Si ce n’est Elle… C’est lui. par Verdon

Si ce n’est Elle…
…c’est Lui.

Je suis à peine prêt, qu’elle file la première
Se glisser sous la couette et éteint la lumière,
Et au creux du plumard, elle m’offre ses miches.
Alors sans hésiter, j’enfourche la pouliche.

La croupe est accueillante et sans faire de manières
Elle m’accorde les joies de son joli derrière
En me serrant les mains contre ses durs nichons
Elle taquine ma pine dans son ‘entre-michon’

Elle a le derche rond, mais ma bite pointue
Qui roule sur ses fesses, ne trouve pas le trou.
 » Ne remue pas chipie que je plante mon clou
Arrête de bouger et prête-moi ton cul ! « .

La Belle très courtoise m’ouvre enfin son fendu
Et dans son trou du cul je lui verse son dû
Et tant je lui en mets à couilles rabattues
Qu’elle en veut encore plus, mais moi je n’en ai plus.

La garce alors me vire, cavalière patentée,
À l’autre bout du lit, le nez dans l’oreiller
Et perchée sur mon cul, elle s’est mise à sauter
En me frappant le cul pour le déverrouiller.

Elle m’écarte la raie, oh la sacrée gonzesse
Et dans mon ‘vas-y-voir’, elle me met…oh ! Là ! Là !
Un énorme pilon, juste entre mes deux fesses
Ah le fameux pilon ! Mais que fais-tu donc là ?

Je fous avec ma bite, je baise avec mon cul
Tantôt je suis chochotte, tantôt je suis chéri.
J’attire les jeunes gens qui flattent mon charnu
Et je lime le cul de ceux qui ont vieilli.

Merci pour la jeunesse, merci pour la vieillesse
J’ai eu pour ce soir-là, la joie des deux côtés