Un repas au resto : Panique au moment de payer par Sexnotaboo

Un repas au resto
Panique au moment de payer
par Sexnotaboo

J’ai payé le restaurateur en nature.
Et j ai tout raconté à Laura ensuite

Je m’appelle Luc, j’ai 38 ans, j’ai vécu une aventure tout à fait fortuite à laquelle je ne m’attendais pas dont l’érotisme de la situation mérite d’être partagé

C’est arrivé il y a une douzaine d’années, Je sortais avec une femme formidable, très belle et extrêmement sexy.

Je me souviens de ce soir là comme si c’était maintenant

Nous nous connaissons depuis à peine 6 mois, elle s’appelle Laura, elle à 32 ans, un visage d’ange et des formes parfaites. Elle mesure 1m75, pour 65 kg, un tour de poitrine de rêve, 95C, une taille fine 78, et des hanches divines 90. C’est une fausse blonde, aux cheveux longs, elle a le sexe et l’anus totalement épilés.

Consciente de sa beauté elle s’habille très sexy exhibant savamment son corps magnifique, souvent à la limite de l’indécence

Ce soir là, nous dînons en tête à tête dans un restaurant très connu du Périgord. Le cadre est très beau, l’ambiance feutrée a quelque chose de sensuel. C’est un dîner dansant, Je décide de tout faire au champagne qu’elle adore, et après quelques verres, Laura se laisse aller, elle retire ses chaussures et son pied vient me caresser la queue sous la table. Une jeune fille passe dans la salle avec un panier plein de roses, je lui en offre une, elle rougit et me dit qu’elle m’adore. Puis en me regardant avec le regard brillant et très très coquin comme elle sait si bien faire pour me faire craquer, elle me dit :

– «Demande-moi une faveur elle t’est déjà accordée ! »
Moi : – Là, maintenant ?
Elle : (les yeux complices et cochons) Quand tu veux !
Moi : (en me donnant l’air le plus vicieux possible) Très bien chérie je réfléchis

Dans le restaurant, Laura est le centre d’attraction pour les mecs qui n’arrêtent pas de la mater avec envie, mais aussi des femmes qui la regardent avec envie pour quelques unes, mais surtout avec jalousie pour la plupart. Nous dansons, et sans me vanter, nous sommes assurément le plus beau couple de la soirée. Laura est habillée (si on peut dire cela) avec une petite, « mais alors très petite robe » blanche, légère, très moulante, avec un décolleté vertigineux. Elle ne porte pas de soutien-gorge et on distingue parfaitement les larges auréoles brunes de ses seins magnifiques à travers la robe tendue par ses tétons qui pointent sous le tissu. Elle porte un string et un porte-jarretelle rouge foncé assortis et des bas résille noirs. La finesse de la robe blanche laisse deviner les dessous qu’elle porte, et en dansant, lorsqu’elle se déhanche, on voit régulièrement apparaître ses jarretelles qui dépassent.

C’est en dansant, que j’ai le tilt. Tout le monde la regarde avec désir ou jalousie selon le cas mais je suis sûr que tout le monde a remarqué les dessous sexy foncés qu’elle porte sous sa très fine robe blanche moulante.

Lorsque nous nous retrouvons ensemble à table, je lui dis avec un sourire sadique :

– Puis-je formuler ma demande de faveur ?
Elle : (Méfiante) Ton sourire ne me dit rien qui vaille mon chéri ! Mais une chose promise est une chose due ! Je t’écoute
Moi : Tu vas aux toilettes, tu enlèves ta culotte et tu me la rapporte !
Elle : (en souriant) Tu es un véritable salaud ! Je vais le faire mais tu me le paieras cher !

Elle se lève, fait quelques pas vers le fond de la salle, se retourne et revient m’embrasser

– Je t’aime car tu trouves toujours un moyen pour m’exciter

Et en me :mordant cruellement la lèvre inférieure, elle ajoute :

– Tu n’en es pas moins un vrai salaud !

Elle revient cinq minutes plus tard, elle a la main droite fermée et je remarque immédiatement l’absence du triangle foncé au niveau de son sexe. Je sens ma queue qui commence à durcir en imaginant la réaction des hommes présents dans le resto. De retour à la table elle me tend sa main fermée pour me donner sa culotte. Je la récupère et la glisse dans ma poche.

Elle me regarde en me disant :

– Je suis très excitée, et je mouille,

Nous passons le reste de la soirée à rire, danser, quelques hommes plus hardis se risquent à l’inviter à danser et sont tout surpris qu’elle accepte. Elle me dira qu’ils bandaient tous très fort contre son ventre en avouant dans un sourire coquin qu’elle en avait elle-même été très excitée.

Nous sommes parmi les derniers clients, et lorsque je veux payer les repas je m’aperçois de la disparition de mon portefeuille contenant ma carte bancaire et mon argent.

Soucieux d’éviter le scandale, je dis à Laura de m’attendre un instant et je me dirige vers l’accueil pour expliquer mon cas. Je sens immédiatement que je vais avoir des problèmes pour faire admettre mon histoire. On m’invite à passer derrière, et là je suis assez mal reçu par le patron qui menace d’appeler les flics, A cette période de ma vie, je n’ai surtout pas besoin ce ça.

La discussion s’envenime, le ton monte, mais il est obligé d’admettre que je dis vrai car le serveur, qui avait porté une attention particulière à notre table, (Merci Laura) témoigne en ma faveur, il m’a vu sortir mon porte feuille de ma veste suspendue au porte manteau de l’entrée pour payer la rose offerte à Laura, j’exhibe les pièces dans la poche de mon pantalon qui correspondent bien à la monnaie rendue. La tension retombe d’autant qu’en sortant la main de ma poche, le string de Laura tombe par terre sous les yeux de ce salaud qui me demande de lui donner. Curieusement, il me fascine et c’est dans un état second que j’obéis en lui tendant le morceau de tissus minuscule qu’il enfile dans sa poche.

Il n’est pas bel homme, mais il me trouble, il me regarde bizarrement. Je réalise subitement avec honte que ma queue durcit malgré moi.

Il s’est radouci et m’invite à le suivre dans son bureau. Il me dit

« Désolé d’avoir douté de vous, mais je n’ai pas d’autre choix que d’appeler la police, car on a volé votre portefeuille dans mon établissement, je suis responsable et je dois porter plainte pour faire marcher mon assurance ».

Il décroche le téléphone. D’un pas en avant, je coupe la communication en disant

– « NON ! Pas les flics »

A l’instant où je fais cela je sens que j’ai fait une grosse boulette, l’erreur qu’il attendait. Il sourit en disant

-« Tiens donc ! On n’aime pas les flics et pourquoi ça ? »

Je ne réponds pas. Il enchaîne avec un sourire carnassier

– « Pas de flics ! Pas de plainte ! Pas d’assurance ! Alors ! que fait-on ? Il va falloir me dédommager autrement ça fait quand même 130 euros ! Avec le champagne ! »

Il me regarde comme un chat regarde une souris, je comprends très bien où il veut en venir son œil cochon me fixe et me détaille avec envie et je sais déjà que je vais céder à son désir. D’ailleurs en arrivant j’avais vu que je lui plaisais, et mon fantasme bisexuel, réveillé avait été entretenu toute la soirée par un des serveurs visiblement homo également. Je sens mon sexe durcir, je soutiens son regard sans agressivité, et il comprend que j’accepte sa solution.
Je romps le silence pesant qui s’installe :

– « Dîtes moi ce que vous voulez et finissons en, mon amie m’attend ! »
-« Heureusement qu’elle ne va pas voir ce qui va suivre ! » fit il en souriant de plus belle en ouvrant son pantalon.

Il sort sa queue déjà en érection et me dit

-« allez salope approche toi ! À toi de jouer ! »

J’avoue que c’est pour moi un moment très fort. Je m’approche lentement de ce mec qui crois m’humilier alors qu’il me permet de réaliser mon plus gros fantasme, « Sucer un mec » Je m’agenouille devant lui et je saisis sa bite à deux mains, je savoure ce moment intense, je prends le temps de contempler son sexe en érection à quelques centimètres de mon visage. J’y prends un réel plaisir. Croyant que j’hésite, cet imbécile réitère ses menaces d’appeler les flics.

– « Alors tu me la suces où je téléphone »

Je le prends en bouche et le suce jusqu’à l’éjaculation. Ce salaud ne se fit pas prier pour me juter dans la bouche en me pressant sur la nuque. Lorsque je me retire il me tend une serviette en papier pour recracher et m’essuyer avec un sourire dédaigneux

-« Tu vois salope c’était pas si terrible que ça ! Et en plus je suis sûr que ça t’a plu ? »

Je me redresse alors, et le fixant dans les yeux je lui dis menaçant

– « je reviendrais te payer ce que je te dois connard ! Mais tu peux être sûr que tu paieras très cher ce qui vient de se passer ». Je vis passer la peur dans ses yeux et il perdit toute son arrogance. La vérité c’est que je n’en pensais pas un mot mais je ne voulais pas qu’il sache qu’il venait de m’offrir 130 euros en me permettant de réaliser mon plus gros fantasme.

En sortant de son bureau, je traversais les cuisines et la salle du restaurant, je sentais le regard moqueur des cuisiniers et des serveurs qui savaient très bien ce qui s’était passé derrière la porte mais curieusement la honte et l’humiliation que je ressentais à ce moment là ne faisaient que m’exciter davantage, malgré moi j’avais la queue raide et elle le restait.

Je cherchais Laura des yeux, sa chaise était vide. Je la retrouvais dehors, à la voiture où elle m’attendait en colère : Je m’excusais :

– Excuse moi mon amour mais ils n’ont pas été très sympas !
Elle : (En colère) Ca fait plus d’une demi-heure !
Moi : (en la prenant dans mes bras) On m’a volé mon portefeuille et je n’avais pas de quoi payer !
Elle : (Un peu radoucie, mais toujours sur la défensive) Et alors comment ca s’est passé ? Pourquoi tant de temps ?
Moi : Tu ne vas pas me croire !
Elle : (Curieuse, les yeux brillants, détendue,) Si. . Si. . Dis-moi ! (Se lovant contre moi) S’il te plait Dis-moi !
Moi : (très sérieux) Je lui ai proposé tes services pour le payer en nature !
Elle : (Cherchant à me repousser) Salaud ! Tu n’es qu’un goujat ! Il n’en est pas question !
Moi : (toujours sérieux) Attends la suite !
Elle : (à nouveau curieuse) Quoi ! Vite, dis-moi ce qui s’est passé !
Moi : C’est pas la peine tu ne me croiras pas
Elle : (excitée comme une puce) Si. . Si. . Raconte-moi ! Je veux savoir ! Je mérite bien ça pour avoir poireauté plus d’une demi-heure devant ta bagnole fermée à clef, sans ma culotte, à me geler les fesses
Moi : (avec un air sérieux mais hésitant feignant la honte) Il a refusé, c’est un homo, et il a voulu que ce soit moi !
Elle : (Incrédule) Non . . . Arrête tes conneries ! Toi avec un pédé ? (curieuse) Que t’a-t-il demandé ? Raconte-moi !
Moi : (Avec un air un plutôt gêné, Je l’enlace et à voix basse dans le creux de son oreille) de lui faire une pipe
Elle : (dans un éclat de rire cristallin) Tu l’as pas fait ! Hein ! noooon pas toi ! Ne me dis pas de connerie, toi avec une bite dans la bouche ? hi hi hi
Moi : (Avec un air gêné et honteux) Si, je l’ai fait ! J’étais bien obligé sinon il appelait les flics !
Elle : (de plus en plus excitée) Ho ho ho, raconte moi ! Tu l’as sucé en vrai ? Tu la fait jouir ? Dis moi il a éjaculé où ? Dans ta bouche ? Ho oui chéri raconte moi ça en détail ça m’excite vachement ! J’aurais bien voulu voir ça ! Ça me fait mouiller d’imaginer ça !
Moi : (En la pelotant et passant la main entre ses cuisses) Je vois ça tu es trempée ma cochonne ! Eh oui chérie je l’ai vraiment sucé, j’étais à genoux, et il s’est vidé dans ma bouche. Mais toi ma salope tu mouilles comme une fontaine, tu es vraiment prête pour de faire sauter !

Tout en lui parlant Je dégageais mon sexe tendu et je la prenais debout le long de la voiture. Très excités tous les deux, elle se tortillait comme un ver, je la serrais très fort contre moi pour mieux la pénétrer et nous ne tardâmes pas à jouir ensembles.

Elle : (reprenant avec un sourire moqueur) Remarque c’est pas mauvais de sucer, moi je dirai même que j’aime ça ! Dis moi chéri tu as avalé ?
Moi : (faussement détaché) Désolé ma biche ! Mais je n’ai pas avalé ! Il m’a tendu une serviette en papier pour cracher et m’essuyer.
Elle : (très ingénue) Tu sais pas quoi ? Mon chéri !
Moi : (Interrogateur) Non, trésor ?
Elle : (Mielleuse mais d’un air vraiment très salope) Moi j’ai pas de serviette en papier et si j’ouvre les cuisses ça va couler partout et le siège de ta belle voiture va être tout taché !
Moi : (pris au dépourvu) Ho Ho ça c’est un vrai problème ! Comment va-t-on le régler ?

Je m’étais reculé, pour l’admirer, Superbe créature, elle était là devant moi très sensuelle, très sexy, une bretelle de sa robe avait glissée de son épaule libérant son sein magnifique. Sa robe était remontée, roulée au dessus de ses hanches elle se tenait là debout, les cuisses serrées appuyée contre la voiture, exhibant son pubis lisse et parfaitement épilé encadré par son porte-jarretelles rouge retenant ses bas résilles noirs. C’était ma Laura,

Elle souriait et (d’un ton moqueur et l’air encore plus salope)

– « Maintenant que tu sais faire, tu n’as qu’à te remettre à genoux Mon chéri ! »

Je la contemplais toujours, perdu dans mes rêveries, subjugué par l’érotisme exceptionnel de la vision qu’elle m’offrait lorsqu’elle revint à la charge :

« Tu sais mon amour, « ça urge », je ne vais pas pouvoir retenir ton liquide longtemps »
Moi : Tu es sûr qu’il n’y a pas d’autre solution ?
Elle : Bien sûr qu’il doit y en avoir d’autres mais je ne les connais pas à part d’aller demander une autre serviette en papier à ton ami restaurateur ?
Moi : (en m’agenouillant) Toi ma salope ! Tu as les mots qu’il faut pour obtenir ce que tu veux ! Que ne ferais-je pas pour toi ?

En la regardant droit dans les yeux, je m’agenouillais, posais ma bouche sur son pubis et descendais vers son sexe, elle me prit derrière la nuque et avança son bassin en écartant les jambes, ma bouche se posa sur sa vulve trempée, gluante et dégoulinante du liquide poisseux témoignant de mon plaisir.

Je retrouvais pour la deuxième fois dans la même soirée le goût particulier du sperme dans ma bouche.

Malgré moi je trouvais cela agréable, je léchais ce mélange de foutre et de mouille, reliquat de notre plaisir. J’avalais tout ce qui coulait de son trou d’amour avec un plaisir et une excitation qui ne lui échappèrent pas.

Un instant plus tard, je me dégageais, elle me sourit et passant deux doigts dans sa chatte, elle les porta à sa bouche en disant

-« Hum tu n’as rien laissé mon chéri, tu t’es appliqué dirait-on ! J’ai même eu l’impression que ça te plaisais . . . Non ? »

Puis d’un air faussement surpris et en pouffant

– « HO, j’en avais un » dit-elle en exhibant un kleenex, et poursuivant -« mais je crois que tu n’en as pas besoin cette fois ? Il m’a semblé que tu avalais ! Non ? »

Sans répondre, je lui souriais et faisant le tour de la voiture je l’invitai à monter pour rentrer.
Une fois de retour à la maison, elle me dit qu’elle avait encore envie de moi, et pour me convaincre elle entreprit de me faire une fellation magistrale. Avec une certaine envie de vengeance, je me suis concentré pour ne pas montrer la montée de mon plaisir et je me laissais aller dans sa bouche en lui maintenant la tête sur ma bite ne la libérant qu’après qu’elle ait tout avalé. Elle m’a traité de –« salaud ! Pédé ! Cochon ! vicieux ! » et autres gentillesses du même genre, avant de rire et de m’embrasser en me murmurant des mots d’amour. Puis elle se lova contre moi et dans un baiser passionné, elle me dit

-« Je t’aime mon amour, tu sais que tu as un don inné pour me surprendre et m’exciter. Tant que tu garderas ce don je serai à toi et à toi seul. Et je saurais te satisfaire au delà de tes espérances ».

Cet aveux me fit l’effet d’une flèche en plein cœur, était-ce une flèche de « Cupidon » ? Je n’en sais rien mais en tout cas, je suis très amoureux d’elle.

fin

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