Le Pharmacien
par Marine et Thibault
Je vais vous raconter une petite aventure de jeunesse, du temps où j’étais stagiaire comme préparatrice en pharmacie
J’avais 20 ans, et le gérant, Gérard, le pharmacien me reluquait à la façon du loup de Tex Avery. Gérard doit avoir 50 ans peut-être plus, mais belle prestance, lunette, moustache et crane plutôt dégarni laissant apparaitre une couronne de cheveux blanc.
Etourdie de nature, j’avais commis plusieurs bêtises à ce point que le pharmacien me déclara ce soir là, alors qu’il procédait à la fermeture de la boutique :
– Je suis désolée Marine, mais je ne pense pas pouvoir vous garder…
A ces mots, je me mis à sangloter
– Laisser moi encore une chance, je vous en supplie.
– Une chance ? Ecoutez, si vous consentiez à être gentille avec moi, mais vraiment très gentille, à ce moment là je pourrais revoir ma décision.
– Ce n’est pas du harcèlement sexuel, ça ?
– Je ne vous harcèle pas, je vous fais une proposition. Vous l’acceptez ou vous la refusez.
– Je ne la refuse pas, mais promettez moi de ne pas me faire de mal.
– Du mal, moi ? Je suis la douceur incarnée
– Alors d’accord. On fait ça quand…
– Je ne sais pas, je vais voir…
Il s’approcha de moi, un kleenex à la main pour que je puisse sécher mes larmes, et se colla contre moi. Au moment où il m’effleura un sein, j’eus un imperceptible moment de recul mais je me ravisai aussitôt, comme pour montrer que je n’avais pas fait attention au geste. Le pharmacien, engaillardi par mon attitude peu farouche, recommença l’opération de façon plus insistante. Cette fois, mon sourire devint complice. Gérard défit un premier bouton de mon chemisier tout en m’expliquant qu’il fallait être agréable à la vue du client si je voulais bien faire mon travail. Le pharmacien sentit que c’était le moment où tout devait basculer. Il enfouit sa main dans mon corsage et me caressa longuement mes seins doux et fermes à la fois. Je restais immobile, comme pétrifiée par l’excitation que j’étais capable de susciter chez mon patron. Il ouvrit complètement chemisier et soutien-gorge et posa sa bouche avec vigueur sur ma poitrine. Ensuite, n’y tenant plus, il guida ma main jusqu’à sa braguette. Je fis semblant d’être réticente, puis me laissai faire, défit sa braguette, sorti un engin de belle taille, déjà bien bandé et entrepris de le masturber, me prenant au jeu
– Que vous avez une belle bite, Monsieur Gérard.
Lui continuait à dévorer ma poitrine et commença à s’intéresser à mon entrejambe. Il y fourra sa main sans douceur excessive (sans doute à cause de l’excitation) et chercha à écarter le fin tissu du slip en coton. Dès qu’il eut trouvé l’entrée, il insinua deux doigts dans ma chatte brûlante. Je gémis et fit semblant de me débattre comme si je voulais en rester là. Il recula, surpris.
– On arrête ?
– Non, on continue, mais n’allons pas trop vite.
Il se reprit, se contrôla et je finis par m’abandonner à la caresse digitale, sentant même venir un orgasme. Il accéléra le mouvement jusqu’à ce je jouisse. Sans me laisser reprendre ses esprits, il acheva d’enlever son pantalon. Puis, il me souleva par les fesses, m’assit sur le bureau et approcha son sexe du mien. Naturellement lubrifiée par l’orgasme que je venais d’avoir, il réussit à me pénétrer sans effort malgré la bonne taille de son engin. Je le sentis profondément en moi et ne put réfréner un cri de plaisir. Il s’agita encore et je jouis à nouveau. Il me reposa sur la chaise et s’adossa au bureau. Il m’annonça que c’était son tour de jouir et qu’il voulait le faire dans ma bouche.
– Hum, sucer une si belle bite, ce ne sera pas une corvée.
J’accueillis d’abord timidement cette queue qui occupait toute ma bouche. D’abord un peu surprise (mais non dégoûtée) par l’odeur du membre qui sentait la pisse, je m’habituais vite et commença un long va-et-vient buccal en flattant les bourses de ses doigts. Gérard bandait bien, mais ne semblait pas prêt à jouir de suite, un moment il me demanda :
– Met moi un doigt dans le cul !
J’obtempérai, combinant d’abord le doigtage et la fellation, jusqu’à ce que le pharmacien change de position en se mettant à quatre pattes, je pouvais ainsi mieux le doigter, et de l’autre main je lui branlais la bite
– Vous aimez ça, hein qu’on vous tripote le cul ? Lui lançais-je.
– J’adore répondit-il ! Mets deux doigts.
– Et si on mettait un gode ? Proposais-je
– J’n’en ai pas ici…
– Ne bougez pas Monsieur Gérard, j’ai une idée
J’avisais alors un dentifrice conditionné dans une sorte de cylindre qui ferait parfaitement l’affaire. Me saisissant de l’objet, je le lui enfonçais dans le cul, lui provoquant des cris de plaisirs inouïs.
– T’aime çà te faire enculer ? Lui demandais-je devenant à la fois familière et vulgaire
– Oui, c’est trop bon ! Continue
– Et une vraie bite, tu n’aimerais pas !
– Je ne suis pas contre !
– Oh ! Le vieux pédé ! Tu veux que je demande à mon copain de venir t’enculer ?
– Pourquoi pas ?
– Mais il faut que tu me garde, alors
– Je te gaaaaaarde ! Répondit-il en jouissant comme un dingue
Qu’est ce qu’il ne faut pas faire pour garder son emploi, je vous jure !
Marine (sans Thibault)
Je me suis bien marré !
Abus de situation dominante, harcèlement sexuel, chantage à l’emploi, c’est pas bien joli tout ça
Vous plaisantez j’espère ?
Dans le cas contraire je ne peux rien pour vous 😉