Les années 70 – 1 Prélude (par Alban)

Les années 70
1 Prélude
(par Alban)

Quand nous sommes mariés, ma femme avait 23 ans, moi 25 et étions très amoureux. Elle était belle bien faite, et les hommes se retournaient sur son passage. Loin d’en être jaloux j’en était plutôt fier. Mais elle était très sensuelle et je pressentais qu’un jour elle ne saurait pas dire non à un beau mec, alors un peu bête, comme on peut l’être à 25 ans je clamais bien fort, à son attention, que je n’étais pas jaloux. Mon antijalousie lui paraissait d’ailleurs suspecte Elle me disait que si je n’étais pas jaloux c’est que je ne l’aimais pas vraiment. Souvent elle abordait ce sujet, ce qui me laissait supposer que j’avais vu juste et qu’un jour un autre que moi la ferait jouir. Bizarrement l’idée que ma femme écarte les cuisses devant un autre homme, lui fasse admirer sa belle chatte avant de se faire baiser avait plutôt tendance à m’exciter. Je lui dis même un jour avec grandiloquence :

« Ton corps t’appartient, peu m’importe que d’autres en jouissent, si tu me gardes ton cœur ».

C’était idiot, mais ce que je redoutais le plus, ce n’était pas d’être cocu, mais de devenir la risée de ses futurs éventuels amants. Ma femme d’ailleurs l’avait compris car, le jour où j’avais fait cette déclaration emphatique, elle me jura que je ne serai jamais le cocu dont on se moque.

Souvent quand nous faisions l’amour ma femme me chevauchant (position qu’elle affectionnait) revenait sur le sujet :

« Alors tu n’es vraiment pas jaloux ? Ca ne te ferait vraiment rien que ta femme se fasse baiser par d’autres ? Ca ne te ferait rien d’être cocu ?

Je lui répondais que le vrai cocu est celui qui l’ignore, mais celui qui le sait est tout simplement un mari compréhensif.

Quand ma femme se mit à me parler presque chaque soir d’un de ses nouveaux collègues, je compris que j’allais devenir rapidement un « mari compréhensif », ou selon son expression un cocu consentant. Elle me le confirma un soir au lit en me demandant si j’étais toujours d’accord pour qu’elle baise avec d’autres que moi. Je lui répondis que j’étais d’accord à condition que je le sache. Elle s’empala de plus belle sur ma queue en me disant que j’étais un mari merveilleux.

Le lendemain, en rentrant de son travail, elle m’embrassa amoureusement, se blotti contre moi, me caressa le front d’une main, la braguette de l’autre et me dit à l’oreille :

« Ca y est ! Mon chéri, ça ne se voit pas encore mais tes cornes on commencé à pousser »

J’ai eu un petit pincement au cœur, mais me suis mis instantanément à bander. Ma femme, toujours ma main sur ma braguette senti ma bite se durcir.

« Et ça te fais bander ! Ta femme t’annonce que tu es cocu, qu’elle s’est faite baiser par un autre et tu bandes ? Ce n’est pas normal mon chéri. Mais si c’est l’effet que ça te fais, je te promet que tes cornes vont grandir très vite »

Et elle a tenu parole.

Je ne savais trop quoi répondre et je n’en eu pas besoin, car ma femme avait sorti ma queue et me suçait avec application. Mais je ne voulais pas jouir dans sa bouche, c’est en elle que je voulais cracher mon foutre, en elle que je voulais glisser ma bite et lui envoyer une bonne giclée comme un autre l’avait fait quelques heures plus tôt.

Je voulus savoir quel était l’heureux élu, mais elle répondit que c’était son secret.

Nous étions en été, et c’est à partir de cette époque qu’elle prit l’habitude de ne pas mettre de slip, pour être selon elle, prête à toute éventualité.

Chaque soir, quand elle rentrait, je glissais ma main entre ses cuisses pendant qu’elle me caressait le front en disant :

« Elles grandissent ! Elles grandissent ! »

Un soir, en rentrant elle se fit plus chatte encore que d’habitude, je voulu mettre ma main sous sa robe mais elle se troussa, s’appuya à la table de la salle de séjour, en écartant les jambes.

« Je suis encore pleine de foutre, mais baise moi ! Vide tes couilles en moi, traite moi de salope si tu veux, mais j’ai envie de te sentir ton foutre gicler et se mélanger à celui de mon collègue. »

Je ne me fit bien sur pas prier, et j’eu un plaisir jamais jusqu’ici égalé à baiser ma femme dans le foutre d’un autre.

Un peu après, ma femme se blotti dans mes bras en disant

« Nous sommes fous ! Mais c’était très très bon ! »

Ce petit jeu se répéta plusieurs fois avec la même intensité dans le plaisir pour moi comme pour ma femme qui parfois demandait si nous étions normaux, mais qu’est-ce que la normalité ??

En fin d’année, je savais que ma femme baisait à son travail, mais je ne savais toujours pas avec qui.
Quand je posais la question elle l‘éludait par un baiser ou en disant que c’était pas important. Un jour je lui demandais si je le connaissais. Sa réponse fut :

« Pourquoi LE ? ».

Je restais quelques secondes avant de comprendre qu’il fallait dire LES, et que ma femme se faisait baiser par plusieurs de ses collègues. Je me mis à bander et à fantasmer : plusieurs c’était combien ? 2, 3, 5, plus ? Mais impossible de savoir, c’était son secret.

Au petit jeu des cornes, parfois quand je passais sous une porte, ma femme me disait :

« Attention ! Mon chéri, baisse toi, pense à tes cornes, elles ont beaucoup grandi »

Cette période a été une folie sexuelle. De plus en plus souvent elle rentrait « pleine de foutre » et je savais qu’elle se faisait baiser exprès, un peu avant de quitter son travail, pour que je la baise dans le foutre d’un autre ce qui l’excitait autant que moi…

Quand je lui demandais combien de ses collègues la baisaient elle répondait invariablement : plusieurs. Je savais au moins que l’un d’eux s’appelait Jacques et je me demandais finalement s’il n’était pas le seul à baiser ma femme. Si ma femme n’exagérait pas pour m’exciter ou voir ma réaction.

Je savais qu’avec son tempérament elle était tés capable de se faire baiser par au moins 3 types dans la journée et d’être de nouveau en forme pour baiser avec moi le soir. C’est d’ailleurs en partie pour cette raison, connaissant son appétit pour le sexe que j’avais accepté d’être « un cocu consentant ».

Je fis la connaissance du prénommé Jacques de façon que je crus fortuite mais qui, à la réflexion avait du être mise au point par ma femme.

Nous avions prévu, d’aller ce soir là au cinéma assez tôt, dès la sortie du travail, et d’aller ensuite au restaurant. Il était convenu que j’irai la chercher dans son labo où elle avait, m’avait-t-elle dit, quelque chose à terminer.

Il était très tard, et je croyais tout le monde parti. Mais au moment ou nous passions devant le bureau d’un se ses collègues, celui ci l’interpella, lui reprochant de ne pas lui dire au revoir. Ma femme à peine gênée fit les présentations. Ses collègues savaient que j’étais sensé être au courant qu’ils étaient plusieurs à la sauter. Sans se soucier de ma présence, il l’attira contre lui et l’embrassa sur la bouche pendant qu’une de ses mains se glissait sous sa jupe. Ma femme, sans doute pour la forme, tenta de le repousser gentiment. Il l’attira de nouveau contre lui et glissant sa main entre ses cuisses troussa ma femme jusqu’à la ceinture.

Je me mis à bander en constatant que ma femme, n’avait pas de slip et semblait commençait à apprécier la main de son collègue qui, écartant la forêt de poils avait glissé deux doigts dan sa fente.

Moi, j’avais sorti ma bite et me branlais doucement. Ma femme commençant à gémir sous les caresses de Jacques il souleva, la fit asseoir sur son bureau et je la vis la jupe relevée jusqu’à la ceinture se faire investir par une bite de dimensions respectables.

Je ne me touchais plus et pourtant j’étais sur le point de jouir.

Ma femme s’était allongée carrément sur le bureau. Son collègue pour mieux me faire profiter du spectacle, lui avait relevé les jambes. J’étais comme fasciné par cette belle queue qui sortait presque pour ensuite disparaître en elle complètement jusqu’aux couilles.

Mais le spectacle fut de courte durée. Le collègue lui envoya son foutre en disant :

« Tiens prends ça ma salope ».

Ma femme habituée à ce que je la baise dans le foutre d’un autre restait allongée sur le bureau, les cuisses ouvertes, la chatte offerte dont s’écoulait un peu de foutre

Au moment où je m’apprêtais la pénétrer à mon tour, le bruit des femmes de ménage dans le couloir m’arrêta dans mon élan et lui fit reprendre une position décente. Ce n’est qu’à la maison, avec encore devant les yeux, l’image de ma femme allongée sur ce bureau que je pu vider mes couilles en elle.
Dès le lendemain je proposais à ma femme d’inviter Jacques un soir à dîner. Elle me mit la main à la braguette en disant ;

« Ca ta plut, affreux mec, de voir ta femme se faire baiser, Avoue »

J’avouais bien volontiers. Elle concéda que, elle aussi, ça lui avait plut que je la regarde me cocufier.
Quand je proposais à ma femme d’inviter Jacques un soir. Elle me demanda pour la forme :

«Avoue Ca te plait tant que ça de voir ta femme prendre une autre bite que la tienne entre les cuisses ? Tu es un affreux voyeur ! »

Mais c’était plus un accord qu’une interrogation et en fait elle n’attendait que ça : se faire baiser devant moi. Ce n’est que plus tard que j’ai compris que j’avais été adroitement manipulé.

Deux jours plus tard Jacques était là. Sans aucune gêne, ma femme l’embrassa à pleine bouche. Lui, par contre, était un peu gêné. J’aimais mieux ça, il m’aurait déplut qu’il agisse comme dans son bureau. Je sentais d’ailleurs confusément que ma femme attendait que je « l’offre » à notre invité. Comme sans doute Jacques l’ « offrais » à ses autres collègues.

Sans doute pour me faciliter la tâche, après avoir servi l’apéritif, elle vint s’asseoir sur mes genoux. Avec un sourire qui en disait long. Je compris le message et déboutonnais son corsage.

J’allais lui enlever son soutien gorge quand Jacques sorti une enveloppe d’un porte document et me la tendit. Ma femme sachant ce que contenait cette enveloppe me dit : « un cadeau pour toi mon chéri ». Jacques ajouta que c’était des photos faites au travail spécialement pour moi.

En ouvrant l’enveloppe je découvris des photos de ma femme à poil sous sa blouse et se faisant baiser (quelques unes illustrent ce texte). Comment ne pas bander devant de telles photos. Mais profitant de l’occasion je sortis mon appareil.

Je m’attendais à quelques protestations de la part de ma femme mais il n’en fut rien.

J’étais très excité. Les photos étaient là, sur la table, et sur les photos, ma femme en train de se faire baiser, ou avec une bite dans la bouche ou dans le cul.

Je ne tenais plus. Comme elle se levait je l’attirais contre moi lui dégrafais sa jupe qui tomba à ses pieds et lui dis

« Tu es vraiment une belle salope »

Ce à quoi elle répondit ;

« J’aime quand tu me parles comme ça. »

Et se laissa entraînée dans la chambre suivie de Jacques. Je voulais l’allonger sur le lit, mais elle me repoussa gentiment

« Non mon chéri, honneur à l’invité, pour l’instant toi tu regardes, c’est ce que tu voulais, non ? »

Elle embrassa de nouveau Jacques sur la bouche et prestement le débarrassa de sa chemise de son pantalon et de son slip.

Il bandait évidemment. Elle s’accroupit face à moi en écartant généreusement les cuisses. En lui suçant la queue, elle me regardait d’une telle façon que je faillis jouir. Mais jugeant la position inconfortable elle se releva, poussa Jacques sur le lit et continua de lui sucer la queue. Je pris mon appareil photo et fis cette photo de la bite de Jacques dans la bouche de ma femme.

Quand elle lâchât sa bite. Elle s’accroupit au dessus de lui, face à moi, et me dit :

« Pose ton appareil mon chéri et regarde »

Elle continua de s’accroupir, frotta la bite de Jacques dans sa toison et lentement s’empala dessus jusqu’aux couilles. En commençant à remuer doucement sans me quitter des yeux elle dit la voix un peu altérée :

« Le spectacle te plait mon chéri ? Ca te fait bander que ta femme se fasse baiser devant toi comme une vraie salope. Alors dis le moi, dis moi que ça te plait, dis moi que je suis une vraie salope je t’en prie, j’aime que l’on me parle quand je baise ça m’excite encore plus. »

Je bandais tellement que j’avais mal aux couilles. Sans que je me toucher, un peu de sperme sortait de mon gland.

Jacques était un bon bandeur et ma femme avait déjà joui plusieurs fois bruyamment

Quand il la fit mettre à genoux et la prit d’abord en levrette avant de l’enculer.
Ma femme criait son plaisir, sans doute accru par le fait que je la vois avec dans le cul la bite de son collègue.

Jacques n’avait toujours pas joui et faisais, je le voyais, de gros effort pour cracher son foutre le plus tard possible. Je m’attendais a ce qu’il vide ses couilles dans le cul de ma femme, mais il la quitta pour s’allonger sue le dos. Ma femme sans perdre de temps après lui avoir caressé la bite et les couilles, s’empala de nouveau sur lui, et me tendant sa croupe me lança :

« A ton tour maintenant mon chéri, encule moi ! Ta femme comme toutes les bonnes salopes adore être prises en sandwich »

Sans me faire prier je posais mon appareil et à genoux entre leurs jambes, je posais mon gland sur sa rosette passablement dilatée par la bite de Jacques et la pénétrait doucement. Ma crainte était de jouir tout de suite. En sentant la bite de Jacques à travers la mince cloison qui sépare le con du cul, je ne pu me retenir davantage et après deux aller et retours, je lâchais mon foutre ce qui eu pour effet de déclencher chez ma femme un nouvel orgasme.

Je la savais salope avec moi, sans aucun complexe, mais j’étais loin de l’imaginer se faire baiser et enculer ma présence par un autre sans aucune gêne. J’en conclus qu’elle baisaient en effet régulièrement avec plusieurs collègues et peut-être pas seulement qu’avec eux.

Après Jacques, il y en eu d’autres, beaucoup d’autres.

Mais je vous raconterai peut être une prochaine fois.

Alban

(Je suis ouvert aux dialogues et à toutes vos questions, car je tiens à préciser, s’il en était besoin, qu’il ne s’agit pas de fantasme mais de faits réels)

note du webmaster ; Les photos illustrant ce texte nous ont été adréssé par son auteur et son publiées ici sous sa responsabilité

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