Rencontre un soir de match 1 – le métro par Lucas01

Rencontre un soir de match
1 – le métro
par Lucas

Ce soir la nous venions de remporter un beau match avec mon équipe de basket universitaire, le reste de l’équipe est allé fêter cette victoire. J’avais une dure journée le lendemain, ainsi j’ai préféré rentrer me coucher.

A cette heure tardive les stations de métros sont désertes, le trafic va s’arrêter dans une petite demi-heure. Une fois le métro arrivé je monte tranquillement, j’habite a seulement trois stations, le trajet ne sera pas long, je ne prends pas la peine de m’assoir.

Le wagon était vide nous étions trois, a l’arrêt suivant, les deux autres hommes se levèrent en direction de la porte, l’un d’entre eux sorti. Le second avait environ 45 ans, un homme plutôt grand, il était habillé en costume avec une petite mallette, j’ai trouvé çà bizarre un homme d’affaire à une heure aussi tardive. Il se tenait en face de moi, j’étais encore en tenu de basket un long short blanc et mon maillot. Il me regarda avec insistance de la tête au pied, çà en devenais gênant. Très mal à l’aise je me suis donc placé devant la porte, lui tournant un peu le dos. J’attendais impatiemment la fin du trajet. Soudain d’une voix rassurante mais à la fois viril, il engagea le dialogue:

-Tu rentres du basket ?

Je fût surpris par son tutoiement, mais par politesse je répondis avec un sourire:

-Oui
-C’est un sport intéressant, bien que je n’y ai jamais joué. Mais attention à toi tu risque d’attraper froid dans cette tenue après un effort.

J’étais en face de ce parfait inconnu qui me regardait fixement, et pourtant je ne me sentais plus gêné. J’appréciais même son regard à la fois déstabilisant et invitant. Pourtant je n’ai jamais été intéressé par un homme, même si souvent j’ai fantasmé sur des relations homosexuelles. Je me surpris à lui faire un grand sourire en lui répondant:

-Je n’habite pas loin, puis je suis plus à l’aise en short.

A ce moment la, il ne perdit pas un instant pour se rapprocher de moi. Il saisit de son index et son pouce le bas de mon short. J’étais plutôt surpris et je n’ai pas bougé.

-Pourtant il est fin, mais la matière est très douce.

Je sentais ses doigts palper le tissu, et son regard très insistant comme pour lire dans mes yeux s’il pouvait aller plus loin. Je ne pus que bafouiller un:

-Oui

Il retira soudainement sa main, j’étais tellement sous le choc que je n’avais pas sentit le métro ralentir, nous étions arrivé a l’arrêt suivant. J’étais complètement déstabilisé par ce qui venais de se passer, mais très frustré qu’il ait retiré sa main. Je n’avais vraiment pas envie d’en rester la, mes pulsions prenaient le dessus. Quel soulagement quand j’ai n’ai vu personne monter dans le métro ! J’étais impatient de connaitre la suite. Cet homme là me regardait toujours aussi intensément. Mais cette fois-ci il ne bougeait pas, je m’impatientais à attendre un geste de sa part. Peut-être que je ne l’intéressais pas ? Mais pourquoi suis-je tant excité ? Je le vois souriant comme si la situation l’amusait. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris, mais de façon très spontané je me suis rapproché de lui et me mis de profil, en ressortant les fesses comme une invitation à les regarder. Le métro repartit, et me secoua, nous rapprochant encore plus. Sentant que j’allais perdre l’équilibre, un réflexe me fit m’accrocher è sa veste. D’une voix tremblante:

-Excusez-moi.
-Pas grave.

Je me suis rendu compte que a ce moment la je n’avais toujours pas lâché sa veste. Je sentis une main sur ma hanche, il avait passé son bras derrière mon dos me maintenant. Au contact de cette main je fis un petit sursaut. Il était toujours là à me regarder. Je ne comprenais plus rien, une très forte érection monta en moi. Que m’arrive t-il ? Sa main se balade sur ma hanche. Quel plaisir, quel intensité, jamais je n’avais ressentit ça, pas même avec une fille. D’un geste puissant, il me plaça dos à lui et contre lui. Je le sentais se frotter à moi, son sexe gonflant contre mes fesses. C’était tellement excitant que j’ondulais du bassin pour intensifier le contact et le faire grandir ! A ce moment un frisson parcourut mon corps entier, sa main est passée sous mon maillot. Elle est chaude et douce, il caresse mon torse et me provoque un plaisir immense. Quel bonheur de sentir sa main ferme saisir mes tétons. Il est derrière moi, je le sens très dur, il me murmure a l’oreille:

-C’est une première ?

Je bafouille tout ému:

-Oui Monsieur.
-Tu m’appelles monsieur ?
-Non. Euh pardon
-Ne t’excuses pas continues ça m’excite
-D’accord monsieur
-Tu bouges bien, continues comme ça, remue tes fesses

Sa main me saisis par la nuque, il me cambre en avant ! Et me mit une fessé, je poussais un gémissement ! Il recommença encore et encore. Chaque nouveau coup était un vrai plaisir. Nouveau ralentissement, on est arrivé à mon arrêt, toujours personne devant les portes.

– Je descends là
– Non reste

Au son de ses mots une jouissance extrême monta en moi. Un hochement de tête qui signifiait en fait un grand oui, lui fit comprendre que je voulais bien. Il me serra fort contre lui, et il baladait ses lèvres sur mon cou, des frissons de plaisir parcoururent mon corps! Il glissa sa main dans sous mon short, j’étais bien raide et humide. Sa main empoigna ma verge, il la caressait délicatement, tout en embrassant mon cou avec sa langue humide. Je ne tardais pas à éjaculer dans sa main. Je rougis énormément.
-Tu as l’air de beaucoup apprécier.
-Oui monsieur beaucoup.

Il essuya sa main sur mon short. Il me fit lécher ses doigts ensuite. Je sentais ses doigt se promener dans ma bouche, et jouer avec ma langue. Une nouvelle érection se fit sentir aussi tôt. Il ouvrit sa braguette laissant ressortir son sexe, il était dur et épais, circoncit, très beau. Mais pourquoi cet engin m’attirait tellement? J’ai tellement envie de le toucher, le caresser, l’engloutir… D’une main tremblante j’empoignai l’objet de toute ma convoitise ! Il lâcha un soupir. Il m’attira vers les places du fond, et on s’est assis à coté. J’ai caressé sa belle verge, fait des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapides, pendant qu’il m’embrassait. Il saisi ma tête, et j’ai vite compris ce qu’il voulait, j’allai enfin pouvoir goûter a ce fruit appétissant, je m’approchais doucement lorsqu’il me fit remonter.

Le métro s’arrête une nouvelle fois. Cette fois si un homme attendait à la station, il s’est donc rhabillé en vitesse. Il me dit que je pouvais descendre, et me laissa son carton de visite pour l’appeler et m’a dit de passer le lendemain dans la soirée…

La suite au prochain Chapitre…