Mais nous avions tous les deux des problèmes de couple ; son amant ne la baisait plus et ma femme était peu portée sur les chose du sexe de sorte que nous étions tous les deux frustrés par notre vie sexuelle alors que nos caractères sensuels nous inclinaient au contraire à des désirs forts et répétés.
Nos retrouvailles furent donc naturellement consacrées au sexe et nous nous ébattions régulièrement dans un hôtel discret six à sept fois par an où nous profitions d’après-midi libres pour baiser sans retenue.
Au fur et à mesure de nos ébats nous allions plus loin dans nos désirs et dans la connaissance de nos préférences amoureuses.
P adorait être longuement léchée et caressée et avait accepté avec le temps d’être sodomisée appréciant à tel point cette pratique qu’elle finissait elle même par la suggérer.
Elle adorait aussi me sucer et me lécher longuement partout, excellant dans la feuille de rose et le doigtage anal dont elle savait que j’appréciais la pratique au moment opportun.
Avec elle j’étais un amant endurant et pouvait la prendre pendant de longs moments sans difficultés. Elle adorait se retenir le plus longtemps pour jouir et criait sans réserve sa jouissance au moment de l’orgasme au point que j’avais souvent droit à des sourires convenus de l’hôtelière, habituée aux couples de passage mais manifestement impressionnée par la force de ses orgasmes.
Naturellement, les années passant nous aimions essayer d’ajouter du piment à nos pratiques somme toute assez banales et c’est elle qui introduisit de la fantaisie en me demandant de l’attacher pendant l’amour ou de me servir de son gode en l’enculant avec pendant que je la baisais. Elle aimait aussi que je me serve d’un bandeau qui lui cachait mes gestes osés.
Nous adorions aussi nous masturber l’un devant l’autre assis dans les fauteuils de la chambre connectés par nos pieds qui se caressaient. Elle se livrait devant moi à ces moments à des gestes impudiques ponctués de paroles osées exprimant ses désirs frénétiques curieusement plus intenses que lorsque je la prenais.
C’est ainsi que naturellement nous en étions arrivés à parler pendant l’amour de nos envies de plus de sexe et de perversité.
Elle fantasmait sur l’amour en groupe avec plusieurs hommes et même femmes mais n’avais jamais accepté de venir avec moi dans un club échangiste où j’allais les soirs de spleen.
Je lui avais parlé de mes fantasmes de domination et de ma bisexualité lui parlant de mes quelques expériences avec des couples bi.
Elle savait aussi que j’adorais la voir se laver et uriner porte ouverte et pu constater que mon érection atteignait son apogée pendant ces moments mais n’avait jamais osé aller plus loin.
Or un soir elle m’appela exceptionnellement chez moi déprimée après une scène pénible avec son compagnon et m’invita à la rejoindre dans un bar de son quartier car elle avait envie de me parler et de me toucher. Ma femme était partie pour le week-end chez des amis et j’étais heureusement seul et ravi de cette surprise.
Je passais une heure à boire avec elle des tequilas frappées et elle m’invita pour la première fois à venir chez elle car son ami était parti également.
Elle me glissa à l’oreille pendant que nous montions les quatre étages qui menaient à son logement qu’elle avait des idées très coquines et une surprise pour moi.
Elle me demanda de me déshabiller et de l’attendre nu sur le lit pendant qu’elle se préparait ; Elle m’interdit de chercher à la regarder avant qu’elle m’y autorise.
Emoustillé je jouais le jeu et quelques minutes plus tard elle entra dans la pièce vêtue d’une combinaison de latex noire qui laissait sortir ses seins et était ouverte entre ses cuisses.
Elle avait épilé son sexe et mis des bracelets et tenait en main une petite cravache et un collier de cuir elle portait également une ceinture en cuir clouté à laquelle étaient attachées des menottes et un gode ceinture noir en latex. Son visage était dissimulé derrière un loup de soie noire et elle me dit :
– Ce soir tu es ma salope de service et tu feras ce que je veux !
Ma queue déjà raide à l’idée de nos ébats durcit encore en entendant sa voix. Elle s’approcha du lit et me passa le collier pour l’attacher à mon cou pendant qu’elle effleurait ma queue du bout de sa petite cravache. Ses gros seins fermes bandaient tétons érigés, preuve de son évidente excitation.
Elle passa les menottes et les fixa au montant gauche du lit en s’asseyant sur mon ventre frottant ses jolies fesses en pomme contre mon gland.
Elle se retourna et posa ses fesses et son sexe sur mon visage en m’ordonnant :
– Allez lèche-moi avec application ou je te cravache !
Et elle m’infligea deux coups secs pas trop forts sur le ventre à la limite du pubis. Je m’appliquais et rentrais ma langue dans ses lèvres déjà trempées la faisant onduler sous les assauts de ma bouche qui ne négligeait pas, bien sûr, son petit anus palpitant que je découvris enduit de gel.
Elle sortit de la combinaison un lacet de cuir noir avec lequel elle attacha mes couilles gonflées et la base de mon sexe en serrant pour renforcer mon érection mais sans jamais toucher vraiment ma queue qui attendait ses caresses avec impatience.
Je dus la lécher pendant au moins un quart d’heure pendant qu’elle griffait mon ventre, mes couilles et mon torse tout en se masturbant furieusement au point qu’elle jouit intensément m’inondant de sa mouille dont j’adorais le goût. Elle se releva et remonta mes cuisses pour cravacher mes fesses et mes couilles en me disant que j’étais une chienne à sa merci et qu’elle allait m’enculer car je méritais ses hommages.
Elle exigea que la supplie de m’enculer ce que je fis avec joie.
Elle fixa le gode ceinture dont un bout double lui entrait dans le vagin et m’enduisit l’anus et le sexe abondamment de gel. Elle en mit sur la verge noire et m’ouvrit l’anus avec ses doigts en rentrant un puis deux puis trois étonnée de la souplesse de mon cul offert sans pudeur à ses mains.
L’excitation montait et une odeur de mouille forte remplissait sa petite chambre. Elle me dit que la veille elle s’était masturbée en imaginant qu’un autre homme m’enculait pendant qu’elle le godait. Tout en me doigtant elle me dit que la prochaine fois elle amènerait un autre homme pour me baiser. Ma queue était tendue à mort et mes couilles gonflées mais curieusement je me retenais sans mal car elle évitait de me toucher trop voulant prolonger mon plaisir ; Elle appuya le gland contre mon anus et poussa doucement en gémissant ; le gode rentra sans peine et elle commença à me baiser en gémissant, mes cuisses relevées sur ses épaules ; elle se penchait sur moi et me pinçait les tétons ou frottait ses seins contre mon torse en me traitant de tous les noms.
Après quelques minutes de ce traitement elle ressortit de mon cul et s’assis sur ma queue en s’empalant gode à l’air enduit de gel et des fluides de mon cul tout en me doigtant l’anus elle cria et jouit au moment où n’y tenant plus j’éjaculais en elle avec un force que j’avais oubliée. Elle resta ainsi couchée sur moi puis se détacha, me détacha et s’assit sur mon ventre en exigeant que je suce le gode pour le nettoyer ce que je fis sans pudeur pendant qu’elle me pinçait les seins.
Elle me prit par la main et m’entraîna dans la salle de bains ou elle m’ordonna de m’allonger sur la baignoire puis s’accroupissant à hauteur de mon torse toujours avec son gode fixé à la taille elle pissa sur mon visage pendant que j’avalais ce que je pouvais de son jet puissant.
Nous étions en sueur et elle fit couler la douche sur nous tout en caressant mon sexe qui avait déjà repris de belles dimensions tant l’excitation était forte. Je lui dis que je voulais l’enculer immédiatement et elle courut encore mouillée sur le lit en ôtant le gode ceinture et sa combinaison à quatre pattes, cul relevé, doigts dans la chatte.
Je lui bouffais le cul avec avidité tout en l’enduisant du gel laissé sur le lit et l’enculais sans ménagement pendant qu’elle hurlait son plaisir trois doigts dans la chatte pinçant son clito alors que je lui claquais les fesses tout en la besognant.
Je ne mis pas longtemps pour lâcher des jets abondants dans son cul que je m’empressais de recueillir après m’être retiré en lui léchant l’anus.
Nous nous allongeâmes fourbus mais ravis par cette séance mémorable.
Cette manie qu’on certains de désigner leur partenaire par leur seule initiale à le don de m’énerver.
C’est si difficile que ça de choisir un prénom fictif. Patricia ou Pimprenelle c’est quand même moins impersonnel que P. Non ?