L’Education de Coralie par Willox

Coralie…

Cela faisait 10 ans maintenant que je n’étais pas revenue voir ma famille.
Mes études supérieures m’avaient éloigné d’eux et je me faisais une grande joie de les revoir.
Depuis que j’avais quitté cette autoroute et que je roulais vers le village, je regardais le paysage défiler et les pensées commençaient à me revenir en mémoire… .
Je me revoyais 10 ans auparavant arriver devant cette ferme tomber dans les bras de mon oncle et de ma tante Alice et de doux et merveilleux souvenirs m’envahirent l’esprit…
N’était ce pas là et avec elle, que j’avais découvert l’amour… .

« J’allais enfin partir en vacances… j espérais bien que pendant ce séjour chez ma tante te mon oncle que je pourrais tout oublier… ma première déception amoureuse, ma première dépression nerveuse, mes mauvais résultats scolaires résultats des deux premières réunies, la ville, la pollution, « tout, tout, tout ce qui avait fait de la belle adolescente de 17 ans, pleine de vie, riante, capricieuse comme toutes les jeunes filles de son âge, une petite fille pâlichonne, triste et qui n’arrêtait plus de pleurer
Maman venait d’avoir son frère et ma tante Alice au téléphone et ils étaient d’accord pour que je vienne passer toutes les vacances d’été avec eux, dans le village où j’étais née.

Je savais que maman était triste de me laisser pendant deux mois seuls, mais je pense que cet éloignement ne pouvait nous faire que du bien à toutes les deux.
Maman était divorcé depuis huit ans maintenant et n’avait jamais voulu se remarier. Elle tenait avec moi le rôle de père et de mère, et comme dans toutes les familles, il y avait ce conflit de génération qui faisait qu’en permanence nous n’étions d’accord sur rien et nous vivions depuis quelque temps une vie assez tendue entre nous deux.
De plus j’étais heureuse de revoir ma famille et tous les petits copains qua j’avais eu à l’école primaire.
Je n’avais qu’un vague souvenir de ma famille, je venais juste d’avoir huit ans quand nous somme parties maman et moi. Je me rappelle que mon oncle ressemblait beaucoup à maman, alors ! Par contre je revois bien ma tante Alice avec ses grands cheveux dorés et ses yeux bleus. Elle était vraiment très belle, et j’espérais la retrouver comme telle.
J’ai toujours eu envie de lui ressembler, je voulais en grandissant avoir le même corps qu’elle, les cheveux et les yeux comme elle, moi qui était complètement le contraire …brune et yeux noirs.
Cette fois le grand jour était enfin arrivé, les valises étaient prêtes et demain nous serons dans ma famille en vacances. Deux mois ! Deux mois à ne penser à plus rien, sauf à mon plaisir

Ils étaient là tous les trois à nous attendre devant le portail de leur maison
Le premier à venir nous saluer a été le chien. Il était vraiment très beau, et je ne suis pas sûre, mais il me semble bien que c’était un beauceron …il était vraiment impressionnant. Il n’arrêtait pas de nous faire des fêtes et de nous tourner autour en nous fouettant avec sa queue.

– Hercule ! assez, assis ! laisse les rentrer, tu as tout le temps de t’amuser avec elle, maintenant laisse moi les embrasser.

Mon oncle avait été obligé de calmer le chien tant il était tout fou autour de nous. Et en me tendant les bras…

– Bonjour Caroline ! comment vas tu ?… regarde Alice comme elle belle ! quand tu es partie du village, tu étais toute malingre et tu nous reviens en vraie jeune fille, bravo ma sœur, tu as fait une très belle fille

Je devais certainement être rouge de confusion avec tous les compliments qu’il me faisait, mais je ne l’écoutais pas… je n’avais des yeux que pour ma tante qui était encore plus belle qu’avant. Depuis toute petite, j’avais toujours été attirée par elle, par cette beauté qu’elle dégageait et encore plus aujourd’hui, quand elle m’a prise entre ses bras et que j’ai senti son souffle et ses lèvres contre ma joue.

– Bonjour ! C’est vrai ce que dit ton oncle ! Tu es vraiment resplendissante… un vraie jeune fille. Dis donc ! Tu n’as pas fini de faire tourner la tête de tes anciens petits copains, même la tête des autres tu sais. Regarde ! Même Hercule tu lui fais tourner la tête, il n’arrête pas de faire le fou

Je ne sais pas si elle l’a fait exprès ou non mais quand elle m’a embrassé, j’ai senti ses lèvres se poser pratiquement sur les miennes. C’était quasiment un baiser qu’elle venait de me donner et de sentir la fraîcheur de sa bouche contre la mienne, je n’ai pu refouler, ni cette sensation de chaleur qui commençait à se déclencher en moi, ni les frissons qui venaient de recouvrir mon corps. Elle m’avait bien senti trembler contre elle.

-Tu as froid ! C’est sûrement le voyage, la fatigue… allez rentrons, nous serons mieux à la maison pour discuter …ça va tu te sens mieux.
– Oui ! Merci tante Alice, tu as raison, c’est sûrement le voyage.
-Appelle moi Alice ! Tante ça fait vieille. D’accord
-Oui Alice

Le dimanche s’est déroulé dans une très bonne ambiance. Maman était heureuse de revoir son frère et de reparler du bon vieux temps. Hercule était allongé sur le tapis du salon aux pieds de ma tante et moi j’étais assise en face d’elle en essayant de capter son regard, mais je crois bien que je m’étais faite des illusions en ce qui concernait le baiser d’hier… elle ne l’avait certainement pas fait exprès, et c’est certainement mon côté un peu lubrique m’avait fait croire que…
Toute la journée je n’ai cessé de penser qu’à ce moment où elle m’avait embrassé en me disant bonjour et mon cœur de jeune fille qui après avoir été complètement vidé par cette déception amoureuse, recommençait à se remplir d’amour pour elle. Je devenais complètement folle ! Je devenais amoureuse de ma tante
Dans ces regards que je lui envoyais, je voulais qu’elle comprenne, je voulais qu’elle me parle, qu’elle me reprenne dans ses bras, je voulais sentir son corps contre moi.

– Tu viens avec moi Coralie… . On va les laisser ensemble tous les deux, ils ont tellement de chose à se dire. Je vais te faire voir ta chambre et te faire visiter le reste de ton nouveau chez toi.

Elle avait enfin comprit, et main dans la main, accompagné d’Hercule qui ne quittait jamais sa maîtresse, elle m’emmena voir ma chambre.
J’étais aux anges, je sentais les battements de nos deux cœurs entre nos doigts et je ne sais pas à combien battait le sien mais le mien résonnait comme un tamtam contre ma poitrine, très fort… Il battait si fort que j’avais la sensation qu’il allait sortir de ma poitrine.

-Voilà ta chambre … ! Elle te plait? Elle est juste à côté de la nôtre, comme ça tu n’auras pas peur d’être seule. En plus Hercule dors toujours devant la porte de ma chambre, comme ça tu seras plus tranquille. Alors elle te plait ?

– Merci Alice, mille fois merci ! Si tu savais le bonheur que vous me donnez tous les deux… et toi, si tu savais… Dis moi pour tout à l’heure ?
– Chut… Ne dis rien, je sais que je n’aurais pas du. Qu’est ce que tu vas penser de moi maintenant ?
– Rien ! bien au contraire… Alors, c’est vrai ! Hier, je, ne me suis pas trompée…, ’c’est bien un baiser que tu m’as donné ! Pourquoi ?
– Je ne sais pas ! Ta jeunesse, ta beauté, toi…J’ai fait sûrement une bêtise et maintenant c’est trop tard pour le regretter.
– Non ! J’ai beaucoup apprécié tu sais. Je ne sais pas si c’est bien, mais je me sens bien avec toi. Tu crois que c’est mal ?
– Il ne faut pas qu’on aille plus loin, je n’ai pas le droit, tu es ma nièce, enfin celle de ton oncle et tu es beaucoup trop jeune. Surtout, je ne veux pas te faire du mal, je ne veux pas que tu souffre après…tu me comprends ????

J’ai cru mourir quand elle m’a dit ça. J’avais la gorge pleine de sanglots et les yeux remplis de larmes.

– Pourquoi ?
– Arrête, je t’en prie ! Arrête de pleurer… il faut que tu me comprennes ! Oh et puis zut ! On verra bien

Et cette fois, c’est moi qui lui ai déposé un baiser furtif sur la bouche.

– Merci… je crois bien que je suis amoureuse de toi.
– Tu es folle, mais çà me fait plaisir… regarde Hercule comme il nous regarde toutes les deux, tu vois comme il t’a adopté, il aime toutes les personnes que j’aime et qui m’aiment.
– C’est toi qu’il regarde surtout… . Il te mange des yeux ! Il me donne même l’impression d’être comme moi… il est amoureux de toi

Cette fois, c’est moi qui l’ai senti trembler contre moi, à peine perceptible, mais un tremblement quand même que j’ai ressenti jusque dans sa voix.

-Oui, c’est vrai ! Nous sommes complètement indissociables tous les deux, mais tu verras, à force de te voir et si tu t’en occupes bien il fera avec toi comme avec moi.
– C’est vrai ! En plus j’adore les chiens, on va pouvoir faire des grandes ballades tous les deux. Si tu as le temps, tu viendras avec nous !
-Bien sur ma chérie, je serais très heureuse de venir avec toi… . Avec vous… allez ! On continue la visite… tu vois ma chambre est juste à côté de la tienne. Comment tu la trouves ?
– Très belle, j’espère que vous ne faites pas trop de bruit avec l’oncle ! Et que vous me laisserez dormir tranquille

Même à son âge, elle ne put empêcher de rougir

– Que tu es bête… nous sommes des vieux maintenant tous les deux, et comme il est souvent absent…tu vois on ne risque pas de te réveiller. Et puis…
– Je t’ai fait de la peine ! Excuse moi, je ne voulais pas te froisser.
– Ce n’est pas grave, mais je ne voudrais bien qu’entre nous, le nom de ton oncle ne soit pas prononcé, D’accord !
– Oui, je suis d’accord et encore une fois je te demande pardon
– Bon, la c’est mon bureau, et il y a même internet. Tu peux si tu as envie, te connecter avec tes amies. Je te donnerais mon code, comme ça tu es sûre de ne pas aller sur les dossiers de ton oncle.
– Dis ! Je pourrais venir dormir avec toi dans ton lit, quand mon oncle ne sera pas là ?
– On verra ! Allez, viens on redescend maintenant, ils vont se demander où nous sommes passées toutes les deux et qu’est ce que nous pouvons bien faire ensemble.

Avant de ressortir de son bureau, elle me prit encore une fois entre ses bras et en me serrant très fort contre elle, posa de nouveau sa bouche contre la mienne en prenant bien soin d’ouvrir mes lèvres avec sa langue pour aspirer la mienne avec volupté.
Je n’avais jamais été embrassée de la sorte, même avec mon ex copain, ce n’était que petits baisers furtifs, mais alors là, j’étais complètement sur un nuage.

– Attends je vais me changer et je vous rejoins.

J’étais là devant la glace de la salle de bains, après m’être recoiffée et en train de penser tout ce qui venait de m’arriver en si peu de temps.
En une demie heure je venais de reprendre goût à la vie, avais oublié tous mes petits soucis, avais oublié mon ex comme s’il n’avait jamais existé et j’étais de nouveau amoureuse. Amoureuse de ma tante, je savais que ce n’était pas normal, mais je m’en foutais royalement. Je voulais vivre çà, je voulais qu’on m’aime pour ce que j’étais, pour moi et je savais, je sentais que ma tante allait me donner cet amour et peut être plus encore. Je n’avais que 18 ans et je voulais tout prendre ce qu’elle me donnerait et accepterais tout ce qu’elle me demanderait.
Maman et mon oncle était toujours dans leurs souvenirs, Alice avait repris la place qu’elle avait tout à l’heure avec Hercule toujours allongé à ses pieds

– Alors ma chérie… . À ce qui paraît, ta chambre est belle ! Alice vient de nous dire que tu avais beaucoup aimé ! Je suis certaine que tu vas te plaire ici. Ton oncle me propose de venir vous rejoindre à la fin du mois.
Je suis contente, car deux mois sans te voir vont me paraître une éternité

– Ne t’en fait pas maman, tout va bien se passer, tante Alice est adorable avec moi,

En disant çà, je fixais ma tante droit dans les yeux pour qu ‘elle comprenne exactement ce que je ressentais en ce moment
– Je sais trésor, tu verras, nous nous entendrons bien toute les deux. Au fait, demain matin nous ne serons pas là ton oncle et moi. Lui il part en déplacement pour pratiquement toute la semaine et par la même occasion il déposera ta maman chez elle, et moi j’ai des choses à régler en ville. Je ne sais pas à quelle heure je rentrerais, mais ne te fais pas de souci, je serais de retour dans la journée, et de toute façon tu n’es pas seule, Hercule reste avec toi. Après nous avons toute la semaine devant nous. Nous serons toutes seules et crois moi, on aura bien assez de quoi nous occuper toutes les deux…

De nouveau mon cœur recommençait à battre la chamade contre ma poitrine… , elle venait de faire comprendre que nous allions être toutes les deux pendant toute la semaine et que… …

Vivement demain que tout le monde soit partie et que je sois seule avec ma tante… .

La nuit allait être encore longue jusqu’à demain……

Déjà 10 heures du matin !

Mon dieu quelle tête ! Toute la nuit, j’ai tourné, viré dans ce lit à chercher le sommeil. Je n’avais fait que penser à elle, à ce qu’elle m’avait dit hier après midi, à cette situation où nous nous mettions elle et moi.
Je l’aimais et je voulais qu’elle m’aime. Je voulais qu’elle me fasse découvrir l’amour, tout ce que je ne connaissais pas et que j’avais envie de connaître maintenant. Je savais que ce que nous allions faire était illicite et contre nature, mais la perversité qui commençait à s’installer en moi faisait que je ne pouvais pas me résoudre à abandonner cette idée. Qu’est ce qui m’avait prise de m’amouracher d’elle, je savais que cela nous amènerait à rien et que je serais encore plus malheureuse qu’en arrivant, mais c’était plus fort que moi je voulais vivre cette expérience, vivre cet interdit

Je n’ai fait que penser à çà une bonne partie de la nuit et l’autre partie de me caresser à entendre ma tante gémir pendant que mon oncle lui faisait l’amour.
Pourtant elle m’avait bien dit hier après midi, « que soit disant ils étaient trop vieux pour faire ces choses là » et pourtant elle s’en donnait à cœur joie et ne faisait rien pour que je l’entende pas. Elle savait que j’étais à côté et que j’entendais ses gémissements et je ne sais pas si elle faisait exprès de faire tout ce tapage pour m’exciter, mais si c’était le cas et bien elle avait réussi
Pendant tout le temps de leurs ébats je n’ai cessé de me caresser tellement j’étais excitée et malgré la jalousie que je ressentais envers mon oncle de ne pas être à sa place, je l’imaginais sous lui, les cuisses largement ouvertes pendant qu’il la clouait avec son sexe et quand j’ai entendu le feulement qui montait de sa gorge et le cri de jouissance sortir de sa bouche, j’ai du me mordre les lèvres jusqu’au sang pour qu’elle ne m’entende jouir en même temps qu’elle.
Dans l’état d’excitation où j’étais, je n’ai du réussir à m’endormir que vers 5 heures ce matin après avoir entendu maman et mon oncle partir, d’ou la tête que j’avais
Alice m’avait laissé un mot sur la table.

« Bonjour trésor, j’espère que tu as passé une bonne nuit, moi je n’ai pas trop bien dormi et j’ai beaucoup pensé à nous…tu trouveras tout ce que tu as besoin pour déjeuner dans le placard. Surtout n’oublie pas de faire sortir Hercule pour qu’il puisse faire ses besoins… je t’embrasse. Ne m’attends par pour déjeuner, je ne sais à quelle heure je rentrerais. Je te donne mon code pour le pc, si tu veux écrire à tes amis. Gros bisous, je t’aime.

Quelle garce ! Voilà qu’elle faisait de l’ironie maintenant. Elle avait mal dormi et avait pensé à moi. Bien sur ! Sûrement quand elle était en train de jouir sous mon oncle
Je la déteste !
Hercule tournait entre mes jambes… il avait envie de sortir.

– Allez ouste toi ! Dehors, va te promener, je laisse la porte ouverte comme ça tu fais comme tu as l’habitude de faire.

Le pauvre, il n’y était pour rien et j’étais après me venger sur lui alors que c’était elle la fautive de ma mauvaise humeur et pour me faire pardonner je me suis penchée vers lui pour lui faire un petit câlin. Par ce fait, je me suis retrouvée avec ma chemise de nuit trop courte au dessus des reins, son museau contre ma culotte, et sa truffe qui me reniflait, collée entre les cuisses et j’avais beau gigoter pour essayer de le repousser, lui avec la force qu’il avait et sûrement à cause des mouvements que je faisais en me débattant, était arrivé à infiltrer sa truffe entre ma culotte et mon sexe.
Je me trouvais dans une position complètement grotesque d’où je ne savais plus s’il fallait ne plus bouger pour ne pas qu’il aille plus loin avec son museau ou s’il fallait que je me laisse aller car la sensation que j’éprouvais en ce moment, au contact de sa truffe froide contre la tiédeur de mon sexe, était à la limite de me faire défaillir tellement c’était bon.

-Non ! Hercule arrête, laisse moi tranquille !

Il était temps que je réalise que j’étais en train de faire une chose qui est impossible entre un humain et une bête et malgré le plaisir qui commençait à naître ne moi, cette fois c’était trop, je ne pouvais aller plus loin.
Je me suis écartée de lui avec beaucoup de regrets je dois bien l’avouer, avec dans le ventre la même sensation que j’avais éprouvé lors de mon premier et dernier rapport sexuel avec mon ex petit ami. Je n’avais pas réussi à jouir et aujourd’hui, c’est exactement la même chose qui m’arrivait. J’étais frustrée !voilà ce je ressentais en ce moment
Il était temps que je me relève, sinon, c’est avec la truffe du chien entre mes cuisses qu’Alice nous aurait surpris tous les deux.

Je venais juste de repousser le chien et remis de l’ordre dans mes vêtements quand ma tante est arrivée, et aux yeux rieurs qu’elle avait, je voyais bien qu’elle se doutait, que quelque chose s’était passée entre le chien et moi.

– Bonjour trésor, alors je vois que vos avez commencé à faire connaissance tous les deux… il n’a pas été trop embêtant avec toi j’espère, car je le connais… aussitôt qu’il y a des gens à la maison, il faut qu’il fasse l’intéressant.
– Non, je t’assure… il a été très sage… mais en lui disant ça je sentais mes joues rougir de honte. Non, non ! Je t’assure qu’il ne m’a pas ennuyé… enfin, si un petit peu mais ce n’est pas grave.
– Tu es sure ? Il ne t’a pas fait de mal au moins
– Non je t’assure voilà ! Je me suis penchée vers lui pour le caresser et je ne sais pas ce qui c’est passé. J’avais ma chemise de nuit un peu trop relevée sur le haut de mes cuisses et le temps que je réagisse et que je prenne une autre position, il avait collé son museau contre ma culotte. Et moi que veux tu que je fasse ! J’avais peur de sa réaction. J’avais beau essayé de le repousser avec mes mains et à force de gigoter et bien il a réussi à passer sa truffe entre ma culotte et mon sexe. Quelle honte, je t’assure, mais j’ai quand même réussi à me relever. Mais ne le gronde pas, il n’y est pour rien, j’avais qu’à faire attention et à m’habiller correctement.

Je n’osais plus la regarder en face et il fallait que je trouve une sortie, sinon je suis sûre qu’elle aurait réussi à me faire dire ce qui s était passé avec le chien, je me demande bien ce qu’elle aurait pensé de moi.

-Excuse moi, je monte prendre ma douche… . À tout de suite.

J’étais dans la douche, en train de me déshabiller, quand la porte s’est ouverte pour laisser passer Alice complètement nue. Elle était d’une beauté affolante

-Tu veux bien que je prenne une douche avec toi ?

Il m’était impossible de lui répondre, tant mes yeux étaient hypnotisés par son corps et j’avais beau essayer de la regarder, je ne pouvais pas détacher mon regard de ses seins et de son ventre.

-Alice ! Mon dieu comme tu es belle !
– prends moi dans tes bras je t’en prie je suis tellement malheureuse. Hier, tu m’avais dit que toi et ton mari vous étiez trop vieux… . Et cette nuit… j’ai tout entendu…
– Oui je sais, je n’aurais pas du, ou j’aurais du attendre que tu t’endormes. Mais j’avais envie de faire l’amour, j’étais très excitée après nos échanges d’hier et je voulais oublier cette folie qui était en train de s’emparer de moi. Je voulais t’oublier mais hélas je ne l’ai pu. Je n’ai pas pu m’empêcher de penser à toi et ce n’est pas lui qui m’a fait jouir ! C’est ton image, ton corps, l’envie de t’avoir contre moi qui m’a fait hurler de plaisir.
-Moi aussi, je me suis caressée aux rythmes de tes gémissements et j’ai attendu que tu jouisses pour jouir avec toi. Regarde mes lèvres dans l’état où elles sont à force de les avoir mordues pour ne pas crier plus fort que toi et avant que je puisse finir ma phrase, sa bouche était sur la mienne, ses lèvres collées aux miennes, nos deux corps tendrement enlacés
– Je ne sais plus où j’en suis et ne comprends pas encore ce qui m’arrive… explique moi, j’ai peur, peur des conséquences, d’être trop malheureuse quand je vais repartir.

Une de ses mains me caressaient le dos pendant que l’autre écartait les lèvres de mon sexe et me caressait le clitoris et pour la première fois de ma vie, j’ai senti un immense plaisir monter de mon ventre et une grande chaleur envahir mon sexe.
J’étais là toute tremblante entre ses bras, les cuisses complètement écartées pour que ses doigts puissent me fouiller le plus loin possible. J’avais déjà fait l’amour, mais jamais au grand jamais je n’avais ressenti un plaisir aussi intense me ravager le ventre. Je savais ce que le mot jouir voulait dire pour une femme pour l’avoir tant de fois entendue, mais je n’avais encore jamais joui de ma vie et je ne connaissais pas cette sensation décrite par toutes ces femmes.

-Oh oui ! C’est bon… c’est la première fois…c’est la première fois que je vais jouir, je sens ton ventre contre le mien et tes doigts qui me pénètre!… caresse moi encore je t’en prie ……apprends moi l’amour
-Oui mon trésor, je vais t’apprendre l’amour, je vais faire de toi une vraie femme, je vais tout t’apprendre. Tu veux bien ?

Moi je n’écoutais plus ce qu’elle me disait ! Je ne pensais qu’à ce doigt qui me masturbait le clitoris et aux autres qui me caressaient les lèvres. Je sentais quelque chose qui venait du fond de mon ventre et quand elle a enfoncé les doigts dans mon vagin, que je me suis mise à trembler comme un feuille et à crier comme une folle, cette fois j’ai compris ce que le mot jouir voulait dire. Je m’étais souvent caressée le soir dans mon lit, j’avais éprouvé du plaisir, mais jamais, je n’étais parvenue à jouir.
Et ce doigt qui n’arrêtait pas de me caresser !
Et mon ventre qui n’arrêtait pas de couler entre ses doigts !
Et mes jambes qui n’arrivaient plus à me retenir tellement mon corps tremblait de jouissance que je me suis retrouvée à genoux devant son ventre et mes lèvres collées contre son sexe pendant que ma bouche prenait possession de son clitoris.

J’étais vide ! Je venais de jouir entre ses bras, sur ses doigts.
Je voulais la goûter moi aussi et je me surprenais moi même de l’audace que j’avais. Je n’aurais jamais cru la non plus que je puisse embrasser et aimer le sexe d’une femme. Mais j’avais encore envie d’elle et je voulais lui donner du plaisir moi aussi.
Elle sentait bon, son sexe avait un goût de miel et avec la force qu’elle avait de me tenir la tête appuyée contre son sexe, à la cadence que son ventre venait à l’encontre de ma langue, je savais qu’elle n’allait pas tarder de jouir elle aussi.
Je m’en voyais pour respirer, mais j’étais heureuse de la sentir jouir contre ma bouche. Je voulais m’imprégner de son jus et de son odeur.

Cette fois je n’en pouvais plus.

– C’est bon !c’était trop bon… . Je t’aime Alice. Je suis à toi, toute à toi. J’en veux encore ! Je veux que tu me fasses tout connaître hein ! Tu m’as promis !
– Je ne sais pas si tu iras jusqu’au bout de tout ce que je veux te faire connaître, mais si tu es d’accord, je te promets de tout t’apprendre. Tout, absolument tout.
– D’accord… . , je ferais tout ce que tu voudras et tu feras tout ce que tu veux avec moi, je te promets.
– Allez, va te changer maintenant, je t’attends en bas

Je venais de jouir pour la première fois et avec une femme en plus
Voilà ce que j’étais en train de me dire en me douchant. J’étais amoureuse de ma tante… je ne sais pas ce que la suite des vacances allait me réserver, mais pour le moment elles commençaient bien.
Je ne savais pas non plus ce qu’elle avait voulu dire par « tout connaître «, et ne voulais pas essayer de comprendre, je voulais seulement qu’une chose… je voulais être aimée et aimer… .
Et j’allais faire en sorte que cela se fasse dans cet ordre

Après m’être changée, je suis redescendue au salon. Elle était assise sur le sofa, le téléphone dans une main, me regardant bien dans les yeux pour me bien faire comprendre que nous venions de sceller quelque chose de très important entre nous, un de ses pieds caressant le ventre d’Hercule pendant que lui, lui léchait le mollet avec tellement de passion qu’on aurait dit qu’il la dégustait.
Plusieurs fois il a été question de moi dans la conversation et chaque fois qu’elle prononçait mon prénom elle me faisait un coup d’œil.

– Tu étais avec mon oncle ? Il te demandait si j’allais bien ?
– Non ma chérie ! J’étais avec Delphine ma meilleur amie et quand tu es descendue, nous étions justement en train de parler de toi.
– Ah bon !pourquoi de moi ? Je ne la connais pas et elle non plus !
– C’est vrai ! Mais je lui ai dit qui tu étais et que tu étais en vacances pour deux mois chez nous. D’ailleurs tu vas faire sa connaissance car je l’ai invitée pour jeudi, elle arrive mercredi soir et elle dort ici. Ca ne te dérange pas au moins ?
– Moi ! Non pas du tout et tu es chez toi, tu peux bien inviter qui tu veux.

Moi j’étais bien, le ventre apaisé et le reste je m’en balançais. La seule chose qui m’importait maintenant, c’est qu’elle veuille bien commencer à m’apprendre l’amour, tout l’amour comme elle me l’avait promis tout à l’heure.

Les deux jours qui précédèrent l’arrivée de son amie Delphine, je les passais à me promener avec Hercule, en prenant bien soin de ne pas me faire surprendre par lui comme l’autre fois. , mais en regrettant quand même de ne pas avoir profiter de cette langue. Surtout maintenant… depuis que je l’avais vue lécher le mollet d’Alice et d’avoir vue cette langue qui remontait le long de sa jambe et le plaisir qu’elle avait à se laisser faire, je regrettais vraiment de pas être allée plus loin l’autre fois. Comme elle devait être douce. . Et longue.

Comme celle qu’il avait en ce moment tellement il avait couru et qu’il avait chaud.

Je devenais complètement folle ! Voilà que je me mettais à avoir des sensations dans le ventre en pensant à çà. Ce n’est pas possible, je n’avais pas envie qu’il me lèche là dans ce champ ! Je n’allais quand même pas m’assoire ici, baisser mon jeans et écarter ma minette pour qu’il y mette son nez comme la dernière fois… et pourtant, c’est ce que j’étais en train de faire.
Je me suis installée derrière un gros buisson pour que personne ne nous aperçoive et pendant qu’il fourrageait avec sa langue entre mes cuisses, je maudissais ce jeans qui m’empêchait d’écarter les jambes au maximum et en me jurant maintenant de ne mettre que des jupes de façon à ne pas avoir à me déshabiller et être prête quand j’en aurais envie.
Car j’avais envie de cette langue. Mon dieu le bien qu’elle me faisait. Il me barbouillait le sexe avec et je sentais sa bave me couler entre les fesses. Je n’avais rien pour m’essuyer mais je n’en avais cure. Je partirais comme ça avec le sexe et les fesses toutes mouillées. Pour le moment je ne pensais à rien d’autre qu’à cette truffe froide contre mon sexe et cette langue qui n’en finissait pas de m’écarter les lèvres pour aller plus au fond chercher ma mouille et qui me faisait jouir.

J’avais le clitoris et les lèvres tellement sensibles qu’à chaque coup de langue, mon corps était secoué par le plaisir et je sentais mon sexe exploser et ma mouille couler en abondance sur sa langue.
Comment avais je pu en arriver là ? J’étais venue pour me reposer et être au calme, et depuis deux jours je n’arrêtais pas d’avoir envie de faire l’amour et maintenant j’étais après me faire bouffer la minette par un chien.

J’étais sur un nuage et quel bonheur. Je commençais à vivre dans la débauche la plus complète et je jouissais de cette situation.

-Ah non ! Tu me lâches maintenant, laisse ma jambe tranquille. Je ne suis pas une chienne quand même.

C’est de le sentir accroché après ma jambe et le voir se masturber contre elle, qui m’a fait redescendre sur terre.
Quel dommage, j’étais bien mais il fallait rentrer et qu’on se dépêche car c’est ce soir que la copine de ma tante arrivait

Maintenant, je savais que toutes les fois où je me trouverais seule avec le chien, je n’hésiterais plus à relever ma jupe, à enlever ma culotte pour me faire brouter la chatte. J’avais trop aimé et je me disais que la prochaine fois je me mettrais à quatre pattes pour sentir sa langue entre mes fesses et le voir par en dessous me passer sa langue sur ma minette et la sentir glisser entre ma raie.
Entre ma culotte qui me collait entre les fesses, mon sexe en feu complètement trempé et le tableau que j’étais en train de m’imagier dans ma tête, j’avais encore envie de jouir mais il fallait que je me calme si je voulais avoir un tête à peu près présentable

Ma tante était pratiquement collée à elle quand j’entrai dans le salon.
Apparemment sans être gêné de sa position, elle me présenta Delphine, qui je dois bien reconnaître malgré la petite pointe de jalousie féminine que je ressentais tout de suite envers elle, je trouvais très belle.
Tout en parlant avec Alice, elle n’arrêtait pas de me regarder avec dans les yeux et dans sa façon de parler, quelque chose que je n’arrivais pas à définir mais qui m’attirait irrésistiblement vers elle. Je sentais que quelque chose était en train de se tramer entre elles deux, envers moi et je commençais à comprendre ce qu’Alice avait voulu me dire par « je ne sais pas si tu iras jusqu’au bout, mais si tu es d’accord, je te ferais tout connaître, tout »… On verra bien. Pour le moment j’avais sommeil

La soirée fut courte pour moi. Avec la journée que je venais de passer, je ne pouvais plus tenir les yeux ouverts et après qu’on se soit tendrement embrassées je rejoignis ma chambre.

C’est encore un cauchemar qui m’a réveillé en sursaut ou un bruit je ne sais plus.
Je n’avais pas l’habitude de la campagne et tous ces bruits insolites, me dérangeaient un peu je dois bien le reconnaître. Et puis j’avais soif…
C’est en allant à la cuisine et en passant devant la chambre de ma tante que j’ai compris que ce n’était pas un cauchemar qui m’avait réveillé mais bien un bruit insolite… . .

A suivre… .

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4 réponses à L’Education de Coralie par Willox

  1. barry dit :

    Un bon récit qui prend son temps, mais qui nous laisse en plan

  2. Stevimpouffe dit :

    intéressant, excitant et politiquement incorrect ! Quel dommage que la suite se soit perdue dans les limbes

  3. Hycker dit :

    belle histoire mais dommage que l’on ne puisse la lire totalement!

    • Eddy dit :

      Que voulez-vous, il y a toujours des gens qui vous envoie de belles histoires en vous promettant une suite qui ne vient jamais
      L’auteur semble avoir disparu de la circulation (et je n’ai plus son mail)

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