Belle-famille 1 – Jeremie par Marley

 

Je suis en vacances chez les parents de ma copine Stéphanie qui sont partis en croisière. On garde la maison et on s’occupe du chat. La sœur cadette de Stéphanie, Marine qui est âgée de 18 ans partage notre séjour

Un soir, ne trouvant pas le sommeil, je décide de descendre regarder la télé au salon. En passant, j’entends des bruits provenant de la chambre de Marine, qui ne laissent pas de doute quant à son activité. Agréablement surpris que la jeune fille, avec son air si sage, s’adonne à la masturbation, je reste d’abord l’oreille collée à la porte pour bien profiter de ces gémissements. Là, il me semble entendre deux personnes, ce qui me donne l’envie d’aller voir de plus près car Marine est censée être seule. Je pose doucement ma main sur la clenche et, avec une lenteur et une discrétion qui n’ont d’égales que mon impatience, j’entrouvre la porte. Comme sa chambre s’ouvre sur un petit vestibule, je ne vois rien et suis obligé de m’avancer un peu et de passer la tête au coin du mur. Le spectacle qui se déroule sous mes yeux me déconcerte totalement : Marine, la petite sœur à qui on aurait donné le bon dieu sans confession, est dos à moi, assise à califourchon sur son copain Jérémie et, montant et descendant sur son membre dans un rythme frénétique, elle a sa tête penchée en arrière et jouit comme une perdue. Evidemment, mon sexe est bandé à l’extrême devant ce peep-show inattendu. Au moment de jouir, le garçon prévient la fille qui, avec dextérité, se dégage de l’étreinte du jeune amant pour prendre en bouche le sexe qui n’attend que ses lèvres pour éjaculer. Marine suce longuement la bite au plus grand ravissement de son propriétaire, puis, se collant à lui, elle l’embrasse à pleine bouche. De mon côté, je sens qu’il est préférable que je retrouve ma chambre. Une fois dans le lit, je regarde mon amie rêver et, bientôt, en fais de même.

Le lendemain matin, avant d’aller déjeuner, je parle à Stéphanie de ce que j’ai vu. Elle est très intéressée de savoir que sa petite sœur a pris goût au sexe mais nous décidons de faire comme si de rien n’était. Au déjeuner, Marine apparaît avec son copain. C’est un beau petit blond à la peau bronzée et aux yeux noirs qui, tout le temps du repas, ne me quitte pas des yeux. Marine a l’air très heureuse et, chaque fois qu’elle se lève, je revois sa croupe blanche dans la position de la veille. Stéphanie étant de service à l’hôpital, elle se prépare la première et part aussitôt. Marine prend la suite dans la salle de bain et, maladie de femme, y reste une bonne heure à se chouchouter et à s’embellir. Quand elle en ressort avec sa robe légère et longue, elle me fait l’effet d’une déesse. Je vais à mon tour dans la salle de bain où, repensant à la veille, je me masturbe doucement les mains pleines de savon. A peine suis-je sorti de la douche que Jérémie entre à son tour. Il semble étonné de me voir en érection et n’arrive pas à décrocher son regard de mon membre. Quand je lui demande ce qu’il regarde comme cela, il me répond qu’il trouve mon sexe plutôt gros.

Pour satisfaire sa curiosité, je mets bien face à lui et branle mon membre pour qu’il retrouve une rigidité parfaite. Je lui propose de le toucher mais il hésite. Ce beau petit blond réveille mes tendances bi et, m’approchant de lui, je m’apprête à l’embrasser à pleine bouche. D’abord, il a un léger mouvement de recul vite réfréné lorsque je pose ma main sur son caleçon où m’attend l’agréable surprise d’une bosse en train de gonfler. Pour finir de le convaincre de baiser avec moi, je le flatte un peu, lui explique que je ne recherche pas spécialement la compagnie sexuelle des hommes mais qu’avec lui je me sens obligé de craquer. Mes propos semblent l’exciter car sa bosse gonfle au point que je me sens forcé de la sortir de son pyjama. Jérémie a un pénis à peine moins long que le mien mais beaucoup plus fin, il est peu poilu, son torse et son bas-ventre sont presque imberbes. Son sexe dans ma main, je le branle doucement et l’invite à passer sous la douche. Là, il ne refuse plus de m’embrasser et, de lui-même, saisit mon bâton.

Nos corps mouillés se frottent l’un à l’autre; dans l’étroite cabine de douche je trouve la place pour m’agenouiller et commence à le sucer. Le diablotin aime ça. De mon côté, je saisis le gel douche qui se trouve à mes pieds, en enduit mon index, et commence à caresser son anus. Là, Jérémie me demande d’arrêter mais je lui refais une opération charme tout en l’assurant que c’est très agréable. Bientôt, je sors son pénis de ma bouche et fais descendre ma langue vers ses couilles puis vers son cul. Mais la position est inconfortable et je ne peux pas accéder à son anus. Je me redresse donc et lui demande de me sucer, ce qu’il fait sans rechigner et avec un plaisir évident. Il suce si bien que, lorsqu’il se relève, je me sens obliger de lui demander s’il a déjà eu des relations homo. Il me dit que non mais qu’il a toujours été attiré par certains garçons. Je lui demande alors s’il a déjà sodomisé quelqu’un. Il me répond encore non. Alors, ravi d’être le premier anus pénétré par cette fine bite, je me lubrifie abondamment le cul avec du gel douche, me retourne et guide son gland vers mon trou. Le garçon va tout doucement et je sens monter en moi une chaleur incroyable. Quand son sexe est tout en moi, je suis aux anges et lui demande d’accélérer le mouvement. Jérémie me serre alors plus fort, réussissant à passer un bras devant pour me branler et, collé à moi, il m’en met plein le cul. C’est délicieux et je jouis de plaisir quand je sens un jet chaud s’évanouir en moi. Sa bite est faite pour la sodomie car sa finesse facilite autant la pénétration que sa longueur génère de frissons. Quand il se retire, je lui présente mon membre qu’il suce jusqu’à ce que sperme s’ensuive. En sortant de la salle de bain, Marine nous fait remarquer que nous avons été bien long. Ne voyant pas de malice dans ses propos, je lui explique qu’il n’est pas aisé de se laver à deux dans une si petite pièce.

Le soir, je raconte à Stéphanie mon expérience du matin et, comme elle semble excitée par mon récit, je lui avoue que j’aimerais la voir faire l’amour avec Jérémie. Elle a toujours fait preuve de beaucoup de compréhension pour mes déviations et, elle même très portée sur le sexe, elle acquiesce. Peu après, j’ai l’occasion d’être seul avec Jérémie et, comme il me dit avoir apprécié nos ébats, je lui donne rendez-vous à minuit au grenier où nous pourrons recommencer. L’attente jusqu’à minuit est longue pour Stéphanie et moi mais, dès que nous entendons quelqu’un gravir les marches, nos sens se mettent en éveil et l’excitation de la situation me gagne. En nous voyant tous les deux nus sur une couverture, le garçon hésite.

– « Viens, n’aie pas peur, lui dis-je. J’espère que ça ne te gêne pas qu’elle soit là. Je lui ai tellement parlé de tes talents qu’elle voudrait t’essayer. Ne t’en fait pas, je ne suis pas jaloux ».

Jérémie me dit qu’on est vraiment bizarres mais ça ne l’empêche pas de se déshabiller dès que Stéph le lui demande. Je reste dans mon coin à les observer : en premier, Stéph suce le jeune homme qui me regarde incrédule puis elle lui demande de lui lécher le minou mais, apparemment, il s’y prend mal et ma copine se met alors à quatre pattes pour qu’il la prenne en levrette. Pendant qu’il entre et sort de la chatte, je présente mon pénis à mon amie qui le suce avec sa technique merveilleuse. Je vois que Jérémie aime prendre Stéph qui, elle aussi, adore cela. Je rejoins le garçon et l’embrasse tout en lui caressant les fesses, à la recherche de son petit oeillet. Une fois trouvé, je m’abaisse pour le lécher et le doigter tout en enduisant mon sexe d’une crème amenée là pour l’occasion. Une fois que le terrain semble prêt, je me positionne à l’entrée de l’anus et, avec la plus grande des précautions, m’introduis en lui. Au début, il en stoppe presque de s’occuper de Stéph qui supplée à cela en bougeant énergiquement le bassin. Jérémie laisse d’abord s’échapper des cris de douleur qui deviennent des  » AHHH, OHHH  » trahissant ainsi le plaisir qu’il a de se faire enculer. A partir de là, chaque coup de boutoir que je donne dans les fesses du garçon est répercuté dans le con de Stéph qui hurle de plaisir. Ses cris et la situation me font augmenter le rythme jusqu’à ce que, finalement, nous jouissions tous les trois ensemble, Stéph s’écroulant sur le lit, Jérémie s’écroulant sur elle, et moi sur eux deux.

Nous restons ainsi de longues minutes, toujours emboîtés. C’est Stéphanie qui, la première reprend les hostilités en initiant une fellation énergisante sur le sexe endormi du garçon qui ne tarde pas à se réveiller.

– « C’est vrai que ta bite est fine, lui dit-elle. Elle est parfaite pour entrer par derrière ».

Un peu jaloux, je présente mon sexe à sa bouche et elle nous suce tous les deux en même temps. Ma bite ayant repris son volume de travail, je m’allonge et demande à Stéphanie de venir sur moi. Sa chatte est encore chaude du sperme du garçon et mon sexe s’enfonce avec aise. Jérémie ne sachant que faire, Stéph lui dit de la prendre par derrière. Hélas, le garçon essaye déjà de le faire à sec, ce qui arrache un cri à ma copine. Une fois qu’on lui a expliqué qu’il faut se lubrifier et une fois qu’il l’a fait, je sens, à travers la paroi vaginale, le sexe de Jérémie qui lui défonce les fesses. Il n’en faut pas plus pour que Stéph jouisse de suite. Mais ce n’est pas suffisant et elle insiste pour que nos lui labourions consciencieusement le cul. Jérémie adopte un rythme rapide et, me calquant sur lui, nous pénétrons Stéph presque synchroniquement pendant quelques minutes qui s’achèvent sur trois cris d’intense plaisir.

Nous restons ainsi de longs instants quand, entendant un bruit provenant de l’escalier, j’aperçois Marine, debout en train de nous regarder.

La suite bientôt

Marley

Ce texte assez ancien issu des archives de Sophixxx a été très légèrement rewrité afin de le rendre compatible avec notre charte de publication.

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5 réponses à Belle-famille 1 – Jeremie par Marley

  1. Werber dit :

    Du bon bi comme j’aime en lire pour m’exciter

  2. Hector dit :

    Pas trouvé la suite

  3. Dubois dit :

    très bon comme récit!

  4. Dudule dit :

    Pas si mal, j’attends de lire la suite 😉

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