(Il s’agit d’un e-mail que j’ai reçu et de la réponse que je lui ai faite.)
« Oooooooh Gil, je ne devrais peut être pas le dire mais, rien que de te voir, rien que de voir tes quelques mots… a suffit pour m’exciter…. Je m’imaginais déjà à genoux en train de te supplier…. puis toi debout, les jambes écartées, en empoignant mes cheveux (que j’ai coupé d’ailleurs pour toi…) et en collant mon visage vers ton intimité… »
Serais-tu amoureux, mon cher « T » ?… Et d’une ombre, en plus ? Parce que je ne suis que ça, il faut bien le dire ! Je ne suis qu’une ombre qui pense à toi, à ton corps charmant et délicat que je veux dominer sans état d’âme…
Hier après midi, j’ai fantasmé sur toi. Je nous imaginais à cette rencontre que j’ai proposée sur Vassilia. Nous nous étions retrouvés entre quelques « amis » dans une de nos chambres d’hôtel : « B », « E », toi et moi, par exemple… et tu devenais ma chose, notre chose ! Je te raconte :
On est là, à discuter. On parle des échanges MSN que nous avons eus toi et moi, de la façon dont je t’ai dominé quelques fois. Nous finissons pas être excités tous les quatre. Je décide alors de te faire déshabiller… Oui oui, à poil, devant eux ! Je te passe un collier et une laisse de chienne autour du cou et je te fais mettre à quatre pattes par terre (une chienne, ça reste à terre, ça ne monte pas sur le lit sans l’autorisation de sa maîtresse).
Sous ton regard, l’ambiance entre nous trois commence à devenir chaude et ils se décident à m’entreprendre, à me caresser… et je m’aperçois que tu bandes ! Je me lève alors et je viens te mettre une fessée :
– Qui t’as permis de bander, ma petite chienne ?
Mes paroles sont à la fois réprobatrices et douces… Mes mains claquent sur tes fesses à plusieurs reprises.
– Qu’est-ce qu’on dit ?
– Pardon, Madame ! Merci, Madame !
– Brave bête… Finalement, j’aime bien te voir bander, mais défense de te toucher !
– Oui ! Merci, Madame !
J’enlève alors ma robe. Dessous, je porte un corset de vinyle noir à lacet et des bas, pas d’autre sous-vêtement. J’ouvre une trousse d’où je sors des pinces avec des poids, tu sais, du genre qu’on attache à une nappe pour ne pas qu’elle bouge. Je te fais asseoir sur les talons, toujours à genoux, et je te les pose sur le bout des seins. Je me saisi d’un martinet et, te tenant en laisse, je te fais faire le tour de la chambre à quatre pattes en t’assénant de petits coups de lanières sur le cul.
Pendant ce temps, les deux autres compères se sont déshabillés et commencent à se branler mutuellement en nous regardant. Je t’ordonne de t’asseoir sur les talons comme précédemment, puis, debout devant toi, j’approche ma chatte de ta bouche :
– Lèche-moi, ma petite chienne, lèche-moi bien !
Tu t’exécutes avec beaucoup d’ardeur, accroché à mes cuisses. J’inonde alors ton visage de ma jouissance, presque à te noyer, en soupirant lascivement. C’est alors que les hommes viennent m’enlever à toi. Ils s’approchent, m’embrassent sur tout le corps, pétrissent mes seins et m’amènent jusqu’au lit où je m’abandonne à eux. Leurs mains et leurs doigts m’explorent jusque dans les endroits les plus intimes, sous tes yeux, alors que ton excitation est à son paroxysme.
Après de longs préliminaires durant lesquels ils me lèchent la chatte et le cul, tandis que je les suce à tour de rôle, je m’assois sur l’un d’eux tout en continuant de sucer l’autre. Sa bite s’enfonce profond en moi… Que c’est bon ! Je me laisse aller au plaisir sans retenue. Puis nous échangeons et le second vient me prendre en levrette. Ses grands coups de buttoir me ravissent. Je te regarde nous observer. Malgré les ordres, tu as commencé à te tripoter !
– Arrête ! Viens ici, chienne ! Tu as désobéi, tu seras punie ! Approche-toi et suce-le… tout de suite ! Dis-je, en te désignant celui sur lequel je me suis assise précédemment.
Tu es un peu réticent, tu n’as jamais sucé une vraie bite. Mais il te faut obéir à ta Maîtresse…
– Oui, à vos ordres, Madame !
Tu montes alors sur le lit avec nous. Tu poses tes lèvres sur son sexe, puis tu y passes ta langue, et enfin tu te décides, tu y vas carrément et tu le prends dans ta bouche. Finalement, tu trouves ça moins désagréable que prévu… très excitant même, cette queue chaude et lisse parfumée de ma mouille !
– Tu aimes ça, en fait, hein ? Petit pédé !
– J’aime vous faire plaisir, Madame !
– Tu aimes aussi la queue, je crois ! Tu aimerais te faire enculer par cette belle queue, n’est-ce pas, ma salope ?
Tu ne réponds pas à ça. Tu te dis peut-être qu’une nouvelle expérience à la fois, c’est bien suffisant…
Pendant ce temps, mon amant du moment se saisi d’un tube de gel et m’en enduit le cul, tout en continuant de me prendre. Il glisse un doigt, puis deux dans mon petit trou. J’en gémis de plus belle, attendant avec impatience le moment de la pénétration de son sexe, non sans en profiter pour caresser ton petit cul. Il m’encule alors jusqu’à la garde, en un seul mouvement, sans se presser, reste un peu sans bouger puis commence ses va-et-vient délicieux. Je me cambre et colle mon dos contre sa poitrine. Il en profite pour passer sa main sous mon ventre et vient me caresser le clito. Avec ce traitement, un orgasme ne tarde pas à se déclencher. Le plaisir irradie de mon clito et de mon cul pour se répandre dans tout mon corps, comme une vague. Mes jambes et mes bras en tremblent… C’est ce moment que choisit ton amant pour te laisser et venir se glisser sous mon corps. Nous écartons nos jambes pour lui faire la place et, me penchant en avant, je descends doucement sur sa bite qui s’enfonce dans ma chatte trempée. Prise des deux côtés, je sens l’orgasme revenir, monter en moi, me saisir… me briser ! Je n’en peux plus, la sensation a changé à l’intérieur de moi et devient comme une démangeaison insupportable et délicieuse à la fois. Mon corps semble défaillir, tremblant de partout. J’ai l’impression que si ça dure trop longtemps, jamais cette sensation ne pourra me quitter et j’en mourrai… J’ai envie de rire et de pleurer en même temps ! Ah, quel beau cadeau ils me font là ! Tout deux finissent par me remplir de leur semence, leur orgasme accompagnant le mien.
Une fois qu’ils se sont retirés, laissant ma chatte et mon cul béants, je me rends compte que je n’ai pas envie que ce plaisir disparaisse d’un coup. Je me tourne alors vers toi :
– Viens me nettoyer la chatte, maintenant !
– Tout de suite, Madame !
Allongée sur le dos, je t’attends. Tu places ta tête entre mes cuisses écartées et commences à me lécher consciencieusement. Ta langue explore mon minou, titille mon clito et mon corps non encore calmé se remet à trembler, bien que la sensation soit moins puissante que quelques minutes plus tôt. Puis je me relève et dis :
– Puisque tu as étais assez sage, je vais te faire plaisir.
– Merci, Madame !
Jetant un regard à l’entour, je remarque ce que je j’espérais : les deux « coquins », nous voyant faire, se sont remis à bander ferme ! Je me retire de toi et propose ton cul à l’un d’eux qui ne se fait pas prier pour prendre le relais. Il présente sa bite à l’entrée de ton cul. Toi, tu n’oses trop rien dire. Partagé entre plaisir et contrainte, tu te laisses faire, bien obéissant. Cette bite chaude, plus souple mais un peu plus grosse que le gode est quelque chose de nouveau pour toi. Elle te remplit le cul d’une sensation délicieuse et te fait gémir plus fort encore. Tu sens aussi ce corps de mâle cogner contre tes fesses, ses couilles qui viennent frapper les tiennes et ton plaisir n’en est que plus intense. Tout en ne perdant pas la scène des yeux, pendant ce temps, je me fais prendre à nouveau par celui des deux qui est resté seul, mais mon plaisir est concentré sur toi. Au bout de quelques minutes, je demande à ton amant de se retirer et je remplace sa queue par mes deux doigts les plus longs. Je les enfonce très profond, cherchant à caresser ta prostate. Je la trouve, je la masse, ce qui te déclenche un orgasme puissant et te fait répandre ton sperme sur le lit…
Ah, quelle bonne soirée ce serait, ma petite chienne… si seulement c’était possible à réaliser !
Quel style abominable !
J’ai adoré !
Voilà un texte qui a réveillé quelques fantasmes récurrents, il y a quelques années, à l’occasion d’une partie fumette et bière, un gars s’est mis à sucer la bite d’un autre devant moi, comme j’étais fasciné, on m’a demandé si j’étais intéressé, je ne sais pas comment je me suis retrouvé avec une bite dans la bouche et ça m’avait beaucoup plus.
Une nana m’a demandé alors si je serais d’accord pour me faire enculer
J’ai refusé, je l’ai regretté mais depuis j’en rêve.
Tu n’as qu’à te rendre dans un sauna gay tu pourras réaliser ton fantasme avec des gens symp4athiques