Laisse-moi t’aimer comme ça ! par Enzo_Cagliari

 

Laisse-moi t’aimer comme ça !
par Enzo_Cagliari

 

Le coup de bol, je reçois un coup de téléphone de mon ami Charlie. C’est un black dans la trentaine, un gars très jovial, très décontracté, il est musicien et travaille à la télé.

– Tu n’as toujours pas de boulot ? Me demande-t-il.
– Ben non !
– Figure-toi qu’hier soir je dinais avec Gisèle…
– Ta patronne ?
– Oui, et avec Tristan Lamont, et il nous a dit qu’il cherchait un accompagnateur, parce que le sien a eu un accident, et que dans les gars qu’il connait pour le remplacer, il n’y a en pas un de libre… alors j’ai pensé à toi. J’ai un peu arrangé le tableau, je lui ai dit que tu étais génial, que tu avais une bonne mentalité…
– C’est qui Tristan Lamont ?
– Bof ! Un mec qui se croit chanteur ! Il chante des conneries mais ça se vend très bien, tu n’as jamais entendu parler ?
– Ben non !
– C’est le type qui chante : « Laisse-moi t’aimer comme ça ! »
– Ça ne me dit rien !
– Je vais te le chanter !

Non pas ça, Charlie est un très bon batteur, mais il chante comme un pied !

– Ce n’est pas la peine. Bon ! Qu’est ce qu’il faut que je fasse, que je l’appelle ? Demandais-je
– Non, il veut que je vienne te présenter, il m’a proposé de passer chez lui à 17 heures, tu apporteras ta guitare.
– Et tu crois qu’il va m’engager ?
– Ah, il faudra peut-être forcer la chance, mais tu sauras faire, s’il te drague laisse-toi faire.
– Il est homo ?
– Il serait plutôt bi, il baise tout ce qui bouge, au restau, pendant que Gisèle était aux toilettes, il m’a carrément demandé s’il avait des chances de la sauter. Je lui ai répondu que ça pouvait se « négocier », ça ne l’a pas gêné du tout. Du coup il m’a demandé si c’était possible qu’elle vienne avec nous quand on va aller te présenter.
– Ah, bon ? Et elle va venir ?
– Oui !
– Mais qu’est ce qui la motive ?
– Je sais pas !
– OK, on y va quand ?
– Vers 15 heures.
– On se retrouve où ?
– Je passe te chercher avec Gisèle.
– D’accord, je te remercie, j’espère pouvoir te remercier comme il se doit, s’il m’engage.
– Ben tu me feras une pipe ! Me répond Charlie, hilare.

Ce n’est pas un problème, j’adore sucer des belles bites.

– D’accord je te ferais une pipe d’enfer !
– Allez, je te laisse te préparer, bichonne toi, rase-toi les poils, parfume-toi…

Bon, vous aimeriez savoir à qui vous avez affaire : Enzo, 29 ans, divorcé, bisexuel et musicien.

Je me rase le visage de très près, puis je me rase un peu partout, le torse, les bras, les jambes, les couilles, j’ai bien du user dix rasoirs, et je ne me suis même pas coupé, je suis bon quand même. Je me regarde dans le miroir, je me trouve mignon. Ah, reste le cul, j’ai le choix, soit faire ça au-dessus d’un miroir, soit demander à Charlie de me raser, mais bon Gisèle sera là c’est un peu embêtant.

Je pensais qu’on serait entre hommes, dans cette hypothèse, je me faisais fort de chauffer le Tristan comme il le fallait. Là ça va être plus compliqué. Et puis je ne comprends plus, s’il veut se faire Gisèle, je ne vais pas le draguer en même temps… A moins que ça tourne en partouze, allez savoir ?

Bon je me rase le cul tout seul, si je dois passer à la casserole, ce sera service minimum, juste la pipe, la sodo est parfois un problème, certains mecs refusent d’entrer dans un cul qui n’a pas subit dix-huit lavements et vingt-trois déodorants. Je ne vais pas me prendre la tête avec ça !

Bon, allez, je me parfume, me peigne comme un zozor, passe un pantalon qui me moule bien mon petit cul, je mets une chemise rose et j’attends ces messieurs dames.

Charlie me présente Gisèle, on me l’avait déjà présentée mais elle ne doit pas s’en rappeler. C’est une belle femme dans les quarante-cinq ans, très brune, une bouche à tailler des pipes et un regard de salope (ce qui n’est absolument pas péjoratif dans mon propos)

Elle me toise, rigole un peu.

– Bon, on va peut-être au fiasco, mais sinon, normalement Tristan devrait craquer en vous voyant. Alors la consigne est la suivante, vous allez faire comme si Charlie et moi nous n’étions pas là. Vous vous laisser draguer, vous répondez à ses avances, s’il veut vous faire une pipe ou vice-versa vous vous laisser faire. Ça vous convient ?

Je n’en reviens pas, la productrice de la télé qui me donne des conseils…

– Moi, je veux bien, mais vous croyez vraiment qu’il va se lâcher comme ça en votre présence ? Demandais-je
– J’ai confiance ! Ne vous inquiétez pas ! Et s’il veut vous sodomiser, ne faites pas votre jeune fille, exigez juste une capote, j’espère qu’il en a sinon, j’en ai apporté.

Et en plus, elle fournit les capotes… Je rêve !

– J’avais pas trop prévu de me faire sodomiser, justement. Précisais-je.

Gisèle me fout alors une grande claque sur le cul, puis se met à me peloter les fesses. Voila que je bande !

– Quand on a un cul comme le votre, on assume.
– Bon si j’ai bien compris je suis obligé de me faire enculer devant vous si je veux obtenir ce contrat d’accompagnateur !
– Obligé, non, vous faites ce que vous voulez, personne ne vous oblige, mais je peux vous assurer que si vous le faites, le contrat est dans la poche. Le seul risque c’est au tout début, est-ce qu’il va tilter sur vous ou pas ?
– Est-il indiscret de vous demander quel est votre rôle dans tout ça !
– Bonne question, Charlie, je pense que tu seras d’accord pour que je ne réponde pas. Ça fait un peu partie du jeu. Quand nous en aurons fini vous aurez votre réponse, si toutefois la question se pose encore.

Et la voila qui me tripote la braguette, c’est une sorcière cette bonne femme !

– Vous avez mis quoi en-dessous ?
– Un caleçon, un caleçon à fleurs
– Faites-voir !
– Vous voulez voir mon caleçon ?
– J’aimerais bien, oui.

Je baisse mon pantalon, lui montre le truc; Elle glisse alors sa main dans l’ouverture du caleçon et en ressort ma bite toute bandée.

– Et bien dites-donc, vous êtes en forme, vous !

Elle se baisse, tire mon caleçon vers le bas et se met à me sucer la bite pendant quelques instants.

– Hum ! Elle est bonne, goutez-là donc, Charlie !
– Mais je la connais déjà, Gisèle.
– Bon enlevez moi ce caleçon, ce sera mieux avec le pantalon et rien en dessous.

Si elle le dit… mais le temps de faire tout ça, la voilà derrière moi à me caresser les fesses.

– Humm, qu’est ce qu’il est doux votre cul ! Ecartez-moi bien tout ça, je vais vous lécher le trou du cul !

J’adore cette caresse, sa langue s’agite pendant quelques courtes minutes sur mon œillet qui finit par s’entrouvrir par tant de sollicitations, j’ai à présent sa langue dans mon cul ! Quelle délicieuse sensation !

Et la voilà qui me glisse un doigt dans le cul, puis un deuxième, ça aussi j’adore ça. Elle me fait toute une série de va-et-vient puis ressort ses doigts, en vérifie l’état.

– Très légèrement merdeux, tout à fait comme j’aime ! Commente-t-elle en nettoyant tout ça avec sa langue. Mais, bon faut y aller ! On y va comment ?
– En métro ! Propose Charlie.
– C’est une bonne idée, ça ! On restera debout et vous vous collerez tous les deux contre moi, je veux bien sentir vos bites à travers vos pantalons.

On a fait comme elle avait dit, je suis collé devant Gisèle, Charlie est derrière. Les deux mains de la coquine enserrent nos bites perspectives. Tout cela est relativement discret, d’ailleurs ma guitare cache une partie de la scène; mais n’échapperait pas à un observateur attentif. C’est exactement ce qui se passe ! A un arrêt un type descend en nous lançant d’un air courroucé :

– Ne vous gênez surtout pas, faites ça devant tout le monde !
– Merci du conseil ! Répond Gisèle.
– Pauvres malades ! Conclue le coincé de la braguette en disparaissant.

Tous les regards sont sur nous, mais il n’y a plus rien à voir, nous nous sommes légèrement décollés et Gisèle a déplacé ses mains. Mais ces quelques minutes de folies ont été aussi excitantes qu’amusantes.

Et nous voilà chez Tristan : Physique de jeune premier, très brun avec des gros sourcils, la barbe de trois jours, le cheveu très court. Il est vêtu d’un jean informe (quoique de grande marque très apparente) et d’un col roulé blanc très fin. Les présentations sont rapides.

Il me détaille des pieds à la tête. Je m’efforce de lui présenter le plus beau des sourires que je possède en stock. Il daigne me le rendre.

– On va commencer pour voir si c’est bon ! Nous dit-il. Toi, Enzo tu t’installes ici avec ta guitare. Et vous deux, mettez-vous là !

« Là » c’est un peu plus loin !

– Bon on y va, tu connais « Laisse-moi t’aimer comme ça » bien sûr ?

Aïe, la catastrophe, ben non, je ne le connais pas son tube sirupeux. Si je dis « non », je me fais jeter, si je dis « oui » je peux espérer le bluffer, je dis « oui ».

– Voila la partition, dans l’enregistrement on ne l’a pas respecté à la lettre, tu essaies de faire pareil.

Mission impossible ! Mais bon, on verra ! Le bellâtre branche son ampli, sort son micro et se met à pousser la chansonnette, c’est une horreur aussi bien musicalement qu’en ce qui concerne les paroles. Qu’est ce que je fous là ? L’accompagnement n’est donc pas bien difficile. Il ne m’interrompt pas, on va jusqu’au bout.

– Pas mal ! Mais tu as trop respecté la partition…

Il me montre le truc, m’indique l’endroit où il faut modifier un accord et de quelle façon. Ça va, c’est dans mes cordes (c’est le cas de le dire) Donc on recommence.

– Formidable ! On essaie un autre morceau.

Ça passe aussi ! Le mec est enchanté !

– Putain qu’est ce qu’il fait chaud ici ! Dit-il en enlevant son tee-shirt.

Surprise je m’attendais à une forêt vierge, mais non, c’est rasé ! Il m’invite à faire de même, j’ai compris le message, la route de la bite est ouverte, l’inconnue restant de savoir dans combien de temps je vais me faire enculer ! Une autre inconnue : c’est le rôle de Gisèle et de Charlie dans cette salade. On verra bien.

– Mets-toi à l’aise ! Reprend-il.

Pas de problème, si Monsieur est amateur de torse imberbe et de jolis tétons il va en avoir plein la vue.

– Hummm ! T’es troublant, toi, je peux toucher ? Demande-t-il
– Bien sûr !

Il me passe une main sur le torse, s’attarde sur le téton et me le pince. Ça m’électrise, j’aime bien ce truc là.

– T’aimes ça, on dirait ?

Il est perspicace le mec !

– T’es quoi Hétéro, homo, bi ?
– Bi !
– Bon on va encore essayer une chanson, je vais me mettre en caleçon, ce jean m’engonce de trop.

Quand je pense que Gisèle trouvait mon caleçon ridicule, celui de Tristan avec des petits dauphins et des petits ballons imprimés est tout simplement consternant.

– Fais pareil, tu seras plus à l’aise !
– C’est que je n’ai rien en dessous !
– Ah !

Il reste dubitatif quelques secondes, apparemment j’ai du contrarier son plan. Mais le bonhomme a de la ressource. Il me remet la main sur le torse et me pince de nouveau le téton gauche, et tant qu’il y est l’autre main s’occupe du téton droit ! Bien joué l’artiste ! Je me pâme et je bande.

Il me fait un sourire qui se veut ensorceleur, puis approche son visage du mien. Je vais avoir droit à la gamelle. Je n’aime pas trop, mais ça ne va pas me tuer non plus. Ça y est il me roule une pelle ! Berck, ce connard a bouffé de l’ail et a oublié de se laver les dents.

Diversion, je m’occupe à mon tour de ses tétons, il apprécie mais ils sont petits et difficiles à pincer. Je choisi donc de lui glisser la main dans le caleçon et je dégage une bite, qui ma foi, présente un très bel aspect, c’est bien bandé, c’est bien droit, le gland est luisant et attendrissant, je n’attends aucune autorisation et après l’avoir branloté un moment je me la fourre dans la bouche. Le goût est un peu fort, ça sent un peu l’urine mais je fais avec. Allez, je le suce comme une pro, petits coups de langue, grands coups de langues, va-et-vient, aspiration, mouvements des lèvres, gobage des couilles : tout y passe !

La bonne question, c’est : est-ce qu’il va vouloir que je le suce à fond, ou faudra-t-il faire autre chose ?

Il se dégage :

– Tu suces bien ! A moi !

OK ! Je suis dans ce genre de relations plus passif qu’actif, mais il faut aussi savoir partager les plaisirs. Je quitte (enfin) mon pantalon. Me voilà en quéquette et en chaussettes, et hop, ça y est, j’ai ma bite dans sa bouche ! Ho ! Mais c’est qu’il suce bien l’animal ! Je me laisse faire, puis essaie de me contorsionner pour qu’on se mette en soixante-neuf, mais je n’y arrive pas. Je lui indique quand même par signe que s’il continue comme ça je ne vais pas tarder à décharger. Il marque donc une pause.

– Qu’est ce que c’est bon de sucer des bites ! Commente-t-il.

Il a bien raison, le garçon !

Puis il demande à Charlie de se déshabiller et de nous rejoindre. Il se pointe donc et Tristan lui prodigue une fellation à genoux, Je m’allonge donc sur le sol; et recommence à sucer ce dernier.

On reste comme ça un certain temps, puis Tristan se relève, me demande d’en faire autant et commence à s’intéresser de près (de très près même) à mes fesses. Et que je te les pelote et que je te les malaxe, et que je te les caresse, et que je te lèche le trou du cul et que j’y mets les doigts.

– Prépare-moi ! Demande-t-il à Charlie on va faire le petit train.

Il va fouiller dans un tiroir, reviens avec deux capotes, l’une pour lui, l’autre pour Charlie. Il prend aussi du gel. Il m’en tartine le trou du cul tandis que mon copain black fait de même avec la rosette de Tristan.

– Je commence et je te dirais quand tu pourras venir, dit-il à l’adresse de Charlie.

Attention, ça va être la fête à mon cul ! Je me mets en levrette, il arrive derrière. Quand c’est bien fait, j’aime bien, mais encore faut-il que ce soit bien fait. Il me pénètre du premier coup et se met à me limer, il débute trop vite, me fait mal.

– Attention !
– Ne fais pas ta chochotte ! Me répond-il.

Charmant !

Mais bon, ça va mieux, je devrais dire « ça glisse mieux », et tout ça commence à me procurer des frissons de plaisir. Puis il reste enfoncé en moi, me fait me baisser jusqu’au sol toujours sans déculer, et on se met en cuillères, le temps qu’il reprenne le rythme, il demande à Charlie de venir le sodomiser à son tour.

Ça y est on fait le petit train, le seul problème c’est que Tristan semble plus intéressé par ce qui se passe dans son cul que par ce qu’il fait subir au mien; ses mouvements deviennent désordonnés, ça devient du grand n’importe quoi, il finit d’ailleurs par déculer pour laisser Charlie jouir dans son fondement.

Me voilà largué.

Tristan appelle alors Gisèle.

– Prend l’enveloppe sur la cheminée !

Elle le fait, compte les billets, puis lit un petit papier qui est avec.

– D’accord, mais tu ne tapes pas trop fort et tu ne m’attaches pas ! Dit-elle.
– Tu ne risques rien, tes amis sont là !
– Bon d’accord !
– T’as tout lu ?
– Oui !
– Plus d’objections ?
– Non ! On peut y aller !

Elle se déshabille entièrement. Elle est très belle avec ses seins un peu lourds aux mamelons très sombres.

– T’aime ça faire la pute, hein salope ? Lui lance Tristan.
– Oui et alors ?
– Alors rien, arcboute-toi après la table, lui dit-il tout en disposant une grande bâche sur le sol.

Il lui attache une barre d’écartement entre les chevilles, lui fait allonger les bras qu’il attache à une chaise coincée de l’autre côté de la table, puis s’en va chercher un gode qu’il recouvre d’une capote, avant de lui introduire dans l’anus, puis il se saisit ensuite d’une cravache.

Le premier coup zèbre la fesse de Gisèle en une trainée rose. Elle sursaute, étouffe un cri. Le deuxième coup tombe, laissant une trace chevauchant la première, puis le troisième. Vers le quinzième coup elle crie à chaque fois, désormais incapable d’étouffer sa souffrance, mais elle sublime néanmoins la douleur.

On a dépassé les quarante, son cul est devenu violet et boursouflé, Tristan continue à frapper, Gisèle pleure, mais sans crise. Elle encaisse, je me demande comment elle fait.

49, je suppose que le cinquantième sera le dernier. Effectivement mais pour le final Tristan augmente la force de son coup. Cette fois Gisèle hurle.

– Connard !
– Je sais ! Répondit-il.

Il pose la cravache, retire le gode, qu’il introduit tel quel dans la bouche de Gisèle, puis lui tartine un peu le trou du cul, s’encapote sa bite bandée comme un pieu, et l’encule.

– Détachez-la! Nous demande-t-il

Gisèle pousse des petit cris sous les coups de butoir de Tristan, elle fait ce qu’elle peut pour maintenir le gode dans la bouche, mais il finit par dégringoler. Trois minutes plus tard alors la femme se met à jouir du cul, notre chanteur à la mode décule, et après avoir demandé à Gisèle de se retourner, il lui éjacule en plein visage.

– Ne bouge pas et ouvre la bouche ! Lui indique-t-il.

Il se concentre quelques instants (en fait il attend que sa bite débande), puis se met à pisser d’abondance en visant le visage de la productrice de télévision. Gisèle avale tout ce qu’elle peut sans problème, le reste finissant par faire une flaque insolite sur la bâche.

– Ah ! Ben ça fait du bien tout ça ! Commente-t-il. Vous pouvez vous rhabiller !

On le fait.

– Bon, vous allez devoir me laisser ! Reprend-il, j’attends du monde. Quand à ce monsieur, continue-t-il en me désignant, je ne crois pas qu’il fera l’affaire, je ne vais quand même pas engager un type qui n’a manifestement jamais écouté aucune de mes chansons.

Je tombe du placard, je me suis donc fait enculer pour rien !

– Qu’est ce que tu en as à faire, l’essentiel c’est qu’il soit un excellent guitariste. Intervient Charlie.
– Justement, un excellent guitariste ne va pas s’abaisser à faire l’accompagnateur de Tristan Lamont ! Raille ce dernier.

Il y a une certaine tension.

– Je peux peut-être prendre une douche, et il faut que je me remaquille… je ne vais pas repartir comme ça. Intervient Gisèle
– Bon d’accord, mais si tu pouvais faire vite ! Concède Tristan.
– Nous on se casse, Gisèle, on t’attend au bistrot d’en face, propose Charlie.

– Quel fiasco, je t’ai emmené dans un plan foireux, je suis vraiment désolé ! Me dit Charlie une fois que nous étions dehors.
– On ne pouvait pas savoir… et puis je n’ai pas pensé non plus à écouter ses chansons avant d’y aller…

Vingt-cinq minutes plus tard, Gisèle ne nous avait toujours pas rejoints. On commence à s’inquiéter, mais la voilà qui sort de l’immeuble de Tristan.

– Quand une femme dit qu’elle va prendre une douche rapide, il ne faut jamais la croire ! Plaisante Charlie
– Bon, cet abruti m’a filé un bon paquet de fric, il m’a payé comme une escorte de luxe ! Je vous offre le restau, j’ai envie d’un gros plateau de fruits de mer ! Propose Gisèle.

Je brûle de lui poser la question qui me brûle les lèvres. Mais est ce bien nécessaire ? J’ai compris que cette femme un peu nympho et qui n’a pas de problèmes financiers vu sa situation a simplement le fantasme de faire « la pute », elle a eu l’occasion de le faire, elle l’a fait. Elle m’avouera plus tard aussi que de voir des mecs faire des trucs ensemble l’excitait terriblement. Côté sexe elle a donc eu ce qu’elle était venu chercher. Pour le reste elle est très remontée contre Tristan et parle même de lui briser sa carrière…

On arrive au restau, on choisit une table, on s’assoit, on commande du champagne. Le serveur s’en va préparer notre commande. Gisèle le rappelle :

– Madame désire autre chose ?
– Oui, un bon coussin pour mon cul !

FIN

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8 réponses à Laisse-moi t’aimer comme ça ! par Enzo_Cagliari

  1. Sonia Kubler dit :

    Ça au moins c’est du scenario ça nous change des logos-sexuels.
    Et puis j’ai adoré le personnage de Gisèle et son fantasme !

  2. Roques dit :

    Superbe histoire très bien écrite et bien raconté.. et quel érotisme !

  3. Muller dit :

    Superbe histoire , je me suis régalé

  4. Bureau dit :

    Un récit surprenant, très original

  5. Stablinski dit :

    chef d’oeuvre !

  6. Messidor dit :

    Une histoire fabuleuse surprenante et très érotique

  7. Werber dit :

    Décontracté et bien raconté, c’est un vrai plaisir de lire ce texte au scénario original et peu politiquement correct (pour notre plus grand plaisir)

  8. Orlando dit :

    Une bien belle histoire, originale et bien excitante

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