Tant va le Temps…Tant va le Cul… 19 – La Vengeance par Verdon…

Tant va le Temps…Tant va le Cul… 19 – La Vengeance par Verdon…

– Allo ! Ah c’est toi Hubert, mon cher beau-frère !…
– Oui, qu’est-ce qu’il y a ? Que veux-tu ?
– …Ton fils ? ….Oui, il est là….
– Bien sûr on est content qu’il soit passé nous voir, bien entendu.

Il tarde à venir chez vous ? Et alors, c’est qu’il est bien chez nous le Paul, parbleu !
Il devait prendre le train aujourd’hui, mais comme il est bien ici, il a décidé de rester un peu plus…

Comment c’est moi ! Ben non ce n’est pas moi qui le retiens…toi, tout de suite avec tes allusions ! (elle ne va quand même pas tout lui dire… il en ferait une crise de jalousie ).

S’il reste ici c’est parce qu’il s’est trouvé un bon coup, c’est tout…

Mais non, voyons…une bonne garce. C’est de son âge, c’est normal, il faut qu’il en profite.

Si je la connais ?… Ben oui C’est Clochette, notre bonne ! Le salaud il lui a sauté dessus, comme l’aurait fait son père… tu ne vas pas me démentir, salopard ! Mais c’est Fernand qui n’est pas content ! Il lui a tapé sa Clochette ! Non, pas ses roupettes… ça Clo… chette… Putain il en fait une maladie. Plus de sucette, ni de cul, ni baise, ni bandaison… il déprime le vieux… il se branle en permanence et m’oblige à le sucer à longueur de journée tout en m’appelant ‘mon petit choux’ ! Et puis avec ton fils… Humm !… ça lui démange… tu lui manques !
.
Ben oui, il tourne autour… Tu m’as compris !… Et alors !.. .Encore un qui ressemble à son père !… Et tu sais bien qu’il a le cul tendre le Fernand… Oups !

Que je te passe ton fils…. ?

Non, pas possible, je suis allée voir dans la chambre, il est en train de l’enculer sa greluche !… oh putain comme il l’encule bien ! tu vois bien qu’il n’est pas tapette ton fils !… bon, seulement ‘chevalier de la rosette’… hi, hi !

Bon, eh bien non. Fout-lui la paix à ton minot… Il est grand, il fait ce qu’il veut… Va, je lui dirai de t‘appeler. Moi je vais m’occuper d’eux maintenant, je sens que la petite elle a besoin de moi… il me faut la secourir avant qu’elle ne soit complétement défoncée, la veinarde ! Et puis s’il a encore des réserves, peut-être qu’il me fera quelques courtoisies ton fiston. Car Fernand et moi, ça va côté foufoune, mais côté cul, l’écouvillon il ne tient plus la route !… alors ton fils, ne t’inquiète pas, il n’est pas au chômage chez nous….

Au revoir mon petit enculé de beau-frère… embrasse ma sœur là où ça me ferait plaisir…tu sais où… salaud, va !

– Putain il fait chier celui-là…il ne peut pas le laisser tranquille son gamin !

Tiens, d’ailleurs elle a justement envie de chier Charlotte, alors elle va poser son derche sur la cuvette. Que c’est bon, elle se libère, ça fait du bien, ça détend… ( on sait bien qu’avec elle, tout ce qui passe par le cul…). Ouf… Et puis, impatiente d’aller rejoindre les amoureux, elle se relève sans même s’essuyer la cochonne, … Clochette fera bien le boulot, elle est payée pour faire le ménage, non ?…. D’ailleurs, elle a du temps libre, vu qu’elle ne s’occupe plus du patrimoine patronal.

Bon, pendant qu’elle fait cela si bien, on va faire un petit retour en arrière pour bien cadrer l’histoire.

On sait donc que notre ami Paul qui fait son régiment dans les colonies, est de passage à Marseille lors d’une perme. Là il est reçu par sa Tante Charlotte qu’il n’a pas vue depuis sa tendre enfance. Visite recommandée par son père apparemment très entichée de sa belle-sœur divorcée et remariée avec un certain Fernand copain des deux, ce qui arrange bien leurs petites affaires familiales.

Il se trouve justement que ce bon esprit de famille permet au Paul d’aiguiser un peu sa pine sur le dos de sa tante. Ça lui permet aussi de faire profiter Fernand des mêmes petites gâteries particulières que son pote lui fait quand il s’échappe, hélas pas assez souvent, de son domicile parisien.

C’est vrai que la sœur de Charlotte n’a pas le feu sous les jupes. Mais elle est gentille. Elle a l’esprit beaucoup plus ouvert que le cul, c’est certain. Aussi privilégie-t-elle les bonnes relations familiales. Elle est tranquille quand son mec n’est pas là. Elle va à l’église dire des prières pour l’âme de ses braves pêcheurs. Quand elle revient chez elle, il paraît qu’elle est transcendée… c’est qu’elle doit avoir un bon curé certainement !… Oups !

On en arrive maintenant à ce moment où notre héros, Paul en l’occurrence, après une fameuse nuit, s’extirpe du grand lit où il était engoncé entre Tata et Tonton qui ont profité de sa jeunesse toute la nuit.

On l’a dit, ça sent le chacal dans la boutique ! Aussi descend-t-il dans la cuisine pour chercher un peu d’air frais et du ravitaillement pour recharger ses batteries en vue d’autres événements à venir qu’il imagine déjà très chauds.

C’est donc là que soudainement il se trouve en mauvaise posture (pardon ! plutôt en fière position…), tout nu et tout bandant, devant une jeune inconnue d’une beauté superbe.

C’est sûrement Clochette, la boniche de la maison, dont il a entendu parler, mais qu’il ne connaît pas.

Face à lui, la belle créature louche avec des yeux immenses, plus gourmands qu’effrayés, le joli matos qui vient de lui tomber brusquement sous les yeux.

Toujours est-il que finalement, ni l’un, ni l’autre des jeunes gens ne se trouve désemparé devant l’étrangeté d’une telle rencontre.

– Mais, ne serais-tu pas le gentil neveu qu’attendait ces jours-ci ma patronne ?
– Paul’… pour vous servir Mademoiselle… enfin si vous le désirez !…
– Clochette’ s’il vous plaît et pour être précise : la servante de votre chère Tante Charlotte. Elle ne me vous a pas décrit ainsi. j’en découvre un peu plus. Du concret, je dirais. Je n’ai pas les yeux assez grands pour voir tout ce que je vois ! votre Tante m’a dit que vous étiez un beau jeune homme, apparemment elle ne s’est pas trompée.
– Merci, à mon tour je vous trouve jolie et je suis flatté par votre jolie présence, Clochette !

Sur ce il se baisse pour ramasser les morceaux de l’assiette qu’elle a laissée tomber par surprise. Se relevant il ne lui échappe pas de voir sous sa blouse entrouverte, qu’elle ne porte pas de culotte la boniche.

Voilà qui sent un peu le traquenard se dit non sans émoi, le galant homme.

Ben oui, elle n’est pas tout à fait innocente la bonne fille. Prévenue par Fernand, de l’arrivé du neveu, ils ont combiné ensemble la bonne surprise. Mais vous le savez déjà, il va regretter sa complicité le patron…il va se faire avoir.
..
Se relever et faire semblant de tomber pour se raccrocher aux épaules de la coquine, c’est un jeu d’enfant pour Paul qui confus, se fait pardonner dans un bouche à bouche à réveiller un mort.

Le garçon la serre si fort dans ses bras que les boutons de la blouse ont vite fait de craquer et laissent libre le champ d’amour de l’aguichante Clochette. Ventre contre ventre et poitrail écrasant ses mamelons, ils forment tous les deux un délicieux mélange.

Clochette se hisse sur la pointe des pieds pour s’amarrer au pénis qui se dresse si fièrement à la verticale par devant le garçon. Elle sent le gros bonheur lui envahir la chatte et pendue à son cou, elle semble défaillir tant elle s’enfonce sur ce pieu qui pénètre profondément dans ses entrailles. Pour la soulager, il glisse ses mains sous ses fesses et la soulève légèrement en lui écartant les cuisses. Elle n’a plus les pieds par terre et il la baise debout en la faisant sautiller sur la pointe de sa bite, comme la balle d’un bilboquet.

Bien accrochée à son cou, elle plante ses pieds dans les lombaires du garçon et elle s’enconne vent debout, secouée comme un prunier dont les seules prunes qui apparaissent, sont les couilles qui valdinguent entre les cuisses du fouteur.

Et qui c’est qui assiste à ce merveilleux spectacle ?

Eh bien c’est Charlotte, évidemment. Attirée par les cris de notre sauteuse, elle découvre, bien qu’encore à moitié endormie, la superbe prestation de cette paire de roustons qui batifolent en dessous du trou du cul du garçon…

– Oh, les jolis rognons ! Putain on en mangerait…

Elle ne peut s’empêcher la bonne dame d’aller tripoter la grappe et de faire rouler entre ses doigts, les fameux rognons. Et ça roule, et ça glisse, ça l’amuse, même qu’elle lui met un doigt au cul au jeune…assez méchamment d’ailleurs, car enfin bien réveillée, elle vient de réaliser que plantée sur la bite du garçon, c’est Clochette qui profite de ses bonnes attentions. Et elle jouit cette garce comme pouliche sous l’étalon.

– Salope ! Qui t’a permis d’embobiner mon neveu, petite grue !

Du coup, jalouse, elle se saisit des bourses du garçon et elle te lui cogne les roubignolles comme une sauvage en lui écrasant ses gonades avec ses grosses paluches de vieille branleuse.

– Paf’ !…..

Oh ! la salope ! la putain, la massacreuse ! Nom de dieu de casse-noix !

– Ouille! Il hurle le besogneux…Aïe !

Elle lui a cassé les couilles… Meilleur moyen de stopper net les jouissances dont profite sa rivale.

Il lâche prise en larguant ses humeurs sur le pubis de Clochette qui tombe sur le cul, les quatre fers en l’air.

– Na !… bien fait pour elle. Bien fait pour cette petite pétasse, qui ose se faire jouir comme une pute dans ma cuisine… non mais qui t’a permis ? …traînée…

Paul plié en deux se tord de douleur, les deux mains entre les cuisses…

Clochette assise sur le carrelage, hébétée, ne comprend pas (sûr, elle n’en a pas des roupettes, alors elle ne sait pas !). Furieuse, elle se relève pour aller consoler son amoureux.

Attiré à son tour par tous ces cris et ce grand tapage, voilà notre quatrième acteur qui déboule, à poil bien entendu…le sexe en bandoulière et cherche à comprendre qu’est-ce que c’est que tout ce bordel.

Pour calmer le jeu il commence par foutre deux ou trois claques sur les fesses de sa femme. Il est comme ça lui, quand un troupeau de nanas commencent à se chamailler il corrige les fesses de la premières qu’il trouve. Ça lui permet de se faire valoir et ça calme les autres.

D’ailleurs, Charlotte qui comprend vite, lui dit, pour détourner son cul de ses attentions :

– C’est cette petite salope qui se tape notre neveu, au lieu de faire son boulot, la fainéante !

Cette dernière qui s’était précipitée pour consoler Paul, se prend à son tour une torgnole qui l’envoie dans les désordres voluptueux de la Dame casse-noisette, jambes écartelées et nichons en cavale. Puis il s’adresse à Paul qui commence à refaire surface…

– Qu’est-ce qu’il se passe ici ! Tu t’es fait arnaquer par ces deux gonzesses ?
– Non c’est ta Salope qui m’a bugné les couilles pendant que je baisais Clochette.
– Mais aussi qu’est-ce qu’elle foutait sur ta bite cette garce, au lieu de faire la vaisselle ?
– Je bandais… alors tu sais quand j’ai vu sa craquette, je suis tombé dans son piège à bite !
– Eh bien voilà… Il faut la punir cette salope. je vais….
– Ouiiii ! il faut la punir, tu as raison. C’est Charlotte qui en rajoute.
– Toi…ta gueule !
– Mais non…elle est gentille ! elle n’a rien fait de mal… dit Paul.
– Fourbe, comme les autres, tu vas voir une bonne fessée et elle va devenir encore plus gentille ta mignonne.

Alors Fernand s’assoit sur la table et prend la soubrette sur ses genoux, et comme elle a le cul nu il se défoule en lui festoyant le derrière avec le savoir-faire d’un bon éducateur.

Charlotte est ravie. Elle participe même avec rage et bientôt les fesses de la bienheureuse sont rouge vif. (il n’y a personne de plus habile qu’une femme pour flatter un cul…n’avez-vous jamais remarqué combien certains collègues ont du mal à s’asseoir le matin, au bureau !…..).

Clochette est honteuse de prendre une déculottée devant son amoureux…

– Je lui revaudrai une bonne revanche à celle-là, se dit la servante…

Mais si elle bat des jambes, c’est plutôt pour exciter le vieux qui fait ça avec méthode comme un pro… Une longue caresse sur la raie du cul, puis paf !… il recommence… elle sent la caresse qui descend lentement. Elle serre à l’envie ses fesses dans la crainte de la bonne claque, mais aussi parce que ces petits chocs autour de son anus qui se rétracte, lui booste sa libido.

Elle est une salope méritante…. alors elle accepte sa soumission en serrant les dents et clac!… Salaud ! La brute ! Rien à dire, il sait y faire. Elle lève un peu le cul et ça lui fait plaisir au vieux ! Elle ne dit rien mais elle mouille et Fernand s’en assure en lui mettant la main au con.

Paul au début en est offusqué. Il fait son apprentissage. Il n’a jamais eu l’occasion d’assister à de telles lubricités. De voir tressauter un petit cul à chaque compliment du fesseur, le remplit d’excitation. Aussi se plaît-il de saisir les pieds de la patiente pour qu’elle ne cherche pas à échapper à la bonne punition.

– Putain ! le joli cul… il est bien fait pour ça… et quelle souplesse ses fesses ! Du coup, il tapote lui aussi.
– Bande de salauds, vous n’avez pas honte de me maltraiter… moi je n’ai rien fait !
– Oh tu le mérites quand même un peu…. qu’il lui dit Paul en lui foutant encore quelques claques sur le bas du cul. (un si joli cul ça mérite bien quelques compliments, non ?…).
– J’ai mal au cul maintenant ! (elle dit cela avec un petit air entendu en regardant Paul qui jubile…).
– Ce n’est pas grave, on va te pisser au cul, qu’il s’écrie Fernand, viens Paul on va lui rafraîchir le fondement à cette garce.

Nos deux hommes côte à côte se mettent à lui pisser dessus comme des sapeurs-pompiers habitués à éteindre un feu avec leurs grosses lances. Elle aime. Ça lui fait du bien. Ils rigolent en dirigeant leur bite avec leurs mains. C’est une spécialité de Fernand qui se plaît à lui viser le trou quand elle écarte bien la raie. Après c’est le tour de Paul et comme il a le jet très fort, ça chatouille vachement la rosette de la vicieuse soubrette qui semble balbutier et envoyer des bisous à son arroseur.

Charlotte enjambe Clochette et accrochée au cou de Paul elle déballe un gros pipi jaune sur le dos de sa servante qui aime sentir le jus chaud débouler dans sa raie culière.

Finalement, Paul trouve que dans cette maison on a des jeux bien agréables.
.
Les fesses rafraîchies, les vessies bien vides, tout le monde se calme, Clochette retourne à la cuisine, Fernand dans son fauteuil se fait sucer sans succès, par son épouse qui n’en mène pas large, contente d’avoir échappé certainement à une nouvelle rouste, elle aussi. Paul s’est remis à baiser en douce et en levrette, la soubrette qui n’en attendait pas moins.

Et Fernand, toujours impuissant et surtout jaloux fait la gueule devant ce spectacle! Tandis que Charlotte, compréhensive lui tend son cul pour se faire laper la rosette. Elle aime cela et c’est bien meilleur qu’une raclée.

Ainsi les jours se succèdent. Paul ne va pas rejoindre ses parents. Son père rouspète. ..

– Ce petit salaud oublie sa famille, au profit du cul de la soubrette !

C’est vrai qu’il est passé aux choses plus sérieuses le Paul. Il se l’encule la boniche matin et soir, au point qu’elle abandonne complétement d’offrir ses charmes à son patron qui déprime de jalousie, tandis qu’elle rumine une vengeance envers la Charlotte pour ses méchancetés.

Finalement pour consoler Fernand, sa compagne lui propose de se faire sodomiser par Paul qui ne demande pas mieux. Il a l’âme tendre le garçon tout autant que le cul du vieux qui se laisse faire avec empressement.

A sauter d’un cul à l’autre, Paul a la bistouquette qui commence à faiblir et à prendre une drôle d’allure. C’est à son tour de se faire sucer par les femmes qui y consacrent beaucoup de plaisir et d’application.

Tout doucement, malheureusement les bonnes choses s’espacent et Clochette autant que sa patronne commencent à fatiguer.

Tant qu’à sucer des chiques molles, elles préfèrent les deux nanas s’envoyer en l’air en se gouinant comme de folles sous les yeux très intéressés de nos deux mecs.

Elles se font d’agréables fantaisies féminines en se bouffant leur baveuse échancrure, puis en se lapant bien à fond le bouton marbré, boudiné par tant de sodomies précédentes. (une langue bien profonde valant souvent mieux qu’une pine vigoureuse…).

Bientôt vu que la situation devient de moins en moins lubrique, Paul décide de rejoindre ses parents. La veille de ce jour ils fêtent son départ.

Après un bon souper, bien arrosé ils se retrouvent dans le salon, à poil et à se faire comme d’habitude, de sacrées courtoisies.

Après quelques tripotages de part et d’autre, les femmes font les frais des excentricités des deux garçons. Et que je te fais des pinçons sur les tétés de l’une. Que je te doigte le cul de l’autre. Quelques douceurs sur les fesses, le manche du rouleau à pâtisserie dans le cul de la vieille et pourquoi pas, en même temps, l’autre côté dans l’anus de la jeune…

( de ce temps-là le double dong n’existait pas, il fallait bricoler…Hi ! hi !… demandez à vos grand-mères, petits voyous, combien de fois elles se sont mises du chocolat sur les mains en voulant vous faire une bonne tarte aux oignons…Oups !…)…………
Je sens que parmi mes lectrices, il doit y avoir beaucoup de pâtissières….Oups !
Hé ! Les garçons…il y a de l’avenir
Dans ce métier !!!).

– Putain ! Qu’est-ce qu’on rigole, s’écrient Paul et Fernand en voyant leurs Nanas cul à cul…

Tout cela redonne assez de vigueur au jeune homme pour se payer une dernière fois la soubrette. Il lui reste encore un peu de ressource pour sauter ensuite sur sa tante, elle hurle de bonheur. Heureusement le tonton a la fesse tendre et le trou bien large, car la pine qui l’honore n’est plus très consistante. Mais c’est un grand bonheur pour Fernand de profiter de la bonne pine du jeune homme.

– Oh oui, c’est bon ta bite…elle est encore meilleure que celle de ton père, va s’y mon gars !
– Vraiment que du bonheur qu’ils disent tous les deux, en se congratulant !

Mais du bonheur il y en a aussi à côté d’eux. Les femmes ne perdent pas leur temps avec les mecs, elles s’occupent d’elles-mêmes.

Charlotte s’est étendue en 69, sur la grande table en bois massif. Clochette s’est couchée sur son ventre.

Alors nos deux gouines se sont lancées dans des lubricités torrides à déboussoler complétement le plus saint des saints du paradis. L’ancienne écarte largement ses cuisses pour offrir à la jeune femme, ses jardins d’amours. Bien qu’ayant été passablement utilisée jusqu’à ces jours, sa boîte à ouvrage présente encore un étal de chairs roses et très appétissantes. Elles sont humides de ces sécrétions dont dispose toujours ce genre de nanas qui ont le feu au ventre.

Les lèvres de sa chatte papillonnent et brillent comme les pétales d’une rose, entourant en son centre le puits noir et secret de ses amours. (Charlotte, elle-même n’a pas dû compter depuis son dépucelage et jusqu’à nos jours, combien de doigts, de langues, de bites et de bien d’autres choses ont abouties en ce précieux endroit…).

Autour de cette échancrure, une épaisse toison broussailleuse en recouvre les rivages. Brûlé sans doute et roussi par le nombre effroyable de pisse et d’humeurs sorties du doux endroit, il pue bon l’hôtel velu de la Dame. (sans compter tous ces flots de sperme bouillonnant que lui ont livrés ses amants…). Senteurs vivifiantes capables de taquiner la moindre muqueuse nasale, et dont profite aujourd’hui Clochette.

Cette dernière, justement la tête engoncée dans la profonde excavation s’abreuve de ces bonnes choses et s’emballe en se défoulant sur le gros clitoris de sa brave patronne.

– Putain ce qu’elle est bonne ta craquette ! elle a le goût de Paul… (et oui les dames ont le bel avantage de conserver les séquelles de leurs amours dans leurs jardins secrets…).

De l’autre côté la soubrette a le bonheur de sentir pénétrer dans son cul la langue pointue de la Charlotte qui profite aussi des dernières larmes de plaisir dont son neveu a farci le petit orifice.

– Oh la gloutonne ! Qu’il dit Paul…

Les deux femmes se gouinent leurs charmes comme des professionnelles en criant, hurlant, se déchirant, et même en pétant et en lâchant de petits jets de pisse odorante. Elles y vont de leurs doigts pour se bourrer le mou, se frappent sur le cul et se mordent les fesses et même le trou de balle !

Que du bonheur, en somme !

Les hommes autour, profitent du spectacle. Pas assez sages ils essaient de toucher, mais se font remballer. Alors ils se branlent lentement et désespérément….

Au maximum de son excitation, Clochette se redresse sur ses genoux, toujours au-dessus de sa rivale, elle lui pisse au visage un long jet de bonne pisse qui enchante la receveuse… Quel régal de laisser couler ce flot d’urine chaude sur le corps de cette garce de patronne qui l’a tant humiliée l’autre jour en lui donnant une grosse correction devant le Pau !l.

– Tiens prend-toi ça dans les naseaux, sale bique, bois-la ma pisse, c’est du bouillon !

Alors elle pousse, elle comprime son ventre, elle veut la noyer sa maîtresse.

La buveuse n’est pas bêcheuse, elle adore, elle ouvre la bouche et écartant l’entrecuisse de sa servante elle dirige le jet impétueux vers son gosier, pour ne rien perdre.

Ce faisant, ça invite Clochette à pousser davantage, …. et elle pousse la jeune femme car elle sent subitement qu’elle tient là, au bout de son cul, l’occasion de se venger.

Elle pousse si fort que bientôt apparaît en ses fesses écartées, comme le museau d’un petit chat noir peut-être…d’un gros rat semble-t-il… la truffe d’un putois… à savoir ? …

Non de dieu est-ce possible !… un étron c’est certain !… insolent, impatient, déterminé ! Épouvantable aux yeux révulsés de la fière bourgeoise qui n’apprécie pas la chose… ça ne se fait pas dans son monde !

– Non ! pas ça ! Retiens-toi ! Retire ton sale cul ! C’est dégueulasse, arrête ! Cochonne, salope… dévergondée…

Mais, pensez-vous, qu’elle va se retenir Clochette ? Au contraire, elle force, elle pousse avec rage, elle laisse aller le monstre surgissant…

Elle savoure, elle laisse glisser, (c’est si bon quand ça glisse !) elle se libère du gros encombrement et de la rage qu’elle a d’avoir été frappée par la salope. Elle va à son tour l’humilier. (ne va-t-elle pas aussi la faire payer pour les couilles du garçon !…).

Les protestations de Charlotte n’y font rien. Coincée sous le poids de la chieuse, elle n’obtient pas plus de secours de la part des deux mecs subjugués par la scène qui se déroule sous leurs yeux. C’est avec un plaisir extrême qu’ils admirent ce trou du cul qui se dilate, se boudine, s’égaye et s’évase pour laisser filer un fameux colombin qui se tortille comme une anguille et chute en frétillant, entre les deux nichons de la dame offensée. Bronzé comme un renard, puant tel un putois, pointu comme une meringue. Il est ce médaillon, ce qu’entre ses mamelons, la belle n’attendait pas !

Furieuse, vexée, honteuse, déshonorée elle se retranche dans une immobilité complète, de peur de réveiller le lardon coincé entre ses seins. Elle s’est figée devant cet anus qui se resserre insolent et satisfait après avoir déféqué sur ses seins. Elle craint qu’il ne recommence. Elle admire pourtant ce petit trou vicieux qu’elle léchait avec tant de passion il y a seulement quelques minutes.

– Mais pourquoi se dit-elle, faut-il qu’un trou du cul soit si cochon ?

Satisfaite, les mains posées de part et d’autre sur les épaules des hommes, c’est non pas sans fierté, ni sans jouissance que Clochette conclue sa revanche en se laissant choir victorieusement et béatement sur la fraîche parure.

– – Conasse’ veut lui dire la soumise… mais elle n’en a pas le temps…

Clochette a scellé sa vengeance sur les voluptueux nichons de sa maîtresse, comme on scelle à la cire une lettre d’ordonnance !….. Oups !

Le calme est revenu dans la maisonnée….
Charlotte paraît-il, ne fut pas si vexée… (quand on aime le cul……).
Fernand tellement ravi, s’est remis à bander…
Paul, bien éduqué est rentré chez lui prêt à recommencer…
Clochette satisfaite de sa chaude vengeance, a gagné de la considération auprès de son bon patron. Elle s’est fait pardonner ses vicieuses libéralités auprès de Charlotte.
Promis, juré elle ne recommencera pas… (Humm ?…).
Elle retourne dans le lit de ses maîtres et continue à mériter de bonnes fessées parce qu’elle est bien disposée pour ces sortes de galanteries et parce qu’elle aime faire des bêtises…
Par retour de bontés, elle se charge maintenant de dresser sa patronne à de bonnes soumissions, avec le concours et le grand intérêt de son maître. Tout doucement la vieille se complaît dans ces nouvelles joyeusetés. Elle prend souvent la place de sa servante sur les genoux de son mari.
Fernand pour les remercier les encule gentiment, au gré de sa pine redevenue gaillarde, après leur avoir pissé au cul…

………………………..ça va de soi !
26/06/2023

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Une réponse à Tant va le Temps…Tant va le Cul… 19 – La Vengeance par Verdon…

  1. Harivel dit :

    Fernand est un cochon, et l’auteur sait très bien nous raconter ses délicieuses cochonneries !

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