Triolisme bi à Barcelone par Iann01

Triolisme bi à Barcelone
par Iann

 » Par discrétion les prénoms des participants ont été modifié « 

Ceci est arrivé il y a trois ans, fin 2001, à Barcelone, ou j’habite. Je fréquente depuis 6 ans le milieu échangiste étant un fana du triolisme, presque toujours dans le même Club.

C’était au mois d’octobre, 22 h 30, pas grand monde au bar, sinon deux jeunes hommes et un couple aperçu dans le salon. La fille qui gère le club, Maria, m’invite à entrer, ce queje fais et commande une boisson.

– Tiens, il y a un bout de temps que tu ne nous avais pas rendu visite.
– Le boulot… à cette heure ci je suis complètement crevé, je vais juste boire un coup et je me casse.
– Pas si vite mon chéri, il y a un couple en bas, des français, qui cherche un mec pour un trio et un beau type ferait leur affaire.

Chiche ! Pensais-je. On laisse passer quelques minutes et elle me demande de la suivre en bas. Je descends avec elle vers la zone intime et dans la pénombre de l’escalier elle me dit :

– Ils veulent que le mec soit pour les deux, ça gaze ?
– Ok, laisse moi voir.

On se connaît, et juste le temps de répondre, nous arrivons au pied de l’escalier. Là deux clients du club nous attendent et Maria me présente :

– Salut, voici Iann, il est très gentil, je pense que vous vous entendrez bien.

L’homme sourit, il est nu à l’exception d’une serviette nouée à la ceinture, dans la quarantaine, poivre et sel, pas grand mais bien taillé, à son tour il se présente :

– C’est un plaisir, moi c’est Jean-Pascal, la poignée de main est ferme et vigoureuse et il me regarde dans les yeux.

Puis c’est le tour de la fille, nue aussi et la serviette jusqu’aux aisselles, très mignonne :

– Moi c’est Patricia,

On se serre la main et je la dévisage plus attentivement : 1,65 m environ, belle brune à cheveux courts et lisses, la bouche sensuelle, deux gros seins se devinant ainsi que le reste qui semble hyper bien aussi. .Maria nous quitte et nous restons les trois à nous regarder, ils luissent de sueur et leurs yeux disent clairement que je leurs conviens. Patricia se serre contre son compagnon une main à la ceinture et une autre au dessus de l’épaule, les lèvres collées à lui.

– Alors, dit Jean-Pascal, la fille t’a dit ce que nous voulons ?

Très direct et clair, il m’observe du haut en bas et remonte à nouveau.

– Oui, c’est bon pour vous ? Demandais-je
.
Ils se regardent et hochent la tête :

– Nous t’attendons à la piste de danse…

(Cela afin de permettre une première approche commode pour nous trois) Je me dirige vers une armoire, je me mets à poil et prend une serviette que je noue à la ceinture. Je bande et mon excitation est telle que ma verge bave déjà. Je prends les capotes et le drink et je me dirige vers le dancing.
Là Jean-Pascal et Patricia m’attendent, ils sont encore avec les serviettes et se confondent en un seul corps. J’approche, ils se séparent et m’accueillent. Nos mains commencent à tâter les corps, l’homme me malaxe les fesses, la femme les mamelons. J’embrasse Patricia, elle est humide, la langue bouge très rapidement dans ma bouche, je mords les lèvres et tâtonne son corps.

– Oui, vas y, embrasse-la, elle est à toi, laisse moi ta verge, tu bandes dur, voyons ….oh, presque épilée, que c’est bon

Jean-Pascal ma enlevé la serviette qui tombe, ma verge se redresse et se plaque contre sa compagne qui a aussi laissé tomber sa serviette. L’homme me prend la verge et me caresse, puis lentement mais vigoureusement, il me branle. Mon gland est maintenant dehors, dégoulinant de jus. Patricia me caresse les testicules ainsi que le périnée, elle semble apprécier que je sois épile jusqu’au trou. Je mordille ses mamelons, sombres et grands, je prends ses seins à pleines mains.

– T’as vu comme il aime, Jean-Pascal ? Oh, mais qu’il est lisse, Dieu !

Elle faufile ses mains entre mes jambes, me prend la bourse, dirige un doigt puis deux vers le petit trou. Je mouille abondamment, à un moment, Jean-Pascal me tord mes mamelons et indique à Patricia de se mettre à genoux. Elle enfonce ma bite dans sa bouche, dirigée par son homme qui continue ses caresses.

– Vas y petite, vas-y, elle est bien cette queue espagnole, continue encore.

Patricia commence un va-et-vient avec la langue le long de la verge, jusqu’au poing de Jean-Pascal, qui de la main libre continue l’exploration par derrière qu’elle a commencé. La femme me caresse les couilles, embrasse et suce le gland, ma queue est raide et couverte de jus et de salive. Je prend une fesse de Jean-Pascal et de l’autre main sa queue, il est complètement épilée et a une très belle bite, je le caresse, je serre mon poing et commence aussi à le branler, je stoppe au gland puis jusqu’à la hampe pour voir le membre dans toute sa longueur et raideur. Elle est plus mince que la mienne mais plus longue.

– Oh, continuez, allez-y, punaise, si vous continuez je vais jouir.

L’homme appuie deux doigts sur le petit trou, je relâche pour permettre le passage, comme c’est un peu dur, il donne sa main à Patricia qui laisse un moment ma bite pour lubrifier.

– Oui, vas y, Jean-Pascal, tu peux bien y aller.

Maintenant le passage est plus facile et j’ai deux doigts enfouis dans le cul, la fille Patricia qui mange ma queue et une bite baveuse qui mouille ma ceinture. Ma verge est tendue à casser, l’homme me fouille bien et l’effet sur la verge est automatique, la fille apprécie et s’aide des deux mains.

– C’est ton tour Patricia !

Elle continue à me sucer et de la main libre s’attaque à mon cul, trois doigts partent. J’halète de plaisir. Cela continue un bon moment, Jean-Pascal nous regarde et on décide de changer. Je me mets à genoux et prends sa verge dans la bouche, c’est clair qu’il a déjà joui étant donné le goût du liquide qui s’en dégage, je le parcours de ma langue et Patricia vient se placer à mes côtés pour une fellation à deux. Elle s’attaque aux couilles, l’homme sépare les jambes pour mieux laisser le passage à une langue très vicieuse. De temps en temps nos langues se retrouvent et nos mains s’emparent de bite, de couilles ou de fesses.

– Oui, oui, c’est bon, il suce bien, encore, encore.

Jean-Pascal s’enivre. Après quelques longues minutes nous décidons d’aller chercher les matelas, pour plus de commodité et de meilleures positions. Nous faisons cinq mètres, nos mains restent prises, sur l’écran Rocco est en train d’épiler le vagin d’une fille qui mouille, et les gémissements des couples remplissent l’air.

Arrivés au matelas, Jean-Pascal et moi restant debout, Patricia s’assied et commence à nous sucer, nous branle de la main, nous malaxe les couilles, les doigts dans le cul.

– Elle suce comme une vraie salope, elle adore, mais encore elle est fascinée quand je me fais sucer par un homme, me lance Jean-Pascal

J’ai bien compris et je prends la place de la fille, je m’acharne à nouveau sur ce membre couvert de la salive de Patricia, qui me regarde. Mais elle ne peut pas rester tranquille et fait asseoir son compagnon. Elle se met en 69 et se fait manger la chatte et à nouveau vient goûter avec moi la verge de Jean-Pascal. J’introduis trois doigts dans la bouche de Patricia pour les lubrifier, son regard est ivre d’excitation car elle sait bien ce que je vais faire. J’engloutis à nouveau la verge de son homme et commence à caresser son petit trou; petit à petit celui ci cède et je glisse un doigt, lentement mais fermement jusqu’au bout. Il grogne de plaisir, la bouche dans la chatte, j’imagine, car je ne peux rien voir.

– Oui, il adore ça me dit Patricia, ne te dérange pas car j’y suis allée il y a quelques instants, tu y rentreras très facilement ! Dit-elle en souriant.

J’ai bien compris, car le cul est extrêmement glissant, lubrifié. Maintenant c’est Patricia qui suce, qui mordille le gland, moi je branle et je pénètre de trois doigts son rectum.

– Arrête, arrête, je ne veux pas jour encore, dit il en laissant deviner son visage derrière la croupe de la fille

Nous changeons de position, maintenant c’est moi qui mange, qui dévore la chatte de Patricia, Presque épilée sauf un tout petit triangle pubien. Les grosses lèvres son fermes, très bien  » entretenues  » pour son âge, j’ouvre délicatement avec les doigts et lèche la cavité qui apparaît; puis ce sont les petites lèvres, et le clito complètement hors son capuchon. Je l’embrasse, je mordille, je bois goulûment ses jus, ma langue fait le va-et-vient du clito au périnée, mes mains prenant les deux fesses, les séparant, les fermants.

Je suis si occupé dans cette divine besogne que je n’ai même pas senti comment deux bouches se sont emparées de mon pieu et l’engloutissent dans des cavernes de chair humide et chaude.

– Comme nous aimons tous les culs, allons y, dit Jean-Pascal.

Deux mains me séparent les globes et une chose visqueuse me titille le trou. Une feuille de rose, mais dispensée par qui ? Peu importe et à mon tour, je dirige ma langue vers la porte arrière de Patricia. J’écarte au maximum mes doigts de sorte à mettre les pouces dans le vagin et les autres dans le cul, je sépare autant que je peux et je sillonne la fente, du pubis au cul, du trou au clito. Oui, sans doute n’est-ce pas très hygiénique mais Patricia est au comble.

– Mon Dieu, oh, .oh, encore, mais encore, continue, vas y, au cul, …

Je profite de ses sécrétions pour enfoncer mes doigts dans son cul, deux puis quatre. Elle râle et commence à trembler, à jouir. Entre-temps, Jean-Pascal a laissé mon cul et ma verge pour aller se placer derrière Patricia, je suis complètement absorbé par mon travail de langue que je ne le vois pas arriver et présenter sa queue à l’entrée du minou. Je l’empare d’une main et à nouveau la suce, la lèche, quelques instants, puis je la dirige pour qu’elle pénètre ce trou baveux.

– M’enfin, dit Patricia,
– un clapotis comme écho.

Maintenant je m’occupe du clito et de la verge luisante qui rentre et sort, Jean-Pascal travaille le cul de la femme qui à son tour s’occupe de ma verge. De temps en temps, son amant sort, je lèche et je suce, puis il s’enfouit à nouveau en elle…

Patricia se cambre, une série d’orgasmes l’envahit et la secoue longuement.

– J’y vais, j’y suis, dit Jean-Pascal tout en sortant rapidement, serrant de son poing la bite brillante.

Patricia s’est retournée et finit le travail à la main et à la bouche, ça va être difficile pour moi de tenir, à la vue de ce spectacle, je me branle.

– Ah, ah, je ne tiens plus, je vais jouir ….je…

Jean-Pascal lance des giclées de sperme sur le visage de Patricia, qui les accueille en jouissant aussi, un jet qui semble ne pas finir, mais qui finit. Patricia suce la bite. C’est mon tour, l’homme se place à un côté, la femme à l’autre, il me prend les couilles et m’enfonce deux doigts dans le cul, Patricia me branle, je serre ses seins t l’orgasme arrive, arrive, je flotte et m’abandonne, la semence est abondante et les jets accompagnés des « oh » et des « ah » de Patricia et de Jean-Pascal sont assez beaux. On se laisse tomber sur le matelas en riant, haletant et soupirant.

Chacun prend son drink et boit. Le deuxième assaut va venir en quelques minutes.

perparella@hotmail.com

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Une réponse à Triolisme bi à Barcelone par Iann01

  1. Marylu dit :

    De l’emboitage dans une boite d’emboitage ! Que de l’emboitage. Triste !

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