Une entreprise très familiale 4 – Des congés drôlement payés par EJacques ULE

Une entreprise très familiale 4  – Des congés drôlement payés par EJacques ULE

Je me réveillais tranquillement le lendemain en me trémoussant dans mon lit
spacieux, complètement détendu. Je remarquais alors que personne n’était
venu me réveiller alors que j’étais censé « travailler ». Le jour était
pourtant bien levé et il faisait déjà chaud. Légèrement angoissé, je me
levai précipitamment et alla faire un brin de toilette dans la salle de bain
adjacente à ma chambre. La maison était incroyablement silencieuse. Je
sortis sur le palier du 1er étage et demanda s’il y avait quelqu’un.
Personne…

Je décidai alors d’aller dans les locaux de l’entreprise, que je retrouvai
sans peine. La journée était radieuse et je suais abondamment dans la
voiture, tant du fait de la chaleur que de la légère angoisse que provoquais
mon premier retard au boulot… Une fois sur place, essoufflé de mon
empressement, je retrouva Sabrina seule à l’accueil. La belle gémissait de
façon étouffée et sursauta légèrement en me voyant. En me penchant sur son
bureau je pus voir qu’elle était en train de manipuler un gode entre ses
cuisses moites. Elle se contenta alors de me sourire niaisement puis me dit

« Amy vous attend dans son bureau au bout du couloir ».

Je m’y dirigea précipitamment, me demandant ce qu’elle pensait de mon
retard. Sabrina m’accompagnait. Elle ouvrit la porte sans frapper et je vis
la patronne assise au bord d’une grande table ronde avec quatre autres
hommes d’affaire. Elle interrompit sa conversation et nous rejoint avec un
sourire aux lèvres.

« Alors Monsieur ne suit pas le rythme » me dit-elle en doucement en me
caressant le dos d’un doigt « Je pense que vous devriez prendre des congés
aujourd’hui ».

Je voulus protester et garantir que je ne défaillirai plus, mais elle ajouta
« C’est un ordre! … Mais d’abord vous allez passer la matinée à
l’infirmerie afin que Judith et Célia vous observent ». Sabrina me regarda et
sourit en crépitant d’envie. Amy l’observa un moment, le visage compatissant
et ajouta « Vous pouvez l’accompagner Sabrina. Maintenant disposez! »

Sabrina me prit la main et m’entraîna vers l’infirmerie au premier étage en
fredonnant de plaisir.

« Ca à l’air de vous réjouir cet examen médical » commentai-je.

Sabrina rit rauquement et répondit

« Oui, Judith est ma cousine… la sœur d’Ibrahima… et elle fait du super
travail avec Célia, vous verrez elles sont très attentionnées ».

On entra dans une vaste et chaleureuse pièce, avec quelques plantes vertes
et une immense verrière. Devant cette dernière se trouvaient trois lits
médicaux blancs et quelques ustensiles hygiéniques d’infirmières. Une porte
latérale s’ouvrit, d’où sortirent les deux auxiliaires médicales. La
première, vêtue d’une très courte blouse blanche, qui contrastait avec la
peau noire à nu de ses cuisses et ses cheveux aux mèches bordeaux,
s’annonça.

« Bonjour je suis Judith, la cousine de Sabrina et l’infirmière en chef de
cette entreprise ».

Alors qu’elle parlait je l’épiais avec envie. Son visage un peu plus épais
que celui de sa cousine, avec un piercing dans une narine et ses formes tout
aussi généreuses me stimulaient et me donnaient encore plus chaud. Elle
continua en désignant l’autre black qui la suivait, plus fine, avec un
magnifique sourire et bien maquillée

« …et voici Célia mon assistante ».

Cette dernière, également vêtue d’une blouse blanche et portant la coiffe
traditionnelle des infirmières sur ses cheveux tressés mélangés de mèches
blondes me salua silencieusement avec une moue.
Passé ces présentations, l’air de Judith devint plus sérieux et du même coup
plus sévère. Elle me dit

« Bon, j’ai appris que vous n’arriviez pas à vous lever et qu’il vous fallait
beaucoup dormir, alors à partir de maintenant vous êtes notre bébé! ». Je
voulus protester, mais elle ajouta « Et un bébé ne doit pas répondre aux
adultes ! Maintenant déshabille-toi que l’on s’occupe de toi! ».

Un peu honteux j’ôtai T-Shirt, pantalon et chaussettes, pour me présenter
presque nu et couvert de sueur à ces dames, puis j’ajoutai

« Voilà, c’est fait ».

Judith fronça les sourcils et répondit

« oh mais non !! J’ai dit tout nu! petit bébé ! alors on enlève ce petit
slip, et vite!! ».

Rouge de honte, j’ôta ce dernier vêtement, ne pouvant retenir une érection
face à ces dames. Célia et Sabrina pouffèrent en désignant ma verge dressée,
alors que Judith s’était approchée et avait posé une main sur mon torse.

« Un bébé n’a pas de poils » fit-elle « Célia vous vous occuperez de ça pour
son petit zizi et son petit cucul. Moi je vais chercher les couches avec
Sabrina ».

Je n’en revenais pas de ce traitement, mais une telle régression me faisait
fantasmer depuis un moment alors j’accepta docilement de céder au jeu et
m’allongea sur un lit.
Sabrina et Judith s’éclipsèrent et Célia me susurra d’écarter les jambes.
D’une main experte, elle rasa la toison qui ornait mon sexe, coupant même
méticuleusement les poils récalcitrants. Elle m’appliqua ensuite une douce
éponge humide, qui rinça ma peau douce et m’électrifia, me faisant bander
comme un âne. A cela elle pouffa gentiment, sans mot dire, et l’écarta. Elle
me leva ensuite les cuisses, toujours sans mot dire et tint mes fesses
écartées. Elle y passa également son rasoir. J’étais un peu anxieux, face à
cet objet dangereux, mais Célia le magnait parfaitement et la raie de mes
fesses fût imberbe lors du retour de ses deux complices. Elle passa alors
son majeur dessus et buta sur mon orifice. Elle suça bruyamment le doigt une
fois et me l’enfonça en gloussant. Judith et Sabrina en rirent également en
posant un paquet de couches Tena adaptés aux adultes.

« Et bien maintenant on va langer ce môme ! » Entonna Judith « Vous m’aidez les
filles ! ».

Elle ouvrit le paquet alors que Célia et Sabrina me levaient chacune une
jambe.
Sabrina passa une main sur mes fesses puis se frotta les doigts.

« Il est tout moite, il faut lui mettre du talc Célia ! » Ordonna-t-elle.

Silencieuse et soumise, cette dernière s’exécuta en prenant un flacon et en
m’aspergeant l’entrejambes. Une sensation de fraîcheur et de douceur
m’envahit, je faillis pisser à l’air, ce qui aurait sans doute fâché mes
nurses ! Judith passa ensuite une couche sous mon derrière et la ferma. Ce
ne fut pas sans peine car je bandais toujours, ce qui lui dire que je
n’étais pas un bébé sage et qu’il me faudrait me calmer pour avoir « lolo ».
Cela fait, elle ajouta « bien maintenant tu peux faire ton pipi bien au chaud
et tu as intérêt être gentil et à le faire pour nous! ». En effet la couche
me tenait délicieusement chaud, mais l’envie d’uriner me manquait encore.
Cela devait venir avec le godet remplit d’eau glaciale que Célia me fit
boire en me posant la tête sur sa blouse au niveau de sa petite poitrine.
Pendant ce temps Judith passait un interrogatoire à sa cousine.

« Et toi tu portes bien toujours ta couche ? ».

Sabrina resta muette et eut un mouvement de recul. L’infirmière se rapprocha
d’elle et ajouta

« Bon, si tu ne veux rien dire il n’y a qu’à vérifier ».

Elle lui leva sa minijupe de standardiste, révélant sa chatte imberbe à nu,
les cuisses encore tachées de cyprine sèche.

« Comment oses-tu !! » Gronda Judith « Je t’ai dit de continuer à mettre tes
couches !! Tu n’es pas propre ! ».

Sabrina protesta

« Mais si! Je suis… ».
« Non, rien!! » La coupa sa cousine « regarde si je fais ça ».

Je les regardais faire dans les bras de Célia qui me caressait gentiment le
bas-ventre en me susurrant tendrement

« allez bébé, fait ton pipi… va… »

Judith par contre appuyait plus fermement sur la vessie de la standardiste
qui se trémoussait en gémissant

« Non! Non, pas ça ! ».

Mais il était déjà trop tard : pliée en deux, les genoux compulsivement
serrés, elle dût se lâcher sous la pression. Un flot abondant d’urine fila
entre ses jambes et tomba avec un « splatch » bruyant sur le carrelage.

« Et alors ça c’est quoi! » Gronda Judith « tu n’es vraiment pas une fille sage
! Tu mérites une fessée, allez penche-toi! ».

A ces ordres, l’assistante fautive se pencha sur les cuisses de sa cousine
qui s’était assise. Judith lui tapa sourdement sur les fesses trois fois en
criant

« C’est pas bien, tu vas maintenant obéir! ».

Mais, suite à cela, Sabrina cria et se contracta, puis se relâcha à nouveau,
accompagné par un nouveau jet de pipi. Judith se fâcha plus encore et
redonna des fessées de plus en plus violente à Sabrina jusqu’à ce que cela
cesse. Pendant ce temps, le bruit de ces divers écoulements m’avait donnée
envie. Je me laissa aller à mon tour et pissa dans ma couche. Je fus envahi
par une intense sensation de chaleur à mesure qu’elle se remplissait : mes
cuisses, mes fesses et mon sexe baignaient dans l’urine que la couche
peinait à absorber.
Célia s’en rendit compte et me sourit en ajoutant un tendre

« C’est bien, continu… ».

Je tâtais ses petits seins sur sa blouse débraillée, mais elle ajouta

« J’ai une petite surprise pour les bébés qui font bien dans leur couche,
comme leurs nanies le demandent ».

Elle leva sa minijupe et baissa immédiatement sa petite culotte. Incrédule
je découvris d’abord une bosse que cachait furtivement son string, qui était
en fait une belle verge brune comme la peau de ses cuisses. Célia était en
fait une adorable transsexuelle très féminine. Elle me souriait alors que
son sexe se balançait devant mes yeux, parfaitement tendu. Je décida,
tremblant d’émotion d’y goûter sans tarder. Je pris donc le zizi en main et
approcha ma bouche pour le sucer élégamment. Pendant ce temps, Judith
continuait d’engueuler sa cousine : après lui avoir endolori les fesses,
elle lui avait plaqué la tête entre les cuisses et l’obligeait à lui lécher
tous les trous. Sabrina s’y affairait volontiers, prenant soin de bien
nettoyer l’entrejambe de l’infirmière dominatrice.
Pour ma part je m’affairais avec entrain à ma fellation, bavant abondamment
sur les couilles de Célia. Cette dernière appréciait cela et soupirait de
plaisir à chaque fois que je serrais plus mes lèvres ou donnais un coup de
langue. J’agrémentai cela en la masturbant vigoureusement. Puis je continuai
en lui caressant la raie épilée de ses fesses de l’autre main. Je regardais
à nouveau nos deux autres partenaires : Judith avait enduit sa main de
vaseline et commençait à fister sa cousine mal élevée qui se mit à crier
d’un plaisir de soumission. Je fit enfin gémir Célia en lui léchant ses
testicules et lui enfonçant simultanément mon majeur dans le cul. Ce dernier
me paru doux et chaud à la fois, c’était une sensation incroyablement
agréable.

Cela me relaxa tant que je me détendis complètement et me laissa aller à
remplir à nouveau ma couche. J’avais l’impression d’être une vraie fontaine,
je pissais tant que ma couche déborda, rinçant mes cuisses à l’urine, ce que
remarqua d’abord Célia qui écarquilla les yeux en me souriant. Cette
sensation tiède m’emplit de plaisir, me faisant à nouveau bander comme un
âne et tendre ma couche prête à rompre. Mais déjà l’autre infirmière et
l’assistante nous avaient rejoint, alertée par les draps qui jaunissaient.

« He bien il est tant de changer le gosse je crois » entama Judith.

Ses assistantes me couchèrent sur un lit et m’entourèrent. Elles me défirent
chacune une des attaches alors que Judith s’était penchée entre mes jambes
pour observer les faits de près. Ma couche ouverte mouilla et souilla tout
le lit, me faisant baigner dans une douce chaleur. Sabrina avait ouvert son
chemisier et était en train de me donner le sein. Je bavais sur une de ses
grosses mamelles alors qu’elle roulait une pelle avec Célia par-dessus moi.
Judith appela cette dernière et lui passa de la vaseline sur la verge
tendue, puis elle me désigna du doigt et lui susurra quelque chose à
l’oreille. Presque immédiatement Célia enfonça sa perche dans mon cul comme
dans du beurre, me procurant ainsi un plaisir immense. Judith s’était mise
en face de sa cousine, à mes cotés et ouvrait sa blouse. A son tour elle me
donna le sein, si bien que je pus me mettre à alterner entre le sien dans ma
main droite et celui de Sabrina dans ma main gauche. Sous les assauts de
Célia qui continuait à miauler très fémininement, je me laissais aller à
recouvrir de bave ces deux beaux globes graisseux si tendre.

Pendant ce temps, les deux donzelles avaient bu quelques verres de boissons
acidulés et se roulaient maintenant une pelle des plus goulue au-dessus de
mon visage. Un filet de salive ainsi créé, dégoulina jusqu’à moi et j’ouvris
la bouche pour m’en délecter avec un râle de bonheur. Les deux demoiselles
cessèrent et me jetèrent un regard amusé et envieux. Sabrina se pencha, me
chatouillant avec ses cheveux blonds et lécha un peu de salive qui avait
coulé sur ma joue. Puis elle saliva à nouveau dans ma bouche ouverte en
grand d’envie.

« On dirait qu’il aime ça! » S’exclama-t-elle à sa cousine qui s’était
également penché.

Toutes deux se mirent alors à baver tant qu’elles pouvaient,
créant des filets de salive que j’avalais ou qui maculaient mes joues. Cet
instant fut magique et transcendant, Célia continuant à me fourrer avec
ardeur, tenant mes jambes hautes et écartées.
Mais bientôt Sabrina voulu aussi fourrer mon derrière. Elle ouvrit un tiroir
près du lit et en sortit un gode ceinture noir de taille respectable qu’elle
enfila avec empressement. Elle stoppa ensuite Célia et la tira vers elle, la
faisant s’agenouiller à ses pieds. Je me sentais complètement détendu, mon
anus se relâchent légèrement en palpitant. La transsexuelle suçait
maintenant avec application le sexe factice de Sabrina. Moi je continuais de
téter Judith qui alternait en me salivant doucement sur la figure. Mais
bientôt je sentis qu’on me levait à nouveau les jambes : C’était Sabrina
assisté de Célia qui dirigeait son gode entre mes fesses. Ce fut un peu plus
dense qu’avec la transsexuelle, mais l’objet rentra sans peine. C’était
toujours plus agréable et goûteux, Sabrina m’avait agrippé les hanches –
salissant au passage ses mains avec mon pipi – et hennissait de plaisir en
me défonçant le cul. Célia était revenue à auteur de mon visage et me
faisait sucer la queue qui m’avait si promptement sodomisé. Judith, qui
était derrière, lécha puis passa son majeur plusieurs fois entre les fesses
de Célia avant de lui l’enfoncer. Elle l’agita frénétiquement, jusqu’à tant
que Célia pousse un long gémissement de plaisir. Son petit sexe gonfla dans
ma bouche et se vida d’une bonne dose de sperme. Je bus une partie de ce
liquide parfumé et recrachai le reste de façon éparse sur mon visage. Mes
deux partenaires proches se penchèrent pour le lécher, ce qui finit par une
délicieuse pelle à trois…

Judith et Sabrina n’entendaient cependant pas en rester là. L’infirmière se
muni en effet bientôt à son tour d’un gode ceinture blanc de taille
monstrueuse. Elle se plaça à côté de sa cousine et lui ordonna

« C’est à mon tour, sort de là ! ».

Obéissante, Sabrina se retira et laissa mon cul au soin de Judith. Cette
dernière, après avoir lubrifié sa verge avec de la vaseline, l’appliqua sur
mon anus. Je le sentis se dilater puis se contracter au passage de l’énorme
engin qu’on m’enfonçait avec soin. L’infirmière ne pût s’agiter beaucoup,
mais elle exultait avec de bruyants « oohhhh » de plaisirs. J’allais bientôt
comprendre pourquoi.

En attendant, Célia s’était tendrement penchée à mes cotés, aux ordres de
Sabrina. La transsexuelle me branlait vigoureusement. Sa croupe était
orientée vers ma tête et je vis bientôt Sabrina, toujours engodée,
s’approcher. Elle pénétra Célia d’une traite avec un rire gras, la faisant
pousser son premier petit cri de surprise. Elle ne broncha cependant pas
plus et continua son travail sur ma verge. Sabrina par contre se montrait
odieuse : elle me fixait et dit

« Tu vois j’adore ce cul, et je peux l’avoir quand je veux ».

Elle sortit complètement et réinséra son gode plusieurs fois et ajouta

« Il est beau hein !? Tu veux tester ? ».

Elle pris ma main gauche et l’en approcha après une nouvelle sortie. J’y
introduisis à mon tour l’index et le majeur, les agitai et lui rendis la
place. On refit cela plusieurs fois, laissant toutefois la petite bite de
notre amie bien molle, avant que Judith ne nous coupe. Cette dernière
continuait d’exulter depuis un moment, elle s’arrêta et on entendit un
écoulement. Du pipi ruisselait de sous son gode et s’agglutinait sur le sol.
Cela produisait un bruit sourd, agréable. Elle avait atteint son orgasme
sans même être pénétrée.

Cela finit, Judith sortit de mon cul en riant, puis elle m’aida à me lever.
Les deux noires ôtèrent leur gode Finalement Judith déclara à Sabrina

« Il faut encore te punir pour avoir oublier tes couches! Tu vas te coucher
là! ».

Honteuse, Sabrina accepta. Elle posa ses fesses sur la couche sale, mais sa
cousine la stoppa et la fit s’accroupir sur le lit. Puis elle se plaça
derrière elle et l’obligea à pisser encore. Ce ne fut pas si long avant
qu’elle se soulage encore, tachant tout le bas du lit trempé. Judith en fit
autant sur le haut du lit, qui devint complètement jaune sur sa longueur.
Les draps n’absorbaient même plus l’urine qui formait des flaques. Sabrina
finit de s’allonger de tout son long dans nos souillures. Judith la
recouvrit tête-bêche et lui écarta les jambes. Elle suggéra à Célia de
pisser aussi sur sa cousine. La transsexuelle se mis en position à ses cotés
sans se faire prier. Pendant ce temps Judith avait étalé un reste de
vaseline entre les jambes de Sabrina et lui avait enfoncé trois doigts salis
dans le cul. Elle s’empressa de me demander de l’enculer. J’arriva à temps
pour la prendre, alors que Célia commençait à uriner sur les cheveux blonds
de sa maîtresse. Cette dernière chavira de plaisir, caressant les fesses de
Judith au-dessus de sa tête. Je ne fut pas long non plus, je faillis
m’évanouir de plaisir après trois à-coups. C’était incroyablement intense
pour nous quatre. J’eus peine à sortir mon sexe du cul de Sabrina et éjacula
puissamment sur le visage de Judith qui avait ouvert en grand la bouche pour
tout avaler…

Encore tremblant de plaisir on rit longtemps après ces ébats. Célia jeta la
couche et le drap sale, puis on partit tous prendre une douche dans la pièce
voisine…

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2 réponses à Une entreprise très familiale 4 – Des congés drôlement payés par EJacques ULE

  1. Sorenza dit :

    Une jolie partouze joliment décrite et qui m’a fait bander comme un ^^^^âne

  2. Muller dit :

    cette pépite dormait dans les archives du site et je n’avais jamais lu !
    Et bien si comme moi vous ne l’avez jamais lu, lisez-le il faut le coup, et l’excitomètre fonctionne à donf !

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