Sexe et Sentiments Expérience à Amsterdam par LeoNiRien

Paul et Céline vont à Amsterdam quelques jours pour fêter leur anniversaire. Et cela fait un petit break. Quelques jours en amoureux, loin des enfants. Une pause pour se retrouver. Malheureusement, Céline a ses règles ! Pas de chance, mais ce n’est pas toujours prévisible longtemps à l’avance, ces choses-là. Mais ce n’est pas très grave, ce qui compte, c’est d’être ensemble… Enfin, pour Paul, c’est quand même une petite frustration. Il aurait bien aimé profiter de ce séjour pour… D’autant plus qu’Amsterdam a ce petit côté sulfureux qui le titille un peu, et qui est une des raisons qui l’ont poussé à proposer cette destination. En plus, le coquin s’est un peu renseigné sur internet sur les lieux intéressants, les adresses, ce que l’on trouve où et quand. Bref, des espoirs qui risquent fort de tomber à l’eau.

Ils arrivent en fin d’après-midi à l’hôtel et, première surprise, le réceptionniste a l’air gay. C’est vrai qu’ils avaient lu qu’il y avait une communauté gay assez développée et visible, mais là, ils sont un peu surpris par ce côté extraverti de cet homme. Ils ne sont pas habitués et ont un peu l’impression d’être dans la cage aux folles, en beaucoup plus raisonnable, heureusement. Mais le bonhomme est très sympathique et leur indique même une bonne adresse pour le repas du soir. C’est juste à côté. Ça tombe bien, ils sont plutôt fatigués par le voyage.

Au restaurant, ils ont l’impression que le serveur est aussi gay. Non pas qu’il se comporte d’une façon particulièrement efféminée, ni à cause de son habillement assez recherché qui peut être justifié par son travail, mais simplement par l’attention qu’il leur porte. Il est juste beaucoup plus attentif à ce que dit Paul, il regarde beaucoup plus Paul, il fait plus de sourire à Paul qu’à Céline. Ce n’est pas du tout dérangeant, pas même pour Céline, c’est juste tout à fait inhabituel pour eux, et finalement, cela les fait plutôt sourire.

Le lendemain, ce sont les visites culturelles (des musées, les canaux) et un peu de shopping dans cette jolie ville. Mais souvent, ils croisent des couples homos se tenant par la main. Ils en sont même à se demander, à chaque fois qu’ils voient deux hommes ensemble, s’ils sont gays. Et ils en parlent. Échangent sur ce qu’ils en pensent. Céline, vis-à-vis des gays, avoue être un peu ‘excitée’ à l’idée de deux hommes faisant l’amour, tout comme Paul l’est vis-à-vis des lesbiennes.

– Mais toi, qu’en penses-tu de deux mecs qui font l’amour, demande Céline?
– Disons que c’est partagé. D’un côté, c’est clair que ça m’excite aussi d’imaginer ou de voir éventuellement deux mecs qui baisent, mais si je m’imagine dans cette situation, il y a un côté qui me dégoute un peu.
– Ah oui ? Et c’est quel côté ? La sodomie ou la pipe ?
– Ni l’un ni l’autre. Je ne sais pas si je le ferais, mais ça m’excite ça. Non, ce avec quoi je ne serais pas à l’aise, c’est le côté tendresse, caresse et baisers amoureux. Je ne me vois pas amoureux d’un autre homme et les signes extérieurs me rebuteraient, j’ai l’impression.
– Mais baiser, cela ne te dérangerait pas?
– C’est difficile à dire dans l’absolu. Cela dépendrait sûrement de la situation, de l’excitation du moment… En tous cas, je ne sais pas, mais j’ai l’impression qu’une p’tite pipe, ce serait quelque-chose que j’essayerais bien.
– Une petite pipe ?
– Ben quoi, tu as généralement l’air d’apprécier de me faire une pipe. C’est de la comédie?
– Mais non… Tu es bête. Tu sais bien que j’adore te sucer. C’est juste que, ces fellations, c’est toi qui es au bout, si on peut dire. C’est TON sexe. J’aime TE faire plaisir.
– Mais tu as du plaisir à sucer ce sexe. Si ce n’était pas le mien mais celui d’un autre, que cela ne me posait pas de problème, tu ne crois pas que tu en tirerais aussi du plaisir?
– Je ne sais pas… Si, peut-être.
– Alors peut-être que moi aussi, je pourrais avoir du plaisir à sucer une bite. En tout cas, c’est un de mes fantasmes.

Et là, Céline commence à avoir chaud au bas-ventre. Imaginer Son Homme, Son Amant en train de faire une fellation, de sucer un sexe d’homme, cela lui fait quand même quelque-chose.

Leur repas est terminé et pour finir la journée, ils vont passer par le Red Light District, qui est malgré tout aussi une attraction de la ville. Ils se tiennent serrés en passant devant ces vitrines. Ils ne sont pas très à l’aise. Pas assez pour s’arrêter et contempler ces femmes qui s’exposent. Ils vont plutôt rapidement mais décident quand même d’entrer dans un sex-shop. Céline n’a jamais osé et c’est Paul qui lui a offert ses jouets. Mais là, en terre étrangère, dans cette ambiance plutôt hot, Céline a envie de profiter de cette occasion pour voir comment c’est.

Une fois dans la boutique, après avoir fait un tour entre les rayons, ils remarquent qu’il semble y avoir une partie club aux étages supérieurs. L’entrée n’est pas très chère et de nouveau, c’est une occasion de faire une expérience nouvelle. Et pour se rassurer, ils se mettent d’accord de ne pas faire quoique ce soit si l’un des deux n’est pas d’accord. D’ailleurs, ils n’ont pas vraiment envie de faire, mais plutôt de regarder, de voir comment ça se passe. Cela a toujours été un fantasme, surtout pour Céline, de voir « en vrai » d’autres personnes faire l’amour.

Ils montent à l’étage et trouvent une salle de projection avec quelques rangées de fauteuils. Sur l’écran, une blonde à forte poitrine suce une queue black monstrueusement longue tandis qu’un blanc s’agite derrière elle. Ce n’est pas du tout le genre de porno qui l’émoustille, elle. Et dans la salle, à part quelques hommes assez éloignés les uns les autres qui se masturbent plus ou moins ouvertement, il n’y a rien d’intéressants. Ils poursuivent leur visite et arrivent devant trois cabines.

Des gémissements féminins proviennent de celle du milieu par la porte ouverte devant laquelle se trouvent quelques hommes. Ils s’approchent et découvrent un couple. L’homme est debout, pantalon et slip baissés, et la femme est accroupie devant lui et le suce. Elle lui caresse le haut des cuisses et les couilles d’une main tandis que son autre main caresse son propre sexe. Elle doit être assez exhibitionniste, puisqu’elle est sans culotte et qu’elle écarte largement les cuisses pour montrer aux spectateurs sa jolie chatte sous sa jupe retroussée.

Céline est tétanisée. Elle ne s’attendait pas à tomber sur un tel spectacle. Mais une chose est sûre, c’est que ça l’excite énormément. Cela n’a rien à voir avec du porno de cinéma. Ce sont de vraies personnes, normalement jolies et bedonnantes, avec des dimensions normales. Et ils sont juste là, devant eux. Elle a l’impression que son vagin se liquéfie.

Mais bientôt, leur regard est attiré vers le mur. Il y a un trou dans la paroi et un pénis, en semi-érection en sort. Ils ne sont pas les seuls à l’avoir remarqué. Le bonhomme dit quelque-chose en néerlandais et la suceuse lâche le sexe qu’elle a en bouche pour tourner la tête. Sa main abandonne son minou et saisit cette queue. Elle tire doucement la peau vers l’arrière, décalotte le prépuce et approche son visage pour l’observer de plus près. Elle commence à le masturber et cela semble faire de l’effet, puisque la pine se redresse et grossit. Le bonhomme, toujours tenu par le sexe, paraît émoustillé par la situation et semble encourager sa compagne à aller plus loin. Du coup, elle approche encore sa bouche et fait un baiser sur le gland. Elle soulève ensuite ce sexe et commence à en lécher le dessous. La queue fait des petits mouvements de satisfaction. Finalement, la femme prend le gland dans sa bouche et amplifie ses mouvements de masturbation sur la tige.

Bientôt, le bonhomme dégage son sexe de la main de la suceuse, qui avait un peu relâché son attention et se place derrière elle, visiblement pour ne pas obstruer la vue. Il se baisse et commence à lui caresser le sexe d’une main. Son autre main joue rapidement avec les boutons du chemisier, l’ouvre et caresse le décolleté. De sa main libérée, la femme attrape les couilles qui dépassent aussi du trou et suce plus profondément le sexe. Elle a l’air complètement survoltée et soupire de plus en plus fort. De l’autre côté de la paroi proviennent également des gémissements de satisfaction du propriétaire de la bite.

Envoûtée par le spectacle, Céline n’en peut plus et, après avoir serré ses cuisses l’une contre l’autre, commence à se frotter l’entre-jambe par-dessus son pantalon. Paul, qui s’était placé derrière elle et l’entoure de ses bras, se frotte doucement le bas ventre contre ses fesses. Plusieurs spectateurs ont sorti leur sexe de leur pantalon et se masturbent doucement. Remarquant cela, Céline tourne la tête et chuchote à l’oreille de Paul en désignant les autres spectateurs :

– Ça devient un peu trop pour moi. On se trouve un coin tranquille ?

Ils s’éloignent alors du spectacle se tenant serrés l’un contre l’autre.

– Le spectacle t’as excitée, demande Paul ?
– Comme une folle ! Et toi ?
– Évidemment. Je les envie.
– Qui ça ?
– L’inconnu du trou, parce qu’elle avait l’air de faire ça bien.
– C’est vrai. Et qui d’autre envies-tu, demande-t-elle avec un petit sourire ?
– La suceuse, parce que cela doit être super excitant de profiter d’une queue sans s’occuper du mec qui est derrière.
– Oh, mais tu sais que tu m’excites, toi, à dire des trucs pareils ? Tu as envie d’essayer ?
– Pourquoi pas ? Si tu en as aussi envie… C’est une occasion, non ?
– D’accord, mais on ferme la porte.
– Bien sûr.

Ayant trouvé un autre groupe de cabine, ils s’enferment dans celle du milieu et s’embrassent en se collant l’un l’autre. Ils sont chauds comme ils l’ont rarement été. Ils se caressent la tête, les cheveux, le dos et les fesses ardemment. Et leurs langues font une danse endiablée, passant d’une bouche à l’autre. Ils s’aiment. Ils s’excitent. Ils ont envie l’un de l’autre. Ils se désirent… Mais la seule chose qui les retient, enfin, surtout Céline, ce sont ses règles. Elle sait, suite à quelques essais, qu’avoir un rapport durant les premiers jours des règles est généralement plutôt désagréable. Et Paul le sait aussi, alors dans ces conditions, il a pris l’habitude de lui laisser le choix.

Leurs embrassades se poursuivent, mais ils s’écartent légèrement l’un de l’autre et Paul passe une main entre eux pour lui peloter la poitrine, tandis que Céline s’attaque à son entrejambe. Elle sent son excitation mais est toujours indécise quant à la suite des événements. C’est à ce moment-là qu’apparaît un sexe dans un trou de la paroi.

– Nous avons de la visite…

Paul et Céline se séparent l’un de l’autre et s’accroupissent de part et d’autre de l’ouverture. Le pénis, légèrement tendu, est à la hauteur de leurs visages. Ils se regardent et chacun hésite à faire le premiers pas, à les lancer dans cette expérience qui est tellement éloignée de ce qu’ils ont vécu jusqu’à aujourd’hui. Mais Céline se décide, attrape la main de Paul et la remonte vers ce sexe. Ils ont leur mains ouvertes et finalement, elles le touchent quasiment en même temps. Leurs doigts se resserrent légèrement autour de la hampe et ils commencent à la caresser, doucement. Ils le font ensemble, les yeux dans les yeux. Ils apprécient la douceur et la finesse de la peau, ainsi que la fermeté qu’ils sentent augmenter. Leurs mains se séparent mais ils restent attentifs l’un à l’autre. Ils retirent le prépuce, palpent les testicules, titillent les côtés de la tige et grattouillent le frein du gland. Leurs actions semblent être appréciées, puisqu’une goutte de liquide apparaît sur le méat. Ils l’ont vue et Paul l’étale délicatement sur le gland du bout du doigt. Ils en veulent d’autres, alors Céline saisit le manche et se met à le pomper fermement. D’autres gouttes émergent et Paul les récolte sur le bout de son index. Puis, après avoir capté le regard de Céline, il le porte à sa bouche.

– Alors, c’est bon ?
– Oui… J’ai l’impression que cela ressemble pas mal au mien.
– Sûrement. Et tu n’as pas envie de téter directement à la source ?
– Si, bien sûr. Et toi ?
– Si si, mais je te laisse l’honneur.

Encouragé à aller plus loin, Paul se place face à la bite. Il a tout de même une petite appréhension. En quoi ce qu’il s’apprête à faire va-t-il influencer sa vie ? Mais il a terriblement envie de cette queue. Il regarde de nouveau sa femme et lit dans ses yeux tellement d’excitation, de désir et d’amour, qu’il approche son visage, ouvre la bouche et y fait entrer le gland.

– Mmmmhhhh…

Il commence à sucer, à bouger la langue sous le frein et à faire rentrer un peu plus ce sexe en lui. Céline est subjuguée. Son homme avec un sexe dans la bouche ! Elle ne ressent pas de jalousie. Que de l’excitation et de l’amour. Alors elle s’approche et commence à lui embrasser le visage, partout. Paul ressort le sexe en le gardant bien en main et entame un baiser enflammé avec la femme de sa vie, sa maîtresse, sa complice.

Tout en s’embrassant, ils se rapprochent de cet objet de plaisir pour l’inclure dans leur baiser. Puis ils sont comme emportés. Ils sucent, ils lèchent, ils masturbent, gobent les couilles, et s’embrassent. Ensemble, ils tirent du plaisir de ce sexe anonyme. Et c’est bon.

Finalement, ils sentent les soubresauts annonciateurs du final et c’est l’éjaculation. Ils ont mis leurs mains pour récolter ce jus de plaisir, puis ils se partagent ce sperme en s’embrassant, sans oublier quelques gestes doux pour ce sexe, qui leur a procuré tellement de plaisir.

Il leur a procuré du plaisir, certes, mais pas l’assouvissement.

– J’ai envie de te sentir en moi, dit Céline.
– Tu es sûre, répond-il en pensant au tampon qui occupe la place ?
– En tout cas, j’ai envie d’essayer. Et si ça ne va pas… on verra.

Ils se lèvent et Céline commence à le déshabiller. Dans la situation actuelle, il préfère lui laisser mener l’action, pour qu’elle aille à son rythme. Il ne voudrait pas précipiter les choses et tout casser. Elle lui soulève son pull et son T-shirt, lui caresse le torse et lui titille les mamelons. Tandis qu’il finit d’enlever et accroche, tant bien que mal, ses habits au crochet de la porte, elle s’attaque au jean, qu’elle ouvre et baisse, emportant au passage le caleçon. Son sexe a une érection honorable, mais il est surtout dégoulinant de liquide séminal. Elle est accroupie devant lui et lèche ce liquide, preuve de son excitation. Et cela l’excite d’autant plus. Elle le lèche, elle l’embrasse, elle le suce et le caresse. Décidément, elle aime ça.

Tandis qu’il apprécie la pipe, il remarque du mouvement du côté du trou, et bientôt, un nouveau pénis apparaît.

– Nous avons de nouveau de la visite, dit-il en se saisissant du nouvel arrivant.
– Et bien, occupe-toi donc de notre invité pendant que je me déshabille.

Et Céline de se lever et de se dévêtir, pendant que Paul se baisse et suce la deuxième queue de sa vie. Il aime bien ça. C’est même meilleur que ce qu’il imaginait. Et il n’est pas gêné par l’homme qui est derrière. Il ne s’agit que d’un sexe, juste un objet de plaisir. Céline, elle, est maintenant nue et se caresse les seins et le clitoris un moment en appréciant le spectacle. Et finalement, elle se rapproche en plaçant la chaise qui était au fond de la cabine, à proximité du trou. Cela lui permet de s’appuyer dessus pour avoir la tête et les fesses à la bonne hauteur pour ce qu’elle attend.

– J’aimerais que tu essaies de venir en moi.

Alors Paul passe le relais à Céline, puis se faufile derrière elle. Il prend un peu de recul et observe un moment la scène. Son amour est là, pliée en deux, lui présentant son merveilleux cul, mais elle est également en train de faire une pipe à un autre. Et elle a l’air d’y prendre beaucoup de plaisir. Mais il ne ressent pas de jalousie. C’est la situation exceptionnelle dans laquelle ils se trouvent, sans doute, mais cela l’excite.
Il se rapproche et commence à caresser ce derrière qu’il aime tant. Les cuisses et le dos aussi. Et puis le ventre, et les seins en se penchant un peu. Et en se resserrant encore davantage, il peut lui frotter les fesses avec le ventre et lui faire des baisers tendres dans la nuque. Mais il sent bien que là, maintenant, ce n’est pas que de tendresse que Céline a envie. Alors il redescend et s’accroupit, le visage juste à la hauteur de son cul et de son con. Il y a tout de même cette odeur un peu forte de règles, mais il sait que s’il y a un tampon et qu’il ne lèche pas trop à l’intérieur, le goût n’est pas si mauvais et cela reste agréable. Et puis, en visant large, il en profite pour visiter le petit trou qu’il adore.

– Viens. J’ai envie de te sentir en moi, dit Céline avant de se remettre à sucer.

Paul se redresse donc et approche son gland tout luisant de mouille du vagin de Céline. Il y va doucement et avec son sexe, il écarte les petites lèvres, caresse un peu les alentours pour finalement se présenter à l’entrée. Il maintient la ficelle du tampon d’un doigt et commence à faire des petits mouvements d’entrée-sortie. Gentiment, il est entre de plus en plus en elle. Pour lui, ça va bien. Il y a juste cette ficelle qui frotte un peu, mais c’est supportable. Mais bientôt, c’est aussi le tampon lui-même qu’il rencontre. Et là, pour elle, cela devient désagréable. Et Paul, qui observe son visage, le voit bien au froncement de sourcils. Alors il ressort un peu, et va doucement. Mais il sait que ce n’est satisfaisant, ni pour elle, ni pour lui.

Alors il ressort complètement, se rebaisse et commence à lui faire une feuille de rose. Après avoir bien léché l’extérieur, sa langue devient plus insistante et s’immisce dans son œillet. Pendant ce temps, ses mains ne restent pas inactives et lui caressent les fesses, les cuisses et finalement le clito. De l’autre côté, la langue de Paul fait ce qu’elle peut pour détendre et élargir un peu son petit trou. Il sait qu’elle n’aime pas tellement avoir des doigts dans son anus, alors il se débrouille sans. Et il salive, il salive le plus possible, pour essayer de lubrifier au mieux le passage. Mais aux sons qu’émet Céline, cela semble être plutôt bien perçu. Paul se redresse de nouveau, contemple quelques instants sa femme en pleine fellation. A ce moment, elle sort ce pénis de sa bouche et tourne un peu plus la tête.

– Vas-y doucement, dit-elle.

Paul présente donc son gland contre sa rosette, caresse un peu alentour pour finalement appuyer plus fermement sur l’œillet. Celui-ci cède facilement et laisse entrer l’intrus. Céline réagit par un « Mmmmhhh » plutôt d’approbation, mais Paul ne veut pas précipiter les choses et éventuellement casser cet instant. Alors il ne bouge plus les hanches, mais lui caresse de nouveau le bas du dos, et les fesses qu’il écarte pour profiter d’avantage de la vue. Après s’être habituée à la sensation, c’est finalement Céline qui commence à bouger et recule pour se faire pénétrer un peu plus. Alors Paul se penche en avant, s’appuie d’une main sur la chaise et se retrouve la tête à quelques centimètres de celle de Céline. Aux premières loges pour assister à la pipe qu’elle est en train de prodiguer ! L’autre main ne reste pas inactive et s’attaque au clitoris, tandis qu’il commence un lent mouvement de piston de plus en plus profond.

« Oui, c’est bon. » La voix de Céline est devenue plus grave. Elle se sent enfin remplie. Même si elle n’est généralement pas une grande fan de la sodomie, là, cela lui va très bien. C’est bon et elle aime ça. Après le petit moment nécessaire pour s’habituer aux sensations, elle peut de nouveau se concentrer sur le sexe qui est devant elle. Elle réalise que la situation est très excitante : elle est en train de sucer la bite d’un inconnu, sous le nez de son mari qui l’encule en même temps. Et cette sodomie se passe merveilleusement. La sensation de chaleur venant de son bas-ventre augmente. C’est bon, c’est bon, c’est bon, pense-t-elle en boucle. Elle a également l’impression qu’elle transmet son plaisir par la bouche, sur ce sexe qu’elle a en elle. Elle le sent plus dur et plus gros.

Paul s’est de nouveau redressé, pour être plus à l’aise dans ces mouvements. Il tient sa femme par les hanches et il y va franchement. Paul ayant abandonné son clitoris, Céline a pris le relais et se masturbe avec frénésie. Ça y est, son orgasme éclate. Elle sort le sexe de sa bouche et crie son plaisir. Les spasmes de son cul font passer à Paul le point de non-retour. Il en ressort et se précipite vers le visage de son amour. Le premier jet l’atteint sur la joue, mais elle arrive à mettre le gland dans sa bouche pour les giclées suivantes. Paul a pris en main le sexe du trou et sent que là aussi, l’orgasme arrive. Il se baisse et à son tour et reçoit l’éjaculation dans sa cavité buccale. Bientôt, Paul et Céline s’embrassent et mélangent leurs récoltes de foutre.

– Que c’était bon.
– Quelle folie nous a pris ?
– Mais c’était bon, non ?
– Si, très, très bon, et très excitant.
– Que je t’aime toi.
– Je t’aime.

Et ils s’embrassent de nouveau, mais cette fois-ci, beaucoup plus amoureusement.