Une sortie en mer
5 – Le gage
par Lovelace
La conversation quitte, le temps de la restauration, le terrain libidineux et nous faisons mieux connaissance, d’où sommes nous, que faisons nous dans la vie, quels sont nos pôles d’attraction, nos loisirs, etc. bref une conversation de bon aloi, qui permet à chacun de se remettre de ses émotions, bien que flotte en permanence une sorte de courant érotique sûrement du au fait que dans chacun a des pensées lubriques, voire perverses. Nous ne sommes pas vraiment attablés, mais plutôt avachis sur les coussins, façon orgie romaine, et certains ont des positions assez provocantes. C’est le cas de Lucie, appuyée sur un coude, une jambe pendant, l’autre fléchie le pied posé sur un coussin, ce qui fait que son entrejambe est exposé à nos regards, de sa chatte jusqu’à son anus. C’est la première fois que je peux la regarder ainsi, en détail. Ses grandes lèvres légèrement gonflées, recouvertes par les petites proéminentes et évasées, faisant ressortir le rose clair de sa vulve entre-ouverte, luisante du foutre qui tout à l’heure l’a inondée. Son clitoris, dont le bout, rose sombre est découvert est bien gonflé, Le périnée trace une ligne charnue légèrement plus sombre que sa peau bronzée prouvant qu’elle est une adepte du naturisme, je suis la ligne du regard, jusqu’à la rondelle plissée, délicate, restée légèrement ouverte après la dernière pénétration. Un véritable appel à la luxure !
A ses pieds, la surplombant, Alice est assise sur le dossier de la banquette, les pieds posés sur les coussins, les jambes légèrement ouvertes, ce qui me permet de comparer les deux sexes, leur cherchant des similitudes, me demandant si celui de Lucie serait capable d’avaler le même volume, et si son anus arriverait à se dilater autant que celui d’Alice. Je m’en convaincs et j’imagine une pénétration monstrueuse (c’est bien une idée de mec, çà), genre le diamètre d’une aubergine ! Je sais qu’Alice en est capable, nous l’avons déjà pratiqué avec une grosse courgette que j’ai du subir également, nous partons du principe que ce que l’un essaye, l’autre l’essaye aussi. Ces pensées ne sont pas sans me laisser sans réaction et je sens ma queue s’allonger doucement. Alice le remarque et bien sûr le fait savoir :
– « Ho ! Bernard a des idées lubriques, dirait-on ! ». Tous les regards convergent vers moi et mon vit :
– Aller, Bernard, fais nous partager tes pensées, me lance Yann
– Je me demandais si Lucie serait capable d’absorber dans son cul des diamètres aussi importants qu’Alice le fait
– On ne le saura qu’en essayant, répond Lucie, c’est quoi ces « diamètres » ?
– Très importants, genre aubergine !
– Ah ! Quand même ! – j’ai jamais eu autre chose que des bites, jusqu’à présent et pas des monstres, j’ai même pas encore tenté celle de Pierre. Si mon cul est aussi souple que ma chatte, pourquoi pas ? J’ai bien pris deux queues dans la chatte tout à l’heure.
On décide donc de faire l’expérience, après le jeu du saucisson. Je m’approche de Lucie et commence à lui sucer les mamelons qui durcissent très vite au contact de ma langue. Je descends jusqu’à son clito en léchant, m’arrêtant au nombril un instant. Mes mains parcourent dans le même temps ses flancs jusqu’à ses fesses que je pétris doucement. Je pose mes lèvres sur son clito et aspire légèrement et je commence à la lécher à petits coups de langue dans un mouvement rotatif qu’elle semble fortement apprécier. Son vagin s’humidifie de plus en plus et le goût suave de son foutre m’emplit la bouche ; Je ne vois rien d’autre que ses seins tendus, par contre j’entends à côté de moi qu’Alice a été entreprise par Yann, dans la même position que moi, et que Pierre se fait sucer. Lucie rejette la tête en arrière et laisse filtrer un feulement entre ses lèvres, accompagné de soubresauts signalant l’orgasme ; elle repousse ma tête de ses mains et continue de trembler quelques instants. J’en profite pour me délecter du spectacle voisin, Yann a accéléré ses mouvements buccaux tout en ramonant de deux doigts joints la chatte d’Alice. Celle-ci malaxe d’une main les grosses couilles de Pierre en même temps qu’elle lui prodigue une fellation d’anthologie. L’action de Yann porte ses fruits et elle éclate dans un orgasme puissant, arrosant la bouche de Yann qui ne s’attendait pas à tant de liquide et se recule d’un coup, le menton dégoulinant de foutre.
– Maintenant que vous prêts tous les trois, on va pouvoir commencer, annoncé-je
Nous bandons les yeux des deux filles, après les avoir installées sur la table et, comme je l’avais fait en début d’après-midi, Yann et moi les chevauchons pour tenir leur jambes relevées et écartées afin qu’elles n’aient pas de contact physique autre que le saucisson et le sexe de Pierre.
Il commence par le saucisson dans la chatte de Lucie et sa bite dans celle d’Alice, puis au bout de Trente secondes, inverse les deux intromissions. C’est Lucie qui réagit la première et annonce :
– C’est la bite de Pierre, j’en suis sûre, annonce t’elle
– Oui, moi je sens que j’ai le saucisson, il est moins souple, renchérit Alice
– C’est donc Lucie qui remporte le jeu, bravo, tu as été la plus rapide à réagir
– J’ai rien dit parce que je voulais que çà continue, dit Alice, mauvaise perdante.
– Tant pis pour toi, c’est toi qui devras subir le gage, lui répond Yann
– Je suis sur que tu l’as fait exprès lui dit Pierre.
Pour ma part, je suis déçu que ma pouliche n’ait pas gagné ce jeu si facile pour elle, d’autant qu’elle l’avait déjà fait et j’annonce :
– Lucie ce sera à toi de décider du gage. Et pour te récompenser de ta victoire, tu auras le plaisir de nos assauts.
– Yes ! Enfin du sport !
Elle ne croit pas si bien dire ! – déjà chauffée par le jeu, nous n’avons pas de mal, à trois, à la mettre en transes. Pierre s’occupe de sa chatte avec un cunnilingus effréné, cependant que Yann et Moi caressons, léchons, embrassons tout son corps. Pierre lui applique une feuille de rose, très appliqué, tournant autour de son œillet, plantant la langue dans le petit trou, la pénétrant comme le ferait une petite bite. Il ne faut pas cinq minutes à la belle pour atteindre l’orgasme devant une telle débauche de caresses et elle part assez violemment.
Pierre s’installe sur les coussins et Yann et moi la soulevons pour la planter sur l’énorme vit tendu. La hampe s’enfonce jusqu’aux couilles et Pierre commence à s’activer dans un lent mouvement du bassin. Je passe derrière elle et présente mon gland, gonflé comme jamais, à l’entrée de son anus qui s’ouvre lorsqu’elle se penche en avant pour pomper la queue de Yann, dont les couilles frottent le visage de Pierre. Ce dernier ne peut s’empêcher de les lécher. Il gobe ces deux prunes douces et chaudes, bien épilées. Pendant ce temps, j’appuie mon gland sur la rondelle et d’une lente poussée je le fais entrer, presque sans résistance. Lucie pousse un petit gémissement de plaisir qui m’encourage à avancer. Je m’enfonce au plus loin et m’accorde au mouvement de Pierre. Mes couilles battent le périnée de Lucie, elle est aux anges, tous ses orifices remplis. Elle nous demande d’accélérer nos mouvements, sentant monter son orgasme et nous nous exécutons en cadence, alternant nos pénétrations. Je sens parfaitement la queue de Pierre à travers la paroi de chair. A chaque pénétration son pénis frotte mon frein ce qui m’excite terriblement ; il est temps que Lucie jouisse, sinon je vais lâcher ma purée ! – Elle a du entendre ma supplique car, dans un long râle elle se laisse partir. Je décule après son dernier tremblement avant qu’il ne soit trop tard et j’admire son cul béant et sa chatte élargie par le gros vit qui l’habite encore. Je me baisse et lèche sa raie, je descends, lèche le bout de queue qui dépasse, et les couilles de mon ami que je mets en bouche et malaxe entre ma langue et ma joue. Je soulève Lucie par les fesses pour faire ressortir le chibre de Pierre et elle se laisse tomber de côté sur les coussins, rompue, mais ravie.
Durant tout ce temps, Alice a assisté en spectatrice avertie à la scène, en se masturbant, pas trop fort, juste ce qu’il faut pour entretenir son excitation. Elle a la chair de poule, ce qui prouve qu’elle est à la limite de la jouissance, mais elle se retient, la salope.
Nous laissons Lucie récupérer et mettons un peu d’ordre dans le Cockpit, je plie la table dans son logement sur le plancher. Je descends brancher la radio pour écouter le bulletin météo. Si nous reprenons la mer demain, je préfère savoir quel temps nous aurons, bien que je ne m’attende pas à de gros changements : beau temps, mer belle, petite brise d’ouest. Je remonte après avoir écouté la météo, et j’arrive à point. Lucie totalement remise, se tient debout devant les autres assis sur les coussins, les mains sur les hanches. Elle a un très beau profil, des courbes harmonieuses, une jolie cambrure qui fait ressortir ses fesses rondes. Ses pointent fièrement, ils sont fermes, comme tous ceux des femmes qui ne portent pas de soutien-gorge.
– Bon, maintenant, je vais faire valoir mon droit au gage que j’ai gagné. Annonce Lucie.
– Que veux tu que je fasse ? demande Alice
– Voyons voir, j’aimerai que tu sois mon esclave une heure durant.
– Je n’ai jamais pratiqué le SM, dit Alice
– Moi non plus, rétorque Lucie, alors on va s’y essayer, OK ?
– Allons y, c’est vraiment le week-end découverte ; Pierre, dommage que ta femme ne soit pas des nôtres, il faudra qu’on remette çà pour l’initier elle aussi.
– Pour sûr, tu peux compter sur moi pour l’emmener la prochaine fois, mais ce week-end, elle était de garde et elle enchaîne sur deux astreintes (Viviane est médecin au CHU de Nantes)
– Comment vas-tu pratiquer ? Demandais-je à Lucie.
– Vous allez commencer par l’attacher au petit mât, commande t’elle
Pierre et moi saisissons Alice sérieusement, comme des bourreaux amenant le condamné à l’échafaud. Je prends des garcettes et lui lie les poignets, puis la suspend, à l’aide d’une drisse, au mât d’artimon. Ses pieds ne touchent plus le pont que du bout des gros orteils.
– « Ecartez-lui les jambes » exige Lucie.
Je prends deux écoutes, en donne une à Pierre et nous lui attachons chacun une cheville et enroulons l’autre bout de l’écoute à un winch. Nous embraquons jusqu’à ce que les écoutes soient tendues et écartent ses jambes. Elle se trouve dans un demi grand écart facial, les jambes tirées en arrière dans une posture obscène vue du cockpit. Rien de ses parties génitales n’est masqué. Lucie récupère trois longues garcettes qu’elle réunit pour en faire un fouet.
– Aïeee » gémit Alice en recevant le premier coup, plus surprise qu’autre chose, car Lucie n’a pas frappé bien fort.
– « Çà va ? » Lui demande-t-elle.
– « Oui, çà surprend, mais c’est OK ».
Lucie encouragée, refrappe les fesses tendues. Dans sa position, Alice ne peut se contracter et je trouve le tremblotement de la chair sous les coups assez excitant. Quelques zébrures rouges commencent à apparaître sur les fesses, alors Lucie déplace ses coups sur les cuisses, puis sur le bas du dos. Alice commence à apprécier dirait-on, elle essaye de se tortiller, mais elle est trop tendue entre le mât et les winches.
Lucie raccourcit la longueur de son fouet improvisé et, se plaçant entre les jambes de sa suppliciée, tapote la raie, puis s’éloignant un peu la claque de haut en bas, arrachant un cri à Alice. Inversant son mouvement elle frappe la vulve, le bout de la cordelette frôlant le clitoris bandé. Après une douzaine d’aller-retour, Alice lâche un « Ouiiiii » assez inattendu vu les circonstances.
– « Elle commence à trouver çà jouissif cette cochonne », lancé-je à la cantonade, « je l’aurai pas cru si je le voyais pas ».
Lucie déborde d’imagination : Faisant un nœud coulant au bout de deux des cordelettes, elle s’approche des seins d’Alice, lui suce les bouts pour les faire s’ériger et, quand ils pointent suffisamment, les enserre avec le nœud coulant, passe les deux cordelettes entre les jambes d’Alice et remonte les attacher autour de son cou, ce qui a pour effet de tirer sur les tétons à chaque mouvement de tête d’Alice et lui soutire des petits gémissements de plaisir assurément à voir sa chatte laisser couler un filet continu de jus. Lucie retourne à ses fesses, s’agenouille et lui attrape les lèvres avec les dents, serrant et relâchant alternativement la pression de sa mâchoire. Puis, plus violemment tire dessus. Les lèvres se distendent, heureusement que la peau est souple ! Elle maintient cette distension près d’une minute, relâche d’un coup les lèvres qui se rétractent légèrement comme un élastique distendu et pendent au bord de la vulve que Lucie lèche pour apaiser le feu de la morsure. C’est sublime d’excitation pour les spectateurs que nous sommes, d’autant qu’Alice prend son pied et part dans un orgasme violent qui la fait éjaculer – c’est la deuxième fois, avec ce matin, que je la vois sortir un jet de foutre !
Lucie est ravie de son coup, mais en bonne maîtresse, lui reproche d’avoir pris son pied sans permission. Elle lui administre une fessée à mains nues et lui mord les fesses pour lui soutirer un cri de douleur.
– Tu vas subir le supplice du Pal à ma façon, lui annonce Lucie. Et, se tournant vers nous : détachez-la.
Nous exécutons son ordre en bons lieutenants que nous sommes et redescendons Alice sur le pont. Elle a le regard un peu vide et elle est secouée de tremblements de la tête aux pieds.
– Vous deux, interpelle Lucie en nous désignant, Yann et moi. Vous allez vous allonger face à face et réunir vos bites.
Nous nous plaçons comme demandé en deux Y inversés, comme des siamois qui seraient réunis par les couilles, nos deux queues se dressant l’une contre l’autre.
– Viens, Alice, enjambe les et descend sur eux.
Elle s’exécute et se retrouve empalée sur nos deux bites réunies, plantées au fond d’elle.
« Pierre, viens ici » et elle désigne ma tête. « Mets toi à genoux, Alice penche toi en avant ».
Je vois maintenant l’œillet d’Alice entrouvert, je sais ce que va demander Lucie.
– « Vas y Pierre, prend la ».
Pierre s’approche de la rondelle et la pénètre avec son gland.
– « A fond ! » insiste Lucie.
Alors Pierre enfonce les 23 cm de chair qui lui servent de bite arrachant un cri à Alice. C’est énorme ; trois bite en même temps, deux dans la chatte et une dans le cul et pas des moindre, c’est du jamais vu ! Seul Pierre peu bouger, mais ses coups de boutoir suffisent pour faire fonctionner l’ensemble de l’édifice, Alice étant projetée en avant à chaque pénétration et revenant en arrière à chaque fois que Pierre ressort, crée le mouvement en dessous. Le frottement de la queue de Yann contre la mienne ajouté à celui de la bite de Pierre que je sens à travers la paroi fait monter mon excitation. Pourvu qu’Alice lâche rapidement prise sinon elle sera inondée, car je sens contre les miennes, les couilles de Yann se durcir ; il ne doit pas être loin d’exploser lui non plus.
Je connais bien mon Alice et je sais qu’elle va vite réagir à ce traitement de choc. L’emboîtage n’aura pas duré plus de trois minutes, elle nous arrose de son foutre en miaulant comme une chatte en chaleur. Je chope les couilles de Pierre qui ballottent sous lui pour qu’il arrête illico son mouvement, ce qu’il fait avant qu’on perde pied.
– Mon dieu ! Que c’était bon, s’exclame Alice. Merci Lucie, j’adore tes gages.
– Ça m’a plu aussi, je suis excitée comme une puce, mais je n’ai pas terminé. Tu as pris ton pied et tu vas être punie pour çà, salope ! Je ne veux pas que tu jouisses sans mon consentement.
– Bien maîtresse ! (Alice joue complètement le jeu, elle y prend vraiment plaisir.)
Quant à nous, nous sommes dans une sorte de transe nos sexes sont tendus comme des arcs, comme tétanisés. Lucie me demande de surveiller Alice. Elle doit se mettre à quatre pattes et elle ne doit pas bouger un orteil pendant son absence. Où va-t-elle ?
Elle revient de l’intérieur avec en main un pot de gel lubrifiant et dans l’autre une bouteille et une paire de gants en latex. Je pressens qu’un truc violent va arriver.
– Pierre, pose des coussins par terre, exige t’elle
– Yann, installe Alice dessus, Bernard, aides le. Mettez vous de part et d’autre de sa tête, prenez-lui les jambes et écartez-les. On va voir si madame est aussi souple qu’elle le dit !
Alice dans cette position nous offre un spectacle des plus obscènes, mais des plus excitants également. Sa chatte et son cul sont largement ouverts des suites des pénétrations antérieures et Lucie a envie d’en profiter.
Elle enfile un gant et le badigeonne de gel et pénètre en tournant, les doigts joints, la chatte d’Alice. Je sais que çà va rentrer, je l’ai fait ce matin et la main de Lucie est bien plus petite que la mienne. Effectivement, en quelques secondes la main est avalée, puis le poignet, jusqu’à l’avant-bras.
Lucie trouve que c’est trop facile, alors elle passe le deuxième gant et recommence, mais les deux mains jointes ! Alice a un regard un peu affolé, mais en même temps, elle veut savoir ce que çà peut lui faire ; elle a décidé de TOUT expérimenter. Les mains commencent à rentrer, les phalanges disparaissent, puis les paumes et, enfin après quelques va et vient, les poignets. Alice pousse des « Houaouhh » d’excitation mêlée de douleur. Vicieuse, elle écarte ses mains et dilate encore plus la chatte, qui pourrait en l’état laisser passer la tête d’un bébé ! Lucie continue, les lèvres sont presque blanches tant elles sont distendues. Elle enfonce une dernière fois ses deux mains et y rentre les deux avant-bras, là la limite est atteinte ! Alice lâche un long cri de douleur et Lucie ressors d’un coup. La chatte est béante, comme un sac à main ouvert !
– Alors, questionne Lucie, c’était comment ?
– Je n’ose pas te dire que j’ai joui, mais en tout cas c’était bon, plus par l’excitation de faire un truc inconnu que par le frottement de cette monstrueuse pénétration.
– Tu as joui ou pas ? Dis la vérité !
– J’avoue, oui !
– Salope ! Qu’est ce que j’ai dit ?
– Je sais maîtresse, je dois être encore punie ! –
Je vois qu’Alice à compris que maintenant, elle avoir la même chose, mais dans le cul, cette fois ! Nous allons enfin savoir si la dernière fois que nous avons tenté la courgette à la maison, nous aurions ou pas pu aller jusqu’à l’aubergine !
Lucie recommence son manège, et prépare Alice pour un fist anal. Le jeu recommence, un, deux, trois, quatre doigts sont rentrés dans l’anus, heureusement déjà largement assoupli par les diverses introductions depuis ce matin. Elle pousse, Alice gémit, la main est entrée, le poignet suit. Lucie la ramone comme si son bras était une bite. Alice serre les lèvres pour ne pas lâcher de gémissements qui pourraient laisser penser qu’elle prend son pied, mais je jette un œil vers elle et je lis dans ses yeux qu’elle prend son pied. Comment est-ce possible ?
Je suis captivé par ce bras enfoncé dans le cul de ma femme, mais je n’ai pas encore vu le pire !
Lucie ressort son bras, laissant le cul ouvert, les bords ramollis, les sphincters distendus, ne font plus leur travail. Lucie saisi la bouteille d’eau qu’elle avait monté tout à l’heure, la lubrifie et encule Alice avec. Je ne pense pas qu’on puisse faire plus, l’aubergine est largement dépassée, la bouteille est une maxi de 2 litres ! Lucie la ramone, enfonce la bouteille jusqu’au bout. Alice a les yeux révulsés, elle se mord la lèvre pour ne pas crier, mais tout à coup elle est prise de tremblement dans tout le corps, et lâche un long cri rauque, se tend et tout à coup relâche totalement ses muscles et se ramollit comme un pantin. Lucie, qui a peur d’être allée trop loin, retire la bouteille et laisse le cul béant prendre l’air !
Nous la lâchons et la laissons récupérer, allongée sur les coussins.
Je me suis toujours demandé pourquoi cette très longue série plutôt bien écrite ne suscitait pas davantage de commentaire.
En relisant ce chapitre on en découvre vite les défauts, une surenchère dans les actes qui du coup en deviennent mécaniques. On parle sur ce site à propos de certains récits de logos qui s’emboitent, c’est exactement le sentiment que j’ai eu en lisant ce chapitre