Muriel et Sylvain, couple coquin. 8 – Les caprices d’Isabelle par Sylvain_Zerberg

 

Muriel et Sylvain, couple coquin.
8 – Les caprices d’Isabelle
par Sylvain_Zerberg

J’achetais donc le gode-ceinture demandé et lui offrais en rentrant du boulot le lundi soir.

Je m’étais auparavant mis à fantasmer. Peut-être m’attendrait-elle en nuisette sexy et qu’elle me sauterait dessus pour inaugurer son nouveau jouet.

En fait, non, elle devait être en petite forme, elle remisa l’objet dans un coin, et s’en alla finir de préparer le repas du soir.

Nous dinions donc tranquillement quand mon téléphone portable sonna, le numéro ne me disait rien.

– Bonjour c’est Isabelle, vous vous souvenez de moi ?
– Isabelle, Isabelle, non je ne vois pas ce doit être une erreur.
– Nous nous étions parlé dans les vestiaires d’une boite échangiste, vendredi soir.
– Ah, oui !
– Vous êtes toujours d’accord, bien sûr ?
– Ben, je ne sais pas trop ?
– Pour 300 euros vous me baisez, et vous baisez avec mon mari. Vous pouvez même avoir 200 euros de plus si vous ne me touchez pas.
– Je peux vous rappeler, je suis en train de manger, là.

Muriel me fait de grands yeux étonnés !

– C’était qui ?
– Une erreur !
– Une erreur et tu vas rappeler ?
– J’ai dit ça comme ça !
– Bon c’est qui cette Isabelle ?

Je finis par lui raconter et lui dire qu’il s’agissait de la femme qui lui à léché brièvement le téton avant qu’elle ne sorte de l’établissement !

– Et pourquoi tu ne m’en as pas parlé ?
– J’avais oublié…
– Rappelles-la et dis-lui que tu es d’accord ?
– Mais Muriel ?
– Tu ne vas pas cracher devant 500 euros, non ? Seulement ce sera moitié-moitié, 250 pour moi, 250 pour toi.

Glups !

– Cela dit, ça m’embête un peu que tu ailles faire des trucs sans moi !
– Faudrait savoir !
– Quand tu vas la rappeler, l’air de rien tu lui expliqueras que j’existe… et que ça ne me déplairait pas d’assister au spectacle.

Je l’ai fait.

Le lendemain après ma journée de travail, je rencontrais Isabelle qui souhaitait m’avait-elle précisé « une sorte d’entretien préalable ». On avait rendez-vous près d’une sortie de métro, à quelques minutes d’un café où nous sommes rentrés.

Curieux ce bistrot, où j’aperçois à une table deux hommes assez jeunes en train de se rouler une pelle.

Elle s’assit sur la banquette, j’allais pour m’assoir en face d’elle, mais elle me demanda de m’installer à ses côtés. Je n’allais pas refuser.

– T’as apporté la photo de ta femme ?

Je lui montre

– Ah ! C’est elle ! Un canon en effet, je l’avais remarquée. Le genre de nana que j’aimerai bien dominer
– Je ne sais pas si elle sera d’accord !
– On verra bien, je la rencontrerais, ce doit être une belle salope, elle a dû en sucer des bites… Et toi mon pauvre tu dois être cocu comme le loup blanc… mais chaque chose en son temps.
– En fait, il n’y a pas si longtemps… commençais-je.
– Tu me raconteras ça après… voyons voir si tu es en forme, me coupa-t-elle en me mettant la main à la braguette.

Je bandais déjà, elle me demanda d’ouvrir tout ça et de libérer mon sexe. Elle commença alors à me masturber doucement.

– Bonjour Madame Isabelle ! Ces messieurs dame désirent. Demanda le serveur.

Le serveur est assez peu viril, il fait même assez efféminé, en insistant, il pourrait être troublant.

– Venez donc par-là, je vais vous montrer quelque chose ! Répond Isabelle.

Ce n’est pas possible, il va me voir avec la bite à l’air, je tente de me dégager, mais elle s’y oppose.

– Oh ! Monsieur a une bien belle bite ! Félicitations.

Je dois être aussi rouge qu’une tomate.

– Touchez-là ! Proposa-t-elle au serveur.

Et moi, on ne me demande pas mon avis ? Avant que j’ai eu le temps de réagir, le garçon après s’être assuré que personne ne le voyait, me met la main à la queue. Faut surtout pas se gêner. Il se baisse et m’engloutit ma bite sans sa bouche en faisant remuer la langue. L’affaire n’a duré que quelques secondes.

Je suis excité, mais cette femme est complétement folle et me fais prendre des risques insensés, il n’est pas question que je reste une seconde de plus avec cette cinglée.

– Qu’est-ce que je vous sers ?
– Un thé au citron.
– Et monsieur !
– Rien, je viens de me rappeler qu’il faut que je donne à manger à mon poisson rouge.

Je me lève. Isabelle ne me retient pas.

– Monsieur devrait fermer sa braguette ! Me conseille le serveur.

OK, je rectifie la position.

– Vous avez grand tort de quitter Madame Isabelle, c’est une personne charmante et surprenante, on ne se lasse pas de s’amuser avec elle.

Je ne réponds pas et sors de l’établissement. Je fais quoi ? Le métro n’est pas trop loin, mais je suis énervé, boire un coup dans un bar me ferait peut-être du bien. Je marche cinq minutes. Quelqu’un me rattrape. C’est le barman ! Il commence à devenir collant, le suceur de bites !

– Madame Isabelle m’a donné ça pour vous !

J’aurais pu refuser, je prends le papelard par réflexe et le lit :

« Ce n’est pas très gentil de vous être sauvé sans m’embrasser, venez donc réparer cet affront, petit garnement. Et après je vous laisserais, si vous le désirez. »

Au lieu de l’envoyer paître, j’hésite (pourquoi ?). La beauté de cette femme me fascine, mais il n’est pas question qu’elle me traite comme un jouet. Je prends donc la décision de revenir, mais aussi de définir clairement quels seront nos futurs rapports.

Elle sourit en me revoyant revenir :

– Assied-toi, non pas là, tu viens à côté de moi, tu ouvres ta braguette et tu sors ta bite.
– Ecoutez chère madame…
– Tss, tss, je ne demande pas mieux de t’écouter, mais tu commences par faire ce que je t’ai demandé et après tu m’embrasses. !

Je n’aurais pas dû revenir, ses griffes sont trop fortes pour moi. Cette femme est trop belle, j’en suis sans doute amoureux. Je ne suis plus qu’un pantin qui se laisse branler la bite, mais quand nos lèvres se rencontrent pour un long baiser baveux, quel mémorable délice !

Le serveur revient interrompant notre baiser. Il chuchote quelque chose à l’oreille d’Isabelle.

– Mais pas de soucis, Pierre. Il va vous rejoindre.

Je n’avais pas compris qu’elle parlait de moi. Mais elle m’explique.

– Tu vas descendre aux toilettes, il y a une porte marqué « privé » ce sont les anciennes toilettes, tu rentres dans la cabine et tu te mets à poil, Quand Pierre tapera à la porte, tu le laisseras rentrer, et tu feras ce qu’il te dira de faire. Vous avez un quart d’heure pas plus. Allez, dépêche-toi !
– Mais…
– Il n’y a pas de mais, si tu veux me baiser, il faut accepter tous mes caprices.

Comme un zombi, je me dirige vers les toilettes, en passant je vois trois jeunes hommes assis sur la même banquette, la position de leur mains ne laisse aucun doute sur ce qu’ils sont en train de faire.

Je descends, il y a deux urinoirs mitoyens. Je n’en crois pas mes yeux, deux hommes sont là, le pantalon baissé, les fesses à l’air et ils se branlent mutuellement. Un troisième les regarde en se masturbant. La gorge sèche, je tente d’ouvrir la porte de la cabine. Elle ne s’ouvre pas.

– Y’ du monde ! Me dit une voix.

Je fais quoi ? Je vais pour remonter, mais voilà Pierre le serveur qui déboule. Il comprend que la cabine est occupée.

– On va attendre ! Me dit-il.

Ben voyons.

Il me demande de sortir ma bite, et entreprend de me sucer. Il suce d’ailleurs très bien. Au fond, aux urinoirs, la situation a changé, l’un des hommes s’est mis à genoux, et il suce alternativement les bites des deux autres. C’est quoi cet endroit ?

Ma bite devient toute raide sous la langue experte de Pierre, s’il continue à ce rythme, je vais éclater. Mais il stoppe sa fellation, défait son pantalon, se tourne et me présente une jolie paire de fesses. Il me tend un préservatif :

– Encule-moi !

J’obéis, et enfonce sans aucune difficulté ma bite dans le trou du cul du serveur efféminé. Sous mes coups de boutoir, il pousse des hi et des han, et je ne tarde pas à jouir en me demandant quand même ce que je fais dans ce lieu !

– Merci ! Me dit le zigoto.
– Y’a pas de quoi !

Il n’a pas jouis et n’a pas envie de le faire… l’affaire est donc terminée, je me réajuste et remonte.

– Alors raconte ! Me demande Isabelle.
– Ben il m’a sucé et après je l’ai enculé.
– Tu aimes ça : enculer les mecs ?
– En fait, je préfère le contraire !
– Je m’en doutais, mais je connais le moyen d’arranger ça. Viens dit-elle en se levant.
– On va où ?
– Te faire enculer !

Alors, je la suivis

(À suivre)

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6 réponses à Muriel et Sylvain, couple coquin. 8 – Les caprices d’Isabelle par Sylvain_Zerberg

  1. Darrigade dit :

    C’est très bon mais deux petite remarques :
    1) je ne comprend pas bien le sens de cette phrase « – Pour 300 euros vous me baisez, et vous baisez avec mon mari. Vous pouvez même avoir 200 euros de plus si vous ne me touchez pas. »
    2) L’expression cocu comme le loup blanc n’existe pas, c’est volontaire ou pas

    • Sylvain Zerberg dit :

      Sur le point 1 tout est expliqué dans le chapitre 6
      Sur le point 2 c’est effectivement un détournement volontaire d’expression

  2. fausto dit :

    L’imagination est au pouvoir !

  3. mignard dit :

    Complètement débridé et décomplexé, j’adore !

  4. Darrigade dit :

    Elle est vraiment bien cette série, avec tout ce quil faut pour nous faire bien bander la bite

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