Tant va le Temps… Tant va le Cul… – D’une Chambrière… à l’autre par Verdon
– Mais qu’est-ce qu’elle a donc dans la tête ?
C’est la question que je me pose, depuis que mon épouse, m’a dit, l’autre jour, qu’elle voulait se payer une ‘chambrière’.
Une chambrière ?… Mais c’est quoi, une chambrière ?
Qu’est-ce que c’est une chambrière ? Ça sert à quoi ? Et c’est comment une chambrière ?
Aussi je suis allé voir le dictionnaire pour savoir ce que c’est qu’une Chambrière et voilà ce que j’ai trouvé :
Une Chambrière, c’est …
Soit,
Une femme de ménage (en vieux français),
Soit,
Un fouet à long manche et à longue lanière utilisé pour le dressage des chevaux !!!
Alors là, j’avoue que je suis tombé sur le cul !
Encore passe pour Femme de chambre. On en a déjà une, alors pourquoi pas, une deuxième ! (je rêve !). Je saurai toujours lui trouver de saines occupations. Ben oui, avec deux femmes de ménage… on ne doit pas s’ennuyer !
Allons donc pour la femme de ménage…
Mais le fouet !… Rose rechercherait un fouet ?
On n’a pas de cheval !
Qu’est-ce qu’on va en faire ?
Dresser quoi ?… Dresser qui ?
La dresser, elle !… Oups !
Non, ce n’est pas mon genre, je ne maltraite pas les Dames, je les aime vivement… c’est tout… Elle m’aime, c’est pour cela …
– Chéri, fais-moi mal !… (que ça lui arrive de dire cela… quand elle s’emballe, ma Rose !).
Ce n’est pas pour autant qu’elle est maso !… Ou alors c’est que je ne l’aime pas assez fort !…
Non. Donc ce n’est pas pour elle, non plus…
Mais alors j’ai un doute !…
Ce serait pour moi !… .Pff !…
Oh la salope !
Après toutes les bontés que je lui fais ! (puisque je vous dis que je ne suis pas bourrin… un tout petit peu… mais quand même !).
Alors, si j’abuse un tantinet, ce n’est pas une raison pour qu’elle compte débrider ses pulsions… sur mon patrimoine !
Je vais te prendre la chambrière en main et on va voir qui va faire le bourrin… sacrebleu !
J’te lui en mettrai de la chambrière… Moi !
Donc je suis dans l’attente de la concrétisation de son projet…
C’est que Rose, elle a de drôles d’idées, parfois.
Oui Rose c’est mon épouse, vous la connaissez, moi je suis Firmin. Rappelez-vous, je l’aime, je la bichonne je lui fais faire d’agréables rencontres, je la dérouille un peu et elle aime les fantaisies.
Là, j’ai l’impression qu’elle m’en prépare une bien bonne ! Attendons pour voir.
Je n’ai pas eu longtemps à attendre.
– Ça y est, chéri, j’ai trouvé la personne que je désirais.
– Ah, tant mieux, j’espère qu’elle te conviendra, mais j’ai hâte de la connaître et j’espère qu’elle ne sera pas trop effarouchée par nos petites gentillesses.
– Non, mais ne t’imagine pas qu’elle vient là, pour que tu lui fasses des gâteries…
– Oh, si elle vient dans la maison c’est pour notre service, et je compte bien… .
– Eh bien compte sur rien du tout… Je l’ai embauchée pour mon service, et toi, tu t’en brosseras … Et d’ailleurs tu as déjà Marinette, alors tu ne vas pas risquer une crise cardiaque avec deux Nanas sur le canapé, vilain vicieux !
– Je vais lui faire du rentre dedans et on verra bien !
– C’est tout vu. Et avec elle, tu ne feras pas le poids, mon minet !
– Minet ! Qu’elle me dit ! Pourquoi, c’est une grosse dondon, un épouvantail à moineaux ?
– Non, c’est une très belle femme… du genre ménagère… Certes un peu lourde !, oui même beaucoup lourde. Bien proportionnée, bien en chair, quoi… comme je les aime !
– Parce que tu chasses maintenant, chez les grosses matrones. Tu adorais jusqu’à présent, te perdre entre les fesses des messieurs plantureux et je vois que maintenant ce sont les Dames qui t’intéressent ! Tu as changé de style !
Pff… En tout cas, très peu pour moi, garde-la, ta dondon. Tu as raison, j’ai la Marinette ça vaut mieux pour ma santé…
Voilà donc, le partage est fait, avant même qu’on ait vu la marchandise. Mais j’attends avec impatience de voir arriver ce monument !
Oh, la vache !… Oups !…
Ah ben oui… C’est une belle Femme… .Oui, une belle… grosse femme !
Remarquez que je n’ai rien contre les dames opulentes, surtout quand elles sont belles. J’avoue qu’elles ont un côté très attirant (surtout quand on les voit de dos !… ).
C’est d’ailleurs ce que je remarque, quand je me serre contre la cloison, dans le couloir, pour la laisser passer.
Sous une robe en mousseline légère et presque transparente, elle se trimbale un encombrant digne des plus belles croupes de ces pouliches qu’on admire au marché du jeudi, dans la petit ville voisine.
Elle ne me salue pas, l’impolie, et laisse traîner derrière elle, un envoûtant parfum féminin fait d’un mélange d’odeurs de sueur, de pisse peut-être, d’hormones sûrement, agrémentées d’un soupçon d’exhalaison de fesses négligées ou de chattes mal léchées et le tout surmonté par un de ces parfums au rabais, qu’on trouve dans les boutiques d’apothicaires.
C’est drôle, ce n’est pas forcément très charmant. Mais ça a un de ces petits goûts de «venez voir de quel bois je me chauffe». Je me vois obligé, par condescendance, de retenir avec ma main droite, la gauche qui a tendance à vouloir faire la visite de ces lieux prometteurs.
Elle est accueillie à bras ouverts par ma chipie d’épouse et file directement avec elle dans notre chambre d’amis où elles s’enferment à clé.
J’entends rapidement des expressions de joie, qui ne me laissent aucun doute sur la façon agréable dont elles occupent leur rencontre.
Vous devez imaginer combien ma curiosité est alors interpellée, et quelle envie j’ai de découvrir ce qu’elles font.
J’essaie délicatement de tourner la poignée, mais je t’en flanque, la clé est bien tournée.
Je colle mon oreille contre la porte… à oui, il me semble entendre des bruits de succion, des clapotis, des tapotages… des petits cris.
C’est alors que je suis surpris par Marinette qui sort de la cuisine.
– Ben alors, Monsieur fait le voyeur, me semble-t-il !
– Mais non, c’était pur… beuh…
– Beuh… beuh… Je vous connais, va… toujours aussi vicieux et impoli, laissez donc ces Dames tranquilles… c’est la grosse qui vous excite, voyou !
– Mais voyons Marinette il n’y en a qu’une qui m’excite… c’est toujours toi, ma petite catin d’amour !
– Calmez-vous, catin peut-être, mais d’amour… .
– Mais si, vois-tu… tiens j’ai envie de toi à l’instant.
– C’est sûr, excité par la grosse bonasse, je vois que déjà vous avez la biroute qui cherche à sortir de sa prison.
– Eh bien justement, allons la libérer…
Et je renverse déjà la soubrette sur le canapé en lui foutant un de ces baisers qu’elle adore, mais qui, aujourd’hui ne lui convient pas, elle se débat et fâchée se relève, rajuste ses vêtements…
– Cochon… vous ne savez plus vous tenir dès que vous croisez un gros cul. Vous voilà en effervescence ! Je vais le dire à la dame… ça va lui plaire à la grosse vache.
Bon voilà, on se retrouve dans les écuries, si je comprends bien !
En tout cas, cette petite sotte de Marinette, à la prochaine occasion je vais lui rafraîchir la couenne à cette impolie !
Mais pour l’instant, c’est cette chambrière qui m’intéresse… passons à d’autre chose, mais il faut que je me la fasse… elle ne sortira pas de la maison, sans m’offrir son trou du cul… la grosse ! C’est juré !
Seulement les choses ne se passent pas comme je le souhaitais.
La grosse arrive tous les jours en début d’après-midi.
Avec ma femme, elles s’enferment à double tour et se font leurs petites festivités jusqu’à l’heure du thé qu’elles prennent dans le salon.
Elles ont la bonté ou le toupet (c’est comme vous voulez… ) de m’inviter à partager avec elles, ce petit lunch, aussi, inutile de vous décrire dans quel état je suis. Le vireton coincé dans le slip, les yeux qui sortent de leurs orbites, et le nez agressé par des émanations voluptueuses, conséquences, sans doute, de leurs récentes turpitudes féminines.
Du coup, Rose réalisant tous les jours ses petites affaires avec la chambrière, me voilà relégué tous les soirs, au fond du lit, contre une épouse froide et plus du tout amoureuse.
Bon, vous allez me dire que j’ai encore la Marinette qui, brave fille, sentant mon désarroi, m’accorde ses faveurs et mon droit de cuissage, profitant à chaque fois de quelques bons dollars qui tombent entre ses seins. (elle en profite la Salope pour augmenter mes gages !… ).
Mais, que voulez-vous, en niquant son joli petit cul, je ne peux m’empêcher de penser en même temps à celui de la chambrière et à son appétence.
Alors je lui crie :
– Ouvre ton cul, grosse connasse !
Ça lui plaît mes injures à Marinette… elle n’est pas du tout grosse mais elle est ravie que ça soit elle qui profite de l’excitation que me provoque l’autre femme.
Donc mon épouse m’oublie et j’essaie par tous les moyens de la divertir. Rien n’y fait. Ni mamours, ni câlins, ni même une bonne fessée…
Elle me tourne le cul !… Mais ce n’est pas celui que j’attends.
Cependant, l’autre jour, notre grosse dondon, arrive avec en main une chambrière. Une vraie. Un long manche et une grande lanière… un outil pour dresser les chevaux, un fouet !
Je crains le pire !
Et le pire est arrivé.
Alors que je suis bien au chaud dans le con de Marinette qui bat des cuisses, de contentement… (quand je vous dis que c’est utile une femme de ménage… ), on entend des cris stridents et des appels au secours de la part de Rose, dans la chambre de leurs amours.
Mon sang ne fait qu’un tour, et abandonnant au courant d’air, la chatte baveuse de ma catin, je cours au secours de mon épouse. Défonce la porte, et là je découvre notre folle-dingue, chambrière en main, l’air féroce, entrain de menacer le postérieur de Rose qui tourne autour de la table pour échapper et se protéger des coups. Elle a déjà une grosse balafre sur le bas du dos et ne va pas tarder à en recevoir une autre si je n’interviens pas.
N’écoutant que mon grand courage de mâle protecteur, je profite d’un moment où la folle me tourne le dos, pour plonger sur ses jambes et la plaquer aux genoux.
Déséquilibrée, elle tombe en avant, en travers du lit, et moi avec. Je me retrouve le nez coincé dans l’embrasure de ses fesses.
– Putain que ça pue !
Bien sûr, j’ai le nez dans ce cul, ce cul mirobolant… le cul de mes désirs !
Marinette qui n’a même pas eu le temps d’essuyer son minou, saute à son tour sur le dos de la furie qui, maîtrisée n’ose plus bouger. (elle est super notre soubrette !)
.
Rose se prend une crise de nerfs et avec le manche du fouet elle frappe le dos de la folle.
Je me relève et à mon tour je fesse la misérable pour la punir de ses maltraitances envers mon épouse. Je lui écarte les fesses et demeure subjugué face à son petit trou qui loin d’être petit, est une insolente échancrure, à rendre un pape fou !
J’y mets un doigt.
Elle me tend le cul la salope.
– Encule-la cette putain me crie Rose !
– Oui encule-la rajoute Marinette qui en même temps lui écarte les fesses.
– Oh ! Oui encule-moi s’écrie alors la poufiasse qui remue son postérieur comme jument dessous l’étalon.
Vous pensez bien que je ne vais pas refuser une telle invitation ! Elle en veut, elle en aura et à la faire gueuler de douleur ou de plaisir.
Je la comble ras mes roustons en lui écrasant ses grosses miches que Marinette a lâchées pour aller se glisser sous son visage et se faire joyeusement lécher la moniche, tout en lui pissant au nez par petits jets.
Je conclus en m’enfonçant au plus profond de son arrière-boutique et j’avoue jouir d’un immense plaisir à lui travailler la rondelle qui me gobe l’agrément naturel, comme un poisson qui avale un ver.
J’y resterais bien un peu plus longtemps en cet accueillant et confortable popotin, si ce n’est, hélas, l’impatience de mes deux acolytes pressées de se débarrasser de cette salope.
Les choses sont revenues au calme, et la chambrière s’assoie, groggy, sur le bord du lit.
Je lui donne ma pine à lessiver. Elle fait cela avec empressement et non sans y mettre beaucoup de soin et de plaisir. (c’est la moindre des politesses… .).Elle me suce le nœud, me le décalotte et serre divinement le gland entre ses lèvres, tout en m’adressant un de ses regards coquins et de connivence, à vous donner envie de lui remettre ça !
Du coup, mes mains dans ses cheveux, je m’enfonce dans son palais, à la faire défaillir.
Quand je la relâche, c’est Rose qui lui pisse en bouche et sur les seins, pour la débarrasser de mes bonnes séquelles amoureuses, agrémentées des dernières inconvenances de son gros cul malpropre.
Elle s’en régale, la cochonne. Elle est à l’aise !
C’est fini. Elle se lève. Se rhabille.
Rose ne réalise pas très bien ce qu’il vient de se passer. Il y a du soulagement et du regret dans ses yeux. Elle vient se coller contre moi, comme pour chercher du pardon et elle me félicite de ma bravoure.
– Tu l’as bien cherché, salope ! Que je lui dis en lui tapotant gentiment les fesses
– Oh certainement qu’elle me répond… mais toi tu l’as si bien enculée, mon amour !
– Ben oui, ma chérie, c’est si bon. Ça ta plu coquine !… tu n’es pas jalouse, j’espère ?
– Oh si, mais, mais c’est tellement beau ! t’es un bon mâle, mon chéri ! je t’aime.
– Toi aussi je t’aime, tu es ma salope préférée !
Marinette, heureuse de s’être soulagée est contente de s’être vengée de sa rivale. Elle sourit béatement, en me regardant et en se caressant la vulve, l’air de me dire :
– On n’a pas fini notre affaire, tous les deux (sacrée garce !… (elle ne perd rien à attendre !).
Quand je raccompagne notre lubrique chambrière, elle a un petit air de contentement qui en dit long sur les plaisirs qu’elle vient de se procurer.
Finalement elle me plaît bien, cette chambrière. Elle a des façons à elle. Bon… Rose n’a pas apprécié, mais elle l’a un peu cherchée sa maîtresse !
Et vous avez vu comment elle filait droit, l’élève !…
Ça me donnerait presque des idées… .Oh ! La, la !
Non, mais je vous l’ai déjà dit, je ne suis pas de ce genre-là. Je n’ai pas de fouet à la maison. J’ai une bonne bite… et ça la fait trotter ma pouliche, même que dès fois avec deux… elle trotte encore plus vite… mais c’est juste pour lui faire du bien…
Alors restons sages .Je roule un de ces patins à étouffer notre fouetteuse, tout en lui glissant ma main sous la jupe. (pour la route… ).
Dans les yeux, j’ai un regard à la fois con et satisfait…
On ne trouve pas tous les jours, une chambrière comme celle-ci, sous les sabots d’un cheval
– Va, t’es une sacrée salope
Elle s’en va la salope… c’est dommage…
Avec le manche de la chambrière, dans le cul !…
Oups !
12/09/2025