Le technicien en chaleur Chapitre 1 par Alexandra_1

Le technicien en chaleur
Chapitre 1
par Alexandra

Ce matin-là, j’ai mis une annonce sur le site libertin le plus fréquenté pour faire savoir que j’étais dispo l’après-midi.

Comme toujours, de nombreuses personnes prirent contact pour finalement me dire que pour elles le jour ne convenait pas, mais une autre fois peut-être… Je finis par connaître cette rengaine par cœur.

Mais voilà qu’une connaissance se connecte sur le tchat et me demande de mes nouvelles. Il s’agit d’un homme que j’ai rencontré il y a quelques mois de ça en club libertin. A l’époque, il était accompagné de sa chérie et nous avions coquiné à trois.

L’homme en question vivant à environ 80 bornes de chez moi, je lui explique que je suis à la recherche d’un candidat coquin mais sur la région Bruxelloise uniquement.

« – Ça tombe bien » me dit-il « Je suis actuellement sur Bruxelles, seul dans des bureaux en chantier ».

Il me mentionne l’adresse exacte, c’est à 5 minutes de chez moi !

Hop, je file à la salle de bains, je rase tout ce qui dépasse et me voilà partie, destination « Plaisirs Coquins ».

Nous avions convenu que j’arriverais en garçon et que je me changerais sur place car même si les bureaux étaient vides, les agents de sécurité, eux, pouvaient surgir à tout moment.

Mon partenaire me fit entrer par l’arrière (plus tard c’est lui qui rentrera par l’arrière, hi hi) et me montra où se trouvaient les toilettes pour me préparer.

Je m’y enfermai et voulu commencer par me maquiller. OK très bien… mais où est donc ma trousse de maquillage ?? Aaaarrgghhh !!!! Ne me dites pas que je l’ai oubliée chez moi !!! Ouf non, elle était tout au fond de mon sac !

Ce petit stress derrière moi, je commence le travail lorsque je reçois un SMS de mon compagnon de jeux :

« Pas de bruit, le concierge est là ! »

Gloups !! Je vérifie que la porte des toilettes est bien fermée mais ne faudrait-il pas que je la déverrouille justement ? S’il voit que le verrou est fermé il pourrait se poser des questions… Tout bien réfléchi, non, je laisse la porte fermée à clé. Le coquin m’envoie un autre SMS

« lol, parti ! »

« lol » ?? Il trouve ça drôle en plus !! Moi ça me stresse un peu toute cette histoire. Enfin, je reprends où je m’étais interrompue et une grosse demi-heure plus tard je sors des toilettes, perchée sur mes talons hauts.

Henry (prénom d’emprunt) semble me trouver à son goût et nous déambulons dans le corridor. Ça me permet de me rendre un peu mieux compte de l’endroit où nous nous trouvons. Le bâtiment abrite deux sociétés dont une qui vient tout juste de s’installer. Henry est en charge de résoudre un problème technique lié à l’informatique pour cette nouvelle société. Les bureaux sont spacieux mais pas encore opérationnels. Néanmoins, des meubles (tables, chaises, armoires de classement,…) sont déjà présents. C’est dans l’un de ces bureaux que nous pénétrons. Nous pourrions fermer la porte mais ça ne servirait pas à grand-chose car toutes les parois sont vitrées. Henry me prend dans ses bras, il me caresse les jambes. Très vite, je me retrouve à genoux devant lui, sa queue en bouche. C’est avec plaisir que je constate que, malgré qu’il m’ait vu en garçon, malgré le stress engendré par la situation, il bande déjà très fort. Je me relève et je pose mon pied gauche sur une table à côté de celle contre laquelle il est en appui. La situation est hyper bandante, il a à sa disposition mon petit clito, avec lequel il s’amuse, et ma cuisse nue, ainsi que ma jambe gainée de nylon au bout de laquelle le talon aiguille de ma chaussure léopard est solidement ancré sur le bureau. Henry devient fou d’excitation et à présent c’est moi qui suis allongée sur le bureau et c’est lui qui me suce. Nos sexes sont en érection et nous nous branlons mutuellement. C’est à ce moment-là que je lui demande jusqu’où nous avions été dans notre jeu lors de notre première rencontre car je n’en ai plus vraiment souvenir. Lui par contre se souvient que nous avions fait un 69.

Je l’informe que s’il a envie de découvrir une autre facette de ma personnalité, j’ai dans mon sac à mains tout ce qu’il faut, à savoir gel et capotes.

« – Pourquoi pas, me dit-il, mais ce sera une grande première pour moi ! »

Waouw ! Cool ! Je dois bien vous avouer que je n’en espérais pas tant en acceptant ce rendez-vous. J’étais persuadée que je ferais le déplacement uniquement pour une sucette. Comme quoi, rien n’est jamais perdu d’avance !

Pendant qu’il enfilait la capote, je me plaçais dos à Henry. Je me tenais debout, les jambes bien écartées, les talons bien plantés dans le sol, et mon buste incliné à angle droit reposait sur le bureau. Il ne fallut pas longtemps à Henry pour trouver l’entrée ! Je n’ose imaginer ce que nous aurions fait ou dit si le concierge avait de nouveau surgi à ce moment-là, mais grâce au ciel ce ne fut pas le cas ! Mon amant du jour me baisa ainsi quelques minutes jusqu’à jouir entre mes fesses. Pour une première sodo sur une t-girl, il s’est très bien défendu ! Ensuite il voulut que moi aussi je jouisse et il me branla jusqu’à ce qu’éjaculation s’ensuive.

Henry n’avait pas encore fini son travail (son ‘vrai’ travail je veux dire, celui pour lequel on lui avait donné accès à ces locaux), je savais bien qu’il ne fallait pas que je traîne là trop longtemps, c’est pourquoi nous avons pris congé l’un de l’autre assez rapidement après que l’affaire fut faite.

Vous l’aurez compris, je classerai cette petite aventure dans ma farde « bons souvenirs » car non seulement j’ai pris mon pied sexuellement, mais je dois bien avouer que le contexte et l’endroit étaient vachement excitants. Sans compter la peur de se faire surprendre. Henry aussi me confiera que ce plan particulier l’avait bien émoustillé et je suis persuadée que, aussi bien lui que moi, nous tenterons de réitérer l’expérience dès que possible, soit ensemble, soit avec d’autres partenaires.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Le technicien en chaleur Chapitre 1 par Alexandra_1

  1. TransMonique dit :

    Quelques pojntes d’originalité (le cadre…) montre que l’auteur aurait pu mieux faire, parce que la description de l’acte est d’un classique désespérant

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *