Au début de la troisième semaine, toute cette histoire me semblait bien
loin. Pourtant en sortant de l’appartement pour aller au boulot, je suis
tombé sur le facteur:
« Bonjour, j’ai un paquet avec votre adresse mais à la place du nom, il est
simplement indiqué ‘Z’. Ca vous dit quelque chose? »
Tous les souvenirs de cette journée revinrent d’un coup à ma mémoire,
intactes comme si c’était hier. Evidement que ‘Z’ me disait quelque chose.
Je m’empressais de prendre livraison du paquet et je pris ma voiture. Je me
suis arrêté sur l’autoroute dans le premier parking venu. La tension était à
son comble. Je n’avais aucun doute sur la provenance de ce paquet, mais
quant à son contenu ? Le paquet faisait un cube d’environ 30 centimètres de
côté. Par réflexe, je secouais la boîte et quelque chose bougeait à
l’intérieur. A bout de patience et puisqu’il fallait bien en finir avec ce
mystère, je finis par ouvrir le colis. A l’intérieur, Une enveloppe et une
autre boîte. L’enveloppe était parfumée, c’était presque romantique!
La lettre disait ceci :
« Bonjour ‘Z’. Comme je te l’avais promis, je viens me rappeler à ton bon
souvenir! C’est à toi de décider aujourd’hui si tu veux poursuivre ton
éducation auprès de moi. J’imagine que notre première rencontre ne t’a pas
laissé que des bons souvenirs. C’est normal au début. Pour toi tout cela est
nouveau et tu dois te poser beaucoup de questions. Sur toi surtout! Tu as
été confronté à un aspect de ta personnalité que tu ne soupçonnais pas. D’un
côté toute cette part de mystère et l’appréhension de l’inconnu ton beaucoup
excité et d’autre part tu as honte de t’être abaissé à de telles pratiques.
Peu de gens ont le courage de regarder en face ce qu’ils sont et il en est
encore moins qui sont prêts à l’accepter. Pourtant, il ne faut pas avoir
honte car nous avons tous en nous à différents degrés une dose de
masochisme, de sadisme, ou des deux. Tu te dis que, si tu te mets à aimer
cela, c’est que tu n’es pas normal, que tu n’es qu’un être pervers en marge
de la société et qui n’inspire que le dégoût à autrui. Ah, si tu savais
combien de personnes fantasment sur ce type de relation et combien peu
nombreux sont ceux qui osent franchir le pas. Pourtant, une fois le
sentiment de honte dépassé, tu découvres des plaisirs jusqu’alors
insoupçonnés. Alors laisse moi t’enseigner mon art pour qu’enfin se révèle
ta vraie personnalité. Tu n’auras pas à le regretter et de toute façon si ça
ne te convient pas, tu es libre de t’en aller quand tu veux. Lorsqu’un
nouvel esclave se met à mon service, j’ai pour principe de fixer de commun
accord les limites acceptables pour toutes les parties. Bien sûr, une chose
peut paraître de prime abord repoussante voir choquante, mais tu ne peux
savoir si tu l’apprécies ou pas que si tu as au moins essayé une fois. Les
apparences sont souvent trompeuses. Au cas où tu déciderais de faire un bout
de chemin avec moi, tu trouveras dans l’autre boîte quelques présents.
Découvres par toi même à quoi on peut jouer avec ! Laisse donc travailler
ton imagination. Dans l’autre boîte tu trouveras aussi ta première mission,
si tu acceptes mon contrat! »
Tout d’un coup, je voyais les choses sous un autre angle. Cette femme jouait
un rôle et elle le jouait bien. C’est ce que ses esclaves consentants
attendaient d’elle. Si ça tombe, dans sa vie de tous les jours c’était
peut-être une personne très calme et très sensible. Tout cela n’était qu’un
jeu et tout un chacun était libre d’y participer ou pas. En repensant à ma
première séance, c’est vrai que ce n’est pas à la douleur que je pense en
premier. J’ai joui comme jamais! La douleur et la situation pour le moins
oppressante n’ont été que le vecteur de mon plaisir. Et c’est en fait le
plus important. Je ne ressens plus de honte car je sais maintenant que la
fille qui a souffert son mon joug ne demandait que cela. En plus, je ne
contrôlais rien. La Maîtresse devait certainement connaître ce qui plaisait
à son esclave. Quant à moi, avec le recul, je me suis bien amusé! Mon seul
regret est que je n’ai jamais osé parler de mes penchants à ma femme. Je me
soumettrais volontiers à mon épouse, mais elle à un côté si bourgeois qui me
pousse à croire qu’elle n’apprécierait pas la chose.
Néanmoins, cette Maîtresse avait trouvé les mots justes et j’étais décidé à
accepter une seconde entrevue.
J’ouvris donc l’autre paquet. Il contenait un objet de métal, oblong,
terminé par un disque. Ça ressemblait à un tampon comme on utilise pour
marquer le courrier. Sur la surface du disque on pouvait voir une
inscription faite de lettres enchevêtrées. Cela devait être un monogramme
mais je n’avais aucune idée de sa signification. Je retrouvais également le
fameux gode qui participa à mon humiliation, à la différence que cette
fois-ci, Il était gravé d’un grand Z sur la partie supérieure. Il y avait
encore un collier avec une médaille. Le collier comportait aussi deux
bracelets attachés de part et d’autre par deux chaînes très courtes. Sur le
devant du collier pendait à côté de la médaille un petit anneau de même qu’à
l’arrière. Je trouvais encore une chaîne mince d’une trentaine de
centimètres, une autre dépassant largement le mètre, deux pinces avec des
vis, une série de poids en laiton, une camisole pénienne en cuir noir avec
des anneaux de chaque côté de la partie supérieure. Le tout se fermait à
l’aide de lanières de cuir. Un parachute pour testicules également muni
d’anneaux. Un fouet à manche en forme de pénis munis de 15 lanières de cuir.
Un bâillon avec une boule de caoutchouc de taille moyenne. Un masque en cuir
avec des oeillères amovibles. Le tout bien évidement frappé d’un Z. Et enfin
une chevalière ornée du même monogramme que le tampon.
Bien sûr au moment des faits je ne connaissais même pas le nom de la plupart
de ces ustensiles et encore moins leur utilisation courante. Mais je
possédais apparemment le kit du parfait petit esclave débutant!
Pour finir, une autre enveloppe cachetée de cire. Le cachet représentait les
mêmes inscriptions que sur le tampon et la chevalière. Une fois l’enveloppe
ouverte je pu lire:
» Tu as choisi de jouer avec moi! Tu me respecteras et tu m’obéiras pour ton
plus grand plaisir.
Alors maintenant écoute et exécute:
– Utilises mon sceau avec de l’encre et marques toi l’aisselle droite.
(L’encre partira au bout de quelques jours) – Apprends l’usage de tout mes
présents!
– Cultives toi et apprends les subtilités de notre art. J’attend de mes
esclaves qu’ils s’exécutent sans poser de questions ce qui implique qu’ils
doivent comprendre directement ce que j’attend d’eux!
– Si tu venais à rencontrer quelqu’un qui te montre mon sceau, écoutes là,
elle parlera en mon nom!
A très bientôt mon cher esclave,
Maîtresse Gwen »
Je connaissais maintenant le nom de ma Maîtresse. La lettre extérieure du
monogramme était un G majuscule et devait probablement correspondre à la
première lettre de son nom.
Je reçu deux jours plus tard une grande enveloppe toujours adressée à « Z ».
Le contenu disait ceci : « Voici venu le temps de me dire si tu veux jouer
avec moi ou pas. Rends toi dans deux jours au photomaton du supermarché
derrière chez toi pour 14h00. Une femme se tiendra à côté. Tu entreras et tu
photographieras ton aisselle afin de me donner ton consentement. Tu
attendras que la femme s’en aille avec les photos puis tu pourras partir! Si
tu as décidé de rejoindre ma tribu, je te recontacterais. »
Tout ce mystère me plaisait beaucoup! J’ai pris congé le jour dit. J’ai
réalisé le tatouage et je me suis allongé dans le divan le bras tendu vers
l’arrière en attendant que ça sèche. Dans l’ensemble, c’était une réussite
et je m’en félicitais, ça ferait une belle photo. A 13h55 précise j’étais en
vue du photomaton et une femme toute de cuir vêtue attendait devant. Un
panneau indiquant « En panne » pendait devant le rideau. Dès qu’elle me vit,
elle retira le panneau et me fît signe d’entrer. Je pris 4 clichés de mon
aisselle et j’attendis que les photos soient développées et que la messagère
parte avec. Au bout d’un quart d’heure je quittais les lieux. La fille
n’avait pris que trois photos et elle m’avait laissé la dernière. Ca me
ferait un souvenir pour plus tard.
Je n’ai plus eu de nouvelles pendant trois semaines. J’ai mis ce temps à
contribution pour en apprendre un maximum sur les pratiques
sado-masochistes. Internet regorge d’information sur le sujet. A croire que
la moitié des gens de la planète sont des dépravés. J’avais une bien
meilleure idée de ce qu’on pouvait faire avec tous les ustensiles mis à ma
disposition. J’entrepris donc ma propre éducation au fur et à mesure de mes
découvertes sur le net. Puis arriva à nouveau une missive pour monsieur
« Z ».
Le message disait :
« Je me réjouis de ta décision. Très joli ton estampille. Tu ne le sais pas
encore, mais ton épouse va devoir s’absenter ce week-end pour raisons
professionnelles! Te voilà donc disponible. Une limousine passera te prendre
vendredi. Surtout n’oublie pas d’apporter ton matériel. Tu mettras un
smoking et la chevalière que je t’ai offerte. »
Et effectivement, le soir venu, mon épouse m’appris qu’elle devait se rendre
à Munich pour tout le week-end au salon annuel des industries du textile.
Elle remplaçait une collègue tombée malade. La seule chose qui clochait dans
cette histoire c’est que ma nouvelle Maîtresse était au courant de bien des
choses sur ma femme et moi! Tant pis, je finirais bien par connaître le fin
mot de l’histoire.
Je m’étais préparé en cachette, moi aussi, une valise pour deux jours. J’ai
trafiqué le téléphone et j’ai raconté à ma femme qu’on avait reçu un mot
expliquant qu’il serait en panne tout le week-end. Comme cela si elle me
sonnait ce serait sur mon portable que j’emportais avec moi.
Le vendredi vers 19h00, on sonna à la porte. C’était un chauffeur en livrée
qui m’invita à prendre place dans une grande limousine blanche. Il y avait
deux filles à l’arrière du véhicule et je reconnus directement Sarah et
Trixie, les deux soubrettes lubriques du manoir. La voiture a démarré. Les
filles m’ont accueilli avec un large sourire :
« Salut ‘Z’ nous sommes contentes de te revoir. On rejoint Maîtresse Gwen,
mais on ne sait pas où. Il n’y a que le chauffeur qui connaît la
destination. J’espère qu’on pourra encore s’occuper les uns des autres ce
soir. J’ai apprécié la dernière fois! »
La voiture s’est arrêtée devant la vitrine de ce qui semblait être un
restaurant. Une enseigne pendait au-dessus de la porte : « L’amazone » et sur
la porte un écriteau disait « homme non tenu en laisse interdit! » avec en
dessous un smiley qui fait un clin d’oeil. Sarah insista pour que je mette
mon collier mais sans attacher mes mains aux bracelets. Elle a fixé une
laisse au collier et nous sommes entré. En apparence, ce restaurant
ressemblait à tous les autres, mais on quitta très vite la pièce principale
où il n’y avait que deux tables occupées par des filles qui regardaient dans
ma direction avec un sourire complice. On a suivi un long couloir pour
arriver dans une grande pièce à l’arrière du bâtiment.
La pièce comprenait une dizaine de loges qu’on pouvait fermer aux regards
indiscrets avec un rideau de velours noir. On me mena dans la loge la plus
au fond. Maîtresse Gwen était déjà là, vêtue d’une minijupe en latex rouge
rayé de noir qui cachait à peine un slip en cuir noir. Des bottes blanches,
mi-longues. Un body rouge également en latex et les gants assortis.
Une grande table ronde en bois trônait au centre de la loge. Une femme avait
l’avant du corps couché sur la table, les mains attachées par des bracelets
de cuir fixés au bord de la table. Les jambes maintenues écartées par un
bois attaché de part et d’autre aux chevilles. Elle était entièrement nue
sauf la tête qui était couverte d’une cagoule de cuir avec deux trous au
niveau du nez pour respirer et une ouverture à la place de la bouche.
Maîtresse Gwen m’invita à m’asseoir, entre Sarah et Trixie et me dit:
» Bonsoir cher ami, je suis ravie de te retrouver ce soir. Je t’ai préparé
un petit repas dont tu me diras des nouvelles. Nous allons nous mettre
d’accord sur le principe suivant. Je te donne des ordres et si tu as une
raison valable de ne pas le réaliser, tu ne me le signales et on passe à
autre chose. Que ce soit pour des raisons de santé ou par goût personnel. Au
fur et à mesure de nos rencontres je dresserais ton profil avec les choses
que tu apprécies et celle que tu n’aimes pas de sorte qu’ensuite je pourrais
me concentrer sur mes mises en scène sans que nos petits jeux ne soient plus
interrompus. Je connais déjà très bien Sarah et Trixie. Lorsqu’elles
subissent une humiliation ou une punition, elles prennent toujours un air de
victime apeurée, mais ne te laisse pas berner car en fait elles adorent ça
et elles en redemandent. Il n’y a pas grand chose qui les dégoûtent, et plus
c’est vicieux, plus elles aiment! N’est-ce pas mes chéries? »
Réponse collégiale : « Oui Madame! Nous sommes de vilaines petites cochonnes
qui méritent une bonne punition! » » Bon, maintenant que les règles du jeu
sont établies, et si tu n’as plus de questions, on peut commencer le repas.
Ah oui, j’oubliais, sur la table c’est Odessa, tu feras plus ample
connaissance avec elle ce week-end. Serveuses! »
Deux serveuses entrèrent avec des plats. Elles déposèrent dans le creux des
reins d’Odessa un assortiment de crevettes et de scampis. Sur le dessus du
dos deux petits pots l’un avec de l’huile et l’autre avec une sauce à base
de piment. Enfin elles placèrent un bol en verre rempli de glaçons en
équilibre sur les fesses de la fille. Elles déposèrent également des flûtes
et une bouteille de champagne.
Maîtresse Gwen pris un pinceau qu’elle trempa dans l’huile et badigeonna la
vulve de la fille couchée sur la table. Ensuite elle lui caressa le sexe
avec sa main toujours couverte d’un gant. Après une petite minute de ce
traitement, elle introduisit un doigt puis deux, et ainsi de suite jusqu’à
pouvoir entrer tous les doigts. La fille commençait à gémir de plaisir.
Finalement, la main entière fini par entrer dans ce sexe écartelé et
dégoulinant. C’est la première fois que j’assistais à un fist en live et
j’avais toujours cru que c’était un trucage vidéo. Maîtresse Gwen présenta
sa main tendue à Sarah qui ne se fit pas prier pour lécher la moindre
parcelle du gant et sucer méticuleusement les doigts en me fixant d’un
regard lubrique. J’aurais apprécié à ce moment là que mon sexe soit à la
place des doigts.
Ensuite Maîtresse Gwen sorti une paire de baguette chinoise. Elle pris un
scampi et le frotta généreusement sur la vulve baveuse. Ensuite elle tendit
les baguettes devant ma bouche et dit :
« Mâches bien, tu avaleras quand je te le dirais »
J’ai ouvert la bouche pour prendre le scampi et j’ai mâché. J’avoue que la
scène à laquelle je venais d’assister ne me laissait pas de marbre et je
bandais! J’avais déjà vu faire ça dans un film érotique et le goût était
loin d’être désagréable. Maîtresse Gwen distribua le même repas à chacune de
ses esclaves et à elle même. Elle me donna l’ordre d’embrasser Trixie à
pleine bouche. Puis enfin, nous avons pu avaler. Après le scampi à la mode
chatte trempée, vînt le tour du scampi à la mode cul en feu. Maîtresse Gwen
repris son pinceau mais cette fois elle le trempa dans la sauce au piment.
Elle badigeonna l’anus de son esclave qui n’a pas pu s’empêcher de
sursauter. J’ai rattrapé de justesse le bol de glaçons! Ensuite Maîtresse
Gwen pris une crevette et la frotta sur l’anus puis sur le sexe et repris sa
distribution en commençant par moi mais cette fois avec interdiction de
mâcher ou d’avaler. Très vite la bouche me brûla et j’eu les larmes au yeux.
J’adorais les piments, mais ça me faisait toujours cet effet là ! Une fois
tout le monde servi, nous avons pu avaler. Vînt alors le tour des glaçons.
Maîtresse Gwen pris un glaçon et le posa sur l’anus de sa victime. En
fondant, le glaçon devait apaiser la sensation de piquant, mais à la longue
ça devait se transformer en une sensation de brûlure d’un autre type. Odessa
tremblait sur la table. A ce moment là je n’aurais su dire si c’était de
plaisir ou à cause du glaçon. Je fus ensuite invité à nettoyer le sexe et
l’anus de la pauvre fille avec ma langue. Heureusement pour moi, il ne
restait pratiquement plus de sauce au piment sur l’anus. Après j’ai pu lui
enfoncer un glaçon dans le cul et un autre dans le vagin. J’étais curieux de
savoir ce que ça faisait et si mon tour ne venait pas aujourd’hui
j’essayerais chez moi plus tard. En tout cas la vie gémissait de plus en
plus. Maîtresse Gwen parla alors à l’oreille de Trixie qui disparu un
moment. Elle revînt munie d’un gode ceinture et pris ma place derrière
Odessa. Elle se chargea de libérer la pauvre fille de son plaisir en la
conduisant aux portes du plaisir.
Pour terminer, Maîtresse Gwen se servit un verre de champagne.
Elle me regarda et pris le verre devant moi. Elle écarta les jambes et je pu
voir que son slip était entièrement fendu sur le devant. Avec un sourire,
elle présenta le verre devant son sexe. Après quelques secondes, elle rempli
un demi verre avec son urine. Elle me donna le verre en disant :
« Bois, c’est meilleur quand c’est encore chaud! ».
J’avais déjà testé le goût de l’urine lors de ma première visite au manoir
et je me demandais si celle là aurait le même goût. Je bu le liquide chaud
d’abord à petites gorgées et puis avidement. C’est vrai que ce n’était pas
mauvais du tout. Il faudrait que je pense à demander à Maîtresse Gwen s’il y
avait moyen d’influencer le goût de l’urine en fonction de ce que l’on mange
ou de ce que l’on boit. En plus, cela calmait le feu dans ma gorge. Elle fît
de même pour Sarah. Quant à Trixie, elle se servit à la source même et
termina d’essuyer le sexe de Maîtresse Gwen avec sa langue.
Une fois ce repas pour le moins hors du commun terminé, je reçu l’ordre de
me déshabiller. Maîtresse Gwen pris une cravache et tira sur ma laisse en
m’ordonnant de me mettre à quatre pattes comme un chien. Elle me promena
jusqu’à l’entrée de la salle et écarta une tapisserie sur le mur. Derrière
se trouvait un long couloir éclairé par des spots dirigés de part et d’autre
vers des panneaux de bois de couleur noire.
J’aperçu, là où le halo du premier spot frappait le mur, deux sexes d’homme,
un blanc et un noir. Le premier ordre ne se fît pas attendre :
« Suce le noir et branle l’autre avec ta main droite! ».
Je n’avais jamais pris le sexe d’un autre homme en main et encore moins dans
ma bouche. J’hésitais fortement car je n’étais pas homo et pourtant je me
suis souvenu à ce moment là que j’avais déjà fantasmé sur cela. Dans mon
phantasme, Je me voyais partager une bite avec une superbe fille. Nos
langues parcouraient le manche tendu de part et d’autre pour se rejoindre et
se toucher sur le gland. A l’époque ça m’avait tellement excité que je suis
allé me masturber dans les WC au milieu de la nuit. Comme pour m’encourager,
Maîtresse Gwen me fila trois petits coups de cravache sur les fesses en
disant :
» Vas-y, fait pas le gêné, si c’était mauvais tu crois que les femmes
suceraient encore des bites? »
J’ai fini par sucer le gland noir qui ne tarda pas à se gonfler pour prendre
des dimensions assez impressionnantes. Le sexe était chaud et vibrait dans
ma bouche. L’action de ma main sur l’autre sexe produisait aussi son effet.
« Change maintenant! »
J’ai alors sucé le sexe blanc et masturber le noir avec ma main gauche. Les
deux sexes avaient un goût et une odeur totalement différents. Le noir était
légèrement sucré et dégageait une odeur très forte alors que le blanc était
plutôt acidulé mais ne dégageait pratiquement pas d’odeur. Au bout d’un
moment, j’entendis un râle et le sexe noir se mit à frémir dans ma main.
D’un coup sec sur ma laisse, Maîtresse Gwen m’invita à reprendre le sexe
noir en bouche et à avaler tout ce qui en sortirait! La première giclée
m’arracha un haut le coeur. Je dégluti tant bien que mal, mais j’étais
déterminé à aller jusqu’au bout de mon phantasme. Plusieurs giclées
suivirent la première. Ce fût alors au tour du blanc de jouir et je dû
rechanger de sexe à nouveau. Cette première expérience m’excita tellement
que mon sexe se tendit comme un diable sorti de sa boîte.
Un coup sec sur la laisse me tira jusqu’au spot suivant. Cette fois c’était
des pieds de femmes avec du vernis rouge sur les ongles. Encore une fois un
blanc et un noir. Maîtresse Gwen recouvrît le noir de crème fraîche et le
blanc de sauce au chocolat. ‘Nettoies ces deux pieds mais je veux que tu
sois très lent! Insistes bien sur la plante des pieds! » A chaque coup de
langue, le pied que je léchais tressautait et j’entendais rigoler de l’autre
côté du panneau! Je suçais chaque orteil délicatement et au bout de cinq
minutes, les pieds étaient à nouveaux propres!
Sous le troisième spot, se trouvaient deux filles de dos dont le tronc était
caché de l’autre côté du panneau.
« Lèche d’abord la noire et passe avec ta langue de sa chatte à son anus! »
Je n’avais jamais vu le sexe d’une femme noire de tout prêt. Le sexe était
rose et ressortait bien dans la lumière. La fille avait l’air d’apprécier
mon traitement car elle accompagnait chacun de mes coups de langues.
« Maintenant sers toi de ta langue comme d’une bite et encule cette salope ».
La fille commença à onduler d’avant en arrière pour venir à la rencontre de
ma langue transformé en verge improvisée. Ça commençait à gémir de plus en
plus fort de l’autre côté du panneau. A bout de souffle, la fille fini par
jouir.
« Lèches bien tout ce qui sort! »
Je fût très surpris car je ne m’attendais pas à ce qui suivit. En atteignant
la jouissance, la fille me déversa des flots de cyprine dans la bouche et
sur la langue. Cette fille jouissait comme une fontaine. J’avais déjà
entendu parler de ce phénomène mais c’était très impressionnant.
« Occupe toi de l’autre maintenant! » J’ai fait subir le même traitement à
l’autre fille et en jouissant, elle me pissa dessus en temps. Maîtresse Gwen
lécha les quelques gouttes restées sur mon visage puis me jeta un essuie en
disant:
« Petit cochon, essuies toi et rhabilles toi, on nous attend au manoir! »
Ah, que tout cela était grisant, je n’avais plus aucune retenue, je me
sentais libérer des chaînes du puritanisme que notre système s’évertue à
encrer dans notre cerveau tout au long de notre éducation. En attendant, je
bandais comme un taureau et on ne s’était toujours pas occupé de moi.
Nous avons repris la limousine. La grosse bosse turgescente dans mon
pantalon n’échappa pas à Maîtresse Gwen qui dit alors:
« Les filles! Si on montrait à Z comme nous sommes contentes de lui ce soir? »
Je n’ai pas eu le temps de dire ouf que je me retrouvais nu sur la banquette
arrière deux bouches occupées à me lubrifier le manche et la chatte de
Maîtresse Gwen au dessus du visage. Elle a le clitoris très développé au
point qu’on aurait dit un pénis miniature. L’avantage c’est qu’on pouvait le
sucer et le mordiller comme un mamelon. Mes amis, quel pied! Vu l’exiguïté
des lieux, elles m’ont fait prendre des positions dignes d’un
contorsionniste. Je ne savais plus ou mettre de la langue et de la queue. Ma
jouissance, contenue depuis le début de la soirée, explosa en un déluge de
sperme. Ces dames se sont partagés ma semence en riant et en se chamaillant
comme des collégiennes. C’est repu et dans un bonheur béat que nous sommes
arrivés au manoir. Il était éclairé par des spots au sol qui lui conférait
l’allure d’un monument célèbre. On m’a conduit dans une chambre somptueuse
avec un lit à baldaquins et une salle de bain luxueuse où le marbre côtoyait
l’or. Une soubrette du nom de Noèmie avait été mise à ma disposition.
« Vous trouverez des vêtements à votre taille dans ce placard. Installez vous
à votre aise, je vous fait couler un bain bien chaud. »
Après une journée comme celle-ci, un bain me ferait le plus grand bien. Je
trouvais dans la penderie un pyjama en soie, une robe de chambre assortie et
des pantoufles très confortables. Je ne m’étais même pas rendu compte que
Noèmie n’avait pas quitté ma chambre. Elle me borda, comme un enfant et posa
un baiser tendre sur mon front en disant:
« J’espère que Maîtresse Gwen n’a pas été trop sévère avec vous aujourd’hui.
Je viendrais vous réveillez demain vers 08h00. La journée sera chargée car
nous organisons les jeux d’été annuel. Mais j’ai reçu l’interdiction de vous
dire ce que c’est. Maîtresse Gwen tient à vous faire la surprise elle même.
»
Noèmie me quitta et ferma la lumière. Je me repassais en mémoire tous les
moments de ma journée. J’avais réalisé plusieurs de mes phantasmes et
j’avais trouvé la mise en scène remarquable. Maîtresse Gwen avait
apparemment beaucoup d’imagination. Je me demandais ce que pouvaient bien
être ces jeux d’été. Je finis par sombrer dans le sommeil, comblé et
heureux, conscient de ne plus être celui que j’étais avant mais un autre
homme, plus vrai, plus prêt de sa vraie nature. Le chemin est long et
sinueux, mais je finirais par me connaître !
A suivre …