Harcèlement sous contrôle par Alexis Defond-Rossignol

Harcèlement sous contrôle par Alexis Defond-Rossignol

Mélanie était une très jolie jeune femme de 29 ans qui travaillait depuis trois semaines en tant que secrétaire pour Maitre Latrick, associé d’un important cabinet d’avocats. Elle partageait son bureau avec une autre secrétaire, Gina, une petite blonde mamelue. Le cabinet était surchargé de travail et les effectifs étant insuffisants, les heures supplémentaires s’enfilaient comme des perles. Néanmoins, elle se plaisait bien dans ses nouvelles fonctions et espérait qu’on la garderait longtemps

Beaucoup d’avocats l’avaient remarqué, une belle rousse portant lunettes, aux jambes interminables, avec de beaux yeux verts de chat qui ornaient un joli visage au teint d’ivoire, ses formes voluptueuses ne laissaient personne indifférents. Elle s’habillait très classique, mais on pouvait supposer aisément ce qui se cachait en dessous.

Maître Latrick, homme d’une quarantaine d’années, qui savait se montrer charmant, conscient de la beauté de sa nouvelle secrétaire et amateur de sexe, s’était promis que bientôt il la mettrait dans son lit… Il ne faisait que penser à elle, et il bandait. Marié à une femme pas très chaude au lit, ce soir il avait vraiment envie de se faire sa voluptueuse secrétaire.

– Mélanie, (en pesant sur l’interphone) venez dans mon bureau !
– Oui monsieur j’arrive
– Mélanie, j’ai besoin de vous ce soir, le dossier Bandapène n’est pas terminé et il faut que je le finalise ce soir, j’espère que vous êtes libre ?
– Oui, monsieur pas de problème.
– Si ça s’éternise nous nous ferons livrer quelque chose à manger et après on finira le boulot !
– C’est très bien.

Sans l’avouer Mélanie avait depuis trois semaines développé une certaine attirance pour Maître Latrick et était secrètement contente de rester avec lui ce soir.

A 17 heures, elle rassembla une partie de ses affaires et se dirigea vers le bureau de l’avocat.

– A demain ! Dit-elle à Gina !
– Je vais rester encore un peu, je suis débordée. Répondit cette dernière
– Moi, je vais chez Latrick, il a besoin de moi !
– Fais gaffe à ta culotte !
– Pardon ?
– Non, rien !
– Je sais me défendre, tu sais ?
– Mais je n’en doute pas !

Et donc pendant deux heures, ils travaillèrent d’arrache-pied, et terminèrent plus tôt que prévu.

– Nous avons très bien travaillé ! Dit Maître Latrick en se levant et s’installant dans le fauteuil de cuir. Venez donc vous assoir ici !

Mélanie pris place, un peu timidement et Maître Latrick commença à lui poser plein de question indiscrètes :

– Vous êtes seule dans la vie, Mélanie ?
– Non, je vis avec un copain, Monsieur !
– Vous pouvez laisser tomber le « monsieur » Répondit-il en lui frôlant sa cuisse contre la sienne. Parce que j’ai d’autres projets très intéressants pour vous !
– Ah ?
– Tu aimes travailler ici ?
– Je ne me plains pas !
– Tu veux garder ton travail ?
– Bien sûr !
– Alors il faut être très très obéissante, les secrétaires ici doivent obéir aux doigts et a l’œil.

Ce discours rendit légèrement mal à l’aise Mélanie qui tortillait dans le fauteuil

– Mais je suis sûr que tu vas aimer ! Précisa-t-il en lui caressant les cheveux. Si tu es gentille, je vais l’être beaucoup avec toi, genre augmentation de salaire et avantage plus que substantiels ! Tu me suis ?
– Hum, pas vraiment monsieur.

Alors l’avocat changea de ton :

– Alors je vais être plus clair, cela fait trop de semaines que je vois tes gros nichons se promener sous mes yeux, et je bande comme un taureau à chaque fois, je vais bien te baiser et après je pourrais me concentrer sur mon travail !

Mélanie devint blanche comme un craie mais parvint à articuler :

– Vous allez trop loin, Monsieur !
– Que voulez-vous dire par là, Mélanie ?
– Que ça ressemble à du harcèlement sexuel !
– Mais, non ! Je ne vous veux aucun mal !
– Quand même, il y a des lois…
– Certes, mais ne mélangeons pas tout ! Je vais vous rassurez ! Gina, venez un instant ! Dit-il en activant son interphone.

Gina fut là rapidement

– Gina dite-moi devant Mélanie ! Ais-je déjà harcelé quelqu’un ici ?
– Pas à ma connaissance, en tout cas !
– D’ailleurs, est-ce mon genre ?
– Je ne pense pas !
– Et puis je suis doux comme un agneau, n’est-ce pas Gina ?
– Vous n’êtes pas méchant, juste un peu macho peut-être !
– Bon, merci, vous pouvez retourner travailler.
– Si vous avez envie que je vous suce la bite, je suis encore là pendant une heure.

Mélanie comprit qu’en cas de complications, toute plainte serait vaine, faute de témoins même indirects. Alors que faire ? En sachant qu’une posture de résistance serait de nature à lui coûter sa place.

– Embrasse-moi Mélanie !
– Euh…
– Rien ne t’y oblige !
– Mais vous ne me garderez pas ?
– Ouvre la bouche ma belle, donne-moi ta langue, au lieu de dire des bêtises, un petit bisou ça n’engage à rien.

L’homme approcha ses lèvres, Tremblante Mélanie accepta ce baiser tandis qu’il lui pétrissant ses gros seins par-dessus son chemisier, sa main trouva les boutons qu’il arracha presque et sa main toucha à son soutien-gorge de dentelle.

– Mais que vois-je ? Un soutien-gorge de pute ! Hum tu caches bien ton jeu ! S’écria-t-il en le lui massant à pleines mains.

Il détacha le tout, se saisit des jolis globes et les soupesa.

– Hum…il sont beaux avec tes gros bouts prêts à se faire téter, hein ? Dit-il en lui pinçant les mamelons.

Mélanie soupira et contre toute attente se sentit envahi d’un certain trouble.

– Tu aimes que je te les maltraite hein ? Petite cochonne ! Ajouta-t-il en les lui prenant encore plus serré dans les mains, il massa, pressa, titilla ses bouts ressortis par l’excitation, la bouche pleine, il laissa vagabonder sa main sous sa jupe

– Hum c’est chaud par-là !

Il pressa à pleine paume sur son pubis et entra sa main dans la culotte de sa secrétaire.

– Oh…mais tu es toute mouillée ma cochonne, si tu voulais te faire tripoter avant fallait le dire, j’adore les petites vicieuses dans ton genre !

Mélanie la tête renversée haletait, il la caressait avec délice, et les mots vulgaires que lui disait l’avocat l’excitait à sa grande honte. Il remonta sa jupe de manière qu’elle se retrouva roulée à la taille, il descendit sa culotte et son collant, il se leva s’agenouilla en face d’elle assise sur le canapé et commença à fouiller de sa langue sa chatte trempée, il retira sa langue pour lui enfoncer son index énergiquement dans le vagin

– Tu aimes, hein ? Je vais bien te la lécher ta grosse chatte toute juteuse ! Dit-il en faisant glisser son index et deux autres doigts, elle haletait.

Trois doigts dans sa chatte, une bouche qui se promenait de son mamelon à son clitoris. Alors tout d’un coup, elle inonda les doigts de son patron et gémit très fort.

– Mais tu jouis, petite salope ! Maintenant que tu as bien joui, tu vas me faire voir ce que tu peux faire avec ta jolie bouche, viens me sucer :

Il se mit debout, défit son pantalon, sortit une jolie queue, pas très longue mais bien veinée, posa sa main sur sa bite et décalotta le gland violacé. Il dégagea également deux grosses couilles velues

– Elle te plait ma grosse queue ? J’en suis sûr, les petites cochonnes dans ton genre aiment bien les grosses queues toutes dures, mets-toi à genoux et suce ma belle bite.

Mélanie se mit à genoux, quasiment dans un état second, mais prête à l’action. La bonne pine de son patron lui emplit la bouche, à chaque coup de rein de celui-ci, son gros gland allait jusque dans sa gorge, son patron la baisait dans la bouche, et gémissait comme un fou.

– C’est ça, suce, suce bien, caresse-moi les couilles en même temps, hum c’est bon, tu fais ça trop bien ! Ton copain, il a une aussi grosse queue ?
– Himmpf humpf
– Hein ?
– Ça ne vous regarde pas, cher monsieur !
– Bon, ça va ! Et d’abord on ne parle pas la bouche pleine ! Répondit-il, en donnant de plus grands coups dans sa bouche chaude.

Mélanie continua.

– Encore ! Je trouve que tu es très douée, plus douée que Jessica, et Katy (les deux autres secrétaires), Gina, elle a davantage d’expérience mais en ce qui te concerne, ça viendra j’en suis sûr. Continue, ne t’arrête pas, c’est bon !

Puis après quelques courtes minutes :

– Arrête, sinon je vais tout lâcher, couche-toi sur le bureau !
– Quand même, monsieur !
– Au point où t’en es…
– Certes !

Elle, jupe retroussée à la taille, chemisier entrouvert se couchant sur le bureau, lui restant habillé avec seulement sa grosse queue dressée dépassant de son pantalon ils formaient un tableau des plus excitant.

Il lui écarta les jambes, sa mouille dégoulinant sur ses cuisses, il promena son gland sur son clitoris et ses lèvres.

– Tu la veux hein ? Tu veux te faire mettre, petite cochonne ! Tiens prend bien ma pine !

Dans un mouvement de hanche rageur s’enfonçant dans sa moiteur, il s’arrêta rendu au fond et savoura la sensation, puis repris son mouvement

– Oh, oui salope, tu aimes ! Dis-le !
– Oh oui c’est bon ! Je suis une salope, une pute, une morue, tout ce que vous voulez !

Il remonta ses jambes verticalement, et la baisa furieusement, grognant il la limait en lui pétrissant ses gros seins, et elle approchait doucement de l’orgasme, il stoppa, et lui dit :

– Retourne toi, appuie-toi sur le bureau et ouvre bien les fesses !
– Non pas ça !
– Arrête de faire ta jeune fille, pour l’instant je t’ai donné du plaisir, alors on va continuer ! Faut avoir confiance ! Je vais te faire jouir comme jamais !

Il lui lécha l’anus, et Mélanie y prit plaisir

– Humm, le goût de ton cul est divin, ça me rend fou !

Il lui introduisit un doigt dans l’anus et le fit aller et venir, ce qui fit frissonner la belle Mélanie, il se le lécha ensuite avec un ravissement visible.

Il prit de la mouille de ses cuisses pour enduire son petit trou, et promena une dernière fois son gland sur sa chatte pour bien le lubrifier, appuya son gland sur l’anus et commença à pousser

– Ouvre-toi, oh oui, hum tu es très étroite, j’adore, ton copain ne t’encule pas ?
– Ça ne vous regarde pas ! Répondit Mélanie qui avait de la suite dans les idées.
– Impertinente avec ça ! Tu vas voir, tu vas adorer !
– Ne me faites pas mal !
– Mais non !

Le gland entré il poussa davantage sa queue, petit à petit il fut rendu au trois quarts et commença des petits va-et-vient en râlant et poussa pour entrer complètement puis procéda par des poussées plus énergiques, Mélanie commença à apprécier

– Tu aimes hein, petite vicieuse, je le savais, ton petit trou serré a l’air d’adorer ma grosse queue, ohhhh oui c’est bonnnnn !

Agrippé à ses gros seins et lui pinçant les bouts, il lui martelait le cul très énergiquement en l’insultant

– Toutes les mêmes, on leur touche un sein, et hop elles ouvrent leur cul à la première bite venue pour se faire défoncer, elles adorent, gggrrr, oh… ouiiiiiiii… je vais venir…

Brusquement il la fit se relever et s’agenouiller sur le tapis et entra sa queue dans sa bouche, et vida ses couilles à moitié dans sa bouche et sur son visage…

– Tiens avale, tu me vides salope, prends tout…ohhhh ouiiii…. éructa-t-il en éjaculant une quantité phénoménale de sperme et gémissant jusqu’à alerter l’immeuble entier.
– Je peux avoir un kleenex, s’il vous plait !
– Tu n’avales pas ?
– Jamais la première fois !

Il lui tendis un mouchoir en papier, puis lui tendis une enveloppe.

– Voilà, puisque toute peine mérite salaire !

Elle chercha une réplique assassine mais n’en trouva pas et accepta l’enveloppe sans en examiner le contenu.

– Maintenant si tu veux te venger, j’ai ceci !

Et il sortit d’un tiroir un martinet et un gros godemiché.

– Vas-y je me laisse faire, fais-moi tout ce que tu veux !

Mélanie fut surprise de cette proposition et n’était à priori pas chaude pour cette prolongation de séance d’autant qu’elle n’était guère familière des pratiques de domination.

– Non, on en reste là, je fatigue un peu là ! Et puis il aurait fallu une autre enveloppe ! Ajouta-t-elle en se disant que l’argument serait de nature à décourager l’homme.
– Mais c’est prévu ! Répondit-il

Au pied du mur, Mélanie se dit alors « pourquoi ne pas essayer ? »

– Alors d’accord ! Mais avant faut que j’aille faire pipi !
– Pisse-moi dessus !
– Ah ! Oui ! Mais ce sera dans la bouche, mon salaud !
– Pas de problème, j’adore boire.

Les deux « amants » se déshabillèrent complétement.

– Euh on met quelque chose par terre ? Demanda Mélanie.
– Je n’ai pas l’article, mais on va faire ça aux toilettes. Allons-y !
– Comme ça ? A poil ?
– Mais oui, tout le monde est parti !

Ils sortirent dans le couloir et c’est à ce moment-là que Gina sortit des toilettes.

– Ho ! S’écria Mélanie essayant tant bien que mal de dissimuler sa nudité de ses mains.
– Bonsoir les nudistes ! Lança Gina d’un air rigolard. Bonne fin de soirée, moi je ne vais pas tarder de rentrer à la maison.
– Bonsoir Gina ! Répondit simplement Maître Latrick.

Mélanie attendit que sa collègue ait disparu pour réagir.

– Bon, on va peut-être arrêter tout ça ! Je suis morte de honte !
– A cause de Gina ! Elle en a vue d’autres et c’est une brave fille, ne t’inquiète donc pas.
– Vous êtes sûr ?
– Mais oui !

Ils entrèrent dans la petite cabine, et sous les conseils de l’avocat, Mélanie s’assit sur l’avant cuvette.

– Vas-y pisse moi dans la gueule et n’ai pas peur de m’insulter, ça me fait bander.
– Je bloque !
– Tire la chasse d’eau, ça va t’aider !
– Ça y est, tiens, bois toute ma pisse, espèce de sale pervers.

Maître Latrick ouvrit une large bouche et avala plusieurs rasades de la bonne urine de la secrétaire. Il en bu tellement qu’il finit par avaler de travers et de mit à toussoter.

– Ce n’est rien, ça pas passer.
– On en a mis plein par terre !
– Bof, la femme de ménage s’en occupera demain matin.
– T’es gonflé quand même, c’est pas ta bonne !
– Chacun son boulot, tiens ça me fait penser qu’il y a longtemps que je ne l’ai pas tringlé celle-ci !
– Tu tringles tout le monde, toi ?
– Non quand même pas tout le monde !
– Et si je te faisais nettoyer ?
– Je suis à tes ordres !
– Alors nettoie !

Maître Latrick se baissa après s’être emparé de plusieurs feuilles de papier toilettes et se mit à éponger la flaque d’urine. Ce faisant il offrait à Mélanie une jolie vue de son fessier. Subitement elle eut envie de gifler ce cul qui la provoquait.

– Allez nettoie mieux que ça ! Vieux vicieux libidineux. Tu t’es régalé avec ma pisse, la prochaine fois je te chierai dessus.
– Oh, oui ! Quand tu veux !
– Dégoutant personnage ! Tiens, ça t’apprendra ! Ajouta-t-elle en lui claquant les fesses.
– Oh vas-y bat moi ! J’ai été très vilain !

Encouragée elle continua sa fessée, jusqu’à s’en faire mal aux mains.

– Ça y est ? T’as tout nettoyé ! On va retourner à ton bureau, je vais essayer ton martinet.
– 50 coups, et pas trop fort, sinon je vais avoir du mal à m’assoir ! Précisa-t-il une fois revenu dans les lieux.
– Ah ! Je vois, Monsieur est douillet !
– Non, mais faut que ça reste un jeu !
– Admettons ! Consentit Mélanie qui maîtrisa sa frappe mais s’excitait considérablement en rougissant plus que de raison les fesses de l’homme de loi.
– Et maintenant encule-moi avec le gode !
– Je vais me gêner, tiens !
– Il faut mettre une capote et puis un peu de gel aussi !

Elle fit comme il lui disait, puis introduit l’objet dans le rectum de l’avocat après avoir activé le petit vibrateur intégré. Puis elle fit aller et venir l’objet pendant que l’homme se pâmait.

– Tiens ! T’aime ça te faire enculer, hein ma salope ?
– Oui, je suis un enculé, un suceur de bites, un buveur de pisse…
– Rien que ça ?
– C’est déjà pas mal !
– Tu l’as déjà fait pour de vrai ?
– Ben oui, faut pas mourir idiot !
– Et tu bandes comme un salaud ! Tu crois que tu vas me baiser une nouvelle fois ? Mais tu rêves mon connard !
– C’est si doux de rêver parfois !
– Poète en plus ?
– Oui, je suis multifonction !
– N’importe quoi !
– Je vais te dire un truc, avec les conneries que tu me fais faire, je mouille comme une fontaine. J’aimerais bien que tu t’occupes de moi, ça m’éviterais de me palucher toute seule.
– Je croyais que tu ne voulais plus baiser ?
– Qui t’as parler de me baiser, par contre tu peux me lécher.
– Stop ! Dit alors Maître Latrick.

Mélanie ne comprend pas

– Tu n’as pas tout compris, tu croyais sans doute que tout ce que tu m’as fait subir allait reste impuni ?
– Mais, c’est vous qui m’avez demandé…
– Bien sûr mais ce n’est pas une raison.
– Bon, on va peut-être arrêter tout ce cirque…
– Ce serait dommage, excitée comme tu es, tu ne vas pas rester comme ça ! Dis-moi tu ne t’es jamais fait lécher la chatte par une femme ?
– Certainement pas, je ne suis pas gouine !
– Ce n’est pas la bonne réponse !
– Qu’attendiez-vous comme réponse ?
– Que tu me dises simplement que si tu ne l’a jamais fait c’est parce que tu n’en a jamais eu l’occasion !
– Mais enfin, je n’ai pas envie…
– Je ne te prends pas en traitre, je voulais te montrer comment ça se passe ici, je te réappelle que les avantages sont substantiels, je ne suis pas avare d’enveloppes.
– Autrement dit, si je refuse d’aller plus loin, vous ne me garderez pas !
– Et je le regretterai ! Et arrête de faire ton cinéma, Gina va juste de lécher, tu n’en mourras pas.
– Et après faudra que la lèche aussi ?
– Pas forcement aujourd’hui, mais ça me semble aller de soi.

Et maître Latrick appela Gina.

– Avant de partir, tu vas lécher Mélanie.
– Avec plaisir ! Faut-il que je me déshabille ?
– Ben oui, pour le fun.

Mélanie, résignée, s’affala dans le fauteuil visiteur, écarta les jambes, ferma les yeux et attendit que Gina vienne lui butiner la chatte.

Elle fut agréablement surprise de la façon dont pratiquait la petite blonde, elle fut très vite envahie de frissons, elle se mit à gémir de plus en plus fort et quand Gina attaque son clito, elle gueula comme un putois.

Gina lui offrit ses lèvres, elle ne les refusa pas.

Après avoir joui, elle resta quelques instants dans un état second, en sueur, les cuisses trempées. Maître Latrick était allé se poser dans un coin et finissait de se masturber frénétiquement.

– Je te paie le restau ! Lui proposa-t-il.
– Attends, je ne suis pas présentable, il me faudrait prendre une douche et mon maquillage est tout destroy.
– Et bien remaquille-toi, je ne suis pas pressé ! Par contre ici il n’y pas de douche… Mais, toi ton copain va t’attendre.
– Je t’ai déjà dit que ce genre de choses ne te regardaient pas !
– Bon, bon ! On fait comme ça alors ?
– Mais bien sûr !
– Dis-moi ! Vendredi on fait une petite boum avec quelques collègues, il y a aura Gina et d’autres… On t’invite ?
– Il y aura une enveloppe ?
– L’argent, l’argent ! Tu ne serais un peu vénale, toi ?
– Un peu vénale ? Même un peu pute, n’ayons pas peur des mots ! Disons que c’est nouveau pour moi, mais après tout pourquoi pas ?
– Je crois qu’on va bien s’entendre ! Je te ferais sucer la bite de tous mes clients.
– Je vais m’acheter une grosse tirelire, alors !

Adaptation d’une nouvelle paru en 2000 sur le site de Sophiexxx, sous le titre « Apprentie secrétaire » et signée Volupty. elle a été pour la présente édition corrigée, débarrassée de ses incohérences et complétée.

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12 réponses à Harcèlement sous contrôle par Alexis Defond-Rossignol

  1. Mathilda Stenberg dit :

    Comme disait une copine, c’est l’occasion qui fait la salope ! Moi je ne rate jamais une occasion 😉

  2. Muller dit :

    Les féministes vont en bouffer leur chapeau !

  3. Irma dit :

    Elle a bien raison Mélanie de prendre les choses ainsi

  4. Brad dit :

    Oh vas-y, harcelle-moi sous contrôle, c’est trop bon !

  5. Dianne dit :

    Fallait oser ! Merci à l’auteur ! J’ai bien aimé !

  6. Dulac dit :

    Elle a bien raison, la petite dame !

  7. Rotulo dit :

    C’est tellement en décalage avec le « politiquement correct » (souvent bien hypocrite) que ce récit en devient jouissif

  8. Rondoneau E dit :

    Promotion du droit de cuissage et du harcèlement sexuel au bureau. En plus vous présentez toutes les femmes comme potentiellement vénales. Pas de quoi être fiers !

  9. Chastaing dit :

    Et un joli coup de pied au cul des apôtres du politiquement correct

  10. Icarion dit :

    Ceux qui trouve ça immoral n’ont sans doute jamais eu ce genre d’occasion

  11. Sonia Kubler dit :

    J’apprécie toujours ce genre de récit qui prend le contre-pied des certitudes des ultra féministes. Merci Alexis

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