Camille à la ferme par Biquet

Camille à la ferme par Biquet

Salut, je suis Camille, 30 ans, bisexuel et un peu obsédé sur les bord

Etant célibataire, et n’ayant pas beaucoup d’argent, cette année, je prévois mes vacances à la campagne dans une pension « chambre à la ferme ».

L’annonce indique « Loue petite chambre dans petit village en Bourgogne, possibilité de baignade dans étang privé, et initiation à la vie de la ferme etc. »

Après avoir pris contact avec ce Monsieur, le prix étant très intéressant, je décide de réserver immédiatement pour deux semaines.

Le jour J, arrive, je ne me suis pas trop chargé pour les vêtements, quelques shorts et t-shirt et c’est tout.

Après deux de heures de route, et quelques détours, j’arrive enfin à la sortie du village où un petit panneau indique « chambre à la ferme ». Je tourne et commence à m’engager dans un petit chemin de terre. Je ne sais pas pourquoi, mais je commence à me demander si j’ai fait un bon choix, mais bon on verra…

Après 45 minutes de trajet cahoteux, j’arrive enfin vers une petite maison un peu délabrée, où quelques belles vaches broutent autour en liberté.

Je descends de ma voiture, et marche vers la maison. Je regarde par le carreau, frappe et attend une réponse. Il semble que personne ne soit là. Un peu plus loin, j’entends du bruit dans la grange. C’est comme la ferme des célébrités, en bas quelques moutons et chèvres, et à l’étage des montagnes de foin.

– Y’a quelqu’un ?
– Oui par-là, montez je suis en haut.

Je grimpe à l’échelle, et je découvre un homme dans les trente ans, torse nu, dégoulinant de sueur en boxer qui me laisse voir nettement qu’il est pourvu comme un taureau.

– Salut, je suis Luc ! Me présentais-je
– Moi c’est Camille. Soit le bienvenu, je vais te montrer ta chambre et surtout fait comme chez toi . Moi j’ai du lait à livrer…

Ma chambre se trouve au même niveau que le foin, dans une petite pièce au fond de la grange. Quelle vue magnifique ! Il n’y a que des champs et des vaches !. Je défais mes affaires, puis m’allonge nu sur mon lit. Je regarde et m’étonne de découvrir un énorme miroir accroché au plafond. Je contemple mon corps nu et brillant de sueur et commence à bander doucement. Je caresse mon cou descends sur mon torse et pince très fort mes tétons. Mon sexe est au garde à vous, il me fait mal. Ma main droite descend sur mon bas ventre et attrape juste le bout de mon gland qui mouille. Je tends le bras et attrape une corde qui sert à attacher les bottes de pailles. Je fais un nœud coulissant, et introduit mon sexe dedans et serre très fort la base puis remonte entre mes testicules et entoure mon sexe jusqu’en haut pour finir par un nœud.

Ligoté comme un saucisson, mon sexe n’en finit pas de couler. De me voir ainsi, je me caresse l’anus, puis mon attention est attirée par un petit trou dans le mur. J’ai eu l’impression que quelqu’un m’observais. Je me trompe probablement car Camille m’a dit qu’il était parti livrer du lait.

J’empoigne mon sexe ligoté, et me masturbe tout en me doigtant l’anus. Après 15 minutes à ce rythme-là, j’explose et joui à travers la corde. Je me détache et récupère mon sperme que je porte à ma bouche.

Vers 18 heures, Camille toujours en boxer m’explique qu’il ne prend pas cher pour le séjour, mais qu’il faut mettre la main à la pâte, ce qui ne me déplait pas. On doit commencer par rentrer les vaches à l’étable, et les traire. Choses que je n’ai jamais faites. Tout en marchant, mon regard ne peut se détourner du cul de ce jeune et beau fermier. Instinctivement je porte ma main à ma braguette. Pourvu qu’il ne s’en aperçoive pas !

Vers 19 h 30 après la traite, il me propose un bain, mais je n’ai vue ni douche, ni lavabo. En fait il n’y ni électricité ni eau courante. Le bain se prend dans l’étang. A peine arrivé, Camille enlève son boxer libérant son engin et plonge dans l’eau. Timide je le regarde, il me propose de faire pareil. A poil je plonge aussi.

Que c’est bon l’eau sur mon corps nu, sans peur d’être vu et je ne sais pourquoi, de voir le corps de ce mec me fait bander. Il se rapproche de moi, et fait un sous l’eau, il m’effleure les testicules. Etonné, je me déplace un peu. Il recommence. Du coup, je sors de l’eau, il m’imite !

– Dis-donc, tu bandes ! Me dit-il.
– Ce sont des choses qui arrivent.

Il ne me relance pas de suite, mais je ne peux m’empêcher de scotcher mon regard vers sa jolie bite demi-molle.

– Tu regardes ma bite ? Me dit-il enfin avec un petit sourire de connivence.
– Elle est belle !
– T’aimes bien les bites ?
– J’avoue !
– Gay ?
– Non plutôt bi.

Sa main se pose sur ma bite, Je ne réagis pas. Il esquisse quelques mouvements de masturbation.

– Je peux sucer ? Demande-t-il.
– Vas-y !

Et c’est donc sa bouche qui s’empare de ma bite. Excité comme je suis, je le laisse faire. Sa langue est diabolique et sa fellation me provoque des ondes de plaisirs Au bout d’un moment il me demande de m’allonger dans l’herbe sur le ventre. Je m’exécute. Comme une petite femelle, il m’écarte les jambes et me lèche l’anus.

– Quel beau cul ! Je t’enculerais volontiers !
– Vas-y ! Mais doucement !

Cela faisait partie de mes fantasmes, je me suis laissé faire. Il me laboure l’anus, son énorme sexe me fait mal, mais le plaisir arrive très vite. Je suis plaqué au sol, il m’introduis sa langue dans la bouche et me roule une pelle comme jamais une femme ne me la fait. Il accélère puis éjacule dans mon cul. Je sens les contractions jusqu’au fond de mon ventre. Je vais pour me lever, mais il me fait mettre à quatre pattes, et me lèche l’anus coulant de sperme tout en me branlant énergiquement.

Il bande encore, sa bite est gluante de sperme et polluée de tâche brunes. Sans trop réfléchir à ce que je faisais, j’ai nettoyé tout ça avec ma bouche tout en me branlant frénétiquement.

– C’est bon de se faire enculer, n’est-ce pas ? Commenta-t-il
– C’est super !
– Ce soir on inversera les rôles, ce sera moi l’enculé !
– Pas de problème.
– J’ai envie de pisser…
– Tu peux me pisser dessus, j’adore ça ?

Sa pisse était délicieuse, mais peu désaltérante. Heureusement son frigo renfermait quelques bonnes bières.

– J’ai compris que tu avais des tendances à la façon dont tu matais ma braguette ! Me confie-il.
– Tu prends des risques !
– La vie est courte. Ma femme est chez ses parents, elle revient demain, si ça t’intéresse on pourra se faire un plan à trois ,
– Chic alors !

fin

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Une réponse à Camille à la ferme par Biquet

  1. Bureau dit :

    De l’auto bondage sans humour et la suite à l’avenant.

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