La sœur de ma mère et son mari par Mondoi

La sœur de ma mère et son mari
par Mondoi

J’ai vingt deux ans, mécanicien, je rends des services à la famille, je leurs répare et entretiens leurs voitures.

L’autre jour, ma tante m’appelle pour que je lui vidange la sienne, la sœur de ma mère est une femme de caractère, je ne lui refuse rien, elle me fait fantasmer depuis longtemps, 45 ans, une belle brune aux cheveux longs, le teint mâte de ses origines italiennes, fait ressortir ses yeux verts, elle a des formes rondes mais pas trop, des seins gros et qui tiennent, des fesses fortes et bien rondes, elle est assez grande, ce qui lui donne une belle allure, Maria est une femme bandante.

J’étais sous sa voiture à dévisser le bouchon de vidange, elle était debout à côté, j’essayais de mater sous sa jupe et le bouchon est venu d’un coup, je n’ai pas eu le temps d’attraper la bassine pour l’huile et je me suis aspergé copieusement en me traitant d’abruti, Maria m’a passée la bassine, la caisse a fini de se vider, je suis sortis de dessous, ma tante à rigolé en voyant mon état et m’a proposé de monter me doucher et me changer.

– Mais tu ne monte pas avec tes vêtements pourris dit-elle, tu vas tout me saloper, enlève ton bleu de travail

J’hésitais un peu, gêné de me dessaper devant elle, surtout que j’avais juste un slip et un tee-shirt en dessous.

– Allez, que ce que tu attends, j’en ai vue d’autres, garde le bas si tu as des pudeurs.
– Oui Tata !

Et je me déshabillais dans le garage, ma tante me matait en faisant des commentaires.

– Ben dis-donc, t’en a partout, regarde moi ça, même sur ta culotte.

Le mot, « culotte », a sonné dans sa bouche comme on parle à un enfant, elle profite de la situation pour me materner, je sens que mon sexe apprécie la situation.

– Viens avec moi, je vais t’aider à te récurer et là, faudra que tu enlève tout, je te donnerai des vêtements à ton oncle, vous avez la même taille.

Je la suis dans les escaliers et nous entrons dans la salle de bains.

– A poil, ordonne-t-elle, que je mette ton linge à la machine

Elle joint le geste à la parole et tire mon slip vers le bas, ma queue jaillie, presque raide, j’essaye de la cacher mais trop tard, elle l’a vue.

– Holà, c’est moi qui te fait de l’effet, pas la peine de la cacher, je ne vais pas te la mordre, au contraire, j’aime bien les carottes nouvelles mais ailleurs que dans la casserole dit-elle en rigolant et elle finie de m’enlever mon slip en me fixant avec un regard malicieux.

Elle fourre le linge en machine et revient vers moi revêtue d’une blouse blanche, façon infirmière et apparemment elle est en sous vêtements dessous, elle n’a fermé que deux boutons et ses formes tendent le tissus, je bande encore plus fort.

– File sous la douche, je vais te savonner partout, dit-elle en s’approchant, une bouteille de savon liquide à la main.

Je fais couler l’eau, elle m’asperge la tête de savon et me frictionne les cheveux, je ferme les yeux, le liquide m’aveugle, elle remet du savon, maintenant, elle me frotte le cou et les épaules, j’ai toujours les mains devant mon sexe en érection, elle me masse les muscles, je sens son corps prés de moi, son souffle sur moi, je suis excité à m’en faire mal à la queue mais je n’ose pas la toucher. Elle descend sur mon torse, le savonne en me pinçant les tétons, qui durcissent.

– Oh le mignon, il bande des seins aussi, comme une fille, tu vois que les hommes aiment les mêmes caresses que l’on fait aux femmes, tu n’es pas homo quand même ?
– Oh non, Tata, j’aime bien que tu me lave.
– Tu vas voir, Tata vas bien s’occuper de toi, enlève tes mains que je puisse te laver partout.

J’écarte les bras, je n’ouvre pas les yeux, j’ai honte de mon érection, mais j’ai tellement envie qu’elle continue ses caresses.

– C’est un bel outil que tu as là, me complimente t’elle, faut pas le cacher.

Ses mains sont sur mon ventre, elles me touchent les abdos, passent sur mon pubis, elle se savonne les mains et saisit ma verge, ses mains sont douces et chaudes sur ma hampe, elle me masse sans me décalotter, elle titille mon prépuce, le fait rouler entre ses doigts, une main saisit mes testicules et les frotte pour les savonner, deux doigts entourent mon sexe à la hauteur du gland et descendent, d’un coup, la membrane de peau, libérant la boursouflure violacée, j’ai un hoquet de surprise et de plaisir.

– Dis donc, tu n’as pas fait ta toilette ce matin, ça sent un peu le pipi ton truc, remarque, j’aime bien l’odeur du sexe des hommes, ça m’excite, tu sais que tu fais mouiller ta tante, petit dégoutant, je vais te la nettoyer et elle engouffre le morceau dans sa bouche. « Humm, elle est bonne ta bite », dit-elle entre deux va-et-vient.

Elle me pompe et me lave en même temps, elle me masse les couilles, le plaisir qu’elle me donne est terrible, elle me suce pendant cinq minutes et s’arrête.

– C’est pas tout, faut finir cette toilette, retourne toi, que je fasse le côté pile, je me retourne, elle me savonne le dos et descend sur mes fesses. « Penche toi en avant que je t’inspecte la raie, ça doit pas être mieux que devant. »

Elle glisse ses doigts dans mon sillon et les portent à son nez.

– Ouah, là aussi, y a du laissez aller, je vais te récurer la petite porte aussi et elle se met à me frotter la raie et l’anus.

Je trouve ça agréable et je me surprends à tendre les fesses vers elle.

– Mais c’est qu’il aime ça le neveu, il aime se faire toucher le cul par sa Tata et ça, tu aimes aussi ?

Elle vient de m’enfoncer un doigt dans l’anus, je ressens une légère douleur mais je m’habitue vite à cette nouvelle sensation car elle a saisit mon sexe de son autre main et me masturbe en même temps.

– Tu as mal, tu veux que j’arrête ou je continue ?
– Non, ça vas Tata
– Alors je continue à te savonner le petit trou ?
– Oui continus Tata

Elle me doigte de plus en plus vite et profondément

– Tu es vierge de ce côté, demande t’elle ?
– Oui Tata
– Si tu veux, je peux te faire découvrir un nouveau plaisir, je sais m’y prendre avec les puceaux de l’œillet, attend moi là, je reviens.

Elle revient avec une mallette et l’ouvre à mes pieds, sa blouse est grande ouverte, je vois sa poitrine volumineuse et son entre jambe velu, elle sort un petit vibromasseur et me le montre.

– Celui-là n’est pas trop gros, il sera bien dans tes fesses, penche toi et pousse pour que ça rentre. Donne ton anus à Tata, elle va te faire du bien.

Elle pose le gode sur ma rondelle et appuie pour l’enfoncer, avec le doigtage et le savon, il rentre de suite, je le sens passer ma porte intime et je pousse pour me détendre, il glisse bien dans mon conduis et ma tante m’encule allègrement.

– Tu prends bien dis-donc, tu mérite plus gros, tu veux goûter à plus gros ?
– Si tu veux Tata, si ça fait pas mal
– Mais non, je vais t’enculer sans douleur, le passage est fait

Elle prend dans sa mallette un gros godes à ceinture et se le fixe sur les hanches, elle se colle à moi et m’enfonce le gros gland dans l’anus, c’est moins douloureux mais ça me déchire quand même.

– Prend ça dit-elle, en s’enfonçant dans mon ventre, elle me fourre comme une folle.
– Branle-toi pendant que je te sodomise, tu vas prendre ton pied avec ma bite dans le cul.

Le sexe factice me pénètre jusqu’aux intestins, il me lime la rondelle, me remplit le boyau culier, je me masturbe à pleine main pour faire monter la jouissance, ma tante dans mon dos est comme une furie, elle ahane à chaque coup de reins me tenant fermement par les hanches, elle me griffe les fesses, me donne des claques dessus en me traitant de petite salope, soudain, j’entends une voie d’homme.

– Alors Maria, tu fais ta gym ?

C’est mon oncle qui vient de rentrer, je redoute sa colère devant la scène que nous donnons, moi et sa femme, mais non, il s’approche tranquillement et embrasse son épouse à pleine bouche.

– Mais c’est mon puceau de neveux qui se fait ramoner le petit trou !
– Il en avait besoin, précise ma Tante, fallait que je fasse quelque chose pour lui.
– Il a l’air d’aimer ça, dit mon oncle en prenant ma verge pour la branler, il a une belle gaule dis-donc, faudrait qu’on y goûte tous les deux!

Maria m’a d’éculée pour faire voir le chibre de latex à son mari

– Après tu lui fais goûter à une vraie bite lui commande t’elle.

– Suce ton Oncle ordonne Maria en ouvrant le pantalon de son mari, elle en extrait un phallus de belle taille, déjà en érection et me le met sur les lèvres.
– Fais lui comme je t’ai fait, si tu ne sais pas faire une pipe, l’appétit viens en mangeant.

Je suçote le prépuce, hésitant, il sent l’urine, comme le mien, ça me gêne un peu, je prends sa queue entre mes doigts et le décalotte, le gland est pourpre, gros, du méat suinte un liquide visqueux et odorant, je n’ai jamais sucé un homme mais ce parfum corsé m’excite et je prends le sexe entre mes lèvres et entame une fellation.

– Pompe bien ton Oncle, qu’il ait la verge bien dure pour te sodomiser, tu vas aimer ça, un gros morceau de chair dans tes fesses, je te dis ça par expérience, ton Oncle me prend par derrière souvent et ce n’est pas comparable aux jouet que je t’ai mis, c’est beaucoup mieux.

Mon oncle me tient la tête et imprime le mouvement de va-et-vient sur sa verge, j’ai les lèvres en anneau et ma langue lèche toute la longueur du membre, d’une main, je lui caresse les testicules, elles sont grosses et velues, on dirait qu’elles sont pleines de jus. Maria me masse l’anus avec sa pommade, elle me prépare pour l’enculade.

– Il est prêt, encule le, encule le maintenant! Dis Maria surexcitée

Mon Oncle sort de ma bouche et se place derrière moi, sa femme aussi en m’écartant les fesses, je sens son gland se poser sur mon anus.

– Je veux regarder ça, dis ma Tante, ce n’est pas tous les jours qu’on voie un dépucelage anal, pousse bien mon petit, pour que ça glisse tout seul, sinon tu vas la sentir passer.
– Oui Tata, je pousse, oh, Tata, tu es si bonne avec moi et toi aussi Tonton.
– Toi aussi, tu es gentil, me répondent-ils en cœur, tu voudras bien nous sodomiser aussi ?
– Avec plaisir, je vous ferais ce que vous voulez.
– Aller, donne moi tes fesses, dis mon Oncle que je sens forcer mon entrée.

Je tends ma croupe, je pousse pour m’ouvrir, ça force, le dard entre en moi d’un coup, c’est gros mais ça rentre, je suis écartelé du fondement, j’ai moins mal que je l’imaginais mais je suis écartelé du cul, le gode de ma Tante m’a assouplis la rondelle, mon Oncle s’enfonce en moi dans un râle de satisfaction.

– Ahhh, c’est bon un cul de puceau, dit-il
– Il est bien étroit, dit Maria, tu dois être bien dedans ?
– Ca me rappelle le tiens la première fois, quel pied j’ai pris quand je t’ai cassé le derrière.

Il m’a pris par les hanches et me martèle la petite porte, je sens toute la longueur du membre entrer et sortir de mon anus, il me lime le bourrelet plusieurs fois et se renfonce jusqu’à la garde, ma Tante est passée sous moi pour me pomper le dard, je ne vais plus tenir longtemps, la lave bouillante du plaisir monte de mon anus et de mes couilles, elle a une main dans le vagin et une sur ma queue, son mari me baise en accélérant les coups de reins, il me prévient qu’il vas venir.

– Ahhh… je viens… prend mon jus dans tes fesses.

Je sens les giclées de sperme m’asperger le conduis pendant qu’il donne encore quelques coups de reins puis il se retire de mon trou.

– Tiens Maria, viens prendre ton dessert et ma tante de se précipiter entre mes fesses pour laper le jus qui en sort, elle lèche, elle aspire. Mon oncle s’est agenouillé pour me sucer et il le fait très bien, sa bouche avale ma queue et il me pelote les couilles, ma Tante passe derrière lui et me montre son index et majeur réunis qu’elle mouille de salive, sa main descend entre les fesses de Tonton, je vois qu’elle farfouille un instant puis, d’un geste vif, elle lui les plante dans l’anus, mon oncle a un sursaut.

– Ton Oncle aime bien se faire fourrer l’oignon dit-elle, je le prépare et tu vas venir le sodomiser.
– Oui, encule moi dit-il, je veux goûter à ton bel outil, après tu prendras ta tante.

Je me relève et passe derrière lui, Maria lui doigte le cul en profondeur et en largeur, elle vrille ses doigts dans la rosette, les ressort, crache sur la rondelle dilatée et les renfonce.

– Il est prêt, prend le devant moi, j’aime le voir se faire enculer par un homme.

Je pose mon gland sur l’ouverture distendue et je donne un coup de rein, ma verge le pénètre sans difficultés, je l’enfile à fond, mes poils pubiens touche sa raie, ma tante lui tiens les fesses écartées et jubile devant la vision de ma queue dans l’anus de son mari, elle s’astique la moule comme une hystérique, les yeux agars et la bave aux lèvres.

– Lime le bien mais garde ton jus pour moi me dit-elle.

Je ressors ma bite entièrement et la remet, plusieurs fois de suite, elle et moi contemplons l’orifice écartelé, Maria a passé une main dessous et le masturbe au rythme où je l’encule, il ne tarde pas à crier son bonheur et lâche un autre jet de sperme sur le carrelage.

– A moi, à moi crie Maria en m’attirant à elle.

Ma tante est déjà en levrette, la croupe tendue vers moi, réclament la pénétration rectale, j’ai la bite en feu, tendue à l’extrême, je lui la mets, elle est un peut serrée du sphincter, et c’est avec plaisir que je la force, sa rondelle m’enserre le gland puis cède d’un coup, mon dard est avalé, Maria pousse un râle de plaisir et de douleur, je commence de suite à la besogner, mon oncle vient s’accroupir sous elle et lui bouffe la chatte, la vision de ce trio infernal me rend dingue, je ramone l’anus de ma Tante avec férocité, le plaisir amène ma jouissance et j’explose dans son ventre d’un orgasme brulant, elle jouie aussi en criant des mots orduriers et en pissant sur son mari qui boit avidement le liquide.

J’ai passé la nuit chez eux et nous avons remis le couvert jusqu’à l’aube, j’avais le cul en chou fleur et la bite en feu en les quittant.

Mon oncle et ma tante m’ont remerciés pour la vidange de la voiture et m’ont invité à passer manger quand leurs filles seront là, pour passer une bonne soirée en famille.

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Une réponse à La sœur de ma mère et son mari par Mondoi

  1. Sapristi dit :

    Fantasme classique et sympa, pas trop mal écrit mais comme souvent chez cet auteur, les tout cela fait très mécanique

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