Une sortie en mer
7 – La Partouze
par Lovelace
Nous arrivons ensemble au bateau, ce qui provoque un léger embouteillage sur le pont. J’ouvre les panneaux et nous nous installons dans le cockpit, qui se trouve être l’endroit le plus spacieux. Heureusement, il fait encore chaud malgré l’heure tardive. Au pire je brancherai mon système de radian qui permet de chauffer façon terrasse de restaurant. Les deux filles disparaissent à l’intérieur, sans qu’on sache ce qu’elles sont allé faire et reviennent dix minutes plus tard, souriantes. Nous comprendrons plus tard qu’elles sont allées se préparer à recevoir de multiples pénétrations anales en se faisant un lavement à l’eau tiède et en se badigeonnant de gel.
La conversation s’engage, « d’où venez-vous, que faites-vous, où allez-vous, etc. ». nous avons appris leurs noms : le plus âgé, environ la quarantaine s’appelle Hervé. Les deux autres, beaucoup plus jeunes, maxi vingt cinq ans, Jacques et Philippe. En fait, il s’agit pour ces derniers d’un stage de formation à la croisière hauturière, ils souhaitent partir pour un tour du monde, prochainement.
Les filles ont croisé un regard entendu pensant à ces presque puceaux ! De fil en aiguille la conversation s’oriente vers les relations hommes femmes et, pour arriver à ce qu’elles veulent, les filles sont assez habiles, mais là elles mettent carrément les pieds dans le plat.
– Hervé, au resto, tu m’as laissé entendre que vous étiez arrivés au bon moment, ce soir. Pas d’hypocrisie, où en étions-nous ? demande Lucie
–
Un peu gêné tout de même, Hervé répond :
– En arrivant, j’ai fait un tour de jumelles, et elle (désignant Alice), était attachée à l’artimon et toi tu étais entre ses jambes. Quelques minutes après, ils l’ont détachée.
– Ah, oui ! En fait vous n’avez pas manqué grand chose, juste la punition ! reprend Alice. Et çà vous a plu ?
Elle leur pose la question avec un air des plus malicieux et l’effet souhaité est obtenu. Ils sont mal à l’aise, se tortillent sur leurs fesses, et les deux jeunes sont carrément cramoisis !
– Je ‘avais jamais assisté à ce genre de scène, répond Hervé, j’admets que çà m’a fortement excité.
– Et vous deux, qui ne dites rien, reprend Lucie, vous en pensez quoi ?
Philippe, qui semble être le moins timide, répond :
– En fait moi aussi, c’est la première fois que je vois çà, sauf une fois dans un porno, mais c’était du cinéma.
– Et la réalité, c’est mieux ? Questionne Alice
– Sans conteste, c’est vraiment bandant, intervient crûment Jacques, même là, rien que d’en parler…
Il ne dit pas grand chose mais quand il parle, c’est direct le garçon ! Cela dit, il ne sait pas que les filles ne vont pas le louper ; c’est Alice qui se jette dessus :
– ha bon ! Fait voir un peu à quoi çà ressemble un jeune matelot qui bande !
Jacques ne sait plus où se mettre ; Lucie le relance :
– Allez, debout, montre-nous !
Le pauvre garçon est perdu, il lance des regards à gauche et à droite, cherchant désespérément une aide parmi la gente masculine, mais là c’est loupé ! Nous sommes très lâches sur ce coup et nous avons envie de voir ce qui va se produire.
Alice se lève, lui prend la main et le tire en avant ; Jacques se retrouve debout ; elle s’agenouille et lui défait le pantalon qui lui tombe sur les chevilles, baisse son caleçon et apparaît un petit zizi tout recroquevillé, enveloppé dans une belle paire de couilles !
– Hé, ben ! Si c’est çà que t’appelles bander, on ne va pas s’amuser beaucoup, l’asticote Lucie.
– Non, c’est normal, on lui a fait peur le pauvre !
Alice vient à la rescousse du petit Jacques.
– Attends on va arranger çà.
Et elle gobe le zizi qu’elle se met à travailler entre sa langue et son palais, puis on voit sa joue se gonfler par instant, et enfin, au bout de quelques minutes, elle se recule et nous montre une queue normale, raide, et bien baveuse !
– Tu vois, c’est beau non ? dit elle à l’adresse de Lucie.
– Oui, c’est beaucoup mieux comme çà ! Et vous, les autres vous êtes comment ? Demande-t-elle, en ôtant sa robe par dessus sa tête. Allez, tout le monde à poil, c’est parti !
Le ton impérieux de Lucie ne laisse pas d’alternative, et nous voilà tous debout, retirant nos vêtements. Six hommes nus comme des vers, devant ces deux femmes gourmandes et autoritaires, les nouveaux venus n’en mènent pas large !
– Lucie, tu vois, c’est là que l’on se rend compte que les hommes ne sont pas égaux entre eux !
– Tu as raison, Alice, et à les voir comme çà, j’ai l’impression de tourner un clip pour illustrer la chanson de Pierre Perret ! S’esclaffe-t-elle.
L’éclat de rire des deux femmes à ce trait d’ironie a une tendance vexatoire, et le jeune Jacques qui avait acquis une belle érection, la perd d’un coup !
Six hommes, six bites et toutes différentes ! Hervé, notre aîné à tous a un sexe à l’image de ses doigts : grosse et courte ! Il est décalotté, mais pas en raison d’une circoncision, mais à cause de son gland, énorme, disproportionné par rapport au reste du membre. Philippe, lui en a un long et fin, complètement enveloppé et des couilles remontées très haut, la peau bien tendue, à l’inverse de Jacques qui lui, les a façon taureau (un peu comme Pierre), sa bite ressemblant à une petite tour Eiffel, évasée à la base et pointue au bout ! Les nôtres, je ne les présente plus, seuls Yann et Moi semblons avoir été conçus dans le même moule, elles sont en tous points similaires.
– Tu vois, dit Lucie à Alice, la queue de Jacques est une vraie bite à cul ; je suis sûre qu’elle rentre sans que tu sentes rien et c’est une fois à fond que çà te titille !
– Moi, tu sais, une bite, c’est une bite, c’est l’usage qu’on en fait et la manière de s’en servir qui fait qu’elle est bonne ou pas ! – faut essayer !
– Branlez-vous, les gars, on veut vous voir prêts à fonctionner, nous ordonne Lucie
Et nous voilà en action, la bite à la main à part Yann, Pierre et moi qui, pour mettre du piment, prenons chacun la bite de l’autre. Nos trois invités, sont interloqués et doivent se demander où ils sont tombés !
– Hé bien quoi, les gars ? Vous avez jamais vu des mecs se masturber mutuellement ? demande Alice, quand vous serez dans votre tour du monde, vous allez faire comment ? Ce n’est pas parce qu’on touche la queue de son pote qu’on est pédé !
– Clair ! Pas plus que parce que deux filles se lèchent comme vous nous avez vu le faire qu’elles sont gouines. Ce qui est vrai pour nous est vrai pour vous ! Çà vous excite de voir deux femmes se brouter, nous çà nous excite de voir deux mecs se sucer !
– Oui, mais admettez que çà surprend un peu la première fois, lance Hervé ; c’est quand même pas courant.
– L’échangisme, les partouzes et tout le toutim non plus, c’est pas courant, lui rétorque Alice. Mais si tu veux partouzer, c’est tout ou rien. Tu ne peux pas prendre que ce qui t’intéresse à priori. Je dis a priori, parce qu’une fois que t’as goûté à tout, tu redemande de tout !
– Bon maintenant assez parlé, intervient Lucie, les discours les empêchent de bander.
Et, montrant l’exemple, elle s’approche de Philippe qui est le plus près d’elle et le prend en bouche.
Alice, que je sais être plus aventurière, s’approche d’Hervé, pour voir ce que donne ce vit une fois érigé et de la main droite, branle le jeune Jacques. Yann, qui a bien progressé depuis le milieu de l’après midi, tente de mettre en bouche le mastard de Pierre. C’est difficile, mais il arrive à ne plus mettre les dents, et Pierre semble apprécier. Le gland en bouche, il branle la hampe de la main droite et caresse les couilles de la gauche ; il devient expert, le bougre !
Je tourne la tête car je viens d’entendre un hoquet, c’est Alice qui est débordée par le morceau qu’elle avait en bouche et qu’elle tient maintenant en main : pas long, en tout cas pas plus que le mien, mais aussi gros que celui de Pierre et, surtout, ce gland encore plus impressionnant qu’au repos, on ne voit que çà, on dirait un champignon ! Toutes les queues sont raides à présent, il reste à préparer ces dames. Lucie, elle, a pris les devant, car en même temps qu’elle s’occupait à faire bander Philippe, elle se branlait. Elle s’assied sur les coussins, ouvre grand les jambes et demande à Philippe de la prendre. Le jeune homme ne se fait pas prier et, rentre d’un coup, jusqu’aux couilles. On sent le manque d’expérience, il est fougueux comme un jeune étalon. Je m’approche et, à genoux lui lèche ses bourses et remonte jusqu’à son petit œillet bien fermé et lui prodigue une feuille de rose. Il tente de serrer les fesses, mais je tiens fermement. Finalement, obéissant aux injonctions de Lucie, qui le prie de se laisser faire, il se détend et y trouve son compte à l’entendre pousser des petits gémissements. Alice a demandé à Hervé de s’asseoir et, toujours occupée à lui manier la bite et la lécher, appelle Jacques à l’introduire. Jacques se met à genoux et, en levrette prend Alice comme à l’accoutumée mouille très vite et le garçon nage un peu dans ce vagin détrempé. Pierre ne perd pas une miette de la scène et lui conseille de changer de trou. Jacques le regarde et demande :
– « Tu crois ? ».
Pierre lui répond :
« J’en suis sûr ! »
Et Alice renchérit :
« Ecoutes le ! »
Il sort donc de ce doux fourreau et se présente devant la rondelle brune de ma femme. Il n’a pas besoin de pousser qu’il se trouve happé par le recul soudain du cul d’Alice (encore ouvert de l’expérience de fin d’après-midi) qui est pressée d’être envahie.
Comme je m’y attendais un peu, Philippe ne résiste pas longtemps et au moment d’exploser, je le tire par les reins et il éjacule en trois longs jets son sperme sur le ventre de Lucie. A peine vingt secondes après son sexe s’est totalement ramolli et pendouille le long de sa cuisse, c’est la première fois que je vois quelqu’un débander aussi rapidement. Je prends sa place et travaille Lucie ; Je la pénètre, ressors, lui prend le clito en bouche et lui fait un bon cunnilingus. Elle jouit assez vite sous mes coups de langue et repousse ma tête de son entrejambe, toute frémissante. Je remonte ses jambes en les prenant derrière les genoux, elle place ses chevilles sur mes épaules et je la reprends et m’active en elle avec de longs mouvements lents.
J’entends Alice qui laisse exploser sa joie d’un orgasme de plus et tourne la tête au moment où Jacques ressort du cul accueillant d’Alice. Celle-ci se met à cheval sur Hervé et s’empale sur son gros vit brûlant :
– « Hooooooo, qu’il est bon ! » Lance-t-elle
Yann profite de la place laissée par Jacques et s’insère dans l’orifice béant, ce qui la fait réagir immédiatement :
– « Haaaaaaaa, Oui, j’aime me faire planter comme çà, allez-y, bien ensemble » s’exclame-t-elle.
Elle attrape la bite de Jacques qui s’est assis à côté et le tire pour qu’il se lève. Une fois debout elle embouche le membre et le pompe vigoureusement. Lui qui avait quitté son cul pour ne pas éjaculer se trouve feinté et lâche sa purée dans la bouche d’Alice qui avale goulûment ce nectar et lèche la queue pour bien la nettoyer.
Pendant que je regardais cette scène du coin de l’œil, je n’ai pas arrêté de besogner Lucie qui se remue dans tous les sens tant elle est excitée. Je ressors de sa chatte enflammée et me présente devant son anus luisant et, contrairement à mon habitude, ne peux m’empêcher de rentrer d’un coup, jusqu’à la garde. « Oumff ! » lâche-t-elle en serrant ses chevilles sur mon cou ; Elle est vraiment en transes et j’en profite pour faire signe à Pierre de me rejoindre. Je repousse ses jambes en les prenant par les chevilles, elle se retrouve avec les genoux sur les seins ; Je décule m’écarte et Pierre prend ma place et entre dans la rondelle bien ouverte elle ouvre les yeux pour comprendre ce qui se passe car là, elle se retrouve avec un vrai gros morceau dans le cul !
Un tour d’horizon du cockpit me permet de voir que seuls les deux jeunes coqs ne sont plus occupés, récupérant de leur éjaculation précoce. Je m’approche de Philippe, assis à coté de Lucie et lui prend la queue dans ma main. Je le branle du bout de trois doigts décalottant et recalotant son gland. Elle est jolie sa queue, longue, fine et c’est drôle, mais il a vraiment beaucoup de peau ; même bandé, son gland ne se découvre pas. Je lui applique une petite fellation pour finir de le durcir et lui glisse à l’oreille :
– Que dirais-tu d’enculer ton pote ?
– Non, il ne voudra jamais, me répond-il
– C’est à voir, dis-je.
Et je demande à Jacques de venir près de nous
– Veux-tu essayer une sodomie ? Tu verras c’est vachement bon.
– Mais çà va faire mal !
– Crois-tu que si çà faisait mal, nos femmes et nous la pratiquerions ?
– Oui mais vous avez l’habitude, vous.
– Il a bien fallu commencer un jour, non ? En plus ton ami n’a pas un gros gabarit comme Hervé ou Pierre.
– OK, mais doucement alors.
– Ne t’inquiètes pas, je vais te préparer.
Je le fais se retourner sur les genoux, le torse posé sur les coussins. Je commence par le lécher le long de la raie, autour de l’œillet, glisse ma langue dans son anus. Sa première réaction est de se contracter ; je lui caresse les fesses et recommence jusqu’à ce qu’il n’ait plus d’appréhension et, de mon doigt enrobé de gel je l’encule doucement. Il se laisse faire, je glisse doucement d’avant en arrière et lui demande :
– Alors, c’est comment ?
– C’est pas désagréable
– Ha ! Tu vois. Aller, Philippe viens, place toi et présentes toi.
Philippe se place derrière Jacques, fléchit les genoux et pose son gland devant l’anus bien lubrifié. Il pousse doucement, de peur de faire mal à son ami, mais çà rentre sans trop de soucis. Il commence à aller d’avant en arrière et apparemment Jacques apprécie.
– Alors, c’est comment ? Lui demandé-je
– Finalement c’est bon, j’admets.
– Et bien, continuez sans moi, maintenant que vous savez comment faire !
Et je regarde du côté d’Alice pour voir comment se passent les choses. Je me trouve dans une situation de chef d’orchestre, arrangeant les uns avec les autres, çà me plait bien de distribuer les rôles, d’organiser les séances.
Je m’approche et fais signe à Yann de sortir. Je me mets à sa place et soulève Alice par les fesses pour la dégager de la queue d’Hervé.
– hé ! Pourquoi tu fais çà j’allais prendre mon pied, me dit-elle.
– Tu vas le prendre autrement. Tournes toi vers moi. Ce qu’elle fait. Maintenant tu descends sur Hervé. Ce qu’elle fait. Je ne t’ai pas dit de te faire baiser, je veux voir son champignon dans ton cul ! Elle se relève et avance le bassin pour placer d’une main le gros gland sur sa rondelle et fléchit les jambes jusqu’à ce que le chibre soit avalé.
– Ouahhhh ! C’est fort s’écrie-t-elle
– Je m’en doutais. Vas y Yann lève lui les jambes et baises la.
Et voilà, j’ai mis une autre scène en route.
Je retourne de l’autre côté du cockpit, les deux gars m’ont pas attendu. Jacques est assis sur les coussins et Philippe est dessus lui tournant le dos ; il monte et descend le long de la verge de son copain comme s’il avait toujours fait çà, sa queue, ramollie, brandouillant de haut en bas, suivant ses mouvements.
A côté d’eux, Lucie toujours sur le dos continue de se faire ramoner le cul par Pierre. J’interviens.
– Pierre sors un peu. Lucie mets-toi à genoux le long de la cuisse de Jacques. Elle s’exécute et là j’ai la vision de son beau fessier, ouvert sur son œillet complètement dilaté.
– Vas-y Pierre, reprends-la. Lucie, suces donc Philippe.
Je regarde tout mon petit monde s’éclater, et je cherche où je pourrais bien m’insérer. La question ne se pose pas longtemps, Yann viens de lâcher prise, son sperme coule sur une fesse d’Alice.
Je bande comme un cerf depuis un bon bout de temps à les regarder s’activer et j’ai bien envie de les rejoindre. Je prends donc la place de Yann. C’est bon, c’est chaud, je glisse vraiment bien comme si j’étais dans une chatte. J’arrête de bouger et je sens le frottement du gland d’Hervé aller et venir de l’autre côté de la paroi. Il me caresse en passant le long de la hampe ; je commence à bouillir de toute cette excitation contenue depuis si longtemps. Je décide de me lâcher dans sa chatte. Je quitte donc son anus et me présente juste en dessous. Je profite qu’Hervé s’enfonce pour m’enfoncer avec lui. Alice devant cette double intrusion explose au bout de quelques allers-retours et Hervé et moi éjaculons à quelques secondes d’écart. Nous sommes tous trois tremblants recevant ces picotements tout le long du corps, dans une béatitude totale.
Les cris que nous avons poussé ont du être un déclencheur, car j’entends derrière moi les soufflements qui annoncent l’arrivée de l’orgasme. Je me retourne pour jouir du spectacle. Le premier à se lâcher, c’est jacques qui se répand dans le cul de Philippe. Puis, quelques instants plus tard, Lucie arrive à bout de Philippe en le branlant énergiquement. Au moment où il arrive elle le prend en bouche et avale son sperme, sans en perdre une goutte, puis lance un long feulement annonçant l’atteinte de l’orgasme. Reste Pierre, qui fait coulisser son membre sur toute sa longueur en le sortant presqu’entièrement en en s’enfonçant jusqu’à la garde, c’est impressionnant. Alice s’approche, et le prend en main en le serrant pour l’aider à jouir. Il a ainsi un double frottement, celui de la main et celui du sphincter à ce rythme en quelques secondes son sort est scellé. Il sort d’un coup et lâche toute sa purée. Il se vide les couilles comme s’il n’avait pas joui depuis un an, tellement il y en a !
On s’assied tous le regard un peu vide, épuisés, mais ravis.
Quelques instants plus tard, on boit un dernier verre et nous séparons pour la nuit, nos invités retournent sur leur bateau, avec la joie d’avoir appris des choses nouvelles, qui leur serviront sûrement pour leur tour du monde ! – en tout cas c’est le film que nous nous faisons.
Pour l’heure, je regarde nos femmes, elles sont épanouies, Alice, avachie sur les coussins a les jambes écartées et je vois couler le sperme que nous lui avons versé Hervé et moi. Elle le sent couler et se lève en annonçant :
– Je vais prendre une douche, çà me fera du bien
– Je t’accompagne, dit Lucie
– Et nous, on va aller pisser ! Dis-je
À suivre
C’est toujours agréable de lire une bonne partouze bisexuelle