Les souvenirs de Didi 3 – Camil par Didi_du_Québec

Les souvenirs de Didi
3 – Camil
par didi

J’ai longuement réfléchi avant de continuer à écrire la suite de mes souvenirs.

Si mes récits peuvent paraître un peu fades je m’en excuse, mais je n’essaie pas de dire des mensonges. Pour tous ceux qui m’ont envoyé des E-mails, si vous avez reçu une réponse, alors c’est que je vous ai choisis!!! Pour les autres, soyez un peu plus imaginatifs…

De jour en jour, mon intérêt pour la sexualité grandissait et il fallait que je découvre de nouvelles choses.

Pour vous situer un peu, je vous raconte ce qui m’est arrivé vers la fin des années 1970.

Je vais avoir 59 ans en juin prochain, je n’ai aucune honte à l’affirmer et même : j’en suis très fière.

Avec ce qui m’était arrivé depuis que je travaillais à l’Hôpital, j’étais devenue très populaire auprès de beaucoup de mes patients. J’avais aussi les confidences de plusieurs de mes collègues de travail et plus particulièrement celle de Camil : un beau grand blond frisé qui travaillait au même étage que moi mais qui était « Préposé aux bénéficiaires », ce qui faisait que nos travaux respectifs étaient complémentaires.

J’ai bien essayé d’avoir des « contacts sexuels » avec lui, mais il a été vraiment très franc avec moi, en se confiant : il était homosexuel mais il gardait ça secret, et j’étais une des rares femmes à le savoir. Il m’a fait promettre de ne rien dire, car il faut bien se souvenir qu’à cette époque, c’était mal vu d’afficher son homosexualité, surtout dans le monde très macho des années 1970.

Je remerciai Camil de sa franchise mais j’étais bien curieuse de savoir ce que faisaient les hommes entre eux durant leurs relations sexuelles…

C’est ainsi que je suis devenue pas mal plus délurée et un brin sadique sur les bords.

J’avais à prendre soin d’un patient qui avait les deux bras cassés, mais qui avait une terrible érection chaque matin. Je faisais semblant de ne rien remarquer mais je voyais bien les couvertures de son lit qui montaient et descendaient, car son pénis était prisonnier sous les draps bien tendus de chaque côté du lit.

Mon patient devait vraiment souffrir car il ne pouvait pas utiliser ses mains pour se masturber et ainsi se soulager un peu…

J’en ai profité pour me pencher près de son visage et lui faire voir mon décolleté, laissant apparaître le haut de mes gros seins (90-C) qui ballottaient librement. Mon patient poussa un cri et il eut les larmes aux yeux. Il me confia qu’il n’en pouvait plus et selon son expression, « que ses gosses (couilles) allaient exploser ».

Je soulevai les draps et sa verge bondit comme un ressort. Je fis semblant d’être étonnée et je mis ma main sous son scrotum pour le tâter un peu. Son sexe bougeait dans tous les sens comme s’il avait le hoquet… Je lui dis fermement de se calmer un peu et je pris un ton dur, car j’aimais avoir le contrôle de la situation.

Je lui dis que je reviendrais durant l’après-midi avec le Docteur pour arranger son problème.

J’allais me servir de mon collègue Camil et le faire passer pour un médecin.

Pour calmer un peu mon patient pour l’instant, je mis des débarbouillettes d’eau froide directement sur ses parties génitales pour essayer de le faire débander. Après plusieurs tentatives, sa verge ramollit tranquillement et je fus heureuse qu’il n’ait pas éjaculé. J’avais un petit sourire sadique en voyant ça !!!!

Dans l’après-midi, avec l’aide de Camil qui s’est fait passer pour un médecin, j’allai voir pour la première fois deux hommes avoir des relations sexuelles et j’en mouillais ma petite culotte. J’étais aussi surexcitée à l’idée de pouvoir satisfaire ma curiosité perverse…

En entrant dans la chambre privée de mon patient, Camil me dit de fermer les rideaux autour du lit, pour avoir un peu d’intimité. Camil posa des questions très directes au patient, comme : Depuis combien de temps il n’avait pas eu de relations sexuelles ? S’il avait une partenaire ? Et aussi s’il s’était masturbé à l’Hôpital ?

Le patient répondit que ça devait faire plus de dix jours qu’il n’avait pas eut de sexe, soit un peu avant son accident.

Camil sortit beaucoup de mots savants et il savait que le patient ne comprenait rien. Alors il me dit d’expliquer au patient le traitement qu’on allait lui faire. Avec un clin d’oeil complice, bien entendu.

Je dis à mon patient qu’on devait prendre des mesures pour qu’il soit dans le même état qu’au matin. Immédiatement, je fis remonter la tête de son lit et je fis rabaisser ses jambes. Pour pouvoir le faire bien bander, je déboutonnai le haut de mon uniforme et je fis voir mes seins, car j’avais enlevé mon soutien-gorge.

La réaction du patient se fit presque immédiatement. Il avait une très grosse érection et sa verge bougeait dans tous les sens. Son gland se décalottait entièrement et il était rouge violacé. On pouvait voir une goutte perler sur le bout. Je devais apprendre ce jour-là que quand les hommes ont une érection, eh bien leur cerveau ne fonctionne plus vraiment…

J’en ai profité pour lui faire lécher mes gros seins et il suça le bout de mes mamelons qui étaient en érection et bien allongés.

Durant ce temps-là, Camil en profita pour prendre le sexe du patient en bouche. En même temps, ça me faisait une leçon de fellation car, je dois l’avouer, les homos sont très doués en cette matière. Notre patient ne tarda pas à éjaculer. Camil avala toute trace de sperme et il fit rebander immédiatement le patient.

Il le suça plus longtemps que la première fois. Il fit éjaculer notre patient sur sa joue et j’en ai profité pour recueillir le sperme avec ma langue. Je trouvai que le sperme avait une forte odeur animale. Camil avait bien aimé l’attention que je lui avais faite.

Lentement, la verge de notre patient ramollissait. Camil en a profité pour le masturber un peu, mais avec une nouvelle technique : il se mit de la vaseline sur la paume de sa main et frotta le bout du pénis avec. Notre patient prit plus de temps à éjaculer. En moins de trente minutes, il avait joui en trois occasions et il avait bien aimé ça, même si c’était un homme qui lui avait procuré ce plaisir.

Certains hommes ne sont pas trop regardant avec ça et je devais l’apprendre ce jour-là.

Aussi, avec l’aide de Camil et d’autres collègues (féminines et masculins), j’allais découvrir de plus en plus de choses en matière de sexualité.

Si vous trouvez que mon texte est un peu « fade », je m’en excuse, mais je vous le raconte tel que je l’ai vécu, sans ajouter de mensonges. Soyez vigilent dans vos critiques.

A la prochaine fois.

Didi la retraitée

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3 réponses à Les souvenirs de Didi 3 – Camil par Didi_du_Québec

  1. GuyLouisB dit :

    Moi j’ai eu une « copine », Jeanne, qui travaillait dans un hôpital pour enfants. Elle était dans une section d’adolescents sévèrement handicapés, gars et filles, qui ne pouvaient ni parler ni s’exprimer autrement, même pas par signes. Elle les nourrissait, les lavait, changeait leur couche, voyait à tous leurs besoins … incluant leur faire découvrir leur sexualité. Elle suçait les garçons, leur faisait goûter sa plotte et leur mangeait le trou d’cul, tout ce qui lui passait par la tête. Elle mangeait les trous des jeunes filles. Celles qui avaient des seins à son goût, pas mal toutes, elle s’amusait avec leurs mamelons. Celles qui n’étaient plus vierges, elle les pénétrait même avec un dildo, dans les deux trous. Dans le fond, Jeanne abusait de ces enfants. Ça m’a écoeuré en masse quand elle m’a dit ça et j’ai rompu tous les liens avec elle. Je n’ai juste pas eu le courage de la dénoncer à la police. J’aurais dû. Il est trop tard maintenant. Cela fait 30 ans.

    • DIDI DU QUÉBEC dit :

      très bon commentaire Guy Louis B….. ta copine Jeanne mériterais une mention spéciale… les handicapés ont aussi leurs besoins sexuels…. dans certains pays ; on leur donne même des services sexuels particuliers….

  2. Gers dit :

    On va dire que c’est juste une petite anecdote, heureusement que la photo est jolie

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