Une soirée réussie ! 11- Voir, et… être vu ! par Bibi_01

Une soirée réussie !
11- Voir, et… être vu !
par Bibi_01


Lui ayant tout raconté dans les détails, Danièle est assez impressionnée par le phénomène Hervé. Lorsque je l’ai récupéré tard samedi soir sur le quai de la gare, nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre, sincèrement heureux de nous retrouver. Après un interminable baiser, cette sulfureuse femme me dit qu’elle est trempée depuis qu’elle est partie, qu’elle n’est pas certaine de pouvoir attendre d’être à la maison, et me glisse discrètement dans la main une petite boule de tissu. Ce n’est que son string, trempé, qu’elle a dû enlever tant elle avait dû se masturber souvent dans les toilettes du train. “Je t’espère en pleine forme.” me dit-elle en se collant encore plus fort. Ses seins contre moi s’écrasent, mon sexe barre son pubis, comme me disait un (très long) collègue noir, ça va couiller ce soir !

Les bagages dans le coffre, je lui ouvre la portière et me place au volant. Ses mains se jettent sur ma braguette et la voilà qui sort ma queue raide, s’exclamant : “Enfin ! C’est que de mon côté, je n’ai pas trouvé un seul mec qui me donne suffisamment envie.” Mais déjà ses lèvres se referment sur mon vit, à 23 heures, en plein cœur de la ville. Je me contorsionne pour attraper sa jupe et la relever, mais Dan juge plus simple de la retirer. La chose faite, elle me reprend en bouche pour m’aspirer puissamment, tandis que mes doigts redécouvrent sa petite chatte trempée avec une réelle joie : ma nana est de retour.

Sa main passe sous mes couilles pour me planter un doigt au bon endroit, ses lèvres et sa langue me dégustent avec brio, elle me pompe comme si c’était la dernière fois. “Ta bouche, ta merveilleuse bouche !” Lui dis-je en lui travaillant le clito. “Jouis, s’il te plaît, jouis, je n’en peux plus !” M’implore-t-elle. Je luis mets mon pouce dans son petit trou, l’index et le majeur dans son vagin. Dan ondule en émettant toutes sortes d’onomatopées. Je ne résiste plus. Trois jeunes passent juste à côté de la portière, l’un d’eux remarque la scène et prévient les autres qui s’agglutinent, penchés au-dessus du pare-brise. Nous sommes dans notre bulle, la terre pourrait s’ouvrir sous notre voiture que nous n’arrêterions pas. Alors six yeux…

Je sens le foutre me remuer dans le ventre, je vais jouir dans quelques secondes, et préviens ma pompeuse que je vais lui donner ce qu’elle attend. “Allume le plafonnier, ça m’excite !” me dit-elle contre toute attente. Sans réfléchir, concentré sur cette divine pipe, j’envoie alors le bras gauche au plafond et bascule l’interrupteur. Au moment où mon sperme gicle dans la bouche de Dan, j’entends un des jeunes dire : ‘Putain, le veinard, vous avez vu le canon qui le suce !” Elle avale mes jets de semence avec un réel plaisir, essorant ma queue avec de grands mouvements de tête afin d’en extraire la moindre goutte, puis, mes doigts retirés, elle vient m’embrasser langoureusement. Jouant le jeu, celle-ci soulève son tee-shirt, sort un de ses impressionnants seins de son bonnet pour me le donner à lécher en reprenant ma queue à la main, ses jambes bien écartées pour leur montrer sa chatte. “S’ils ne se cassent pas le poignet après ça…” lâche-t-elle avec un sourire complice.

Je me remets en quelques dizaines de secondes de mes émotions, et éteins le plafonnier pour ne pas attirer la police. Rapidement, nous filons; une nuit chaude nous attend. “Ton sperme m’a beaucoup manqué. J’ai envie que tu me bouches tous les trous, encore et encore.” Réajustant sa jupe et son Tee-shirt.

La nuit fut longue et très agitée, redécouvrant son vagin soyeux, sa mouille si goûteuse, son anus divin, et une Danièle sur-vitaminée. Très tard dans la nuit, repus de sexe et d’amour, elle me fit parler de mon dernier amant, me demandant si elle pourrait, à défaut de pouvoir participer, au moins de pouvoir nous observer. Elle est… irrésistible, j’en suis raide dingue. “Je te le présenterai. “

Après un copieux petit-déjeuner (et un délicieux 69 dans la douce lumière du matin), nous programmons une petite promenade en montagne. Après une semaine enfermée dans des bureaux à écouter toute une ribambelle de bonimenteurs, un peu d’air pur ne saurait nuire. La météo clémente de cette fin de printemps va nous ressourcer, recharger nos accus, et un petit restaurant nous changera les idées. Action, moteur… nous levons l’ancre.

Une journée délicieuse qui vraiment nous permet non seulement de nous retrouver, mais Danièle s’ouvre, se livre davantage. Allongés dans l’herbe à l’ombre d’une futaie, elle me parle de son enfance, dans son petit village accroché contre la montagne, vivant des années véritablement privilégiées. Lorsqu’elle quitta son cocon pour se diriger vers l’université, la transition lui fut plus difficile. Perdre ses repères, la protection de son environnement (familiale autant qu’amicale) l’ont déstabilisée la première année. Sans compter les jeunes mâles en rut qui ne la regardaient que comme un joli morceau de viande à baiser, et qui la harcelaient 5 jours sur 7, l’obligeant à rester sur la défensive à tous les instants.

Son amour de jeunesse ne survivra pas à cette séparation, rentrant épuisée les week-ends, ses motivations étaient plus posées que de faire la fête, ou boire plus que de raison. Rapidement, leurs centres d’intérêts divergèrent, ce qui finalement lui permit de se retrouver quelque peu, de faire le point sur sa vie, et d’être certaine de choisir une voie professionnelle qui l’intéresse. Le sport prend une grande place dans sa vie depuis toujours, ski, natation, tennis, et surtout le volley-ball en équipe régionale. Trois entraînements par semaine, les matchs et les déplacements les week-ends, bref, de quoi meubler ses temps libres. Naturellement, elle coucha avec quelques mecs, effectuant une sévère sélection pour ne pas attraper les plus douteux ! Mais aucun ne lui tourna la tête au point de la perturber dans ses études. Aucun, sauf… un. Un beau nageur aux épaules larges, au visage d’ange, aux bras musculeux. Il lui fit une cour dans les règles de l’art, ne cherchant pas à “la sauter vite fait bien fait” pour l’épingler à son tableau de chasse. Il se fit presque distant au début, et Danièle dut déployer beaucoup d’énergie et user d’ingéniosité pour finalement obtenir son attention, puis… son corps.

Elle m’en parle avec beaucoup de respect, m’expliquant que ce jeune homme lui révéla son corps de femme, qu’elle lui doit son premier orgasme. Dès l’instant où il posa ses mains sur elle, son extrême sensualité, sa force de Dieu grec lui donnèrent une impression d’apesanteur. Pour la première fois de sa vie, un homme lui faisait l’amour, prenant la globalité de son corps en considération, ne se contentant pas de quelques va-et-vient entre ses cuisses pour s’endormir ensuite. Plusieurs soirs par semaine, ils nageaient ensemble, puis se carapataient dans une de leurs deux chambres pour s’aimer éperdument. Danièle, la voix chargée d’émotion, m’explique alors comment en quelques semaines, il a su faire sauter tous les verrous, lui procurant des multitudes d’orgasmes de toutes les façons possibles. Comme s’il lui remplaçait des parties de son corps par de nouvelles pièces, plus innervées et… interactives.

Et comme sur terre, rien n’est durable, ce jeune homme réussit sa licence en fin de cycle, et regagna sa région. Danièle, après quelques jours de doute, se résigna, et resta pour finir ses études, mais en se jurant de ne plus s’amouracher tant que son diplôme ne sera pas sous verre. Forte de son épanouissement, cela lui permit de vivre une sexualité un peu plus débridée, et de ne pas avoir de scrupules lorsqu’un mec lui plaisait au cours d’une soirée, et de “se le faire”. Prise à son propre jeu, les aventures d’un soir, ce dont elle avait peur au début, devint un agréable passe-temps, et étudier l’anatomie masculine sur un support vivant s’est avéré beaucoup plus passionnant !

Je lui demande si elle a déjà goûté aux filles, ayant si souvent entendu parler des torrides soirées étudiantes, et surtout de leur débauche ! Et ce n’est pas lors de ces soirées que l’expérience s’était faite, mais lors d’un déplacement sportif, en partageant sa chambre avec sa copine Hélène. Deux filles entre elles ne sont pas trop pudiques; sortant de la douche avant d’aller au lit, sa copine lui dit qu’elle était jalouse de sa poitrine, que la sienne, en plus d’être assez petite, ne se tenait pas. Elle la rassura, lui dit qu’au contraire, elle la trouvait plutôt à son goût. Hélène lui posa alors des tas de questions plutôt intimes, et rapidement, les deux jeunes femmes en arrivèrent à un triste constat : pas d’homme sous la main. C’est encore Hélène qui lui demanda si elle pouvait lui “toucher” les seins, juste pour voir. Surprise, Dan n’osa pas refuser, et accepta de se laisser palper. Mais son étonnement fut encore plus grand lorsque pour lui palper les seins, cette dernière se plaça dans son dos, et qu’elle se plaqua tout contre elle pour lui soupeser la poitrine. Le chatouillis que lui procura cette toison pubienne contre ses fesses, le contact étrange de ces seins contre ses omoplates, la caresse plutôt entreprenante des mains d’Hélène… “Tu m’excites !” lui dit-elle, plaquée contre ses fesses. Sa main glissa jusque vers sa petite chatte… trempée.

Les deux filles se retrouvèrent vite en 69, chacune buvant le jus de l’autre, découvrant respectivement leur intimité de leurs doigts et de leurs langues agiles. Se dévorant avec beaucoup de conviction, elles jouirent rapidement, et en conclurent que c’était bien plus efficace et agréable que la masturbation. A plusieurs reprises, elles recommencèrent lors de soirées solitaires, ou bien au cours de déplacements.

“Même si cela m’a fait très plaisir à chaque fois, je n’irai pas draguer une femme par nécessité ! Contrairement à toi, je ne me sens pas bi du tout, même si lécher une femme ne me déplaît pas. Mais je préfère de loin sucer un homme.” me confie-t-elle, au terme de son explication. Son récit m’a déclenché une belle érection. Dan pose sa main sur ma bosse en me disant :”Oh, pardon. Je n’avais pas réalisé qu’il nous écoutait. Il est tout traumatisé. Attends, je vais le cajoler.” A peine a-t-elle terminé sa phrase que ma hampe se retrouve ornée d’un magnifique collier de dents. Ses lèvres jouent toute la partition d’un de mes morceaux préférés, alors que sa main réconforte mes testicules avec beaucoup de délicatesse.

Je ne suis pas décidé à résister très longtemps. La douceur de sa langue s’évertuant autour de mon gland m’arrache déjà les premiers frissons, et sans un bruit, je me déverse dans sa chaude bouche en quelques soubresauts. Comme elle en a pris l’habitude, elle vient ensuite me faire partager ma chaude semence dans un long baiser. “J’aime t’embrasser avec ton sperme, c’est super bon. On pourrait sucer ton copain tous les deux en même temps ? Ça me plairait beaucoup d’essayer.”

18 heures, nous garons la voiture à deux rues du sex-shop. Je regarde Dan dans les yeux, et lui confie avoir le trac de faire cette démarche. Comme toujours, elle sait trouver les mots justes, appuyant là où cela stimule, ne me mettant en exergue que le positif. “Et puis je n’ai jamais mis les pieds dans un endroit pareil, j’aimerais beaucoup que ce soit toi qui me prennes par la main. Je ne vais pas le manger, ton Hervé. Quoique… “ Sa main dans la mienne, nous parcourons les quelques centaines de mètres qui nous séparent de la porte de l’établissement, porte que nous franchissons sans prendre le temps de la réflexion.

Comme à l’accoutumée, quelques personnes d’un âge bien avancé parcourent les gondoles, nous observant du coin de l’œil. Il est vrai qu’un couple dans un sex-shop surprend toujours. Et puis la plastique de ma compagne ne laisse pas indifférent, même sobrement vêtue d’une robe longue d’été et de petites spartiates. Hervé, tranquillement plongé dans ses cours, marque une seconde d’arrêt lorsqu’il nous aperçoit : “En voilà une belle, de surprise !” sourit-il en nous saluant, son naturel “très à l’aise” revenant instantanément. “Tu m’as menti ! Tu m’as dit que c’était une femme splendide, mais c’est resplendissante qui lui conviendrait le mieux !”

Sans trop parler fort, nous bavardons quelques instants, puis Danièle me demande si je peux lui montrer les cabines, histoire de mettre quelques images sur des explications. Hervé nous demande d’être vigilants avant de nous asseoir, nous sommes dimanche soir, il risque d’y avoir quelques belles traces. Je prends des jetons, puis nous dévalons l’escalier…

En voyant sa moue, je comprends que l’odeur forte qui règne dans cet endroit ne lui est pas des plus sympathiques. Tenant toujours ma main, ses yeux parcourent les lieux. Quelques cabines sont occupées, et une tourne la porte ouverte. Nous avançons et voyons qu’un homme d’une cinquantaine d’années s’y tient debout, le jean ouvert. Sa main coulisse sur une belle queue plutôt épaisse en regardant une femme se faire tringler par un tatoué à queue de cheval (laquelle !). Lorsqu’il nous aperçoit, sa nature exhibitionniste prend le dessus, et l’homme se tourne davantage vers nous, visiblement fier de se montrer, fier de sa virilité. Son gland très volumineux semble servir d’arrêtoir, obligeant son poing à repartir lentement en arrière, jusqu’à ses couilles bien pourvues. Son méat, très ouvert, ressemble à un troisième œil qui nous fixe.

Je sens la main de Dan me serrer un peu plus, elle se colle lentement à moi, pose son menton contre mon épaule. L’homme, le regard fixe, la bouche entrouverte, continue le lent branle de sa belle pine, tandis que la main de ma nana pétrit ma queue bandante par-dessus mon pantalon. Elle sait jouer les furies, et je constate de plus en plus son côté exhib, provoc. Sa langue pointue chatouille mon oreille. “Tu en as déjà sucé, des grosses comme ça ?” Chuchote-t-elle. En retournant ma tête pour lui répondre, sa bouche se plaque contre la mienne et sa langue part à la rencontre de la mienne. Ma main relève le bas de sa robe pour que mes doigts explorent sa petite chatte libre de toute culotte. Je plaque ma queue sur sa hanche, mon bras la ceinture et tient le tissu relevé pour que notre branleur voie bien sa belle chatte alors que mon autre main lui doigte son petit vagin trempé.

C’en est trop pour lui. Son râle nous indique qu’il va juter. Sa main s’immobilise en tenant sa queue bien tendue, le bassin en avant, et quatre abondantes giclées de sperme volent dans les airs dans notre direction, venant s’écraser à quelques centimètres de nos pieds. Sans aucune pudeur, il essore sa queue déjà à demi molle entre son pouce et son index, secoue la dernière goutte, remballe son matos et file sans même un mot. Je relâche la robe de Dan, et celle-ci me tire dans une cabine, chauffée à blanc par ce qu’elle vient de vivre. Je mets un jeton, le film démarre. Personne n’est sorti de sa cabine pendant notre petit divertissement, et c’est très bien ainsi.

Mais Dan revient à la charge, me redemande si j’ai déjà sucé de grosses queues comme celle de notre exhibitionniste. Alors que le film tourne sans que nous y prêtions attention, je lui explique qu’il m’est arrivé d’en voir de belles, de bonnes, et qu’Hervé réunissait les deux à lui seul, en plus d’une certaine endurance, et qu’il m’avait donné énormément de plaisir, avec et par sa queue. Excitée au possible, elle se frotte contre moi, m’embrasse, caresse mon sexe raide au travers du jean. “Je voudrais te voir le sucer, et le sucer avec toi, s’il te plaît.” Je ne suis pas certain qu’il veuille, là, ce soir, et lui propose d’organiser une rencontre, un autre soir, d’en parler maintenant, mais… elle insiste, me dit être déjà tellement excitée, et me fait capituler. Et justement, lorsque nous arrivons dans la boutique, Hervé est en train de fermer à clef. Il nous retrouve là, le regard un peu brillant; puis ses yeux se posent sur mon pantalon bien tendu, et, toujours avec un beau sourire, me dit que si je n’ai pas eu le temps de terminer, je savais où se trouvait la réserve ! Danièle rebondit sur ces mots, arguant qu’il ne lui reste plus que cette pièce à visiter pour tout connaître. “Presque tout !”, s’exclame-t-il alors. “Allez, suivez le guide !” dit-il en se saisissant de la caisse.

Passé le premier, il éclaire la pièce et nous invite à le suivre. La caisse déposée dans un des tiroirs, il pose ses fesses contre la fameuse table. “Ce n’est pas le Ritz, comme établissement, mais le personnel y est fort sympathique.” Ironise-t-il, avant de rajouter que ce n’est pas non plus un très bel endroit pour une aussi jolie femme, que les seules femmes généralement présentes le sont… en vidéo. “Je suis justement venue pour me faire une idée de l’ambiance, et afin de pouvoir mettre un visage sur un… prénom.”

Elle en a déjà beaucoup dit. Je n’ai plus grand chose à ajouter, si ce n’est que son fantasme est, comme je lui ai déjà expliqué, de voir deux hommes faire l’amour. Depuis que je lui ai TOUT raconté, y compris la beauté de sa queue, Dan rêve de me voir au moins lui faire une pipe, et se joindre à moi. “Comment voyez-vous la situation ? Là ? De suite, sur cette fichue table ? Je reconnais que la situation est tentante, tu es très belle, je sais également ce qu’il sait faire avec sa bouche et ses fesses, mais certainement que dans un lieu plus approprié, avec un éclairage choisi, après un petit verre, nous y trouverions plus de plaisir !”

Vingt minutes plus tard, nous sommes chez moi, assis autour d’un verre. Je me rends compte que le plus embarrassé est… ma pomme. Très à l’aise avec les femmes, et les hommes aussi, je suis pourtant gêné de la présence de Danièle, et me pose beaucoup de questions. Sûrement trop. Une femme de rêve, un mec de rêve, et je prends conscience de l’ambiguïté de mes sentiments, de mon porte-à-faux sexuel. Pourtant, mes deux comparses attendent une action de ma part, et savent très bien que j’en suis capable.

“Alors, qu’as-tu vécu d’extraordinaire aujourd’hui ?” Risquais-je auprès d’Hervé. Ce dernier me répond qu’à part des “Oh oui, baise-moi !” et autres “Ah-ah-ahhhhhh!” venant des cabines, finalement pas grand-chose ! Mais sentant que je compte sur son intervention pour casser la glace, il rajoute amicalement : “Malgré la présence de Danièle, je rajouterai que depuis la dernière nuit que nous avons passé juste à côté, il ne m’est rien arrivé d’extraordinaire, et que… tu connais mes besoins, non ?” Dan rajoute que depuis quelques semaines, elle n’est jamais restée sur sa faim, que je la comble de plaisir, et qu’elle comprend que l’on veuille “y revenir” !

L’érection d’Hervé tend lentement son pantalon. Je me lève et viens entre ses jambes pour le dégrafer, et enfin libérer son magnifique sexe. Avant de tenter quoi que ce soit, je tire complètement le pantalon et le caleçon sur ses chevilles pour que Dan puisse avoir une vue d’ensemble. Les yeux brillant de lubricité, elle nous félicite, tant pour mon bon goût que pour son bel organe. Ma main sous ses lourdes boules, ma bouche avale son gros morceau à demi bandé, et commence à le sucer lentement, prenant bien le temps de le déguster, la main d’Hervé posée sur ma nuque. “Que c’est bon ! Quelle bouche !” Lâche-t-il dans un soupir.

Danièle n’en perd rien, ses doigts massent son pubis par-dessus sa robe. Les quelques hésitations que j’ai eues précédemment se sont dissipées, et je savoure la belle barre de mon “copain”, le pompant régulièrement, sans vouloir non plus aller trop vite. Mais je propose que nous allions plutôt dans la chambre, confortablement installé sur le lit. Calmement, il retire ses chaussures et chaussettes, puis se lève et tombe sa chemise pendant que je me déshabille également. Les choses sont bien engagées ! Contre toute attente, Dan passe les bretelles de sa robe de chaque côté de ses épaules, et la robe d’été glisse sur le sol, livrant à notre regard toute sa beauté. Elle part la première, sans aucun doute pour qu’Hervé puisse admirer son magnifique cul de déesse.

Je demande à notre invité de se coucher en plein milieu du lit et de se laisser faire alors que je glisse entre ses jambes. Assise au coin du lit, Danièle regarde cette grosse bite disparaître entre mes lèvres, en se titillant doucement son bouton d’amour. Hervé s’émerveille de sa poitrine, lui disant qu’elle est magnifique, que j’ai beaucoup de chance. Lentement, elle s’allonge alors à mes côtés et vient m’embrasser sur la joue. Je me mets légèrement de côté, la bite d’Hervé sort de ma bouche, droite, majestueuse son gros gland menaçant entre nos deux visages. Nos bouches s’approchent de l’objet, et nos deux langues se rejoignent sur cette magnifique queue, s’effleurant de la pointe, léchant le bord de son gland comme un gros bonbon, une friandise. “Putain, je n’y crois pas !” dit Hervé. Nos bouches se succèdent et se complètent, aspirant tantôt son gland, tantôt ses testicules, mais ne lui laissant aucun répit, l’attaquant sous tous les angles.

Danièle me serre les couilles de sa main libre, la mienne pétrit son sein arrogant sans trop de finesse et notre jouet, lui, souffle de plus en plus fort, nous avertissant que quand il va décharger, il va nous noyer sous des litres de sperme, et… dans peu de temps ! Dan saisit alors sa queue à la base et la tient tendue, nos lèvres de chaque bord de son gland. Je lui prends les couilles dans ma main pour l’aider à se lâcher. D’un cri, il nous annonce le départ. Danièle place alors ses lèvres sur son gland et reçoit la première giclée pendant que les miennes, collées aux siennes, attendent leur averse brûlante. Toujours aussi abondamment, Hervé nous abreuve de sa crémeuse semence, éclaboussant nos lèvres, remplissant simultanément nos deux bouches entrouvertes de plusieurs lourdes giclées, sa queue vibrant à chaque passage. Notre amant n’est pas avare de son foutre, et lorsque toute sa fougue à changer de propriétaire, Dan attrape mes lèvres pour une “pelle” d’anthologie, pendant laquelle nous dégustons sa délicieuse liqueur. Puis nous retournons autour de son splendide gland pour le lécher amoureusement.

Son sperme est d’un équilibre parfait, tant en viscosité qu’en goût. L’aspect sucré salé ne prédomine pas vraiment, et lui confère une certaine neutralité. Il se glisse sur nos langues avec onctuosité, et nous l’avalons ensuite avec délectation.

Danièle nous remercie pour ce moment très hot qui l’a mise dans un état d’excitation hors du commun. Elle s’empare de ma queue et me demande de la prendre sur le champ, de ne plus la faire attendre. Sa tête devant la queue qu’elle vient de quitter, je passe derrière sa croupe, m’enfonce entre ses lèvres et la prends à grands coups de reins. Les secousses que je lui inflige amusent Hervé, les cheveux de Dan lui chatouillant agréablement les couilles. Mais elle n’est plus à l’humour, ses petits cris de satisfaction nous le font bien comprendre. Chaude comme un soleil d’été, elle part dans un orgasme puissant, libérateur, prenant dans sa main les belles burnes de notre ami comme otage dans ce long voyage. Je n’ai pas encore joui, je caresse les flancs et les seins de Dan, qui enfin semble apaisée, tandis qu’Hervé, lui, a profité de la main douce posée sur son intimité pour lentement rebander. Il se lève, passe derrière moi et d’une main, vient caresser la poitrine de Danièle. “Qu’ils sont fermes ! Tu as vraiment une poitrine somptueuse. Tu me fais bander rien qu’à les regarder.” Puis sa main descend doucement sur son ventre, sa hanche et sa fesse, n’hésitant pas à se glisser entre mon ventre et sa croupe alors que ma queue raide palpite en elle. Je sens son vagin se contracter autour de mon membre lorsque les doigts d’Hervé s’immiscent entre ses fesses, et que l’un deux pénètre son petit cul tout trempé. “Que l’on doit être bien au chaud, là !” S’exclame-t-il. Mais Dan lui explique qu’elle veut le voir me prendre d’abord !

Tous deux couchés de côté, Dan se place en 69, m’offrant sa petite chatte à dévorer fougueusement. Hervé s’allonge dans mon dos, posant son beau et solide mât contre mon scrotum, sous les yeux ravis de notre belle complice. De sa main passée par-dessus ma hanche, elle m’écarte les fesses, et de l’autre, se saisit de la hampe pour la placer contre mon anus. “Je vais essayer de te faire autant jouir que la dernière fois. Quand j’aurai fini avec toi, je suis sûr que Dan voudra la même chose !” Il est toujours aussi sûr de lui ! Alors que ma langue se perd entre le vagin et l’anus délicat de ma nénette, Hervé, lui, commence à pousser son membre bandé dans mon cul étroit. Je pousse pour l’accompagner, et la bouche de Dan vient aspirer mes burnes et les gobe tendrement.

“Tu es loin d’être vierge ! Grand et gros comme il l’est, tu te le prends plutôt facilement. Hummmm, tu as raison, il me la faudra…” En quelques poussées, mon cul a tout avalé, et Dan maintenant pompe ma queue entre ses lèvres gourmandes. Pendant qu’il me met de longs et lents coups de bite, Hervé me dit que mon cul est si souple qu’il pourrait m’enculer des heures, et que comme on l’a bien pompé juste avant qu’il peut maintenant jouer avec nos petit culs, nous saillir longuement. C’est ce qu’il s’emploie à faire, enfonçant du même coup ma bite dans la gorge de Danièle lorsque ses lourdes burnes viennent frapper les miennes.

J’ai chaud, la tête entre ses douces cuisses, le cul bourré par cette belle bite, sucé en même temps. Je leur crie que c’est moi qui ne tiendrai pas la longueur tant ils s’occupent bien de moi, tant ils me comblent ! “Tu jouis quand tu le voudras, c’est trop bon de te voir si bien pris. Laisse toi aller, donne-moi tout, je vais jouir aussi.” me dit Dan en me reprenant entre ses lèvres. Hervé accélère alors la cadence, me plantant franchement le cul. Une main douce vient prendre mes couilles et les maintient. Sa queue remonte jusque dans ma gorge, et au moment où Dan me trempe le visage de mouille en ruant du bassin dans sa jouissance, mon ventre se crispe et je décharge abondamment dans la bouche qui depuis le début m’accueille. En 5 minutes, j’ai joui comme un puceau, trop excité par toutes ces stimulations. Mais que c’est bon !

Conscient de notre orgasme commun, Hervé s’immobilise patiemment au fond de mes fesses, nous répétant que nous avons le temps, qu’il bandera le temps qu’il faudra. Pour l’instant, c’est d’un peu de répit dont nous avons besoin. Lorsque nos esprits se rassemblent, Hervé quitte mon anus fraîchement calibré, et nous nous retrouvons tous les trois assis sur le lit à raconter nos sensations, les yeux rivés sur cette belle barre à plaisir.

Le temps d’un verre pour nous changer les idées, nous restons entièrement nus, toute pudeur ayant naturellement disparue. Et c’est tout aussi naturellement que nous prenons tous les trois ensemble une bonne douche pendant laquelle chacun savonne l’autre. Les seins pointant, nos queues lourdes à l’horizontale, tous trois gorgés de désir, nous en voulons encore. Secs, Dan attrape nos queues et nous entraîne vers la chambre, s’assied au bord du lit et nous prend par les couilles. “Deux beaux mecs, deux belles queues… je craque ! Qu’elle est grosse ! Je vais la sentir passer.” En effet, ses doigts n’en font pas le tour complètement tant le diamètre en est important. Sa phrase à peine terminée, elle nous prend en bouche tour à tour, nous suçant avec beaucoup d’entrain. “Tu as envie de l’essayer, hein ? Tu vas voir, il est impressionnant, mais… bon !” Lui dis-je alors qu’elle nous pompe. Nos glands sont devant son visage, et se succèdent entre ses lèvres. “Je vais vous enculer tous les deux, laissez-moi vous placer. Elle est bien dure, ça va le faire !” Sourit-il en se retirant.

Je suis allongé sur le dos en travers du lit, et il me relève les jambes sur mon torse, comme s’il voulait me prendre, mais invite Dan à me chevaucher. Ma bite raide s’enfonce alors dans son vagin. Entravé, c’est à elle qu’incombe le mouvement. Tout en m’embrassant, je lui glisse qu’en fait, c’est moi qui bande, mais bien elle qui me baise ! Hervé, lui, la queue invariablement à l’horizontale, lèche (enfin!) le petit cul de sa future “enculée” avec une certaine voracité, ce qui n’est pas pour lui déplaire. “Hummm, oui, j’ai hâte que tu me prennes, mouille moi bien le cul, oui, c’est bon. “ Evidemment, dit comme cela… il se place alors derrière son superbe cul, prend appui d’un pied sur le lit, pointe son gland sur la rosette de Dan, puis vient de ses mains se saisir de ses énormes seins en lui chuchotant :” Pousse avec moi, je vais t’enculer doucement. Oui, pousse encore, comme ça. C’est bon, tu me sens glisser dans ton cul ?” Dan ferme les yeux, se mord un peu la lèvre, elle la sent passer, c’est manifeste. Je lui caresse le visage en lui disant qu’elle va adorer, qu’Hervé est un bon amant, qu’il ne va pas lui casser le cul, bien au contraire !

Immobile, enfoncé aux deux tiers entre ses fesses, Hervé décrit ce qu’il ressent, nous confirmant que l’on était deux beaux cochons faits pour le cul, et qu’il ne regrette pas d’être là ce soir. Il sent bien ma queue contre la sienne, et Dan commence à reprendre le sens du rythme, remuant lentement son fondement. J’essaie de bouger mon bassin de mon côté, la pression de cette grosse queue contre moi m’excite, et lorsqu’il reprend sa progression, j’ai l’impression qu’il me pénètre la verge. “Ohhhhh, je suis pleine de vous ! Doucement, c’est bon, mais… tout doucement, les garçons. Vous ne vous rendez pas compte de la grosseur de vos queues !”

Mais il commence doucement à limer son cul distendu en faisant de petits mouvements, auxquels elle répond tendrement. En la baisant, c’est comme s’il me branlait, sa large bite frottant la mienne avec intensité. Nous nous détendons, et chacun exprime son ressenti, ce qui finalement nous stimule encore plus. “Tu t’y habitues à ma bonne queue. Je te sens te détendre. Maintenant, je vais enculer un peu ton copain, puis je reviens entre tes fesses.” Alors qu’il se retire, Dan lui demande de revenir vite lui remplir le cul, appréciant sa large présence. Son ogive retrouve facilement le trou du mien, de cul, et s’y enfonce en deux coups de reins, me coupant le souffle quelques secondes. “Maintenant, je comprends ce que tu ressens. C’est la première fois que je me fais sodomiser par une aussi grosse queue, mais les frissons qui me parcourent sont trop bons ! Embrasse-moi pendant qu’il te prend.” Sa langue me fouille tandis qu’Hervé me remplit les fesses et que Danièle s’empale sur ma queue de plus en plus fort. Cette sensation est exquise, sentir le ventre de mon baiseur écraser mes couilles en me besognant, Dan gigoter sur ma queue… Ses coups de queue sont appuyés, il me la met franchement, sans discontinuer, s’arrêtant seulement lorsque ses grosses burnes butent au bas de mon dos. Il me baise ainsi un bon moment, et je sens mon plaisir monter graduellement. Sa queue est si bonne. Mais Dan veut sa dose également ! Et j’aime partager, avec elle.

“Vas-y, encule-moi maintenant, je crois que je vais bientôt jouir entre vous deux ! Baisez-moi !” Elle réclame son morceau de queue, chaude au possible. Hervé lui présente et je le sens frotter le long de la mienne, la pénétrant d’un coup. “Oui, c’est bon, encule-moi, faites-moi jouir, n’arrêtez surtout pas !” Les freins ont lâché, la course folle commence. Hervé met cette fois ses deux pieds sur le lit, et reprenant sa monture par les seins, il nous annonce qu’il va bientôt gicler en s’enfonçant régulièrement entre ses fesses, lui fouillant maintenant le cul sans ménagement. Ayant changé d’angle, sa bite écrase encore plus la mienne, déjà bien stimulée par les ruades de Dan. “Je jouis, oui, je jouiiiis !” crie-t-elle en transe, ses reins se contractant. Au travers de la mince paroi vaginale, la queue de son enculeur vibre puissamment, m’indiquant clairement qu’il est en train de l’inséminer, vidant ses belles couilles dans ce si joli petit cul. Toute cette agitation finit par avoir raison de mon éjaculation, et je m’oublie également contre le col de son utérus.

Je ne sais combien de temps nous restons ainsi, mais mes hanches n’en peuvent plus, et nous nous désaccouplons. Nous gisons tous les trois sur le lit, repus de sexe. “Je suis vidé.” Lâche alors péniblement Hervé. “Moi, je suis remplie ! Vous m’avez transformée en fontaine à sperme !” Rit Danièle, vraiment complice. Je lui demande alors de venir s’asseoir sur mon visage pour lui faciliter la suite. Son cul béant et sa petite chatte se placent juste au-dessus de mes lèvres. Le foutre chaud ruisselle doucement de ses orifices, s’écoulant dans ma bouche pour mon plus grand plaisir.

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Une réponse à Une soirée réussie ! 11- Voir, et… être vu ! par Bibi_01

  1. Darrigade dit :

    Un très bon récit bisexuel, bandant à souhait !

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