Exhibition sur l’autoroute par FétichOdeurs

Exhibition sur l’autoroute par FétichOdeurs

Chapitre1

C’était un dimanche soir en revenant du Mans nous étions complètement bloqués sur l’autoroute suite à un accident 10 km avant Ablis. Au bout de 10 minutes Sylvie me dit :

– Je vais m’occuper de ton levier de vitesse ça nous fera peut-être avancer !

Elle se mit à 4 pattes sur son siège, ouvrit ma braguette et libéra ma queue qui commençait à se redresser. Puis elle commença à me sucer le gland, le léchant, le mordillant jouant avec sa salive. C’est à ce moment que je me rendit compte que nous étions observés par la passagère arrière d’une BMW qui se trouvait en face ma fenêtre. Sylvie se redressa la fixa et se lécha les lèvres. L’inconnue qui ne nous avait pas lâchés des yeux se lécha les lèvres en signe de complicité. Sylvie, attacha ses longs cheveux bruns en arrière afin de ne rien cacher de sa pipe et dégrafa son corsage puis son soutif libérant sa lourde poitrine 100 D, qu’elle exhiba fièrement.

Notre inconnue, nous montra son index qui disparaissait sous la fenêtre puis réapparut et elle le suça avec amour. Non seulement cette salope nous observait, mmm en plus elle se caressait. Remarquez, on ne peut pas la blâmer. Sylvie eut alors l’idée de prendre un sac à l’arrière et me fit asseoir dessus. Ainsi, ma tête touchait le plafond et mon sexe devenait entièrement visible. Je ne quittais plus l’inconnue des yeux, qui maintenant se caressait un sein à travers le tissu de son chemisier, et de l’autre devait explorer une grotte chaude et humide. Sylvie aussi la fixait dans les yeux, et entreprit une fellation très rythmée et très profonde, ce qui semblait ravir notre voyeuse. Je ne pus résister longtemps et je jouis fortement dans la bouche de Sylvie qui garda toute ma semence.

Mon orgasme fut communicatif car l’inconnue se mordit les lèvres ferma les yeux et fut prise de spasmes, avant de s’écrouler au fond du siège arrière. 30 secondes plus tard elle se remit à la fenêtre et nous adressa un bisou. Sylvie qui n’avait pas avalé ma crème épaisse ouvrit la bouche et tira la langue, montrant ainsi son goût pour le sperme puis elle vint m’embrasser à pleine bouche dans un baiser fougueux et humide. Nous nous léchâmes les lèvres enspermées en fixant notre inconnue qui nous dévorait toujours des yeux.

C’est alors que je vis la fenêtre arrière de la BM se baisser, je fis de même curieux de savoir ce qu’elle voulait la coquine. Elle me fit chut de son doigt et me tendit sa main d’où dépassait ce que je pris d’abord pour un papier, mais qui était bien plus précieux. En fait elle nous donnait sa petite culotte. Sylvie l’attrapa et la respira

– Hou la salope, elle l’a trempée sa culotte, mmm elle a la chatte qui sent fort j’adore, respire Bertrand
– Oh oui elle pue la chienne en chaleur, mais en plus elle est pas d’aujourd’hui vu les odeurs d’urine qu’elle dégage !

Je me frottais le visage montrant à notre inconnue que j’appréciais son cadeau. Sylvie enleva sa culotte à son tour, me la fit sentir. Cela faisait 4 jours qu’elle la portait et elle dégageait un parfum sauvage de mouille de transpiration et de vieux pipi qui me redonna une érection. Elle y glissa son numéro de portable, en me disant

– Soit elle est une vraie chienne et elle va apprécier, et elle en redemandera, soit se sera une aventure d’un jour.

Je le tendis par la fenêtre et l’inconnue l’attrapa à son tour et la respira devant nous en se léchant les lèvres. C’est à ce moment qu’un motard de la gendarmerie nous fit nous écarter sur le côté coupant ainsi notre jeu.

Chapitre 2

Après notre exhibition dans la voiture, le bouchon de l’autoroute se débloqua enfin. Au bout de 10 minutes le portable de Sylvie sonna.

– Bonjour c’est Fabienne, il faut que je vous revoie, vous avez oublié un vêtement qu’il faut que je vous rende

Nous ne connaissions pas de Fabienne et cela devait être notre inconnue.

– Oui ne s’agirait-il pas d’une petite culotte blanche de taille 46 et à l’hygiène douteuse ?
– Oui c’est cela (dit-elle avec un accent du 16ème), vous avez dû prendre ma veste par inadvertance c’est aussi du 46, nous taillons pareil.
– Ah ce sont vos parents qui sont à l’avant ?
– Exactement, mais je peux me libérer
– T’es une grosse cochonne qui n’a pas froid aux yeux toi ?
– Vous avez tous compris, je ne sais pas à quelle heure j’arrive ce soir, car mes parents s’arrêtent au prochain restoroute.
– On peut t’y retrouver si tu veux petite salope
– Ça ne va pas être facile
– T’as qu’à raconter à tes parents que tu ne te sens pas bien et que tu préfères marcher dehors plutôt que de dîner.
– Très bien on fait comme ça je vous attendrais dehors à demain, je vous quitte nous arrivons au restaurant.

A ce moment je vis la pancarte « essence restaurant 2 km ». Arrivés sur le parking, c’est Fabienne qui nous trouva tout de suite.

– Je ne sais pas ce que je fais ici
– Tu viens assouvir tes fantasmes de petite salope BCBG
– Je ne me reconnais plus, mais ce soir j’ai décidé de franchir mes tabous
– C’est bien Fabienne, dit Sylvie, on va te faire découvrir beaucoup de chose, jolie rousse »

Nous venions de découvrir qu’il s’agissait d’une vraie rousse âgée de 21 ans, habillée Bcbg, ce qui faisait très salope. Je pris une couverture et nous nous dirigeâmes vers la forêt. Sylvie dit :

– Qu’est-ce que tu as fait de ma culotte ?
– Elle sentait hyper fort, ça m’a excitée et je l’ai enfilée pour mettre ton odeur sur ma chatte.
– Ça t’a excité les odeurs de ma moule espèce de cochonne
– Oui je l’avoue, et le pire c’est que l’odeur de vieux pipi ne m’a pas écœurée »

J’avais installé la couverture et je dis

– Dépêchons-nous, je suppose que tu n’as pas énormément de temps ?

Nous nous déshabillâmes rapidement : Sylvie était juste vêtue de ses bas et de son porte-jarretelles montrant ainsi sa touffe brune luxuriante et ses gros seins. Fabienne n’avait gardé que la culotte de ma femme et sa pilosité rousse dépassait largement des élastiques de celle-ci. Par contre malgré ses rondeurs elle avait une poitrine peu développée. Moi mon slip était tout déformé par une érection bien naturelle. Sylvie, lui dit

– Petite salope viens sucer mon mec, je veux te voir lui avaler la queue comme une chienne.
– Sylvie je pisserais bien d’abord, dit-je
– Fabienne tu vas lui tenir la bite pendant qu’il pisse !

Ce fut un délice de pisser en sentant cette main froide sur mon sexe qui au milieu de mon pipi me branla ce qui nous éclaboussa un peu.

– Nettoie-lui la pine cochonne !

Sans hésiter Fabienne se mit à genoux et me lécha le gland encore tout humide de mon urine.

– C’est bien salope, continue, bouffe-lui la queue. Sylvie passa derrière elle, lui retira sa culotte, s’allongea sur le dos, glissa sa cuisse charnue de Fabienne et commença à lui bouffer la chatte

– Putain qu’est-ce que tu mouilles Fabienne !

Fabienne fut surprise quand Sylvie lui enfonça un doigt dans l’anus, mais continua sa fellation, tout en lâchant des soupirs de jouissance. Je l’arrêtais juste avant de jouir, car je voulais d’abord la faire jouir en levrette. Ma femme prit ma place s’assit en écartant les cuisses,

– Viens me faire jouir salope
– Mais vous
– Dis, tu vas pas faire les saintes nitouche, tu as aimé l’odeur de ma culotte et bien ma grosse chatte elle est encore meilleure.

Fabienne lécha d’abord du bout de la langue hésitante, puis très vite se jeta sur les grosses lèvres juteuses de Sylvie.

– MMM c’est bon Fabienne oui continue, enfile-moi un doigt dans la chatte, oui c’est bien, accélère… »

A ce moment je lui dis :

– Fourre-lui un doigt dans l’anus, et elle va exploser dans ta bouche Fabienne.

La petite salope obéit et pilonna les deux trous de Sylvie tout en bouffant son clito. Sylvie éclata bruyamment son plaisir, à la grande satisfaction de Fabienne qui dit

– Putain jamais j’aurais cru que cela pouvait être bon de bouffer une chatte !

C’est à ce moment que je pris Fabienne en levrette. Elle était dans un tel état d’excitation qu’il lui fallut moins de 30 secondes pour jouir. Elle s’écroula par terre, se retourna sur le dos visiblement vidée. Je lui présentai alors mon sexe au-dessus des lèvres. Elle les ouvrit et je lui baisai la bouche, comme on pine une chatte. Lorsqu’elle me caressa les couilles je jouis dans sa bouche. Elle serra les lèvres autour de mon gland et lorsque j’eus bien tout fini, elle ouvrit la bouche, me fixa et avala mon nectar de couille.

– Mmm c’est bizarre mais j’aime bien. Bon il faut que j’aille pisser
– Tu peux bien pisser devant nous
– J’ai honte
– Vas y mets-toi accroupie »

Fabienne s’accroupit, je me mis derrière elle et Sylvie se mit devant

– Vas-y dit Sylvie en plaquant sa main sur la touffe rousse et trempée de Fabienne.

Elle se lâcha et expulsa un long jet que la main de Sylvie plaqua contre l’entrejambe de Fabienne ce qui mouilla la touffe les cuisses et les pieds de notre salope de sa propre urine. Lorsqu’elle eut fini Sylvie se lécha les doigts

– Mmm j’aime bien ton pipi salope la prochaine fois tu me le feras boire
– Hein ?
– Regarde Bertrand, il va venir me boire.

Sylvie s’accroupit, je me glissais sous sa moule odorante, et ouvris la bouche. Sylvie lâcha un premier jet que j’avalais puis un deuxième, puis lâcha tout ce qui déborda sur mon visage. Je gardais une gorgée sans l’avaler

– Vous êtes fous dit Fabienne, mais il faudra que j’essaye !

Et elle vint m’embrasser découvrant le pipi de Sylvie dans ma bouche

– Je suis devenue folle dit elle

Soudain nous entendîmes appeler  » Fabienne » !

– Merde mes parents »

Je lui essuyais le visage avec mon tee-shirt et Sylvie l’aida à se rhabiller. Fabienne nous promit de nous rappeler, puis nous quitta. Nous entendîmes ses parents :

– Ça va pas ma chérie, tu as une mine toute défaite ?
– Oh c’est rien je viens de vomir, ça va mieux maintenant, je suis soulagée

En fait elle était soulagée mais pas de l’estomac.

Chapitre 3

Après nos ébats sur l’autoroute nous nous demandions si Fabienne allait reprendre contact avec nous. Le lendemain soir vers 20 h le portable sonna.

– Allo c’est Fabienne
– Bonjour Fabienne attends, rappelle-nous sur notre ligne normale que je mette le haut-parleur.

30 secondes plus tard le téléphone sonna et je décrochais

– C’est Fabienne
– Alors on te manque avec Sylvie
– Vous m’avez rendue folle et je n’arrête pas d’y penser
– Raconte Fabienne nous t’écoutons
– Eh bien d’abord j’ai pas dormi de la nuit, et je me suis caressée toute la nuit en repensant à nos ébats, à…
– Ecoute cochonne, avec nous il faut que tu utilises des mots crus, plus tu seras salope dans ton langage plus cela nous excitera et hier ça t’a plus qu’on te traite de chienne. Alors tu ne dis pas je me suis caressée mais je me suis branlée, nous t’écoutons
Eh bien hier dans mon lit je me suis branlée comme une grosse truie, j’avais la moule en feu qui coulait comme une fontaine en repensant à l’odeur de ta queue et celle de la chatte négligée de Sylvie. Les odeurs fortes m’enivrent.
– Ça t’as excitée, dit Sylvie, de me bouffer ma grosse moule puante
– Oh oui elle était bonne et jamais je n’aurais pu penser que je toucherais une femme.
– Tu sais Bertrand m’a interdit de faire ma toilette intime, et m’oblige à porter mes slips au minimum 3 jours de suite. Ça l’excite que je sente la crevette. Seule sa langue vient me nettoyer ma grosse moule poilue.
– Ah c’est pour ça,
– Oui salope moi ça me fait mouiller quand je sens les effluves de moule et d’urine monter jusqu’à mes narines. Quant à Bertrand c’est moi qui lui nettoie sa grosse pine. Tu veux continuer à nous voir je suppose.
– J’ai besoin de vous
– Eh bien à partir de ce soir, interdiction de laver ta grosse touffe rousse, de t’essuyer la chatte après un pipi, de t’épiler ou te raser la chatte les cuisses ou les aisselles, pas de déodorant sous les bras, compris salope
– Mais je vais puer, en plus je transpire beaucoup et les odeurs de rousses sont réputées.
– C’est pas notre problème, tu es étudiante et habite seule dans un studio, en FAC t’as qu’à te mettre au premier rang il y a toujours de la place tu seras isolée.
– Et quand pourrons-nous nous voir
– Dans deux jours chez toi à 19 h, tu auras fait un jogging avant en portant des bas et porte-jarretelles sous ton survêtement, nous voulons que tu sois trempée de sueur que Bertrand puisse profiter de tes parfums de rouquine. Si tu voyais comme il bande en nous écoutant, et moi je suis trempée en discutant avec toi petite salope.
– Moi je suis en train de me branler le bouton Sylvie
– Tu sais ce que tu vas faire, après le coup de fil petite cochonne ?
– Non mais il faudra que je jouisse, pour me calmer
– Et bien tu iras aux toilettes et te branleras la chatte en pissant. MMMM oh Ouii continue salaud ; oh ouii
– Qu’est ce qui se passe Sylvie, ou plutôt raconte-moi ce que Bertrand te fait salope
– Oh ouii, il m’a ooh mmm enlevé ma culotte et mmm il la respire tout en me labourant ma conaaaaaaasssse oh oui Bertrand fais-moi gueuler, aaaaaaah mmmm oh plus fort je veux que ohhhh Fabienne m’entende jouiiiiir, fourre-moi un doigt dans mon gros cul.
– Branle-lui l’anus Bertrand, je veux l’entendre me dire qu’elle aime se faire fourrer
– A tes ordres Sylvie, voilà ça y est, dis à Fabienne que tu adores te faire enculer Sylvie
– Oh c’est bon de se faire labourer le cul ohh oui
– Bertrand fais-lui sucer tes doigts ah Sylvie je suis sûre qu’elle adore le goût de son gros cul
– Ohh ouii je jouis mmm oh c’est bon slurp oh j’adore sucer tes doigts avec l’odeur de mon cul, mmmm bonne initiative Fabienne
– Tu sais, c’est parti tout seul dans le feu de l’action, c’est ce qu’on attend d’une salope comme toi.
– Et toi Bertrand tu n’as pas joui
– C’est limite salope
– Sylvie fais-le cracher sa purée
– Avec plaisir. Bertrand tu vas te branler en pensant au gros cul de Fabienne, elle est accroupie au-dessus de ton visage, tu sens les poils de sa chatte tout poisseux et tu respires la forte odeur de pipi de cette grosse cochonne.
– Oh oui continue Sylvie, je vais jouir
– Fabienne écrase son gros cul et sa moule poilue et puante sur ta petite gueule de pute, tu la lèches mais ne peux plus respirer
– Oh ouiiiiiiiiiiiiii, je jouis mmmm oh c’est bon
– Ça y est, il a joui sur le canapé en cuir, je prends son slip et essuie le canapé avec, comme ça tu pourras respirer l’odeur de sperme de mon mec.
– Bon je vais pisser petite cochonne et je m’habille nous avons une soirée ce soir, à bientôt
– Salut et comme promis je vais me faire jouir au WC tout en urinant et après je me lècherai les doigts pleins de pipi.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à Exhibition sur l’autoroute par FétichOdeurs

  1. Lise du Sud dit :

    J’ai trouvé ça géant !
    moi j’aime bien fouiller dans le linge sale et trouver les culottes de ma mère, c’est jaune devant et marron derrière, je lèche, miam miam

  2. Claire dit :

    Une histoire complétement barré mais qui m’a bien excitée

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *