Ginette. Ça entre. Véro y va de son autre main pour maintenir la bonne direction… (C’est une chouette épouse Véro !).

Elle s’élargie la rondelle… Oh putain ce qu’elle s’élargie la membrane ! Le gros gland creuse son trou avec majesté, nom de dieu ! Ça boudine comme une bouche qui avale un gros bonbon.
Hi !, hi ! Que c’est beau !… allez ouvre-toi Sésame !

Il remue du cul le bon diable…mais coincé il ne peut plus s’échapper !

– Mais va s’y conasse, pousse plus fort, ne vois-tu pas qu’il nous fait la danseuse !
– Aye !…
– Ta gueule !
– Ouille !

Deux claques sur le gras des fesses, il s’assagit.

Bonne consolatrice Véro lui branle la bite qui s’était ramollie… ça lui fait du bien au vicelard. Tout doucement mais sûrement ça pénètre…

– Ça y est, c’est entré, non ?
– Ne sois pas si pressé, ça arrive…hop ! le gland est passé ! Alors tu le sens ce gode ? Il est bien dur ! Comme ta bite quand elle rentre chez moi ! Mauviette ! Tu l’as dans le cul le gland… Dis-nous que c’est bon !
– Salope tu vas voir ce que tu vas prendre la prochaine fois !… putain mais c’est bon !… hé allez-y doucement, salopes !
– Ça y est, tu l’as tout entier le bel os ! et de la façon dont tu resserre l’anus ça prouve que c’est bon, n’est-ce pas ?
– Ah oui, c’est bon, ne bougez plus… oh c’est bon !… maintenez-le pas trop profond. Oh mais pas tant… vous allez me casser le cul… oui ! Comme ça !… Putain c’est bon dans le cul !… vous êtes des salopes !… ça vous plaît d’enculer un mec !
– C’est drôle j’en ai plein le cul !

Hi, Hi…les deux femmes rigolent et se congratulent (comme les Américains au cap Canaveral…), elles sont face à face et se font des bisous bouche à bouche…elles sont fières de leur exploit…

Julien commence lui aussi à prendre son pied. Les femmes à tour de rôle lui font aller et venir le gode dans le fondement et il pousse des petits cris de plaisir et des fois, de douleur quand elles poussent trop fort ou quand elles s’amusent à lui retirer brutalement, histoire de le faire couiner un peu. Hi, hi ça lui ouvre la rondelle comme une bouche de métro !… Glop ! Glop !… Elles se le défoncent à en veux-tu en voilà !

– Bon, maintenant mets-toi sur le dos, j’aimerais profiter de ta bite tout de même.

Il se retourne. Véro s’assoit à cheval sur son visage. Il n’est pas de toute dernière fraîcheur son cul… mais ça sent bon la femme, il aime cette odeur le cochon… ben oui, la boniche, elle ne se lavait jamais le cul… (Il faut dire qu’en ces endroits elles ont de sacrés parfums les Dames !).

Véro se penche sur sa queue mollassonne. Elle suce la gourmande, elle suce de bon cœur, les lèvres ras les couilles et le nez ras le gode qui fornique dans son trou de balle. Ginette pousse joyeusement et en mouille de plaisir. Véro prend le manche de temps à autre et toutes deux se régalent en se bidonnant.

– Oh ! Attend que je le suce ce gros gode !

A la sortie il n’est pas très reluisant le mandrin. Elle s’en fait des moustaches la gourmande ! Mais, que voulez-vous, l’excitation est si forte !… (Vous avez vu quelque chose, Vous ?…Eh bien les deux gourmandes non plus !…).

– Essuie-toi la bouche, lui crie la préposée !… (sans oublier de sucer le bon gode, à son tour.).

Mais elles se pourlèchent entre elles… c’est un peu comme des rognons à la sauce moutarde !

À ce traitement Julien finit par bander. Il grossit de plus en plus. Il bande le monsieur, autant qu’un homme peut bander avec un gode dans le cul…

– Ah, putain ça vient…c’est bon !… et il lâche la purée dans la bouche de Véro qui avale le bon jus.

Il jute si fort que le bon nectar ressort par le nez de sa chérie…

– Non mais c’est du gaspillage ! et comme il a son nez juste au-dessous du cul de sa chérie, il en profite pour lui claquer bien fort les miches.

La pauvre se retire pour respirer et à ce moment-là, Ginette se précipite pour récupérer le nœud de Julien. Elle prend le temps de le recouvrir d’un préservatif et elle s’enfile dessus en sautant sur son ventre comme sur un pouf.

Il étouffe le Julien sous le poids des deux femmes. Le nez dans l’anus de l’une et la bite dans le con de la seconde…

C’est un feu d’artifice… un festival d’amour sans doute…du moins pour les femmes, mais pour Julien c’est à en crever sûrement… écrasé, lessivé, vidé … il ne respire plus, elles s’en foutent… elles jouissent. Elles se serrent dans leurs bras et se bouffent le museau comme deux gouines. Elles dégustent à toutes deux, le bon jus qui a rempli la bouche de Véro.

– Ah elle a bon goût la crème de ton homme ma chère !
– N’est-ce pas qu’il a bon goût mon petit pédé !

Julien dans un effort extrême arrive à soulever le cul de Véro qui du coup se permet de lui lâcher un putain de flot de pisse qui lui inonde le visage. Il s’en régale le cochon tout en admirant le joli jet qui gicle de la chatte ouverte de sa chérie. Tandis que dans une dernière poussée de son bassin il se vide entièrement dans le con de Ginette en pamoison.

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– Merci Ginette…
(C’est Véro qui la raccompagne sur le pas de la porte).
– On s’est amusé comme des folles ! Tu as vu Julien comme il est nase ! Tiens en bonus, tu as droit au petit gode vibreur, je sais qu’il va te plaire et tu pourras toujours venir l’essayer à la maison. On aura sûrement encore besoin de tes services. Je parie que Julien va faire de nouvelles commandes… On t’attend. C’est fou ce qu’on peut découvrir sur le net !

Elles se séparent après un de ces patins comme ne savent le faire que deux bonnes comparses pour qui ce n’est pas la première fois qu’elles se rencontrent… Ah les garces !

– Ah les Salopes !
(C’est Julien qui réalise…).

– Elles étaient de mèches les garces ! Je me suis fait avoir comme un lapin… la porte pas fermée, le short qui disparaît, les ordres du chef, les petits sourires et les bisous en coins !….
Mais Quelles Lapines ! Elles m’ont fait ma fête les garces !
Tout de même, ça c’est du Service Rapide !
Putain ! Mais il faut que je passe vite d’autres commandes !
26/07/23

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2 réponses à Tant va le Temps…Tant va le Cul… 23 – Service rapide… par Verdon

  1. apijo54 dit :

    comme ce serait bon de se faire avoir comme ça par deus femmes

  2. Harivel dit :

    Verdon, mon cochon préféré ! ♥♥♥

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