Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 5 – Annabelle se défoule

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne -5 – Annabelle se défoule

Bizarrement je vois maintenant les choses différemment. Pourquoi irais-je reprendre mon boulot de caissière mal payé chez Super-Dépôt ? Pourquoi continuerais-je de trainer le week-end avec la bande de Malibourg, ses playboys et ses bimbos ? Quant aux membres de ma famille, pour ce qu’ils m’apprécient… Non j’ai une autre ambition, je serais la reine de mutants ! Et pour cela il faut que je réussisse la mission que m’a confié Malvina ! Mais cette mission je la conduirais à ma manière loin des délires rétrogrades de Malvina.

Et l’autre là-haut ? Eh bien tant pis pour elle, elle n’avait qu’à pas se faire piéger ! J’ai d’ailleurs bien envie de me défouler.

– Et cette Jenny, vous allez en faire quoi ? Demandais-je.
– Ce sera notre réserve nutritive pendant 33 ans.
– Et à part ça, elle va faire quoi ici ?
– Elle sera notre esclave !
– Elle le sait ?
– Pas encore, laissons-la dormir.
– Dommage, je me serais bien amusée avec…
– Je comprends, mais ta mission est prioritaire.
– Je partirais demain matin, auparavant il me faut établir un plan et il faut que tu m’aides un peu.
– C’est simple, rien qu’en France, on a dénombré une trentaine de caches de mutants dont celui de Rosalio et Philippine. On sait à peu près où ils sont, mais on ne se contacte pas, c’est une espèce d’accord tacite.
– Mais comment les trouver ?
– L’odeur ! L’odeur des mutants ! Renifle ma chatte, ne sent-tu pas une fragrance particulière ? Répond Malvina en soulevant sa robe sous laquelle il n’y avait aucune culotte.

Je lui renifle la moule, effectivement une odeur singulière s’en dégage.

– Ah, je n’y avais pas prêté attention !
– Cette odeur tu peux la sentir à 1000 mètres
– Ce n’est pas possible !
– Mais si !
– Je vais te faire un schéma, la France dans sa plus grande largeur fait 1000 kilomètres, tu peux les franchir en une journée, ensuite tu te décaleras de 1000 mètres au sud et tu recommenceras. Au début ça va mettre un certain temps mais au fur et à mesure de ton avance, tu feras des disciples et ils t’aideront.
– Je fais ça en voiture ? Ça me parait un peu tordu, si je détecte des mutants à 100 mètres en pleine autoroute, je fais comment ?
– Tu ne vas pas y aller en voiture ?
– Comment alors ?
– En créature vaporeuse !
– Hein ?
– Ferme les yeux et pense très fort que tu as envie de flotter dans les airs.

N’importe quoi !

– Essaie !

Si ça lui fait plaisir…

Je me concentre ! C’est quoi ce délire me voici au plafond et je ne vois plus mon corps ! Quelle horreur ! Et je fais comment pour redevenir normale, je ne peux pas lui demander je n’ai plus l’usage de la parole.

– Si ! J’entends tes pensées ! Me dit Malvina ! Descends et pense très fort que tu veux retrouver ton aspect humain.

Et ça marche ! Je récupère mon tee-shirt qui n’a pas été impliqué dans la transformation.

– Tu peux entendre mes pensées ? M’étonnais-je.
– Bien sûr, il suffit de te concentrer sur la personne que tu veux sonder…
– Ça peut être gênant !
– On peut se protéger ! Si tu ne veux pas que quelqu’un aille fouiller dans tes pensées, imagine une scène très rapide, par exemple un lapin qui courre dans la nature, une tempête en mer, un papillon qui s’envole…

Elle m’explique plein d’autres trucs à savoir, comment me reposer, me nourrir…

Environ tous les quatre jours il te faudra absorber un peu d’élixir de survie, il te suffira d’en demander aux mutants que tu vas rencontrer.

Jenny s’est réveillée, elle a du mal à se souvenir des évènements récents, de l’autostop, des gens bizarres, une baise avec un inconnu… Elle ramasse ses vêtements, sort de la chambre et descend.

– Mais qui voilà ? Se gausse Malvina.
– Oh lala j’ai dormi comme une souche, quelqu’un pourra me raccompagner au moins jusqu’à l’entrée de l’autoroute ?
– Non, tu restes ici, lui dit Malvina, tu seras notre esclave, nous te donnerons des précisions plus tard, mais si tu es obéissante tout se passera bien, tu ne seras pas malheureuse.
– Non mais ça ne va pas la tête, est-ce que j’ai une tronche d’esclave ? Allez merci pour l’hébergement, mais maintenant je me casse ! Je peux récupérer mon sac de voyage ?
– Je vais aller le chercher ! Se propose Lukas.
– Et puis je trouve plus mon téléphone, quelqu’un l’a vu ?
– Non.
– J’ai dû le perdre, je ne sais pas trop comment… Il est peut-être resté dans la voiture ,

Jenny lui emboite le pas, récupère le sac et se dirige vers la sortie.

Du perron j’observe et je me marre, arrivée à la grille, elle demande l’ouverture. C’est Corenta qui déclenche l’ouverture électrique. Jenny tente de passer mais en est incapable. La force invisible l’en empêche.

Après s’être énervée pendant plus de cinq minutes elle revient sur ses pas.

– C’est quoi ce délire ?
– C’est qu’on est un peu sorcier ! Lui dit Corenta, tu ne pourras jamais sortir et il faut que tu l’assimiles !
– Commet ça ?
– On t’a dit que te ne serais pas malheureuse ici, encore faut-il que tu obéisses, et là tu viens de désobéir ! Tu vas donc être punie ! Annabelle je te laisse faire, ajoute Malvina en me tendant une cravache.

Pourquoi ais-je accepté ? Parce qu’on me fait l’honneur de me désigner comme bourrelle et que je ne saurais refuser ? Par simple envie de me défouler ? Peut-être un peu des deux !

– A poil, chienne ! Lui ordonnais-je
– Non mais ça va pas, non !
– Ecoute moi bien ma cocotte, on est cinq et tu es toute seule, alors si tu ne veux pas te mettre à poil toute seule, on peut t’aider, mais se serait mieux qu’on ait pas besoin de te forcer.

Et la voilà qui pleurniche, il ne manquait plus que ça !

– Je ne veux pas qu’on lui fasse de mal ! Intervient Lukas contre toute attente.
– On ne lui fait pas de mal, on la dresse, alors tu nous fous la paix, quand on aura terminé tu pourras la cajoler à ta façon tant que tu voudras.
– Grrrr.
– Je ferais tout ce que vous voudrez, mais ne me faites pas de mal ! Implore Jenny.
– A poil, on ne va pas te tuer !

La pauvre fille se déshabille en tremblant.

– A quatre pattes, maintenant !

Mais c’est qu’elle a un beau cul cette petite rouquine ! Je lui assène un premier coup de cravache sur son postérieur, elle hurle, je continue, j’ai dû lui donner dix coups, je n’ai pas compté.

Je suis soudain envahie d’une sensation bizarre, me voici sadique, j’ignorais l’être. J’ai vraiment pris un plaisir trouble à frapper cette pauvre nana, d’ailleurs ma chatte dégouline. Et j’ai envie de continuer.

– Relevez-la et immobilisez-la, je vais la fouetter encore un peu

Corenta et Viktor l’empêchent de bouger, je lui flagelle le dos et le cul, elle crie, elle pleure, elle trépigne et bientôt la voilà marquée de longues trainées cramoisies.

– Retournez-là !

Et cette fois je vise les cuisses le ventre, mais aussi les seins, elle hurle.

Il faut que je me calme, ce que je viens de faire ne me ressemble pas.

Je vais m’assoir dans le fauteuil et je relève mon tee-shirt dévoilant ma chatte et me tripote un peu.

– Jenny, viens me lécher la chatte !
– Non, t’es trop méchante !
– Je ne suis pas méchante, c’est un jeu.
– Un jeu de salope !
– Bon, si tu veux, en attendant viens me lécher !
– Je ne sais pas faire, je ne suis pas gouine !
– Je ne t’ai pas demandé de devenir gouine, je t’ai demandé de me lécher la chatte.
– J’ai jamais fait ça !

Quelle menteuse ! Mais elle ne sait pas que je peux lire ses pensées !

– Il y a un commencement à tout ! Allez, il y a bien pire comme punition !

Elle approche son visage de ma chatte.

– T’es pleine de mouille !
– Et alors ? Lèche ! On va voir si tu lèches mieux que le chien !
– Le chien ?
– Ben oui le chien !
– Mais ce n’est pas possible d’être dépravée à ce point ! S’offusque-t-elle.
– Ben si, c’est possible ! Et maintenant tu te tais et tu lèches.

Elle le fait ! Et après quelques minutes où elle me fait n’importe quoi (sans doute volontairement), elle se prend au jeu et s’applique. De jolis coups de langue qui me rendent toute chose, et sans que je le lui demande elle me doigte le trou du cul simultanément. Je suis partagée, d’un côté je prolongerais bien ce moment de plaisir intense, de l’autre, je me sens prête à jouir. Qu’attend-elle pour me lécher le berlingot ?

J’allais lui demander mais mystère des transmissions de pensées elle le fait d’elle-même, sa langue s’enroule et me titille le clito, je jouis comme une folle.

– Alors c’était mieux que le chien ? Me nargue-t-elle.

Je ne réponds pas et l’enlace rapprochant mon visage du sien quémandant le baiser.

Mais c’est qu’elle ne veut pas !

– Laisse toi faire petite peste !
– Et sinon ?
– Sinon, on en reste là, je suis désolé de t’avoir flagellé tout à l’heure, mais je ne regrette rien !
– Tu ne vas pas recommencer j’espère ? !
– On ne peut jamais dire, mais disons que cette petite séance m’a révélé mon côté obscur !
– Et mon cul, il est obscur ?
– Bon monte te reposer, ma bibiche.
– Je ne suis pas ta bibiche

– Je me demande si on fait le bon choix avec cette Jenny, c’est une rebelle ! Me dit Malvina un peu plus tard.
– Elle est très bien cette Jenny, si vous cessez d’être méchantes avec elle, ça se passera bien ! Intervint Lukas
– Je crois que je peux arranger les choses ! Répliquais-je, je vais monter dans sa chambre !
– Non mais elle se croit tout permis cette Annabelle ! Rouspète Lukas.

A suivre

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3 réponses à Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 5 – Annabelle se défoule

  1. Breton dit :

    Moi j’aimerais bien me faire fouetter par Annabelle

  2. Darrigade dit :

    Tout une ambiance, bon récit

  3. Baruchel dit :

    Annabelle deviendrait méchante ?

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