Jeux de garçons, jeux de cochons par Estonius

Cela remonte à mes années de stage, j’avais une vingtaine d’années, quelques expériences féminines et pas mal de déceptions. J’avais avec moi, Henri, un jeune homme blondinet décontracté et plein d’humour. Je ne sais plus ni pourquoi ni comment j’ai été amené à lui dire que j’avais les idées larges, qu’il n’était pas question pour moi de renoncer à draguer les femmes, mais que si une expérience homosexuelle se présentait… Et bien, après tout pourquoi pas ? Je lui précisais aussi que si je devais faire cette expérience elle serait sans lendemain, et puis que de toute façon le corps des hommes ne m’intéressait pas, mais que par contre j’étais assez fasciné par les beaux zizis.

Quel ne fut pas ma surprise, quand il m’invita ce vendredi soir à une « soirée mecs » ! Je refusais, mais l’autre de me rappeler mes paroles et de me mettre au pied du mur.

– De toute façon si tu vois que tu es bloqué, tu prétexteras une migraine ou je ne sais quoi, pour nous quitter et personne ne t’en voudra.

C’est ainsi que je me suis retrouvé un samedi soir, une bouteille de Malibu à la main à la porte d’un appartement parisien en plein quartier latin. Je me suis arrangé pour arriver le dernier, n’ayant pas trop envie de gérer l’attente par des discussions avec des gens que je ne connaissais pas. Un homme m’ouvre, un grand brun à la peau blanchâtre :

– Bonjour, je suis Etienne, Henri m’a proposé de passer…
– Rentre ! Je suis Patrice ! m’indique l’hôte. On se fait la bise ?

Je n’ai pas vraiment l’habitude d’embrasser les hommes, mais bon…

– Alors il parait que tu n’as jamais fait ça, mais que tu aimerais bien une petite expérience ? Ajoute-t-il en refermant la porte.

Et sans attendre une quelconque réponse, il me met sa main sur la braguette. Réaction garantie, je me mets à bander, je ne pensais pas que les choses commenceraient si tôt. Il me conduit jusqu’au living.

Henri est là, ainsi que trois hommes assez jeunes… Patrice fait les présentations :

– Je vous présente Etienne, c’est le gars dont Henri nous a parlé….

Et tout en parlant il me pelote les fesses…

– Regardez moi ce petit cul, on va se régaler !

Il y a donc là Ivan, un joli mec aux cheveux châtains clairs et à la peau bronzé, Vard un blond aux cheveux longs assez efféminé, et Cheng un asiatique. J’embrasse tout ce petit monde. La première impression est assez sympathique. On est donc six, ça fait du monde pour une courte nouvelle érotique, on va essayer de ne pas trop s’emmêler !

Etant au complet et ces présentations faites, Patrice nous propose d’emblée :

– Si on jouait à « la douche » comme l’autre fois ? Ça m’avait bien plu !

Je m’attend à un espèce d’orgie dans la salle de bain, comme ça d’emblée, ça ne me dit trop rien, mais ce n’est pas ça du tout !

On m’explique le principe, on pose sur la table de la bière, de l’apéritif, et des revues pornos. Mais personne n’a le droit d’y toucher avant d’avoir pris une douche. On n’a même pas le droit de fumer. On tire donc au sort le premier qui va se doucher, il doit revenir à poil devant les autres et gagne le droit de boire, de feuilleter mais aussi de provoquer ceux qui sont encore habillés, mais sans contact, par contre il peut faire ce qu’il veut avec ceux qui sont déjà douchés. Quant au dernier à être tiré au sort, non seulement il n’aura le droit de rien faire mais devra accepter d’être humilié par les autres.

– Tout me monde est d’accord ? Parce que n’allez pas râler après si vous êtes le perdant !

C’est bien ça qui me fait hésiter un petit peu ! Mais bon, il n’y a qu’une chance sur six pour que ça soit moi (comme à la roulette russe) et puis je peux toujours m’échapper, je ne suis pas prisonnier… Et puis j’aime bien prendre des risques, c’est mon côté joueur…

Donc c’est parti !

On tire au sort, c’est Ivan qui est désigné, il s’en va donc.

– Rassure-toi ! Me conforte Henri. Ça se passe toujours super !
– Même pour le perdant !
– Mais, oui, on n’est pas des brutes…

Comme il faut bien qu’on s’occupe en attendant le retour d’Ivan, ça parle sport et bagnole, et comme je n’y connais rien, j’attends que ça se passe.

Et voilà la réapparition d’Ivan à peine sec ! Il tire lui-même le nom du suivant et c’est Vard que le sort désigne pour gagner la salle de bain ! Ivan est donc nu, il est assez mignon, le corps est pratiquement glabre, je louche vers sa bite, un bien bel objet, évidement avec ma discrétion habituelle il s’en aperçoit !

– On dirait qu’elle te plait ma bite, toi le nouveau ?
– Elle est belle !
– Ça te plairait de la voir au fond de ton cul, hein ?
– Pourquoi pas ? Répondis-je avec prudence. (De toute façon ça n’engage à rien.)

Ivan fait un demi tour sur lui-même, tortille du cul, écartes ses fesses, joue avec son sexe, se pince les tétons… Il nous la joue très star.

– Ça va ? Ça vous plait tout ça ?

Il se sert un bière, se trempe la bite dedans !

– Ah ! Ah ! Ça vous fait envie, hein ? Vous êtes vraiment des gros cochons ! Bon c’est quoi ces bouquins ? Wha le mec ! La bite qu’il se paie, ça m’excite tout ça !

Puis ne s’occupant plus de nous, il s’assoit, le magasine d’une main, sa queue dans l’autre et il se masturbe très lentement.

Je suis véritablement très excité, alors que je me disait, il y a encore quelques minutes, me mentant sans doute à moi-même, que j’étais d’abord venu pour voir, j’ai maintenant réellement envie de participer, sans doute timidement mais de participer, et j’ai bien l’intention de sucer une bonne queue avant de partir.

On est en fait tous scotchés vers Ivan dont la bite parfaitement dressée est désormais une véritable provocation.

Mais voici Vard qui revient, il n’a plus un seul poil sur le visage et arbore une belle bite bien bandée. Il tire d’abord un papier dans la corbeille désignant le prochain occupant de la douche, c’est Cheng.

Vard s’approche d’Ivan. Ce dernier sans quitter son siège lui pose les mains sur la taille, puis approche ses lèvres pour embrasser sa verge, ses mains s’égarent sur ses fesses, puis c’est sa langue qui lèche toute la hauteur de la hampe, avant que d’un coup sa bouche ne l’engloutisse et qu’il commence à le sucer. C’est trop excitant ce truc là, une fellation devant mes yeux. J’en viens à me demander si quand ce sera mon tour d’aller me doucher, je ne devrais pas me masturber pour être « plus calme » ensuite.

Ivan cesse un moment de sucer son partenaire.

– Ça vous excite, hein, bande de mateurs, vous aimeriez bien être à notre place ? Bon, Vard, si tu me suçais un peu à ton tour ?

Cela n’a l’air de poser aucun problème pour le grand blond qui file entre les jambes de son complice et qui commence à son tour à lui sucer sa jolie pine.

– Hum, elle est bonne ta bite, c’est dommage qu’elle sente la savonnette, finalement cette idée de douche je ne sais pas si c’est une si bonne idée que ça ? Moi j’aime bien les bites qui sentent un peu le pipi.
– C’est pas un problème, si tu veux, je te pisse dessus !
– C’est une promesse j’espère ?
– Oui, mais avant je vais te flanquer une fessée, ça t’apprendra à raconter des cochonneries.
– OK, ça fait deux promesses !
– Bon, alors maintenant suce-moi en silence et excite-moi mes bouts de seins en même temps !

Vard obéit ! Rapidement son partenaire se pâme.

– Attend ne me fait pas jouir tout de suite ! Putain les mecs, ce type suce comme un dieu, une vraie bouche de pute…. mais arrête… oh puis non continue, c’est trop bon !

Ivan finit par décharger dans la bouche de Vard, ce dernier proposera à son partenaire de l’embrasser, la bouche pleine de sperme, mais l’autre refuse.

Mais voici Cheng qui est de retour, sa bite de taille moyenne est comme chez beaucoup d’asiatique plus sombre que le reste de son corps. Il tire au sort ! Cette fois c’est pour moi ! Ouf, je ne serais pas le perdant ! Et tandis que je me dirige vers la salle de bain je me retourne pour apercevoir l’asiatique recevoir de Vard, le baiser dont Ivan ne voulait pas.

Inutile de vous dire que je me douche à la vitesse grand V, je n’ai qu’une hâte c’est de revenir. Je bande sans arrêt depuis un bon quart d’heure. Allez hop, je me rince, je m’essuie un peu, je m’asperge un peu d’eau de toilette. Je vérifie dans le miroir si je suis présentable, finalement j’en sais trop rien, en fait je me suis mal préparé pour ce truc, j’aurais du me raser le torse…mais bon, on va dire que ça devrait aller. Et hop, je reviens dans le salon laissant la place à ce pauvre Patrice qui doit être dans un état pire que moi. Quand à Henri qui n’a pas été tiré au sort, il a l’air tout content de sa situation, et le fait de servir éventuellement de souffre douleur à l’ensemble du groupe n’a pas l’air de le gêner plus que ça.

Ivan est dans son coin, il ne bande plus, et « récupère » en sirotant une bière. Mais ce n’est pas là qu’est le spectacle, en effet Cheng est en train de sodomiser Vard qui se pâme de plaisir. Quel spectacle que la bite de l’asiatique qui effectue de longs et profonds coulissages réguliers dans l’anus de ce bel homo chevelu ! Inutile de vous dire dans quel état j’étais quand ce dernier m’appela :

– Mets-toi devant moi, je vais te sucer, pendant qu’il m’encule !

Ça m’embête un peu, je ne suis pas vraiment venu pour ça, mais une partouse c’est aussi un partage, il faut savoir donner de sa personne, c’est encore la meilleure façon d’espérer un « retour »

Je lui présente donc ma queue à hauteur de sa bouche et sans préliminaire, il l’engloutit. C’est incroyable comme ce mec suce bien, aux mouvements de pompage imprimés par ses lèvres s’ajoute des mouvements de langue sur mon gland qui me font frétiller de plaisir. A ce rythme et compte tenu de l’excitation accumulée, je ne vais pas durer longtemps. Je le préviens que je vais venir, mais il s’en fiche et j’éjacule dans sa bouche.

Un peu secoué, je vais m’asseoir, continuant à assister à la sodomisation de Vard.

– Qu’est ce qu’il m’encule bien ce mec, je te le recommande ! S’amuse-t-il à me dire !
– C’est quand tu veux ! Rajoute l’asiatique ! Je vais bien te la mettre, tu vas voir !

Je ne réponds pas, je suis un peu dépassé par les événements. Cheng semble accélérer sa cadence !

– Me jouis pas dans le cul ! Viens dans ma bouche !

L’asiatique décule alors, enlève précipitamment le préservatif et offre sa queue à finir à Vard. En quelques mouvements seulement il atteint la jouissance. Puis pour la deuxième fois de la soirée les deux hommes s’embrassent sur la bouche.

Patrice sort à son tour de la douche, Vard attrape sa queue de la main et décidément insatiable, lui la prend en bouche.

– Hum ! Tu suces toujours aussi bien, mais moi aussi je voudrais bien ta bite, allonge toi par terre on va se mettre en 69.

Les deux coquins se mettent ainsi en position de tête bêche et se lèchent mutuellement la bite. C’est Vard qui jouira le premier, son compagnon quelques minutes après.

Henri lui revient à ce moment là, il s’est pourtant dépêché de prendre sa douche, il regarde l’assistance, constate que tout le monde à joui et qu’il faudra attendre quelques minutes pour la suite des événements. Il va s’asseoir dans un coin et commence à se masturber plutôt mollement.

– Je te signale que tu as perdu, tu n’as donc pas le droit de jouir, par contre on peut te faire ce qu’on a envie, mais pour l’instant viens donc me voir, ma bibiche, je vais sucer le trou de balle pendant que tu te branles ! Propose alors Vard, décidément en grande forme.

Vard commence à donner de grands coups de langues dans la rondelle du perdant du jeu. Il s’arrête un moment !

– Décidément, la prochaine fois, il faudra trouver autre chose que la douche, moi j’aime bien qu’un trou du cul ça sente le trou du cul !

Ivan s’approche alors des deux hommes, il a retiré le ceinturon de son jean et le tient à la main faussement menaçant !

– Dis donc, toi ! On t’a dit d’aller prendre une douche, on t’as pas dit de te parfumer le trou de balle à la savonnette !

Eclat de rire de l’assistance !

– Mets-toi à quatre pattes et cambre bien tes fesses.

Il obéit sans discuter, Ivan cingle alors le cul de ce pauvre Henri, il le cingle une seconde fois, et encore une troisième… à la cinquième il s’arrête, il rebande de façon magnifique, tandis que les fesses de sa victime ont rougis de façon impressionnantes.

Ivan passe alors le ceinturon à Patrice qui à son tour lui administre cinq coups. Puis c’est Cheng, puis Vard. Je constate alors que même si les coups sont donnés avec force, il n’y a aucun excès, ces mecs comme le disait Henri lui-même ne sont pas des brutes… Je n’avais pas réalisé qu’il me faudrait moi aussi me servir de ce ceinturon et flageller ainsi mon collègue… Drôle d’impression que de devoir ainsi taper sur le derrière de mon collègue de travail. J’ai peur de taper trop fort, mais une curieuse réaction s’empare de moi pendant que j’opère, je m’aperçois en effet que non seulement ça me plait mais que cela me fait bander… Bizarre !

– Bon aller relève-toi ! Lui dit Patrice, tu va te mettre le petit tablier de boniche qui est là bas et tu va nous servir de soubrette pour le restant de la soirée.

On se sert à boire, ou plutôt on se fait servir par Henri, on rigole, certains caressent leur voisin, et Chang a carrément posé sa main sur mon sexe ce qui a pour effet de le maintenir bandé.

Un moment Vard lance dans la conversation :

– N’empêche que c’est moi la plus belle salope ici, j’ai déjà sucé quatre bites et je me suis fait enculer une fois. Il y a un record à battre, là, si on faisait des paris !

Mais personne n’a l’air de vouloir relever ce défi ! Alors Patrice nous fait une proposition.

– Je vous propose un jeu ! On tire au sort celui qui va essayer de faire mieux que Vard, et on va tous l’aider. Mais pour intéresser la partie, on met tous 20 € au pot, si le gars qui est tiré au sort fait mieux que Vard, il empoche la cagnotte, sinon….
– Sinon, ben sinon, c’est pour moi rajoute Vard !
– Et puis le perdant prendra la place d’Henri, ce sera notre soubrette pour le restant de la soirée !

Voilà des propositions qui ravissent toute l’assemblée. Henri prépare cinq bouts de papier. J’ai l’honneur de tirer le nom du challenger ! Je ferme les yeux, prend le papelard, le déplie, et….

…C’est mon nom qui est sur le papier….

Je vais pour protester, dire quelque chose… mais tous ces cornichons ne trouvent rien de mieux à faire que de m’applaudir… Moi qui venait pour juste voir un peu, et éventuellement faire un bisou sur une belle verge, me voici…

– Commence par la mienne ! Propose Cheng !
– Met toi à genoux ! me dit quelqu’un d’autre !

Et comme je n’obtempère assez vite, on me tire sur les mains, je ne sais pas trop comment je me retrouve agenouillé devant la bite de l’asiatique… Bon, je peux toujours m’enfuir à toute jambes, mais bon… la verge se rapproche de mon visage !

– Allez ouvre la bouche !

Je finis par le faire, je comprend que je serais plus à l’aise si c’est moi qui prend les initiatives, me voilà comme un gland avec un gland dans la bouche , je le ressort l’embrasse tendrement, la texture en est surprenante de douceur, je donne des petits coups de langue, puis je respire un grand coup et en met la moitié en bouche, je le suce comme je le ferais d’un énorme sucre d’orge, puis j’opère comme j’ai vu le faire dans les vidéos ou ici il y a quelques instants, des mouvements coulissants des lèvres, en m’aidant un peu de mes mains !

– Tu apprends vite ! Me dira Cheng !

Merci pour le compliment… Mais voilà que je me pose une question, il faut aller jusqu’où pour que ça compte pour une fellation…. J’espère que je ne vais pas être obligé de finir ! Je finis par poser la question !

– Soit cinq minutes, soit une éjac pour ça compte ! Si Vard est d’accord !
– Ça colle ! Mais il faut qu’il fasse soit 5 pipes et une sodo, ou alors 4 pipes et 2 sodos.

La sodo, je l’avais oublié, celle là ! Je crois que je vais abandonner l’affaire…

– Là ça ne fait pas cinq minutes, faut continuer ! ajoute Vard
– Suce-moi encore, et après je vais te préparer le cul ! Me précise Cheng.

J’en suis à me demander de quelle façon je vais pouvoir quitter ce jeu sans trop me ridiculiser, j’essaie de me concentrer sur ma fellation, c’est vrai que c’est agréable de sucer une belle bite bien tendue. Je ferme les yeux pour essayer de ne pas me faire distraire. Quand je les rouvre, je vois Ivan à côté de mon asiatique qui réclame la place, cinq minutes sont donc déjà passées… Je change de bite, celle-ci est plus grosse, plus belle aussi, mais moins pratique à mettre en bouche, mais je me débrouille… Cheng est passé derrière moi et me pelote les fesses de façon assez inquiétantes car ses mains se rapprochent ostensiblement de la région anale. Ça y est, il a le doigt sur mon anus, je comprends qu’il va vouloir me doigter ! Du coup je stoppe ma fellation, me retourne !

– Veux-tu rester tranquille ! Ais confiance en Cheng, il est très doux, tu ne sentiras rien !

Tu parles que je ne sens rien, j’ai son doigt dans le cul qui rentre et qui sort, si je ne trouve pas le moyen d’arrêter tous ce bazar dans cinq minutes, je vais me faire enculer. Quelque chose de froid sur l’anus… c’est quoi ça encore, puis quelque chose qui force.

– Laisse toi aller !

Je viens de réaliser, que si je ne l’aide pas un peu, il ne va jamais y arriver, et je n’ai pas l’intention de l’aider. C’est cela la solution pour échapper à la sodo, c’est tout simple. Effectivement il ne rentre pas ! Ouf ! Et pendant ce temps là je suce cette bonne pine, c’est dommage que je sois perturbé parce qui se passe derrière moi car ça m’empêche d’en profiter pleinement.

Et voilà Patrice qui se pointe pour remplacer Ivan, belle queue également un peu dans le même genre, un peu moins épaisse… Et derrière l’autre qui continue à faire le guignol, je sens Cheng qui continue en vain ses tentatives. Tranquille je suce donc ma troisième pine… j’ai quand même m’impression que mon anus à tendance à s’ouvrir… Est-ce que… Une petite poussée, ce salaud a failli rentrer…. une autre poussée, une très légère douleur, ça pousse encore ! C’est rentré ! Je suis en train de me faire enculer ! Tant pis pour moi, il fallait que j’agisse avant ! Encore une poussée, il doit m’avoir tout mis, et puis il commence à s’agiter. J’ai du mal à contrôler tout ça et à m’appliquer à sucer. Je décide de laisser faire ce qui se passe derrière, après tout ce n’est pas si terrible et je me concentre sur ce joli membre.

Drôle d’impression, on s’habitue à ce membre fiché dans l’anus, la sensation n’a vraiment rien de désagréable. A tel point que quand quelqu’un me demande si c’est bon, je lui réponds, qu’effectivement c’est super bon !

Puis on appelle Henri qui remplace Patrice, lequel Patrice prend lui la place d’Henri derrière moi ! C’est que sa bite n’a pas la même dimension, mais il faut croire que le « chemin est fait » ça pénètre bien et le maître des lieux me lime à son tour ! Me voici en train de sucer mon collègue ! Je réalise que j’ai déjà gagné mon challenge, quand ces deux là auront fini, j’aurais donc fait 4 pipes et 2 sodos !

J’ai du mal à sucer, tellement Patrice gigote derrière, il s’agite comme un dingue, puis s’affaisse sur moi, je viens de réaliser qu’il a jouit en me prenant. Plus personne derrière, drôle d’impression, on dirait que mon anus ne veut pas se refermer. Bon, je continue à sucer, je vais avoir une crampe de la mâchoire tout à l’heure. J’ai compris un peu trop tard pourquoi la bite d’Henri faisait tout d’un coup des soubresauts dans ma bouche, ce con vient de jouir. Je recrache tout ça… Ça commence à faire beaucoup de choses pour une première fois…

Et voilà qu’on applaudit ! C’est moi la vedette ! On me remet les 6 billets de 20 € !

– Donc pour l’instant la plus salope, c’est Etienne, si quelqu’un veut relever le défi ?

Non personne ! Et personne ne veut non plus d’un nouveau tirage au sort, on s’approche tous des boissons et on se rafraîchit un peu.

– Il faudra que tu reviennes, j’aurais ma revanche, me dit Vard en souriant !

Tiens, je ne l’ai pas sucé celui-ci, ça manque à ma collection…

– Bon, Henri donne ton tablier à Vard, c’est notre nouvelle boniche !
– Tiens, viens là, ajoute Ivan, je te devais une fessée !

Il fait mettre son camarade en travers de ses genoux et commence à lui administrer une fessée à main nue, ne s‘arrêtant que quand le cul fut devenu rouge comme une tomate, a moins qu’il est tout simplement attrapé mal aux mains.

– Bon j’aie envie de pisser ! Vard va me servir de pissotière, s’il y en a qui veulent en profiter…

J’ai un peu de mal à suivre, mais tout le monde se dirige vers la salle de bain, je fais donc pareil, là Vard se couche dans la baignoire.

– Wha ! C’est froid !
– Justement on va te réchauffer ! Répond Ivan qui après quelques secondes se met à lui pisser sur tout son corps !

Vard se caresse le corps avec l’urine, les autres se mettent à pisser à leur tour, et je suis aussi le mouvement, tout le monde rigole, l’ambiance est bon enfant ! Quand tout le monde a terminé d’uriner Vard s’y met à son tour et sans se relever….

– Bon je prends une vraie douche et je vous rejoins, ça creuse tout ça !

On grignote quelques bricoles, on plaisante, on est toujours tous entièrement nus. Des couples se forment, Patrice est en train de branler Henri tandis que Cheng suce Ivan qui commence déjà à rebander. C’est Vard qui s’occupe de moi, je n’ai joui qu’une fois, il le sait, il a commencé par s’occuper de ma bite avec sa bouche, et puis je ne sais trop comment on s’est retrouvé en 69, j’ai joui dans sa bouche et lui dans la mienne, après nos visages se sont rapprochés dans un grand élan de tendresse et pour la première fois de ma vie j’ai embrassé un homme !

– Ça te dirais qu’on sorte un des ces jours tous les deux, rien que tous les deux !

J’ai failli lui répondre que même si je m’étais éclaté ce soir, je préférais quand même les femmes… mais j’ai fini par accepter. On est resté longtemps dans les bras l’un de l’autre assistant avec amusement au spectacle d’Henri sodomisant Patrice tandis que Cheng s’empalait lui même sur la bite d’Ivan…

Le lendemain matin, j’ai eu un petit mouvement d’étonnement en sentant une forme se lover contrer moi, puis la mémoire me revint vite, Vard dormait à mes côtés. J’eus alors hâte qu’il se réveille afin de mélanger à nouveaux nos corps.

Estonius – février 2005

Ce récit a obtenu le 1er Prix de la meilleure nouvelle Gay pour l’année 2005

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8 réponses à Jeux de garçons, jeux de cochons par Estonius

  1. Sangara dit :

    En lisant cela j’ai retrouvé le goût des bites que je suçais dans ma folle jeunesse

  2. Breton dit :

    Maman, je bande !

  3. Marinus dit :

    Ça sent le vécu on dirait bien ?
    En tous les cas félicitations, j’ai fini cette lecture la bite au garde à vous !

    • Estonius dit :

      Disons que ça s’inspire d’un certain vécu. Etant jeune j’ai eu ma période où sans être gay je m’amusais avec les garçons, Quand j’y repense c’est vrai que j’en ai sucé pas mal, idem pour la sodo. Aujourd’hui il m’arrive encore de faire des trucs avec des hommes de ma génération. Mais faut pas croire, j’adore les femmes aussi !♥

  4. Garzon dit :

    Wha ! Toutes ces bites que l’on suce et qui rentre dans les culs, c’est grandiose, ça donne envie, je bande.
    Garzon, suceur de bites et adorant se faire enculer

  5. bitofrais dit :

    on a un peu de mal à suivre, mais c’est très excitant tout ça. Quand j’était jeune, j’avais un collègue homo qui organisait des soirées un peu dans le genre. moi je ne suis pas homo, mais j’aime bien les jeux de bites, j’y aller pour sucer et pour me faire enculer, j’adorais ça. Difficile de trouver ça aujourd’hui, le temps à passé, je vis à la campagne, je me branle parfois en évoquant mes souvenirs en en lisant des récits comme celui-ci dans lequel on se suce la queue, on s’encule joyeusement. Vive la bite.
    PS : Joli le biquet qui suce sur la photo.

  6. imogene dit :

    Beaucoup de monde, donc pas si facile à suivre, ou alors faut lire lentement, sinon c’est du bon gay et c’est un bon jeu

  7. Milou dit :

    Cela vaut surtout pour la description de ce jeu de la douche. Ça donne des idées !

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