Chemins libertins Chapitres 2 à 4 par Plaisirs_extrêmes

Chemins libertins
Chapitres 2 à 4
par Plaisirs extrêmes


Chapitre II
Il était 17h30. Comme toujours le métro était bondé. Comme toujours, les gens rentraient chez eux, comme des robots, le regard perdu dans le vague.

Mes yeux furent attirés par une très jolie fille, blonde, avec une bouche pulpeuse et une poitrine que la profondeur d’un décolleté mettait en valeur plus qu’il ne la cachait.

Je m’approchai d’elle me frayant difficilement un passage parmi les voyageurs et, arrivé derrière elle, me plaquai contre ses fesses. Elle ne se déroba pas. Elle était vêtue d’une minuscule jupe qui lui recouvrait à peine le cul. Ses jambes interminables étaient nues et la hauteur des talons de ses chaussures donnait à sa croupe une cambrure fort agréable. De plus en plus compressé par la foule tout mon corps épousait ses contours. J’avais sous mes yeux sa superbe nuque et un parfum capiteux montait jusqu’à mes narines. Fermement décidé à connaître la nature amoureuse de cette femme, je m’enhardis à poser ma main droite sur le haut de sa cuisse. Toujours aucune réaction. Décidément, j’étais tombé sur quelqu’un de complaisant. Petit à petit, je remontai sous sa jupe tout en passant ma main sur le devant de sa cuisse.

Quelle ne fut pas ma stupeur de constater que cette salope ne portait pas de slip. Mes doigts atteignirent sa chatte où, je n’en fus cette fois pas surpris, aucun poil ne venait contrarier ma progression. Décidément la mode des chattes rasées était vraiment ce qui pouvait arriver de mieux à un vicieux comme moi. Les grandes lèvres étaient tendres, douces au toucher. La vulve était entrouverte et déjà très humide. Ma belle inconnue loin de se laisser démonter tendait ses fesses contre ma queue qui était maintenant dure comme de l’acier. Les autres voyageurs faisaient écran à notre douce folie et j’aventurai ma main restée libre entre les fesses de la blonde. Je découvris tout de suite son anus, qui sitôt mon doigt fouineur posé dessus s’ouvrit délicatement. Les doigts de ma main droite caressaient avec ferveur le clitoris turgescent. Je sentais la jeune femme respirer de plus en plus vite. Elle donna un coup de cul vers l’arrière pour que mon doigt s’y enfonce encore plus profondément et à ce moment, tout son être se crispa dans la jouissance.

Tout ce petit manège n’avait pas duré plus de 3 minutes et se retournant, elle me tendit une carte de visite en me disant :

– Merci, c’était très bon, et elle disparut entre les personnes qui sortaient à cette station.

Elle ne s’était pas foutue de moi, son numéro de téléphone était là, bien visible sur la carte, et je savais déjà que je l’appellerai.

Chapitre III
Annick était encore toute retournée par le plaisir qui l’avait submergé. Arnaud l’avait abandonnée après leur folle sarabande et elle était restée couchée, groggy par ses jouissances successives. Ce n’est que deux heures plus tard qu’elle sortit peu à peu de sa torpeur en s’étirant langoureusement. Bien sûr son cul la faisait encore un peu souffrir mais le souvenir de son corps qui explosait sous le plaisir la faisait frissonner de désir. Ses mains descendirent malgré elle vers sa chatte et la caressèrent doucement.

– Oh, que m’arrive-t-il? J’ai tellement envie de jouir encore. Allons ma vieille, va prendre une douche, ça te calmera.

Prenant son courage à deux mains, elle se leva et se dirigea vers la salle de bain.

L’eau qui coulait sur son corps lui faisait un bien fou. La chaleur la rendait encore plus alanguie et des images lui revenaient à l’esprit. Arnaud lui suçant la chatte. Cette sensation de plénitude quand elle prit sa grosse queue dans sa bouche et quand son anus s’ouvrit à son passage. Sa jouissance au moment où il éclata en elle.

Son corps était parcouru de petits spasmes. Elle se caressait les seins dont les tétons sous l’action de l’eau et de ses doigts avaient durci. Elle descendit la pomme de douche vers sa chatte et, écartant ses lèvres, dirigea le jet vers son clitoris dardé. Tout son sexe irradiait de plaisir. Une chaleur intense montait dans ses reins. Avisant la forme phallique de la pomme de douche, elle la fit lentement entrer dans son vagin. Elle était tellement mouillée que le gros bout plastifié n’eut aucune peine à pénétrer jusqu’à son utérus. L’eau qui giflait l’intérieur de sa grotte lui procurait de délicieuses sensations.
Petit à petit, elle commença un va-et-vient avec ce phallus improvisé. Afin de s’ouvrir davantage, elle posa un pied sur le rebord de la baignoire et accéléra encore la cadence entrant et sortant de sa vulve, l’eau jaillissant hors d’elle. Enfin, quand elle sentit qu’elle était prête à exploser, elle pinça très fort le téton de son sein gauche et enfonça une dernière fois le pommeau de la douche au plus profond de son vagin ce qui la fit crier de plaisir.

Les gargouillis que faisait l’eau au fond de son sexe la ramenèrent peu à peu à la réalité. Cette fois, elle était bien, elle avait joui tout son soûl et elle pouvait enfin se préparer pour une soirée qui s’annonçait très excitante. Elle sortit l’objet de son plaisir d’entre ses jambes, pris un petit peu de gel pour la douche, s’en barbouilla l’entrejambe et à l’aide de son rasoir ôta les quelques poils qui repoussaient sur ses lèvres. Elle fit de même pour ses aisselles.

Devant le miroir, elle se trouva belle et désirable. Ses lèvres étaient entrouvertes, comme un appel à la fellation. Elle savait qu’elle pouvait donner du plaisir avec sa bouche et ça l’excitait. Ses seins, même si elle les trouvait trop petits avaient cette faculté de lui donner tout de suite du plaisir quand on s’occupait d’eux. Ses tétons étaient nerveux et se dressaient au moindre attouchement. Elle prenait plaisir à les rouler entre ses doigts, à les mouiller de salive et son grand désespoir était de ne pouvoir les sucer. Sa chatte, à part une minuscule bande de poils restant sur son pubis était absolument imberbe. C’est Arnaud qui l’avait voulu ainsi et pour lui faire plaisir elle s’était rasée un jour d’été. Depuis, elle ne pouvait plus se passer de cette sensation de douceur que lui procurait une caresse sur ses lèvres et régulièrement elle passait la lame de son rasoir pour être encore plus désirable.

Elle se surprit à vouloir regarder son anus. Pour ce faire, elle prit un petit miroir portatif et, s’asseyant sur les W-C, elle écarta ses fesses tout en orientant le miroir afin qu’elle puisse découvrir cette partie de son anatomie. Son pauvre petit trou était tout rouge des assauts qu’il avait dû endurer. Une goutte blanche s’en échappait encore, preuve de la quantité phénoménale de sperme que son amant avait balancé au plus profond de son rectum. Elle prit un petit peu de papier de toilette et essuya son œillet avec délicatesse. Elle le trouva beau ainsi offert.

– Oh, déjà sept heures et Arnaud qui vient me chercher dans une heure.

Elle se maquilla les yeux, colora en rouge vif ses lèvres et fila dans sa chambre pour choisir ce qu’elle allait mettre. En ouvrant son armoire, elle tomba sur la petite jupe serrée et fendue qu’il aimait tant. Elle la sortit et choisit une jolie blouse en soie blanche, à peine transparente. Dans son tiroir, elle prit un petit porte-jarretelles noir ainsi que des bas coutures de même couleur. Elle hésita un court instant sur l’opportunité de mettre ou non un string et opta pour une complète nudité de sa chatte. Elle fixa son porte-jarretelles autour de sa taille et y attacha ses bas. Puis elle fit coulisser sa jupe le long de ses jambes gainées de noir. Ses seins supportant facilement l’absence de soutien-gorge, elle enfila sa blouse à même la peau ce qui la fit frissonner un peu. Elle la boutonna de telle sorte que sa gorge soit mise en valeur. Allant vers l’armoire du corridor, elle en sortit des souliers à très hauts talons qui, elle le savait la faisait se cambrer exagérément.

Ainsi habillée, elle savait que son mec allait totalement craquer et tout ce qu’elle espérait c’est qu’il la dévorerait des yeux toute la soirée.

Chapitre VI
Je n’en revenais pas. Faire ainsi jouir une fille dans le métro! Je sentais de délicieux picotements dans mon bas-ventre et le fait de retrouver Annick dans une tenue qui, je le savais, serait affriolante poussait mon excitation à son paroxysme. J’avais envie de sexe, mais pas du sexe gentil, du sale, du vicieux, de celui qui vous fait exploser la tête. Je pensais déjà à tout ce que j’allais faire ce soir. Les amis qui nous invitaient avaient une conception de l’amour assez spéciale et je savais qu’il y avait de grandes chances pour que cette soirée tourne en partouze. Je me réjouissais de connaître la réaction d’Annick face à ce genre de sauterie. Hum, j’étais sûr qu’elle aimerait.

Je n’étais plus très loin de notre appartement maintenant. Voilà deux ans que nous vivions ensemble Annick et moi. Nous habitions un très beau duplex dans un quartier chic de la capitale. C’est elle qui l’avait découvert en répondant à une petite annonce et qui m’en avait fait la surprise.

Nous nous étions rencontrés lors d’une soirée en discothèque. Elle était là avec une copine et draguait tout ce qui bougeait. Elle m’avait invité à danser et m’avait fait comprendre que je lui plaisais. Son bas-ventre ne cessait de chercher mon sexe et sa poitrine s’écrasait contre mon torse. Au moment où je voulus l’embrasser, elle prit mes lèvres goulûment, m’enfonçant sa langue profondément. Je lui pelotai les fesses par-dessus sa minijupe et je sentis avec ravissement qu’elle portait un string.

En tout cas, elle promettait pour une jeune fille de 20 ans. Après la série de slows qui me laissa passablement excité, je l’invitai à ma table où nous discutâmes pendant le reste de la soirée. Je savais tout d’elle quand je la raccompagnais chez sa grand-mère. Elle avait perdu ses parents très tôt et habitait chez elle.

– Je ne peux te faire entrer, j’ai seulement une chambre et elle serait fâchée de voir que je ramène un garçon à la maison. Mais, je veux quand même te remercier de la soirée qu’on a passée ensemble.

Ce faisant, elle posa sa main sur ma braguette et me regardant droit dans les yeux la descendit lentement. Je lui facilitai la manœuvre en me soulevant légèrement et, dégrafant mon pantalon, je le fis glisser sur le haut de mes cuisses. Elle descendit son visage vers mon bas-ventre et emboucha ma queue en m’arrachant un gémissement de bonheur. Sa bouche coulissait régulièrement le long de ma hampe et sa main avait englobé mes couilles. Je sentais avec ravissement sa langue agacer mon gland. Remontant sa main, elle commença à me branler en même temps, ce qui me fit grogner de satisfaction. Je sentais que ma sève montait irrésistiblement dans mes reins.

– Je vais jouir petite fille. Oh, c’est bon, je jouis.

Sortant ma queue de sa bouche, elle dirigea mes jets sur mon ventre et m’embrassa fougueusement en gémissant. Puis, prenant un mouchoir dans son sac, elle m’essuya délicatement, presque avec dévotion.

– Excuse-moi, je n’aime pas avaler le sperme.
– Ce n’est pas grave, mais je te ferai aimer ça.
– Hum, ça on verra.

Elle me quitta en m’embrassant une dernière fois, me laissant dans ma voiture, la queue à l’air.

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