Histoires de bons plaisirs – 6 – Huguette par Verdon

Histoires de bons plaisirs- 6 – Huguette par Verdon

Aujourd’hui nous allons nous occuper d’Huguette. C’est elle qui vous a déjà fait bander dans les épisodes précédents. Elle est l’ex-belle-mère de Lucien mais aussi la tante de Rosine sa nouvelle épouse.

Il a bien fallu qu’Huguette soit elle-même fort joliment dressée aux bonnes manières avant de pouvoir à son tour se charger de l’éducation de sa nièce. Il nous faut pour cela remonter bien des années en arrière, afin de connaître son cursus.

Nous l’avons découverte dans les chapitres précédents. J’ajouterai simplement qu’à ce stade de l’histoire elle n’est pas loin de la quarantaine. C’est une Baronne qui vit depuis quelque temps avec Momo son amant qui a rejoint sa couche depuis que Monsieur le Baron a eu la bonne idée de passer l’arme à gauche. Ce qui leur permet de vivre ensemble au grand jour.

Auparavant la Baronne et Momo s’étaient rencontrés fortuitement, ils se plaisaient beaucoup et ce dernier ayant remarqué que cette femme très chaude n’était pas à sa place dans son couple, il l’a discrètement entraînée à prendre quelques libertés extraconjugales. Le véritable mari était accaparé lui-même par les bonnes grâces de ses maîtresses, ce qui facilitait les choses à tout le monde.

Huguette dans sa jeunesse était déjà coquine Elle avait eu des relations saphiques avec des filles de son âge et quelques rencontres avec des garçons. Très attirée par tout ce qui concerne le sexe, elle aimait s’amuser en cachette dans son milieu familial, à des jeux très coquins. Ce n’était pas très grave et en plus assez fréquent entre jeunes cousins de son âge, c’était innocent.

Elle appréciait ces choses mais bien entendu le mariage et la vie au foyer avaient interrompu ces agréables moments. Comme bien des femmes ‘honnêtes et sages’ de l’époque, il lui a fallu se soumettre à la loi et aux bons plaisirs d’un mari macho. De ce dernier elle a subi ses premières sodomies. S’y prenant comme un bourrin, il la maltraitait, elle n’a pas aimé. Quand il la sodomisait brutalement elle se disait  » j’aimerais le voir lui, se faire enculer à son tour  » chose qu’il n’aurait jamais accepté. Sa mère lui disait :  » c’est normal, les hommes sont comme ça et si tu aimes ton époux tu te dois de lui offrir la pitance et le cul. Alors tu verras tu vas t’y habituer et d’ailleurs, si tu lui refuses il ira chercher ailleurs ! « . Elle savait bien la vieille vu qu’elle était passée par là. Son mari avec elle aussi n’avait jamais était bien tendre. Elle s’y était évidemment habituée et tant bien qu’avec son gendre elle n’avait pas hésité à partager la chose en cachette de sa fille. Une sacrée salope cette mère qui du père et du gendre appréciait les faveurs…

***

Certes Huguette s’y est aussi habituée. Du moins c’est son petit trou qui forgé par la grosse brute, y a trouvé petit à petit une certaine accoutumance voire même du plaisir, (ce qui était bien normal car si son cerveau et son amour propre n’acceptaient pas la méthode, il faut dire que le malandrin avec sa grosse bite lui tourmentait quand même la libido en lui tarabustant le croupion. Aussi en bonne fille de sa mère, elle acceptait de se prendre à son tour une bonne bite dans le cul pour compenser son manque d’amours et pour calmer la bête).

Heureusement son amant entreprend avec respect sa rééducation. Très fin en la manière, Momo lui accorde les douceurs que l’autre négligeait. Momo la fait grimper aux rideaux en lui faisant l’amour de façon fantastique et vigoureuse. Elle n’a jamais eu autant de bonnes caresses, de massages et d’attentions et partage avec lui de merveilleux moments d’amour. Elle redécouvre ces plaisirs qui tant lui donnaient du bonheur quand elle était plus jeune. Du coup, son cul n’étant plus martyrisé elle se paye avec son amant de superbes sodos, d’autant que ce dernier joliment équipé pour la fonction profite de la bonne disposition du petit trou si bien élargi auparavant. (Merci le mari !).

Les mœurs qui commencent doucement à se libérer à l’époque, permettent à Momo de montrer à sa chérie qu’on peut voir l’amour autrement que comme une servitude. Il lui fait découvrir des revues qu’on trouve sous la main (comme on dit) dans certains kiosques ou dans des bars, et qui flattent l’amour sous toutes ses formes. On y lit des nouvelles érotiques et on y voit des photos un peu floutées mais qui excitent la libido de chacun.

Le cinéma s’y met aussi timidement et ça fait l’engouement de bien de braves gens qui y vont en couple. Il y entraîne Huguette elle en ressort tout excitée et le soir même s’exerce avec Momo à toutes sortes de fantaisies érotiques auxquelles elle n’avait jamais osé goûter jusqu’à présent.

Il l’emmène à Paris où en petit comité et dans des théâtres spécialisés elle découvre pour la première fois des scénettes d’un genre très particulier et euphorisant, où l’on voit des personnes faire l’amour à plusieurs et parfois même entre gens du même sexe.

Elle est intriguée et ravie par ces comportements. Tous ces gens qui se mélangent sans complexe ça l’excite. Ils sont beaux ces gars à se faire ces trucs soi-disant réservés aux femmes ! Elle trouve encore plus masculin celui qui enfile un collègue et tellement féminin l’autre avec ses couilles molles et son petit cul d’ange qui se le fait mettre ! Des filles entre elles ça l’excite aussi et ça lui rappelle de bien bons souvenirs de jeunesse. Enchantée de les voir jouir de la sorte et faire des pugilats, elle n’hésite pas à les encourager. Elle est une des premières à pousser de grands éclats de rire ou d’épouvante en se levant pour les applaudir et les encourager en criant des mots obscènes. Ces scènes sont tellement suggestives qu’elle en mouille sa culotte.

Il arrive même dans ces cas-là, qu’à la tombée du rideau, quelques hommes s’enhardissent à commettre des petites privautés sur la croupe de ces dames délurées. Des maris sont ravis de voir leur Nana se faire tâter le cul par de jeunes freluquets ou par des vieux messieurs. Ça n’offusque personne et surtout pas Huguette qui en rit davantage. Coincée dans la foule à la sortie de la séance, elle s’accroche à Momo qui est obligé de la protéger. Il la flatte et la pousse vers la sortie avant que ça ne dégénère en véritable orgie.

C’est avec regrets qu’elle quitte cette ambiance survoltée, juste au moment où elle sent qu’on lui soulève la jupe qu’elle a, il faut bien l’avouer, un peu courte ! C’est un petit vieux sadique qui a profité de la bousculade pour lui doigter le cul à travers la culotte, le salaud. Huguette s’échappe mais elle en est toute trempée d’excitation et Momo bande à tel point que dans le taxi qui les ramène à l’hôtel, il se la tripote sous les yeux du conducteur noir qui n’hésite pas à arrêter son véhicule dans un coin tranquille sous un lampadaire pour qu’ils puissent continuer honnêtement leur petite affaire. Ils sont charmants ces chauffeurs de taxi de Paris !

Huguette ne fait même pas gaffe, elle a déjà retiré sa culotte et levé ses jambes en travers de la banquette en se foutant royalement du contexte. Dans un immense râle de plaisir et de cris, elle se prend la grosse pine de Momo qui la baise à gogo. Entre ses genoux ouverts elle aperçoit derrière les épaules de Momo les gros yeux blancs et écarquillés du diable noir qui tourné sur son siège n’en rate pas une, le visage fendu d’un immense sourire, à cinquante cm du délicieux spectacle.

Leur affaire terminée, le brave Sénégalais les dépose à destination après avoir encaissé un pourboire conséquent. Il est gai comme un luron et il s’écrit :

– Ell….i bonne la Dame, hein Mon zami…. n’est-ce pas qu’ell…i bonne !.
– Oui elle est bonne que lui répond Momo tout en lui offrant en prime la petite culotte avec laquelle il vient d’essuyer sa pine et la craquette humide de la ‘bonne’ Huguette.

Avec un rire explosif le chauffeur s’en empare et démarre en se collant le joyau sur le nez :

– Ell…i bonne…ell….i bonne… ell….i…i…i…bo…

Il en sera quitte pour essuyer les sièges en cuir de sa voiture, tant la cochonne après une si bonne baise s’est soulagé la vessie à coups de grands jets de pisse blonde et odorante.

Tout cela se passe sous le signe de la découverte et de la rigolade, et notre ami Momo sent que le moment n’est pas loin où la sacrée coquine va bientôt complètement se lâcher.

Elle devient de plus en plus sensuelle et excitée par ces choses qu’elle découvre, elle a envie de participer de façon plus concrète. Ils en parlent, déclinent leurs envies et leurs gouts et se jouent des petits scénarii, histoire de savoir comment elle réagirait dans certaines situations où elle pourrait être à la merci d’un ou de plusieurs messieurs.

De moins en moins effrayée, de plus en plus désireuse elle aimerait faire du libertinage.

– Mon Chéri, si on se faisait une rencontre ! j’aimerais qu’on se fasse une soirée coquine !

 » Quand la poule est bien chaude, il faut lâcher les coqs « .

Momo a l’expérience et l’envie qui le pousse. Il se met en recherche. Il a quelques amis qui devraient faire l’affaire. Ils habitent un peu loin, c’est préférable, il faut privilégier la discrétion. Ceux sont trois bons gars entre deux âges qu’il a connu déjà dans d’autres réunions : Marcel la soixantaine qui peut les recevoir dans une villa discrète. Un autre plus jeune, Mario, marié, un sacré baiseur, (ça va permettre à sa femme de se reposer). Le benjamin 52 ans, Robert, chauve autant que mon cul mais avec une pine de cheval.

Il connait bien ces mecs. Ils aiment s’amuser entre eux, mais mettez une femme au milieu … pas besoin de les pousser ! Momo sait qu’ils seront corrects mais il leur rappelle la méthode à observer : de l’élégance, de la gentillesse, pas de brutalités et on s’arrête dès qu’elle le demande.

Ils sont bien d’accord nos trois gars, mais si Momo se fait quand même un peu de soucis c’est qu’ayant déjà chambardé avec eux quelques audacieuses bourgeoises il sait qu’elles ne sont pas toujours ressorties d’entre leurs bras aussi reluisantes que quand elles y sont entrées, même si elles étaient contentes d’avoir profité comme jamais de ces vigoureuses complaisances dont sont capables d’honnêtes citoyens. Mais comme le Lucien a un petit côté sadique, si sa Belle se fait aimablement secouer le cocotier, il n’y verra pas trop d’objection. Elle est partie prenante et à son âge elle est maintenant capable d’apprécier les bons effets sur sa libido, de ces quelques petites misères auxquelles une Dame pas toujours très sage est sensée devoir se soumettre avec complaisance.

Tous les éléments d’une bonne rencontre étant réunis, rendez-vous est donc pris. Momo lui promet une soirée d’enfer mais ne dit rien sur le programme ni sur le nombre de protagonistes. Elle ne sait pas à quelle sauce elle va être mangée. Ça la démange de savoir ce qu’il a mijoté. Il se tait. Elle s’attend à tout, mais en même temps elle craint beaucoup ce qu’a pu lui préparer ce diable de Momo.

Ce soir, ce dernier se réjouit en imaginant les belles situations dans lesquelles Huguette va se retrouver dans quelques instants. Même s’il ne doute pas de sa décision il appréhende tout de même la réaction d’Huguette le moment venu. Il souhaite qu’elle se lâche.

Il craint pour lui aussi. Comment va-t-il tenir son rôle de cocu bien heureux. Ne va-t-il pas être minable devant elle et les autres ? Mais tout ça ce sont des jeux qu’ils acceptent tous deux d’avance.

Huguette elle, se prépare à l’aventure bien décidée à assumer. Elle se fait belle, se bichonne, se pommade tout le corps, même le trou du cul…va-t-on savoir !…hum ! De toute façon il est tout propre, elle a fait ce qu’il faut pour cela…Un bon gros soulagement avant les affabilités ça vous prépare l’endroit et vous libère l’esprit en même temps que le ventre.

Encore une petite touche de fond de teint, du rouge sur les lèvres, la paupière aguichante, elle tamponne aussi le bout de ses seins, ils sont bien durs et saillants et les bonnets de son soutif sont si fins qu’ils en sont arrogants les coquins ! Hum !….

Momo s’est approché d’elle et l’entoure de ses bras. Il se serre contre ses fesses, caressant son ventre et son buste il lui susurre :

– Allez, viens ma chérie tu es la plus belle, je t’emmène à la monte, vient on doit nous attendre.
– Oui mon Chéri je m’abandonne à toi, mais arrête tu me fais mouiller avant l’heure !
– On va se faire une superbe soirée !

Tout est organisé. Il fait beau, il fait chaud. Ils se présentent en fin d’après-midi, vers 16 heures dans une riche maison de campagne accueillante. Il y a un grand salon aménagé avec des meubles adéquats pour servir à ces festivités particulières: une méridienne, un sofa, un long tabouret capitonné et même quelques accessoires bizarres en cuir et des coussins, des godemichets en bois d’olivier et un martinet bien en évidence avec un manche en forme de sexe. Dans les chambres cossues des lits spacieux, et dans la salle d’eau baignoire et jacuzzi.

Avant d’entrer dans la maison Momo lui bande les yeux. Il pousse la porte, elle le suit très inquiète en lui serrant la main. Elle tremble. Il passe un bras autour de ses épaules pour la rassurer, avance en la guidant au centre de la plus grande pièce.

Il fait silence, il lui semble quand même entendre quelques petits bruissements. Elle devine une odeur forte, un parfum étrange, masculin il lui semble…oui, une senteur mâle. Quelque chose de sauvage lui taquine les narines, un peu comme le sexe malpropre de son cochon de mec quand il se fait sucer après une journée de travail sans même se laver avant. Inquiète elle se serre davantage contre lui. Il en profite pour la débarrasser de son masque…

Alors elle pousse un grand cri, figée elle suffoque elle garde un court instant les yeux grands ouverts et se jette dans les bras de Momo enfouissant son visage au creux de son épaule.

Dans une lumière blanche éblouissante elle se trouve face à trois hommes entièrement nus, bras ballants, les bites bandées et arrogantes, les visages masqués !

L’effet est stupéfiant ! Huguette pousse un cri, son chéri la cajole, la rassure :

– Regarde, lui dit-il c’est le comité d’accueil, des amis qui te veulent du bien !

Elle jette un œil… se refourre dans ses bras, se ravise….se retourne.

Maintenant les mains agrippées au bras de Momo, elle regarde franchement… sourit…et se marre…la main sur la bouche, elle n’en croit pas ses yeux.

– Oh les cons ! Mais c’est… fou !…qu’ils sont cons …qu’ils sont beaux ces cons…ce n’est pas possible !….putain ils bandent les cochons…ils bandent, chéri ils bandent !….
– C’est pour toi ma chérie, c’est pour toi qu’ils bandent !

Trois hommes nus pour elle, rien que pour elle, elle n’en attendait pas autant ! Elle pouffe d’un petit rire nerveux, essaye de se détendre.

Trois bites insolentes, pleines de vigueur, luisantes et raides comme les courgettes du jardinier d’à côté de chez eux! Il y en a une longue, jolie courbure, le gland décalotté et le méat ouvert qui semble aboyer comme un bouledogue féroce !

Le pénis du second est costaud, caché sous son fourreau le gland est prêt à sauter dans le premier fourré qui va se présenter et le troisième, bon sang ! On le sent au métier fortement préparé. Couillu comme un dieu grec, trapu même s’il est court, il doit rien qu’à le voir, torturer le cerveau et mouiller l’entre cuisse de toute honnête Dame.

– Les trois, rien que pour moi ! Oh Chéri, j’ai peur, viens on rentre !

…elle tremble.

(Non mais vous la croyez-vous qu’elle veuille s’enfuir la meuf avant d’avoir usé les trois belles cartouches !)

Malgré leur masque les Messieurs sentent bien que la Dame hésite, qu’elle est un peu affolée, ils n’en bandent que plus, tout en se tripotant leur queue.

– Voyons ma petite Dame il ne faut pas avoir peur, lui dit le plus âgé, on ne vous veut que du bien.

Elle se réajuste un peu, s’avance à son tour, curieuse et inquiète…mais elle reprend conscience et un sourire incrédule, mais gourmand, ébahit son visage…

– Putain ! Qu’ils sont drôles ! Ce n’est pas possible, putain vous êtes beaux mes couillons ! Mais qui êtes-vous ?…Oh ces bites !…Trois pines pour moi !

Alors ils tombent les masques. Rassurée elle ne connaît personne. On se rapproche, on se présente, on se lance plein d’hommages et quelques plaisanteries. Et chacun la tripote. Serrée entre ces mecs elle n’en revient pas elle se marre… bon sang est-ce possible !

– Au secours mon chéri ! Mais où m’as-tu amenée ? regarde comme ils me touchent ! Mais ils vont me violer ! Oh les belles bites….

Eh oui ! Chères amies lectrices je me doute que devant un si joli bouquet de pines, Huguette ne va pas rester insensible….et vous, vous feriez quoi ? Coquines va ! (et j’en connais aussi de petits coquins qui….mais ce n’est pas le sujet.)

20/08/21

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3 réponses à Histoires de bons plaisirs – 6 – Huguette par Verdon

  1. Domino dit :

    Un jour, la p’tite Huguette,
    Tripot’-moi la bit’ avec les doigts,
    Un jour, la p’tite Huguette
    S’en revenait du bois. (bis)
    la suite est là : https://www.paroles.net/chansons-paillardes/paroles-la-petite-huguette

  2. Dubois dit :

    Tout est dans le style, j’ai adoré !

  3. Harivel dit :

    Toujours aussi décontracté, continue à nous gâter, Verdon !

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