Emilie me fait lécher sa chatte maintenant, puis je nettoie le gode longuement, je m’enivre de ses odeurs intimes. Elle m’embrasse, plonge sa langue dans ma bouche, mord ma langue, mes lèvres… Couchée sur moi elle pétrit mon corps, presse mes seins. Monsieur entre, Emilie se met à califourchon sur moi, sa langue ne tarde pas à trouver ma chatte, je lui rends la pareille. Monsieur n’est pas en reste et force ma bouche, son sexe est poisseux et j’aime son odeur forte. Il s’enfonce dans ma bouche, je suffoque un peu. Puis il s’enfonce dans l’anus d’Emilie, son sexe la pénètre d’un coup, Emilie se crispe et étouffe un cri entre mes cuisses.
Monsieur la pilonne durement, de temps à autres il sort sa queue pour que je le prenne en bouche. Il me félicite en disant à Emilie que j’adore ça. Emilie aspire mon clito et glisse un doigt dans mon cul. Je lèche tout ce qui passe à portée de ma langue. Les bourses gonflées de Monsieur, il me laisse les aspirer, je les gobe avant de lécher en dessous. Il pousse Emilie vers l’avant, sa bouche abandonne ma chatte mais ses doigts prennent le relais. Je lèche les bourses de Monsieur alors qu’il encule Emilie, je glisse ma langue plus loin, vers son anus et lèche doucement, je n’entends pas son commentaire mais il a l’air d’aimer ça. Je lèche d’avant en arrière, insistant de plus en plus sur sa rondelle, j’appuie du bout de la langue et l’enfonce, il ralentit la cadence et s’abandonne à ma caresse, son sexe se tend, je plaque mes lèvres, l’embrasse joue avec ma langue. Soudain il explose dans le cul d’Emilie qui continue de me doigter. Puis il sort sa queue et ordonne à Emilie de le nettoyer avec moi, il pose son sexe souillé sur ma bouche et Emilie vient embrasser sa queue et ma bouche en même temps. Nous léchons Monsieur un bon moment et lorsqu’il part, Emilie me détache en me massant longuement. Puis elle sort de la pièce.
Je la suis discrètement, Emilie arrive dans la salle de bains, je reste à la porte, elle me voit. Elle écarte bien ses fesses, le sperme suinte de son cul, je m’avance. Je m’allonge sur le carrelage, Emilie me regarde. Je lui demande de tout lâcher sur mes seins. Elle me sourit, s’accroupit au dessus de ma poitrine et se détend, le sperme brûlant et ses sécrétions intimes souillent mes seins, je malaxe mes seins. Emilie se relève, du bout de son pied désormais nu, caresse mes seins en étalant les souillures. Puis je lui demande si je peux lécher ses pieds, la jouissance monte en moi lorsque je lèche ses pieds maculés. Puis Emilie me relève, prend mes mains et les lèche doucement. Puis elle glisse sa main entre ses fesses et étale le foutre sur sa poitrine avant de se plaquer contre moi. Nous nous frottons l’une à l’autre, en nous embrassant. Elle m’allongea sur le sol et m’écarte les jambes son pied s’approche de mon sexe, je me cambre. Elle appuie très fort contre mon con, je soulève mes jambes et attrape mes chevilles. Son pied nu écrase ma chatte, mon clitoris gonflé. Emilie enfonce son orteil, me masturbe, c’est délicieux. Je lui demande de remettre sa chaussure, elle le fait. Je lui demande de me défoncer et Emilie me piétine la vulve, la douleur et le plaisir montent, elle enfonce la pointe de la chaussure, la ressort. Elle me met à quatre pattes, un talon investit mon anus et elle reprend de plus belle de l’autre pied, enfonçant le talon, écrasant mon clito. Je n’en peux plus, je crie, je veux qu’elle m’empale. Emilie s’enfonce dans mon sexe écartelé et j’explose avant de m’évanouir.
Je me réveille dans un lit, j’ai l’impression d’avoir dormi des jours, la pièce ressemble à une chambre d’hôpital, mais la menotte qui m’attachait au barreau du lit n’est certainement pas quelque chose de courant dans un véritable hôpital… Je me sentais reposée et me relevais, une clé se trouvait sur la table de nuit, je la pris et en quelques secondes j’étais libre. Le carrelage était froid sous mes pieds nus, je me demandais combien de temps j’avais dormi, on m’avait lavée, et on avait attaché mes cheveux, je me sentais comme neuve. En regardant par la fenêtre, je compris que j’étais toujours au même endroit. Dans le placard, je trouvais des vêtements, une robe de maille légère qui ne cachait rien de mon corps, des escarpins à talon et un collier de cuir muni d’un anneau. Je m’habillais et sortis de la pièce. Le couloir était désert, mes pas résonnaient sur les dalles. Je ne sais pas où trouver Emilie mais je sais qu’elle m’attends. Je pousse une porte, c’est la cuisine, de la vaisselle entassée, des restes de nourriture, un frigo, je l’ouvre et trouve de quoi grignoter, j’ai un peu froid et je me fais un café bien chaud. Alors que je bois mon café, la porte s’ouvre et Eva entre. Elle est surprise par ma présence.
– Oh, tu es déjà réveillée ?
– Oui, j’ai dormi longtemps ?
– Non, quelques heures, tu t’es écroulée hier soir, Emilie a eu vraiment peur.
– Ah ?
– Elle pensait que tu avais fait un malaise…
– À ce point ?
– Oui, mais tu gémissais de plaisir et nous avons bien compris ce qui t’arrivais. Nous avons tout de même demandé à un médecin de t’ausculter.
– Et où est Emilie ?
– Dans sa chambre, en haut, elle dort.
– Je peux la voir ?
– Je ne sais pas…
Eva me regardait avec un regard coquin, et je compris ce qu’elle voulait. Je me rapprochais d’elle, sous sa nuisette, ses tétons pointaient déjà
– En échange de …
– En échange de …
– Je ne veux pas jouir tout de suite
– Oh ?
– Je vais te montrer où se trouve la chambre d’Emilie
– Merci Eva…
– Je suis sûre qu’elle sera ravie de te voir, surtout si tu me fais confiance…
– Je te suis…
Et je suivis Eva dans le couloir. Elle me prit par la main et me désigna une porte close. Je poussais la porte, Emilie dormait profondément et sans un bruit Eva me fit entrer. Puis, elle me désigna le tapis et me recommanda de m’agenouiller dessus et d’attendre le réveil d’Emilie. Eva prit une laisse et l’attacha à mon collier et se sauva. Emilie se trémoussait dans son sommeil, je ne bougeais pas, il faisait bon et je n’avais pas froid. Je me rapprochais doucement, Emilie bougea, les yeux fermés elle se caressait. Je ne savais pas si elle était consciente de ma présence et je commençais à mouiller, je glissais une main entre mes cuisses. Emilie se réveilla, elle ne parut pas surprise de ma présence, elle enleva les draps, écarta les jambes et je me levais comprenant parfaitement ce qu’elle voulait. Je plongeais ma tête entre ses cuisses et la léchais longuement, elle appuyait fort sur ma tête. Emilie me repoussa et se leva, prit la laisse et m’emmena sur la terrasse. Le soleil chauffait déjà les dalles et lorsque je me mis à genoux comme elle me l’ordonnait je n’avais pas froid. Emilie me regarda dans les yeux, j’ouvrais la bouche et sans un mot elle se mit au dessus de moi. Le liquide doré ne tarda pas, je pressais mes seins l’un contre l’autre sous cette douche merveilleuse. Ce que je ne pouvais pas avaler coulait le long de mon cou puis sur ma poitrine. Emilie me laissa aspirer les dernières gouttes puis m’ordonna de me relever. Je la suivis vers une salle de bains et je dus m’agenouiller devant elle alors qu’elle prenait une douche en se caressant. Ensuite j’eus le droit moi aussi de me laver mais pas de me toucher ou de me caresser. Emilie, le temps que je me lave avait revêtu des bas, un porte-jarretelles et un ensemble de dessous crème. Elle me désigna une robe noire totalement translucide que j’enfilais sans un mot.
Emilie passa un tailleur strict et des chaussures à talons et m’ordonna de mettre les bras sur la tête. Elle rattacha à mon cou un fin collier de cuir. Elle me tendit des chaussures à talon et alors que je me baissais pour les mettre, empoigna avec douceur mes cheveux, me relevant et m’embrassant fougueusement. Elle plongea sa langue dans ma bouche, je ruisselais presque instantanément.
Elle m’emmena dans la salle à manger où je retrouve Ghislaine, elle est très attirante, sa robe blanche très échancrée met sa peau en valeur. Elle discute avec Eva qui est assise devant un panier de croissants. Emilie prend ma main, je frissonne de plaisir lorsqu’elle serre ses doigts plus fort. Je m’assieds à ses côtés et commence mon petit déjeuner, l’ambiance semble détendue. Emilie ne rate pas une occasion de me frôler, de me toucher et j’avoue que je suis ravie. Je pense soudain à Anne, qui je l’imagine doit bien se douter de ce qui m’arrive puisqu’elle en est à l’origine. Je finis mon café et Emilie me propose une promenade dans le jardin, elle me tend un petit manteau que j’enfile. Il fait un peu froid, le soleil ne me réchauffe pas vraiment, je frissonne. Emilie m’entraîne vers les dépendances et entre dans une sorte de garage, sa voiture est là, un 4×4 noir. Elle ouvre le coffre et prend un appareil photo qu’elle me tend. Ensuite nous ressortons, elle prend plusieurs photos de moi, me demande d’ouvrir mon manteau, ce que je fais. Puis son portable sonne, elle me fait signe de patienter. Après quelques instants, elle raccroche et se dirige vers moi, elle m’enlace, m’embrasse longuement, je me blottis contre elle, sa main glisse le long de mes cuisses, caresse mes fesses. Soudain trois hommes surgissent des buissons, je sursaute, Emilie aussi. Ils étaient en train de tailler les haies et s’excusent de nous avoir surprises. Emilie les rassure avec un grand sourire.
– Oh, il n’y a pas de mal, mais nous croisons rarement du monde dans les jardins à cette heure.
– C’est sûr, en général on fait ce travail plus tard, mais on veut que tout soit impeccable pour ce soir.
– Oui… évidemment…
– Vous serez des nôtres ?
– Je ne pense pas, je dois retourner en ville pour un impératif.
– Vous nous présentez ?
– Bien sûr, voilà Fabienne, qui est arrivée hier.
– Enchanté, moi c’est Joël,
– Et moi Yacine
– Et Bertrand
– Euh… enchantée
Yacine, plutôt dans le genre baraque, est visiblement déçu qu’Emilie ne soit pas des leurs dans la soirée et le lui dit. Il me semble qu’Emilie les connaît plutôt bien
– Oui, moi aussi, surtout que j’aurai aimé y participer avec Fabienne. Ceci dit, on pourrait peut-être envisager une petite pause, non ?
– Nous serions bêtes de refuser…
– On pourrait aller vers la remise à bois ?
– On vous suit.
Je ne savais pas où était la remise mais je me doutais que j’allais bientôt me réchauffer. Emilie ne lâchait pas ma main. Un sentier bordé d’arbre nous menait vers une grange en bois. Arrivée à la grange, Emilie proposa aux trois hommes de se contenter de nous regarder pour commencer.
– Enlève ton manteau, Fabienne,
– Bien.
Et j’enlevais mon manteau, Emilie me dévorait des yeux tout comme nos jardiniers d’occasion. La robe noire ne cachait rien du tout mais je l’enlevai également pour me retrouver nue devant eux. Emilie s’approcha et m’embrassa puis me caressa les seins, glissa ses doigts dans mon sexe me les faisant lécher. A voir les bosses qui déformaient les pantalons, le spectacle devait être réussi. Emilie me fit avancer dans la remise, elle était rangée et étrangement propre. Elle s’avança vers moi et me désigna une croix de bois, sans un mot je me mis en place et la laissait m’attacher les chevilles et les poignets. Puis elle plaça entre mes cuisses une large tige de bois qu’elle enficha dans la poutre. Le bois était rugueux et mon sexe s’écrasait presque douloureusement dessus. Ensuite Emilie se plaça au milieu des trois compères
– Prenez-moi devant elle, je suis entièrement à vous.
– Parfait, alors pour commencer déshabille-toi, ne garde que tes bas et tes chaussures.
– bien
Et Emilie se déshabilla, sa peau blanche était à croquer. Ses seins fiers et tendus ne tardèrent pas à être caressés et léchés. Puis Emilie dût se mettre à genoux et entreprit de sucer les trois amis. Elle devrait particulièrement apprécier Yacine à qui elle léchait les couilles avec application. Je commençais à me frotter contre la tige de bois. Bertrand s’approcha de moi, caressa mes seins, triturant les pointes entre ses doigts. Emilie était prise en sandwich entre Yacine et Joël, de temps à autre elle me jetait un regard de complicité. Bertrand avait rapproché une table et montant dessus me proposa sa queue, je l’embouchais aussitôt, léchant et aspirant son gland avec application. Je me masturbais sur la tige de bois en rythme. Emilie appela Bertrand, il redescendit et entreprit d’enculer Emilie sous mes yeux. Ses coups de boutoir étaient énergiques et Emilie gémissait de plaisir. Yacine prit la place de Bertrand et je goûtais son sexe épais avec plaisir alors qu’il agaçait mes tétons. Emilie leur demanda de la combler et se retrouva avec deux sexes dans la chatte, elle criait sa jouissance et lorsque Yacine redescendit pour jouir dans sa bouche elle se redressa demandant à Joël et Bertrand de faire de même. Accroupie au milieu d’eux léchant à tour de rôle les sexes gonflés, elle me regardait dans les yeux. Quelques instants plus tard, elle m’embrassa partageant le sperme recueilli dans sa bouche. Ses seins visqueux se frottant aux miens. Yacine et ses amis repartirent en nous remerciant pour ce bon moment passé. Emilie me détacha et sans un mot plongea sa tête entre mes cuisses. Elle me lécha longuement s’arrêtant à chaque fois au bord de la jouissance. Puis elle s’allongea sur la table, jambes et bras écartés. Emilie arrivait presque au grand écart sans forcer, j’étais surprise.
– A ton tour Fabienne, fais de moi ce que tu veux.
Je l’embrassais et munie d’une corde de chanvre, j’attachais ses chevilles aux pieds de la table et ses poignets. De cette façon, son sexe était totalement offert, ses fesses au bord de la table. Je léchais longuement son corps, en me rapprochant de son sexe béant. Je léchais Emilie sans relâche passant de sa chatte à son cul. Ma langue agile lui arrachait des petits gémissements. Mes doigts la pénétraient de plus en plus, Emilie me suppliant d’aller plus fort. Ma main disparut dans son sexe, je sentais sa jouissance arriver. Elle explosa au moment où je plaquais ma bouche sur son sexe, son nectar était presque aussi abondant que celui d’Anne. Me gardant de tout avaler, je me relevais pour embrasser Emilie et lui faire goûter sa propre jouissance. Puis je me mis sur elle et appuyais mon sexe sur sa bouche, Emilie me lécha sous toutes les coutures, sa langue entrait en moi, ses dents mordaient mes lèvres, sa bouche aspirait mon clitoris. Lorsque je plongeais à mon tour entre ses cuisses l’orgasme me terrassa. Après, quelques instants, je la détachais. Emilie m’embrassa. La journée ne faisait que commencer.
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