Clotilde
18 – Captive
par Fafalecureuil
On ne me fit pas de place, la jeune fille me demanda de rester debout à côté d’elle. Elle but un peu discutant avec ses amis de ce qu’elle venait de me faire subir.
– Je suis sûre qu’elle ferait n’importe quoi pour que je m’occupe d’elle.
– Tu penses ?
Elle et ses amis m’ignoraient du regard, mais en même temps me provoquaient sans cesse. Je devais choisir, oublier toute fierté et jouer mon rôle de petite chienne soumise et vicieuse ou ne pas tenter le jeu…
– Elle est vraiment bonne, dommage que ses seins soient trop petits.
– Oui, mais on pourrait travailler ses tétons.
– Bonne idée, tout comme ses lèvres. Je suis sûre qu’avec des poids, on en ferait quelque chose…
– A condition de le faire dans la durée.
– Elle a l’air bien dressée, je suis sûre qu’elle se plierait à mes ordres.
Je n’en pouvais plus, cette petite garce me narguait, il fallait que je, que je…. lui obéisse… Je me baissais, doucement et en signe de soumission, me mis à genoux avant de baiser délicatement ses pieds. Elle me laissa faire.
– Tu aimes faire ça ?
– Mmmmmm….oui
– Tu vas m’accompagner, j’ai une petite surprise pour toi.
– Oui….
Je me redressais, elle me prit par la main et m’entraîna le long des couloirs et descendit un escalier de béton. Elle me fit pénétrer dans une pièce carrelée et m’ordonna de m’agenouiller contre un poteau en forme de T au centre de la pièce. J’obéis et instinctivement plaçais mes poignets près des anneaux fixés aux extrémités. Elle m’attacha solidement à l’aide de liens de cuir, faisant de même avec mes cuisses maintenue écartées. Puis une de ses amies arriva avec une caméra et commença à me filmer. Ce qui m’excita davantage… Pendant de très longs moments ma maîtresse du moment me laissa la lécher, sous toutes les coutures. Je découvrais ses parfums musqués et forts. Elle m’arrêta à plusieurs reprises avant qu’elle ait un orgasme. De temps à autres elle me masturbait rudement, soit de sa main, soit du bout de sa chaussure, me laissant toujours à la limite de la jouissance. Soudain, elle me détacha.
– A l’envers ce sera plus drôle, allez, mets tes jambes sur les extrémités, oui comme ça. Bien
Elle m’attacha à nouveau, et cette-fois ci écrasa son sexe sur mon visage. Je ne pouvais presque plus respirer mais je n’hésitais pas à me donner à 100%, sans aucune retenue. Elle se releva un peu.
– Tiens, ta surprise va venir, ouvre grand ta bouche… Claire, appelle d’abord nos amis en haut.
– Oui Virginie
– Tu sais ce que je vais faire ?
– Oui…
– Mes amis vont certainement faire la même chose, es-tu prête ?
– …. oui…
– Tu es une des plus belles salopes que j’aie rencontré tu sais ?
– …. Merci….
– Ah voici nos amis… A qui l’honneur ? Messieurs ? Regardez notre belle soumise, elle n’attend que ça. N’est ce pas ?
– … Si,
– Pas très convaincante, ma belle…
– S’il vous plaît…
– Oui ?
– Mmmmmm,
J’ouvris grand ma bouche et passais ma langue sur mes lèvres…
Aussitôt deux jets brûlants frappèrent ma poitrine offerte, j’ouvris la bouche pour recevoir leur offrande. Nullement écœurée, mais au contraire, gourmande et avide. Ensuite, Virginie fit un signe à Claire la belle femme aux cheveux noirs qui passa sa caméra à un des hommes fit tomber sa robe et s’accroupit au-dessus de mon visage. Elle plaça son petit trou duquel sortait une fine chainette à quelques centimètres de ma bouche. Je me contractais et soulevais ma tête pour happer la chaine… Au même moment je sentis quelque chose de froid pénétrer mon anus. Je continuais doucement aspirant bientôt la première bille métallique dans ma bouche. En même temps une bille entra dans mon petit trou. J’aimais ça, et même beaucoup… Claire se releva un peu et on me banda les yeux. A nouveau on m’ordonna de continuer. Je tirais de plus belle, m’aidant de mes dents, sans aucune hésitation, et gobais une nouvelle bille, en même temps une bille pénétra mon anneau. Claire remuait de plus en plus, je la sentais près de l’orgasme et après la sixième bille je commençais à avoir du mal à les garder toutes en bouche. A la septième, Claire jouit enfin, je sentis un liquide chaud inonder mon cou et ma poitrine. C’était la dernière bille et on me retira doucement toutes les billes de la bouche. Mais immédiatement Claire se plaqua sur moi à nouveau. Le fait d’être contrainte à la lécher décuplait mes pulsions et rien ne pouvait me faire reculer. Je grognais de plaisir en goûtant ses sécrétions, m’en délectant. A entendre ses cris, ma langue et ma bouche lui donnaient beaucoup de plaisir. Je tournais ma langue agile aussi loin que je le pouvais dans son petit antre et elle hurlait son plaisir sans retenue. Quant à mon plaisir, il arriva sous la forme d’un poing qui s’enfonça dans mon sexe brûlant. A mon tour je jouis en hurlant. Claire se releva et me détacha puis, elle prit ma place, attachée par Virginie sur le T, offerte et impatiente. Je m’accroupis au dessus de son visage et rapidement elle se saisit de la chainette…
Je pensais être très adroite avec ma langue mais Claire me surpassait totalement. J’étais totalement envahie, et lorsqu’elle commença à aspirer les boules métalliques, je jouis à la troisième. Les quatre dernières furent presque un supplice et Virginie dut me maintenir debout. Elle me laissa ensuite m’écrouler sur le sol, à côté de Claire qui, une fois détachée, se pencha et m’embrassa longuement. Virginie m’aida ensuite à me relever et me guida vers une douche où je pus me laver, boire un jus de fruit et passer une courte robe échancrée. Elle m’embrassa sur la bouche et me donna un petit carton.
– Tu m’appelleras ?
– Euh… oui…
Les salles s’étaient vidées, il ne restait plus que Victor qui me remercia d’être venue avant de me tendre une pochette en papier.
– Vos performances de la journée, c’est un petit souvenir, original, sans copie bien sûr… A bientôt j’espère ?
– A bientôt…
Et je gagnais ma voiture, ivre de fatigue. Une fois rentrée, je retrouvais Angélique allongée dans mon lit. J’ôtais ma robe et me glissais près d’elle, dans son sommeil, elle prit ma main et la posa sur son sein. Je m’endormis, heureuse et comblée.
Au réveil, Angélique me tira du lit et m’emmena dehors, au soleil pour un superbe petit déjeuner. J’avais passé comme elle une toute petite robe et le soleil chauffait doucement ma peau. Elle me demanda de lui raconter ce que j’avais fait depuis hier et je lui racontais tout, elle semblait vivement intéressée. Quant à elle, elle avait passé une journée seule, à réfléchir…
– A réfléchir ?
– Oui, et j’ai pris une décision importante…
– Laquelle ?
J’étais inquiète de savoir ce qu’Angélique allait annoncer. Elle le perçut et me rassura.
– En fait, j’ai pris la décision de ne pas partir d’ici, même si tout ce qui m’arrive me fait un peu peur…
– Oh ?
– En fait j’aimerai t’avoir rien que pour moi quelques jours,
– Accordé, c’est une bonne idée.
– Alors, partons nous promener, allons faire un peu d’escalade, allons faire l’amour dans la nature, c’est ce dont j’ai envie…
– Quand partons-nous ?
– Tout de suite ?
– Tout de suite…
Angélique m’emmena dans sa chambre où un sac était déjà prêt. Elle ôta tous ses vêtements pour passer un short et un t-shirt ainsi que des chaussures de sport. Je fis de même de mon côté, Angélique me tendit un sac vide dans lequel je mis des boissons, de quoi manger et mon appareil photo. Nous partîmes avec notre carte de randonnée, le cœur léger et main dans la main. Après une heure, nous commencions à avoir chaud, je voyais le dessin de la poitrine d’Angélique ressortit à travers sont t-shirt humide de sueur. Je commençais déjà à m’imaginer dans des positions explicites et des situations perverses avec ma belle rouquine. Nous discutions de choses et d’autres, de l’Amour, du sexe, des hommes, de notre vie… Après un moment, Angélique se tourna vers moi.
– Bon, et nous alors ?
– Nous ? Toi et moi ?
– Oui, toi et moi…
– Comment ça
– Explique moi pourquoi je n’ai aucun répit, pourquoi j’ai toujours envie de sexe, et plus particulièrement avec toi ?
– Toi aussi ?
– … Impossible de ne pas y penser, en permanence, je m’imagine avec toi en train de baiser…
– Maintenant aussi ?
– Oui…
– Et qu’est ce que tu imagines ?
– Tu veux vraiment savoir ?
– Oui, bien sûr…
– J’imagine que nous nous promenons nues et que tu me tiens en laisse.
– Et c’est tout ?
– Non, je m’imagine que tu me brusques
– Intéressant… je croyais que c’était moi qui aimais être dominée…
– C’est ma pensée du moment…
– Donc des fois tu me domines ?
– Oui…. Et je peux te dire que je suis très cruelle…
– Mmmmm
– En attendant, c’est moi qui suis à ta merci…
– Et si nous trouvions un coin tranquille ?
– Et si tu arrachais mes vêtements ?
Bien sûr, je ne pouvais qu’accéder à sa requête et je baissais son short avant de le mettre dans mon sac, avant d’y joindre son t-shirt. Maintenant, Angélique était presque nue.
À suivre…
Y’a une suite ?
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De la bonne domination , même si parfois on a du mal à s’y retrouver