Service à domicile par Sylvain_Zerberg

Service à domicile
par Sylvain Zerberg

Je m’appelle Sylvain, j’ai 35 ans, châtain clair, divorcé et remarié. Hétéro, mais aimant bien les petites perversités et ne refusant pas de nouvelles expériences. Je bosse dans une société de services à domicile, je fais donc des dizaines de rencontres par jour et je vois donc toutes sortes de gens. Hier, j’avais rendez-vous toute la journée avec une femme, Madame Morgane S…qui avait des problèmes avec sa piscine en banlieue ouest. Il s’agit d’une superbe maison bourgeoise avec des domestiques.

La journée était chaude, une jeune asiatique en tenue de soubrette (qui, je le saurais plus tard, se prénommait Suzy) me fit entrer dans les lieux, je vis une superbe bombe d’une trentaine d’année en monokini sur le bord du bassin. Elle vient vers moi, sans se cacher ses seins, se présente, c’est elle Morgane. Je ne vous dis pas dans quel état je suis de voir cette merveille à 50 centimètres de moi ! Elle est toute désolée de ne pouvoir faire trempette, elle me demanda si je pouvais me dépêcher pour qu’elle puisse jouir des plaisirs de la baignade rapidement. Je lui répondis que je ferais mon possible pour la satisfaire. Ma réponse dû l’amuser car elle me sourit puis me dévisagea lourdement de la tête au pied, fit demi-tour puis et disparut dans la maison.

J’avais prévu la journée entière pour cette intervention, mais l’affaire fut plus rapide que prévue. Il était inutile de faire trainer puisqu’elle avait accepté par courrier un devis qui ne dépendait pas du temps de travail. Alors que la réparation était presque terminée, elle vint me voir, me proposa de prendre un verre, je lui répondis que je préférais finir et boire un coup ensuite, curieusement, cela parut la contrarier mais me laissa finir.

Une fois tout remis en état et les outils rangés dans la camionnette, je retourne la voir, elle me demande alors si je ne peux pas en profiter pour vérifier le robinet d’arrivée d’eau de la maison qui est, me dit-elle, difficile à manier.

– Oui bien sûr !
– O.K. Suivez-moi, et ne vous étonnez pas si vous voyez des choses bizarres.

Je vais chercher une pince multiprise dans la camionnette et suis la dame qui se dandine en tortillant ses fesses, je m’en fous plein la vue et ne me fais pas de soucis pour les « choses bizarres ». Des choses bizarres, j’en ai vu pas mal dans mon métier et je crois bien que pour me surprendre il faudrait y mettre le paquet. On descend au sous-sol.

Et pourtant là le choc : on entre dans une salle complètement surréaliste, avec des chaines, des instruments pour sado maso… et une croix de Saint André sur laquelle est attaché un beau jeune homme, complètement nu, imberbe, plutôt bien monté et qui donne l’air de se trouver très bien dans cette situation.

– Ah, ben ça alors ? Ne puis-je m’empêcher de m’exclamer.
– Je vous avais dit de ne pas vous étonner !
– Je vois qu’on s’amuse bien ici ?
– Je ne vous le fais pas dire… nous sommes un petit club, mais parfois on joue avec des invités… Si ça vous intéresse, il suffit de me le dire.
– Non, ce n’est pas mon truc… enfin je ne crois pas…
– Humm… vous n’avez pas l’air très sûr de vous…On dirait bien que ça vous intéresse un petit peu quand même… petit cochon… on va en parler après si vous voulez, mais pour l’instant si vous pouviez vous occuper de cette arrivée d’eau.

Je suis troublé de chez troublé. L’arrivée d’eau se trouve dans un petit placard bas dans cette pièce. Je desserre très légèrement l’écrou du robinet. C’est tout ce qu’il y a à faire.

– Et voilà !
– Quelle efficacité ! Quelle rapidité ! Je vous remercie. Mais dites-moi maintenant : votre trouble quand on est arrivé ici, c’était pourquoi ? Vous voudriez être à la place de ce charmant jeune homme ? Ou vous voudriez faire des choses avec lui ?
– Ben…
– Ben vous ne savez pas, ou vous n’osez pas le dire… Dites-moi : Vous aimez qu’on vous domine ?
– Non, enfin, très légèrement.
– Je vois… Vous voudriez que je vous domine, là tout de suite !

J’hésite, je regarde ma montre…

– Ne me dites pas que vous n’avez pas le temps ?
– J’hésite ! Je ne m’attendais pas à ce genre de proposition…
– Alors je compte jusqu’à 10. Si à 10 vous n’êtes pas décidé, on n’en parle plus et vous pourrez regretter d’être passé à côté de quelque chose… 1, 2…
– D’accord !
– On dit « Oui maîtresse ! »
– Oui maîtresse !
– Mets-toi à poil !
– Là tout de suite ?

Je reçois une gifle !

– Bien sûr que c’est là tout de suite, tu en as d’autres des questions idiotes ?

Je me déshabille et range mes vêtements sur une chaise qui à la bonne idée de se trouver là.

– Tu vas te pencher sur le chevalet, je reviens m’occuper de ton cul de salope.

Comment qu’elle cause, la bourgeoise ?

Me voilà semi couché sur le machin tandis qu’elle quitte la pièce. Elle revient plusieurs minutes après. Elle s’est changée, un blouson de cuir noir fermé devant avec une fermeture éclair, des grandes bottes, mais la chatte (rasée) et le cul à l’air. Elle s’empare d’un martinet et commence à me chauffer les fesses. Je pousse des petits cris de douleur.

– Je ne veux pas t’entendre, si tu veux tout arrêter tu dois prononcer deux fois le mot « alouette », et à ce moment-là je te vire, sinon le reste, tu peux gueuler, je n’en tiens pas compte.

Les coups continuent à dégringoler, mais je m’habitue, j’ai vite le cul en feu. Elle me détache.

– A genoux et ouvre ta bouche, je vais te cracher dans la gueule !
– C’est peut-être pas indispensable !
– Je crache toujours sur mes esclaves, ils adorent ça. Ouvre ta bouche !

Je n’aime pas trop ça, mais que voulez-vous, il faut bien qu’elle s’amuse aussi.

– Dis-moi, que préférerais-tu ? Sucer la bite de cet esclave ou me lécher mon trou du cul !
– Euh, votre trou du cul, maîtresse.
– Mauvaise pioche ! Tu vas d’abord sucer l’esclave.

Et bé ! Il y a bien longtemps que je n’ai pas sucé une bite, moi ! Mais ça ne me dérange pas, je la prends en bouche et la suçote pour lui donner une vigueur qu’elle ne tarde pas à acquérir, puis je commence une fellation en règle, en fait je me régale, l’occasion de faire ce genre de chose ne se renouvellera peut-être pas de sitôt, à moins de revenir ici.

– C’est bon la bite, hein ?
– Humm ! Répondis-je la bouche pleine.
– Je crois qu’on va bien s’entendre, j’adore les hommes qui sucent des bites… Bon assez ! Je ne veux pas que tu le fasses jouir.
– Bien maîtresse !
– Tu te rends compte de ce que tu viens de faire, tu viens de sucer la bite d’un mec, tu es pédé ? Rigole-t-elle.
– Non maîtresse, mais j’aime bien essayer des trucs.
– Et bien, on ne va pas se gêner, lèche-moi le cul, maintenant.

Je lui écarte les fesses, et approche mon visage. J’ai un léger mouvement de recul : Son cul ne sent pas vraiment la rose ! Mal essuyé ? Mal lavé ? Ou alors elle vient de péter ? Après un instant d’hésitation et d’accoutumance, je lèche son anus, le goût est âcre, mais pas désagréable du tout, on s’habitue à tout.

– Il est comment mon cul ?
– Il est bon maîtresse !
– Ça je le sais bien, mais il a quel goût ?
– Eu un peu fort ?
– Un peu fort ? Je ne comprends pas, il a une odeur alors ?
– Oui, mais ça ne me dérange pas.
– Je vois bien que ça ne te dérange pas, mais dis-moi l’odeur c’est quoi ?
– Ben disons que ça sent un tout petit peu le caca…
– Ah, oui, j’aurais donc oublié de m’essuyer ce matin… je suis tellement distraite… mais en fait ça m’arrive souvent, j’adore que mes esclaves sentent l’odeur de mon cul et me servent de papier-toilette… Bon c’est bien nettoyé, où il faut que tu continues ?
– Je ne sais pas, mais je veux bien vous lécher encore…
– Mais c’est qu’il y prend goût ce petit salopard… Non, pour le moment on va faire autre chose, j’ai une idée, tu n’es pas pressé au moins ?
– Non, non.
– Je vais faire une surprise à mon mari, il ne devrait pas tarder à entrer, je vais te préparer et il va t’enculer…
– C’est que…
– C’est que quoi ? Il a une très belle bite, et toi tu es un suceur de bite, quand on suce des bites, on ne doit pas avoir peur de se faire enculer…
– C’est que je ne l’ai jamais fait…
– Et bien justement il va te dépuceler, ce sera encore plus excitant.

Elle appelle alors deux domestiques, Suzy, l’asiatique qui m’a fait entrer tout à l’heure et Melissa, une blackette et leur demande d’apporter le matériel nécessaire afin de me raser intégralement…

– Ce n’est peut-être pas nécessaire… Balbutiai-je, et puis que va dire ma femme…

Je reçois une gifle !

– UN ! C’est nécessaire, mon mari n’encule que des mecs complètements rasés, il a horreur des poils ! Quant à ta femme, ne t’inquiètes pas, je t’expliquerais ce qu’il faut dire, tout se passera bien, je ne suis pas là pour briser ton ménage…

Les deux nanas reviennent avec le matériel, cuvette, gel de rasage, après rasage, serviette… puis se déshabillent intégralement. Elles commencent par le torse, les jambes puis ma queue et mon anus. Je ne vous explique pas dans l’état où se trouve mon sexe, je suis bandé à fond. Morgane contemple le résultat…

– Humm… pas mal du tout… les filles, allez lui chercher des collants, un porte-jarretelles, une perruque blonde, et de quoi le maquiller… allez plus vite que ça… Si Monsieur arrive dites-lui de ne monter que dans une demi-heure, vous lui expliquerez que je lui prépare une surprise.

Manquait plus que ça, mais je ne réagis même pas…

– Tu les trouves comment mes soubrettes ?
– Mignonnes !
– N’est-ce pas ! Si nous devenons amis, tu pourras faire des trucs avec, elles sont très obéissantes et pas farouches du tout… mais faut le mériter…

On me fait enfiler les bas, on me maquille, on me perruque… Mon image dans le miroir renvoie celle d’un inconnu, je ne me trouve décidément pas mal en travelo…

– Je te fais grâce des escarpins, c’est la première fois, tu risques d’être plus ridicule qu’autre chose et ce n’est pas le but recherché… Par contre je vais te rougir un peu les fesses, je n’ai pas assez tapé tout à l’heure, elles sont vraiment trop pâles. Allez, cambre-toi.

Je ne proteste même pas, j’espère simplement qu’elle ne va pas frapper trop fort… Non ça va… ça va, mais c’est juste. Au bout d’une vingtaine de coups de martinet, elle s’arrête, me fais me retourner, et me fixe deux pinces sur le bout des tétons, curieuse sensation qui me fait rebander comme jamais.

– Quelqu’un t’a autorisé à bander ?
– Non, maîtresse…
– Tu fais ce que tu veux, alors, si je comprends bien ?
– C’est ce que vous me faites qui me fait bander, maîtresse !
– Bon, alors ça va !
– Monsieur est arrivé, il attend dans le salon ! Viens dire Suzy, la petite asiatique.
– OK, tu lui as dit que je lui préparais une surprise ?
– Oui, madame !
– Demande-lui qu’il se déshabille avant de descendre, et suce-lui la bite avec Melissa, je veux qu’il arrive ici bandé et excité.
– Comptez sur nous, madame !

Quelle maison de dingues !

Morgane m’attache les mains au plafond à l’aide de poulies, puis Norbert (le mari) fait son apparition.

– Bonsoir chérie ! J’ai vu que la piscine était réparée, et la surprise, je suppose que c’est cette tantouse, dit-il en me désignant !
– Il te plait j’espère ? Sinon, c’est pas grave, on le vire…

C’est humiliant tout de même cette façon de parler de moi…

– Il a l’air mignon ! Juge le Norbert qui me contourne et me pelote les fesses… Joli cul en tout cas… il a dû en voir passer des bites par-là !
– Ben, non justement, il m’a dit qu’il était puceau du cul !
– Il est puceau de la bouche aussi ?
– Non, il a sucé mon client tout à l’heure, il avait l’air de se régaler…

Hein ? Quoi ? Elle a parlé de client ! Ce serait donc une professionnelle ? Une fois le trip fini, elle va me demander de l’argent ou alors une réduction sur la facture de la réparation… Ça me paraissait bizarre aussi cette affaire de « club » ! Je décide d’en avoir le cœur net.

– Vous avez parlé de client vous êtes une pro ?

Elle a l’air étonné de ma question, mais ne se défile pas.

– Nous en parlerons tout à l’heure, je suis une semi pro, je fais des choses avec des clients et avec des non-clients… comme toi par exemple… si ça te pose un problème de savoir que je fais la pute, tu es libre de partir, je ne te demande rien.
– Non, je veux bien rester !
– Ok, tu ne le regretteras pas !

Du coup, Norbert prend alors conscience de la présence du mec attaché à la croix dans le coin obscur de la pièce.

– Heu, et celui-là, tu le laisses attaché ?
– Pour l’instant oui, mais si tu ne veux pas qu’il te voit faire des choses avec ce jeune homme, je peux lui bander les yeux.
– Non, non, plus on est de fous, plus on rit.

Morgane me détache et me fait mettre à genoux devant Norbert.

– Suce, salope !

Je l’aurais parié. Cette queue était plus grosse que celle de l’esclave, mais tout aussi agréable à prendre dans la bouche, je m’efforçais de sucer de mon mieux, me disant que plus il serait excité moins la sodomie serait longue.

– T’aime ça sucer des bites ?
– Oui, maîtresse ! Répondis-je interrompant un instant ma fellation.
– Ne répond pas à ses questions idiotes, on voit bien que tu aimes sucer des bites, pas la peine de demander, suce-moi encore !

Je suce encore, je vais finir par me faire mal à la mâchoire… puis l’ordre tant redouté intervint :

– A quatre pattes…

Le mec se capote, me fout du gel sur l’anus, puis m’enfonce un doigt qu’il fait aller et venir.

– Il est étroit, tu aurais dû le préparer avec un gode ! Dit Norbert.
– Je n’y ai pas pensé, et puis je n’ai pas eu tellement le temps.
– Fallait te débrouiller… ça mérite une punition…
– Ben voyons !
– Tu ne veux pas jouer ? S’inquiète le mari.
– Si, si punis-moi !
– OK, vous les deux boniches, vous allez m’attacher Madame sur la seconde croix et vous lui donnerez chacune dix coups de martinet sur le cul…

Ça devient du délire, bien sûr Morgane se laisse faire, même qu’elle a l’air de prendre son pied en se faisant fouetter son joli petit cul.

– Laissez-la attachée, Suzy, tu prends un gode, le plus petit modèle et tu encules ce travelo avec, Melissa tu en prends un plus gros et tu passeras après, moi je passerai en troisième…

J’ai donc droit à un premier gode qui me trifouille le fondement, j’avoue que la sensation n’est pas désagréable sauf cette impression de gêne que le plaisir n’arrive pas à faire disparaître complètement, question d’habitude probablement, avec le deuxième je me sens déjà mieux rempli… ce n’est pas vrai que l’accoutumance se fait déjà ? Puis sans transition la bite de Norbert m’encula…

– Alors c’est bon ?
– Ça va !
– Je ne t’ai pas demandé si ça allait, je t’ai demandé si c’était bon !
– Oui, c’est bon !
– Ah, je savais bien !

Au bout de dix minutes, il ressort de mon cul sans avoir joui, j’ai l’anus en marmelade et j’ai surtout envie de me reposer, mais voilà qu’il me tend sa bite toujours encapotée et pas très nette. Pourvu qu’il ne me demande pas de la nettoyer. Pas tout le même jour quand même… Effectivement le mec est intelligent, il a dû voir ma tronche, et se tourne vers Melissa qui lui nettoie tout ça sans aucun problème.

– Détachez Madame ! Toi, me dit-il, tu mérites une récompense, tu vas enculer ma femme, et moi je vais regarder le spectacle pendant que ces deux petites putes vont me sucer la queue. Mais avant, je vais gouter ta bite…

Il me suça donc quelques instants, très bien d’ailleurs et sans doute mieux qu’aucune femme… La suite était pour moi complètement inespérée, je me demande si ça ne cache pas un piège… En fait non, Morgane se met gentiment à quatre pattes, on me passe une capote, et je m’enfonce en elle avec une facilité déconcertante. Je suis tellement excité que je jouis en elle en moins de cinq minutes, tandis que Norbert décharge dans la bouche de la petite asiatique.

Bon je suppose que c’est fini, je vais pouvoir me rhabiller et repartir avec plein de souvenirs inénarrables dans la tête.

– Ça donne un peu soif tout ça ! Dis-je espérant qu’on m’apporte à boire.
– C’est vrai, je t’avais proposé un verre tout à l’heure, ça m’est sorti de l’idée. M’indique Morgane.
– Ce serait bien volontiers, maîtresse !
– Alors, couche-toi sur le dos, ouvre ta gueule de porc, je vais te pisser dedans.

Pour avoir déjà fait ce genre de choses, ce ne fut pas une corvée, je m’efforçais de boire tout ce joyeux liquide, Melissa et Suzy furent invitées à la rejoindre, j’étais littéralement trempé dans une marre de pisse et me surprenait à rebander…. mais je fus un peu plus inquiet quand je la vis s’accroupir différemment de façon à ce que son anus soit à quelques centimètres de mon visage.

– Et maintenant un bon gâteau au chocolat !

Je vois avec stupeur son trou du cul qui se dilate.! Je suis fasciné par ce spectacle et me dis que vu l’état d’excitation dans lequel j’étais de nouveau, je n’aurais aucun recul devant cette pratique extrême !

Un long boudin brun s’éjecte de son anus et vient s’écraser sur mon menton. Morgane se saisit de l’étron le porte près de son visage et y donne quelques coups de langue, puis l’approche de mes lèvres.

– Non !
– Si je l’ai fait, tu peux le faire aussi ! Rétorque-t-elle

Alors j’ai léché sa merde et me suis surpris à rebander.

– Maintenant tu me nettoies, devant et derrière !

Bien sûr que je lui nettoie la chatte dont les plis sont encore imbibés de son urine. Mais j’ai fermé les yeux pour lui nettoyer l’anus il avait bon goût

– Melissa et Suzy, finissez-le !

Les deux femmes se badigeonnèrent les mains avec l’étron de Morgane, puis Suzy me masturba pendant que Melissa me pinçait les seins avec ses doigts merdeux.

Pour la deuxième fois je jouissais comme un dingue, Suzy récupéra tout mon sperme dans sa jolie bouche avant de le partager avec sa collègue. Je me relevais, me demandant comment j’avais pu faire de pareilles choses.

– Bon je vais te laisser partir… il faut que je finisse cet esclave. Douche-toi un peu, tu en as besoin.

On se quitte, à mon grand regret elle ne me propose pas de revenir, elle redevient distante, elle me donne congé avec une poignée de main accompagnée d’un merveilleux sourire, j’aurais aimé un petit bisou, tant pis !

A 19 heures j’étais chez moi, j’embrasse ma femme

– Alors Sylvain, cette journée ?
– Bof un gros problème avec une piscine, j’y ai passé un temps fou…
– La routine quoi ?
– Ben oui, la routine

Putain, comment vais-je faire pour lui cacher mes fesses ? Quelle explication vais-je trouver pour expliquer le rasage de mon corps ? Morgane m’avait dit qu’elle m’en reparlerait, elle a oublié… Et voilà mon téléphone qui sonne.

– Allo !
– Je suis le docteur Martin ! Entendis-je

Mais c’est la voix de Morgane.

– J’ai oublié de vous donner le nom du produit pour vous badigeonner le corps, vous notez ?

Je note et elle raccroche. Ma femme m’interroge, je lui explique alors que j’ai dû aller au dermatologue suite à une allergie inconnu et qu’on a été obligée de me raser les poils… L’explication passe comme une lettre à la poste.

Et voilà que ça sonne de nouveau

– Il me semble que vous ayez oublié votre pince multiprise ! Me dit Morgane
– Pas bien grave, j’en ai d’autres, gardez là en souvenir.
– Non, tu vas venir la rechercher mercredi prochain à 14 heures très précise. Je recevrais un couple d’amis et nous aurons besoin de toi pour nous amuser.
– D’accord !
– Et si tu veux je te ferais un bon gâteau au chocolat…
– D’accord !
– Ce n’est pas comme ça qu’on dit !
– D’accord Maîtresse !

– A qui tu parlais, me demande ma femme ?
– Oh, à une maîtresse d’école…

Sylvain Zerberg – 2010

D’après une nouvelle signée James 007 et publié sur le site de Sophiexx en 1999

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4 réponses à Service à domicile par Sylvain_Zerberg

  1. Sandra_TV dit :

    Vraiment pas mal, ça m’a bien excité
    (ça aurait pu s’appeler Sévices à domicile)

  2. vilain dit :

    Un excellent récit de domination improvisée

  3. Elgar dit :

    Je connais un plombier polonais qui m’en a raconté quelques unes pas piquée des hannetons

  4. Toutiet dit :

    Très bon, très bonne histoire, très pervers et très bien décrite. C’est vrai que dans ces métiers on fait parfois de ces rencontres, mais je n’ai pas le talent pour les raconter

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