Quatuor sadomaso par Marie-France Vivier

Quatuor sadomaso par Marie-France Vivier

Comment me présenter ? Je suis Isabelle, j’ai 29 ans (en fait un peu plus) je suis brune, les cheveux mi-long bouclés, ma peau est légèrement mate et mes seins sont lourds, on me dit gentille et souriante, Cédric, mon compagnon est fin, blondinet, plutôt beau gosse et complètement obsédé.

L’échangisme est une pratique qui me gonfle ! C’est bien simple je ne veux pas en entendre parler ! Voir mon mari faire l’amour avec une autre femme est un éventualité que je trouve tout simplement insupportable ! Quant à m’envoyer un autre mec sous les yeux de mon époux, ben ça me gêne. C’est comme ça ! N’allez pourtant pas croire que je suis coincée ou arriérée ! Non, pas du tout, nous formons avec mon mari un couple très libéré, mais nous ne partouzons pas, du moins pas ensemble.

Mais… parce qu’il y a un mais…

Mais depuis quelques mois, nous avons découvert, je devrais dire redécouvert, les plaisirs des jeux SM, il faut croire que c’était latent chez nous car nous nous y sommes mis avec une ardeur très volontariste.

Cela a commencé par des petits trucs, des fessées très panpan cucul, puis des fessées plus sérieuses, puis on s’est acheté un martinet. Pareil pour les pinces, au début on faisait joujou à pinces-tétés, puis on a utilisé des pinces à linges, on en est maintenant aux pinces de sex-shop. On s’attache, on se fout de godes, on se pisse dessus et on se lèche le cul. Nous essayons d’être imaginatif en la matière, et nous amusons souvent à des petits jeux de rôles où chacun à notre tour nous pouvons assouvir nos penchants masochistes…

…et puis un beau jour Cédric me dit :

– Si on essayait de rencontrer un autre couple ?
– Je croyais qu’on était d’accord pour ne pas faire d’échangisme !
– Justement, ce n’est pas de l’échangisme !

L’idée était lancée, alors un jour nous avons passé une annonce sur Vassilia.net : « couple aimant la soumission recherche autre couple qui nous dominerait dans un esprit de respect mutuel. Voici les pratiques que nous aimerions mises en œuvre : fessées à la main, au martinet, à la ceinture, pinces aux seins et au sexe, cire de bougie, uro, nettoyage de cul, scato très légère, gifles, crachats, insultes, humiliations, emploi de mots vulgaires. Nous fantasmons aussi tous les deux sur la bisexualité »

Et on nous a répondu…nous avons sélectionné la réponse d’un couple pas trop loin de chez nous.

On échange deux mails, on se téléphone, on se donne rendez-vous.

Un peu d’appréhension en arrivant dans cette villa de la banlieue sud de Paris. On se présente, Dany est une belle jeune femme avec quelques rondeurs, les cheveux sont blonds décolorés mi-long et raides, on sent qu’elle s’est vêtue pour la circonstance, un pantalon en jean super moulant et un pull-over rose très décolleté, mettant bien en valeur une poitrine que l’on devine avantageuse. Mario est un grand moustachu frisé avec de grandes moustaches, en jean et tee-shirt. Ils ont l’air sympathique mais je les sens un peu anxieux.

– Je vous propose de prendre l’apéro, ça va nous permettre de mieux nous connaître et de voir ensemble comment on peut faire ça, cerner les limites et tout ça… nous prévient notre hôte.
– C’est moi qui donnerait le signal du début de la séance nous prévient Dany, et à ce moment là vous serez nos esclaves.

On approuve, on règle quelques détails pratiques, le temps passe vite et au bout de vingt minutes nos verres sont vides. Mario va pour nous resservir !

– Non tu ne les ressers pas ! Le prochain verre c’est tout à l’heure, maintenant le jeu commence ! Annonce Dany

Appréhension !

– Commencez par vous mettre complètement à poil tous les deux, vous faites ça sans un mot et quand ce sera fait vous vous agenouillerez ici

Je le fais, échangeant un regard avec Cédric, cherchant une étincelle de complicité, de réconfort, mais rien ne vient, il est aussi mal à l’aise que moi.

Nous sommes nus, à genoux : Dany n’a pas un regard vers mon mari, elle s’approche de moi, me toise avec un mépris, que j’espère simulé, et me crache au visage !

– Tiens poufiasse !

Après ce grand moment de romantisme, une gifle suit !

– T’es priée d’ouvrir la bouche quand je te crache à la gueule, espèce de pute et tu dois me remercier.

J’ouvre la bouche, avale le second crachat ! La situation commence à m’exciter.

– Merci, Dany !
– De rien ! Lève ton gros cul, pétasse, que je qu’examine la marchandise ! Qu’est ce que tu en penses, toi Mario ?
– Pas mal, jolie poitrine !

Il s’avance vers moi, me malaxe les nichons comme si on était à la foire aux bestiaux, me pince les bouts des seins, me les tord, je crie, mais c’est bon !

– Arrête de gueuler s’il te plait, la fête ne vient que de commencer ! Me dit-il en me giflant le sein ! Et tourne-toi qu’on voit un peu ton cul ! Penche-toi et écarte-moi tout ça, on a envie de voir ton trou à merde !

Je fis ce qu’il me demandait, m’excitant de prendre une pose aussi obscène !

– T’as dû en recevoir des bites dans ton cul de salopes ? Hein, réponds-moi !
– Ben pas tant que ça, en fait…
– Si, si ça se voit, mais je comprends que tu ne veuilles pas le dire devant ton mari, ton cocu de mari. Hummm, elles sont jolies, ces fesses !

Mario se mit alors à me fesser à mains nues, il tapait fort, plus fort que Cédric, mais ça restait supportable.

– Hum… elle me fait bander cette salope !

Il se recule, et ouvre sa braguette, libérant une belle verge bien tendue !

– Alors elle te plait ma bite ?
– Oui, elle est belle !
– T’aimerais bien la sucer, hein ?
– Oui, j’aimerais bien !
– Et devant ton mari, en plus, t’es vraiment une salope !
– Je sais !
– T’aimerais bien que je te la foute dans le cul aussi ?
– Pourquoi pas ?
– Et bien pas de bol, c’est pas pour toi ! Tiens, toi au lieu de rêver dans ton coin… dit-il en s’adressant à mon mari, vient donc goûter à ma bite !

Cédric ne se fit pas prier, s’avança et engouffra la bite de notre hôte sans aucun problème !

– Allez suce-moi bien, pédé !

Depuis le temps que mon mari m’en parlait, mais le voir réaliser son fantasme comme ça devant moi me faisait tout drôle !

– Tu as vu ce qu’il fait ton pédé de mari ? Il suce des bites ! M’invectiva Dany ! Dis-moi ce que ça te fait !
– Ça m’excite !
– Et ça va t’exciter aussi quand tout à l’heure Mario va bien l’enculer ?
– Je crois oui !
– Tu n’es qu’une grosse salope ! Ouvre la bouche !

De nouveau elle me cracha dessus !

– Merci !
– Bon, on fait un peu n’importe quoi ! Toi le pédé, arrête de sucer et viens au pied du fauteuil avec ta morue !

Dany s’assit, et retira ses mules !

– Maintenant vous aller me lécher les pieds tous les deux ! Et vous léchez bien, je veux que ça bave ! Mario passe derrière eux et fout-leur des claques sur les fesses pendant qu’ils font ça, ça va les stimuler !

Ce qui était évident c’est que ces pieds ne venaient pas d’être lavés, ils sentaient même assez forts, mais le premier mouvement de recul passé, je m’efforçais de lécher ce joli panard bien dessiné, en me concentrant sur les orteils, le gros surtout que je léchais comme s’il s’était agit d’une petite bite ! Quant aux coups que nous assénaient le grand frisé, cela m’émoustillait merveilleusement, d’autant qu’il les accompagnait d’insultes diverses :  » tiens prend ça, grosse pouffe, tiens gros pédé… et autres gentillesses ». Dany se leva, et alla chercher deux colliers de chiens qu’elle passa autour de mon cou et autour de celui de mon mari, Mario arrive alors avec une cravache et nous la fait « goûter » de deux brefs coups très secs, ensuite Dany tira sur les laisses et nous demanda de la suivre, mais en restant à quatre pattes. On emprunta un petit escalier, pas évident de descendre un escalier à quatre pattes. Heureusement Mario nous frappait modérément et sans nous presser.

– Voilà notre petit donjon ! Déclara fièrement Mario, en ouvrant ce qui avait dû être une ancienne cave, ça ne m’a pas coûté trop cher, j’ai bricolé moi-même les deux croix de St André et j’ai retapé une vielle cage à chien ! Ça vous plait, j’espère ?

Amusant, le type qui un moment abandonne son rôle de dominateur pour adopter le point de vue du propriétaire. La pièce est arrangée avec un certain goût, le mur a été reblanchi à la chaux, le sol recarrelé, il y a sur les planches tout un assortiment de godes, de pinces, de poids et d’autres trucs dont je ne comprends pas toujours la destination. Tout cela est très propre. Sur un petit guéridon est disposé un petit service de coupes à champagne, mais je ne vois pas de bouteille.

Ils nous avaient prévenus qu’ils n’étaient pas trop fétichistes, Dany est restée habillée, Mario aussi, bien qu’il soit toujours la braguette ouverte et le zizi sorti !

Ce dernier s’en va chercher deux petites pinces à linges toute roses et sans aucun ménagement me les accroche au bout de mes seins. Elles serrent un peu fort, je serre les dents, m’efforce de ne pas crier.

– Supporte, me dit-il ! C’est rien du tout !

Et tout en me parlant il les fait bouger dans tous les sens. Je crie, ça fait mal mais c’est bon ! Je commence à m’habituer mais Mario me les retire, les replace aussitôt ! Oh, là là, ça fait très mal, puis il recommence à les bouger, des frissons bizarres me parcourent le corps, instant particulier où la douleur et le plaisir se croisent en de larges frémissements. Il s’amuse à ouvrir et à refermer les pinces, plusieurs fois de suite, des dizaines de fois de suite… Je pousse des « Ah ! Ah ! » Tandis que mon entre-jambe devient tout mouillé !

– On va rajouter des poids !

Est ce que je vais supporter ? Oui, mais ça commence à être dur. Sa femme arrive avec une autre paire de pinces à linge et les fixe sur mes grandes lèvres vaginales, puis y ajoute des pinces ! C’est trop je ne vais jamais supporter tout ça.

– A quatre pattes ! Ordonne Dany

Et, oui, dans cette position il n’y a rien qui puisse amortir le poids des plombs qui se balancent librement au bout des pinces, mes tétons et mes lèvres sont tiraillées par milles feux… Un coup de cravache vient soudain me cingler le cul !

– Avance, pute !

J’avance péniblement, avec toute cette quincaillerie ce n’est pas évident, mais les coups de cravache me font avancer. Trois fois ils me font faire le tour de la pièce. Je n’en peux plus. Faut-il que je leur dise ou seront-ils assez intelligents pour s’en rendre compte ?

– Relève-toi !
– Elle me fait bander, cette salope, confie Mario à son épouse !

Et en disant cela il entreprend de se déshabiller. Enfin ! Il est plutôt bel homme. Son érection est assez fantastique, j’ai soudain envie de lui sucer sa bite et pour la première fois l’idée d’un mélangisme non SM me traverse alors l’esprit. Il a dû s’apercevoir de mon regard, mais il ne dit rien d’abord m’enlevant plutôt délicatement les pinces. Le retrait est toujours douloureux le temps que le sang se remette à circuler

– Décidément, tu la voudrais bien ma bite ? Hein salope ?
– Oui ! J’aimerais bien te la sucer ! M’entendis-je répondre.
– On t’a déjà dit que c’était pas pour toi ! Et tu vas nous dire pour qui c’est, ma belle bite
– Pour mon mari je suppose ?

Je reçois une baffe !

– Ce n’est pas la bonne réponse
– Je ne sais pas
– Tu dois dire, « ta bonne bite, ce n’est pas pour moi, c’est pour le pédé qui me sert de mari. »
– D’accord, ce n’est pas pour moi, c’est pour le pédé qui me sert de mari. Répétais-je comme un perroquet

Dany s’est enfin déshabillé, elle est belle, ses seins sont assez lourds, pales, laiteux, terminés par des pointes déjà bien excitées, la chatte n’est pas rasée, et est plutôt assez fournie. Elle s’approche de moi.

– Tu n’as pas honte, petite pute de faire bander mon mari !
– Non pas vraiment ! Crus-je intelligent de répondre.
– Alors ouvre la bouche ! Ou plutôt non, demande-moi de te cracher à la gueule
– Crache moi dessus Dany, je le mérite !

J’ouvre un large bec et en reçois plein des gencives.

– C’est la première fois que tu te fais cracher dessus par une femme !
– Ben oui !
– Tu sais que tu m’excites ?
– Tant mieux, non ?
– T’es vraiment une salope !

Et la voilà qu’elle se colle à ma bouche, nous échangeons un long baiser baveux, qui n’a plus rien à voir avec de la domination. Puis elle se reprend et se dirige vers mon mari. Avec l’aide de Mario, il l’attache sur une des croix de St André, mais par devant. Il a immédiatement droit à une pince sur chaque téton et deux autres sur chaque testicule, il commence à faire un drôle de grimace. Ils accrochent les poids, ça devient spectaculaire, toute cette chair étirée. Puis Dany interroge son compagnon.

– Je le fais ou tu le fais ?
– Fais le c’est plus excitant !
– Oui, mais je suis moins douée que toi !

Qu’est ce qu’ils projettent donc de lui faire, à mon homme ?

– Justement, c’est ça qui est excitant !
– Bon, on y va, conclue Dany qui revient avec une cravache
– Tu devrais prendre le martinet, c’est plus pratique….

Elle change donc d’instrument, revient, prépare son coup et vise la poitrine de Cédric, la pince tremble. Il hurle ! Dany se demande un instant si elle n’est pas allée trop fort, échange un bref regard avec sa victime, non tout va bien. C’est reparti ! Et cette fois la pince bouge mais sans tomber. Nouveau hurlement, nouvel échange de regard, Troisième coup ! Rien ne se passe.

– Si tu n’y arrives pas tu vas avoir un gage ! Rigole Mario !
– Pourquoi pas ?

Quatrième coup, la pince saute et dégringole, elle ne laisse pas cette fois-ci Cédric récupérer, ajuste son coup sur la seconde pince et la fait sauter à son tour.

– Quatre coups c’est pas mal ! Se vante Dany ! Tu veux essayer de faire mieux ?
– Je devrais pouvoir !

La tête de Cédric ! Il va donc devoir supporter une nouvelle séance identique. Manifestement il hésite à dire quelque chose. Mais bizarrement on le détache, sans lui enlever ses pinces aux testicules, et c’est moi qui le remplace sur la croix ! Ah les salauds ! Comme si je n’ai pas assez dégusté tout à l’heure. Et c’est reparti, une pince à chaque sein avec son poids, une double pince sur chaque lèvre. Pas très rassurée, mais comme l’objectif est de faire moins de coups que sa femme, je devrais souffrir moins que mon mari. Ça y est, il arme son coup !

– Aieeeee !

Complètement raté, mais les coups de martinets sur les seins, ça n’a rien d’agréable. Deuxième coup ! La pince dégringole ! Il doit donc faire tomber la seconde pince sur le troisième coup !

– Allez, cingle-lui les nichons à cette pute ! L’encourage, Dany excitée comme c’est pas possible.

Mario assure son coup, ça part, ça cingle, ça fait mal, je crie, la pince est toujours là !

– Donne-moi ça ! Intervient Dany, lui reprenant le martinet.

Elle aussi rate son coup, elle ne tient pas compte de mes hurlements, et dans la foulée m’en assène un second, tout aussi mauvais, puis un troisième, je n’arrête pas de crier, ça y est la pince est tombée. J’ai mal, j’ai horriblement mal, les larmes me viennent aux yeux. Alors Dany s’approche de moi et me console avec un long baiser tout en n’omettant pas de me caresser partout. Quelle soirée. ! On me détache.

– Ça va ? Nous demande-t-elle.

On les rassure !

– Vous devez avoir soif, mes pauvres chéris ! Reprend-elle.
– Oui, ça nous ferait du bien !

Alors Dany, va chercher l’un des verres sur le petit guéridon et se met devant nous à pisser dedans ! Evidemment elle en met à côté, mais ça ne fait rien elle remplit encore un second verre.

– Tu en as foutu plein par terre ! Intervient Mario.
– Et alors, on a des esclaves pour nettoyer, non ? Répond-elle. Allez tous les deux lécher moi toute cette pisse, et plus vite que ça !

Nous voilà vautrés sur le sol à lécher le pipi de notre hôtesse d’un soir. Moi qui ne connaissais que le goût de celui de mon mari, j’avoue que celui-ci n’est pas mauvais, mais j’aurais préféré le boire à la source. Quelques coups de martinet sur nos fesses nous font accélérer. On se relève. Dany a ajusté les doses dans quatre verres différents. Elle nous distribue les nôtres. Nous trinquons ! Trinquer à l’urine, quelle drôle d’idée !

– Cul sec ! Ordonne Dany

Je manque de m’étouffer, mais je le fais, ça a un peu du mal à passer, d’habitude j’ingurgite ce curieux breuvage par toutes petites quantités à la fois, là ça fait beaucoup mais ça passe !

– Remets-toi à quatre pattes ! M’ordonne soudain Dany

Que va-t-elle encore inventer, là voilà qui me contourne, elle commence par m’embrasser les fesses, voici qui me conviens très bien, puis je sens sa langue fureter vers mon trou du cul.

– Dis donc, petite pute, ça ne sent pas vraiment la rose, ton trou du cul !
– Mais c’est comme ça que tu les aimes, non ?
– Impertinente ! Répond-elle ponctuant sa réponse d’une bonne claque sur la fesse. En fait, ça sent la merde ! Tu n’as pas honte de te balader avec un cul qui sent la merde ?
– Non, j’ai pas honte !

Nouvelle claque sur les fesses !

– Tu vas voir ce qui va t’arriver, petite salope, petite merdeuse ! Tu vois mon doigt, tu vas le lécher, et ensuite je vais te le foutre dans le cul et après quand je vais le rassortir tu vas le lécher à nouveau…. et même s’il est sale ! D’accord ?
– Vas-y !

Je lèche le doigt, elle me l’enfonce dans le troufignon, le fait tourner latéralement puis en va-et-vient, il ressort… assez pollué

– Berk, j’ai le doigt plein de merde, maintenant ! Allez suce !

J’ai eu peur qu’il y en ait de trop, mais là ça va, le contact âcre de la matière ne me dérange pas plus que ça, je lèche le doigt consciencieusement. Et je décide d’être provocatrice !

– Encore !
– Non, ça te ferait trop plaisir !

Puis elle me laisse et s’empare d’un gode ceinture avec lequel elle s’harnache.

– Allez toi la pédale, amène-toi, et viens me sucer cette jolie bite en plastique !

Cédric n’hésite même pas un instant et se met à sucer le gode comme s’il avait fait ça toute sa vie, il va falloir que je lui pose deux ou trois questions à ce zigoto quand nous aurons fini la séance.

– T’aime ça sucer des bites, hein ?
– Hummmm.
– Ne parle pas la bouche pleine, je ne demandais pas de réponse. Tu sais ce qu’on fera la prochaine fois, on a deux couples d’amis dont les maris sont aussi pédés que toi, on va organiser un super truc et on te fera sucer toutes les bites, les unes après les autres.

A cette évocation, Cédric bande comme un mulet.

– Bon, assez sucé, maintenant tu te tournes et tu nous tends ton cul de salope !

Dany lui fait écarter les fesses et lui badigeonne l’endroit avec du gel, puis elle approche le gode, fit une première tentative, le gode ripe, je me marre, deuxième tentative, ça ripe encore. Mario vient l’aider à écarter les fesses et cette fois ça rentre. Ce n’est pas une brute, elle y va doucement

– Oumpfff ! Ompfff !
– Qu’est ce qu’il y a, ça te plait pas ?
– Si, si mais faut que je m’habitue répond Cédric
– T’inquiètes pas, ça vient vite !

Dany accélère ses va-et-vient, mon petit mari à l’air aux anges, mais au bout de quelques minutes Dany s’arrête, et fait ressortir le gode !

– Ben dis donc, mon cochon, tu as vu dans quel état tu as mit le gode, il est tout merdeux !
– Je suis désolé ! Répondit-il histoire de dire quelque chose.
– A genoux et suce !

Je me demande s’il va le faire, on avait évoqué cette pratique tout à l’heure, entre nous on ne l’avait jamais fait… du moins pas à ce point, mais passer du fantasme à la réalité est parfois difficile. Il finit par le faire, d’abord assez timidement, puis de façon plus appliqué. Dany a l’intelligence de ne pas lui demander un nettoyage complet qu’il n’aurait peut-être pas assumé.

– Voilà, le passage est fait, Mario, tu peux enculer cette pédale.

Mario prend alors un préservatif, et vient se placer derrière mon mari ! Cette fois-ci ça rentre du premier coup ! Quel curieux spectacle de voir deux hommes qui s’enculent, j’en suis toute mouillée de voir ça ! Je ne vois pas le visage de mon mari qui s’est mis la tête entre les mains, mais les cris qu’il pousse sont très bon signe, tout va bien pour lui, je m’approche ainsi que Dany pour voir de près le mouvement de piston de cette bonne bite qui lui rentre et qui lui sort du cul. Puis soudain Mario décule, contourne Cédric, enlève très vite la capote et lui décharge sur le visage.

– Avale !

Cédric avale mollement ! L’autre respire !

– Tu veux jouir ? demande-t-il

« Qu’il se réserve pour me baiser ! » Pensais-je fortement à ce moment-là, « Mais non, ce grand couillon lui dit qu’il va se branler ! Et moi alors ? »

Un regard échangé avec Dany, on s’est comprise. Déjà elle m’enlace, elle m’embrasse, me suce les tétons, descend sur mon pubis, me lèche le sexe.

– Mets-toi par terre !

Je pose mon cul sur le carrelage ! Un instant après j’y suis allongée, Dany est sur moi, ses mains me parcourent la peau, j’en fais de même, nos bouches explorent nos corps. Je ne sais pas par quelle magie nous nous sommes retrouvées en soixante neuf, mais j’ai maintenant sa chatte dans ma bouche, je lèche, je suce, ça sent un peu la pisse, mais ce n’est pas gênant, je lui mettrais bien un doigt dans le cul pour lui rendre la politesse…

– Tu feras ça après, ça va me déconcentrer !

Dans ce cas je continue, je m’applique à la sucer, pas évident, car de son côté elle est redoutable et me fait de sa langue monter mon plaisir, je finis par venir dans un fracas impudique. Le temps de reprendre mes esprits ma langue reprend son travail, ses halètements sont bon signe, ça va venir, et ça vient. Elle ne bouge plus, reste comme ça avec sa chatte à dix centimètres de ma bouche et tout d’un coup c’est la pluie, la voilà qui pisse comme une fontaine et moi j’ouvre la bouche pour avaler tout ça !

On se relève !

– Vous avez été super ! Nous dit alors Mario. Je vous propose une petite douche et après on va se faire une petite bouffe ! Un bon roastbeef dans le filet avec des frites, vous n’avez rien contre ?

Pas de problème, je vais à la douche en premier avec Cédric !

– Dis donc mon salaud, tu aurais pu venir me prendre à la fin au lieu de te branler !
– J’ai pas osé leur proposer, mais tu n’as rien perdu au change, ça t’a permis de t’envoyer Dany
– Les deux ne m’auraient pas fait peur !
– Alors tu vas te venger ?
– Un peu, oui, tu vas voir à la maison, la petite séance à deux que je vais te faire !
– Chic alors ! Me répondit-il en m’envoyant une grande tape sur le cul.

C’est pas mal tout ça, c’est beau, tout s’est bien passé, n’est-ce pas ? Sauf que tout ce que vous venez de lire, c’est nous qui l’avons fantasmé en attendant le rendez-vous, parce que la réalité a été tout autre :

Un peu d’appréhension en arrivant dans cette villa de la banlieue sud de Paris. La dame nous ouvre avec un « Ah, c’est vous ? » peu avenant. Le mari arrive, je sens que quelque chose ne va pas, on dirait qu’il a bu un coup. Pas de présentations. Les photos qu’ils nous ont adressées, c’est bien eux, mais en vrai ils paraissent bien dégradés.

– Bon, mettez vous à poil, on arrive ! Nous ordonne le maître des lieux
– Ah bon ! On commence tout de suite ?
– Bien sûr qu’on commence tout de suite.
– On aurait pu discuter un peu avant ?
– Discuter de quoi, y’a pas besoin de discuter.
– Ben, parler de nos limites, de nos tabous.
– On en a parlé dans le mail.
– C’est resté vague…
– Bon, vous vous mettez à poil ou pas ?
– Attendez, on est bien d’accord, il y a un mot de sécurité ?
– Evidemment, mais on ne va vous tuer.
– C’est quoi le mot de sécurité ?
– Je sais pas moi : « sécurité ». Bon on y va ?

On se met à poil, eux reste habillées, ça me gêne un peu, le mec me regarde comme si j’étais un objet de consommation courante.

– T’es bien balancée, toi ! Dit-il en me pelotant les nichons sans douceur.

Il sort sa bite de sa braguette.

– Viens me sucer !
– Comme ça, tout de suite ?
– T’es une soumise ou pas, les soumises ça ne discute pas.

Je suis tétanisée, je ne sais pas quoi faire. Je croise le regard de mon mari qui à l’air aussi gêné que moi !

– Ben alors ? S’impatient le bonhomme, tu me suces ou tu attends la chute des feuilles.

Il me tire les cheveux, il me fait mal. Je respire un bon coup, approche ma bouche de cette bite, puis je me redresse, je ne peux pas. Je savais bien que dans le cadre d’une séance comme-celle-ci on me ferait sucer de la bite, mais je voyais ça comme un aboutissement de l’acte de soumission, pas comme un préalable. Et puis je ne sens pas ces gens-là, ils ne m’inspirent ni sympathie, ni confiance.

– Non, mais c’est pas possible, c’est pas la peine de passer des annonces pour ensuite faire des manières de chochotte. S’énerve le bonhomme

J’essaie de dire quelque chose, mais ça ne sort pas.

– Rhabillez-vous et foutez-moi le camps, bande de nazes.

On est parti, on a été se consoler en allant manger une pizza.

– On recommencera, des gens sympas qui font du SM, ça doit bien exister, non ? Me dit mon mari.
– Bien sûr que ça doit exister ! La prochaine fois on demandera un entretien préalable dans un bistrot.

FIN

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9 réponses à Quatuor sadomaso par Marie-France Vivier

  1. Rominet dit :

    Un peu désabusée, la dame, on dirait …

  2. Isidore dit :

    Pas toujours simple le monde des petites annonces

  3. Darrigade dit :

    Plus dure fut la chute

  4. Muller dit :

    Bien vu, bien écrit et assez réaliste

    • Eddy dit :

      Je vais demander des précisions à Marie-France et s’il se confirme que la plagiat est avéré nous détruirons ce texte, merci de nous l’avoir signalé

      • Marie-France Vivier dit :

        Explication :

        J’ai reconstitué ce qui s’était passé, voilà : il y a plusieurs années j’avais copié-collé le texte de Wanda-Lee sur un fichier Word afin de l’imprimer et de le lire dans le train. Plus de 10 ans plus tard je retrouve ce texte dans mes archives sans me souvenir d’où ça sortait, j’ai un peui cherché sur Google d’où ça venait mais Google ne m’a pas aidé. Vilain Google. J’ai donc arrangé ça à ma sauce.

        Suite au commentaire de Dan, j’ai informé Wanda-Lee par mail qui me répond « ça n’a aucune importance, la seule chose que je te demande c’est de mettre un lien sur mon texte d’origine ». Chose qui est déjà faite par un précédent intervenant.

        Maintenant si Eddy veut retirer le texte, je le comprendrais parfaitement et n’en ferais pas une maladie

        Bisous

  5. Baruchel dit :

    Elle serait pas un peu désabusée, la petite dame qui nous raconte tout ça ?
    On peut d’ailleurs trouver le twist final artificiel, mais après tout c’est aussi bien que ceux qui nous font prendre des vessies pour des lanternes

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