Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 5 – Madame Belmotte… Manigances… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul…. – 5 – Madame Belmotte… Manigances… par Verdon

Ce matin il fait chaud, réveillé de bonne heure je me prélasse à poil sur mon lit, la porte-fenêtre est grande ouverte et j’écoute les petits oiseaux chanter en profitant de la fraîcheur matinale d’un petit vent fripon qui soulève le rideau de la fenêtre comme les jupes d’une dame coquine.

– Humm !…j’ai la pine qui me démange…

En fait de petits oiseaux… eh bien en voilà un qui pénètre soudain dans ma chambre. Radieuse et sans gêne c’est Ernestine qui apparaît. Elle a traversé le jardin sans s’en faire et elle m’apparaît nue comme un ver dans l’embrasure de la fenêtre, comme une ombre chinoise à contre-jour de la lumière extérieure qui irise les contours de son corps.

Elle saute sur mon lit comme si c’était le sien.

Bon la voilà qui vient m’emmerder alors que je suis en plein dans mes rêves !

Non, non je suis grossier, ce n’est pas mon genre, vous savez que je l’aime ma voisine et j’ai toujours beaucoup de plaisir à la recevoir surtout quand elle est nue. Si j’ai prononcé un vilain mot, c’est parce que c’est ce qui va se passer en réalité mais de façon beaucoup plus poétique.

Quand elle vient comme ça de bonne heure, c’est souvent parce qu’elle a besoin que je lui débride l’entrée des artistes, la coquine.

Ben oui c’est qu’elle a l’œilleton un peu paresseux ma ‘jouvencelle’ mais surtout jouissif.

Elle sait qu’à cette heure je suis vaillant et elle joint donc l’utile à l’agréable. Bien sûr moi j’y vais de bon cœur et de bonne pine, vous en feriez autant vous, n’est-ce pas ?

Un petit trou du matin ça vous a un air ébahi et naïf et vu que la liaison ne s’est pas encore faite entre lui et le cerveau jusque-là endormi, il s’ouvre béatement comme ce n’est pas permis et mes attentions lui procurent de grands frissons.

D’ailleurs mon Ernestine quand je la travaille à cul en la saisissant par ses poignées d’amour, je les ressens bien ses grands frissons qui lui font faire des soubresauts dont profite ma pine pour l’enfiler bien à fond.

Quand elle sort de son lit pour venir se faire sauter elle ne prend pas le temps d’aller verser ses fonds à la banque (si vous voyez ce que je veux dire…) l’amour presse davantage que la chose (qui peut être agréable, par ailleurs…suivant la taille du magot). Aussi quand je ressors de chez la banquière, vous vous en doutez, j’ai le paf qui n’est pas très fier. Content certes, mais pas très reluisant ! Bof ça ne fait rien car finalement elle est bonne ménagère ma cochonne. Ah ! Une petite sodo du matin ça lui fait du bien à ma copine. Moi j’aime bien aussi, et à la façon dont elle serre son trou de balle je devine de suite son tempérament pour les heures qui viennent.

Ce matin comme je suis couché sur le dos elle s’est assise sur ma bite en me tournant le sien… je ne vous dis pas la beauté du spectacle !…Du porno en V.O. et en cinémascope mes amis ! C’est tactile, odorant, et bruyant… enfin pas tout de suite pour le bruit mais ça ne va pas tarder… je vous le promets… c’est du concret je vous l’ai dit !

Mon sexe pénètre doucement entre ses chairs roses, le petit trou se défrise, l’ourlet s’enroule autour de mon gland pour l’avaler et ma bite boudinée et ciselée de grosses veines bleues disparaît au fond de la raie de son cul !

– Humm ! Tu l’as bien gaillarde ce matin
– C’est pour mieux t’enculer petite vicieuse !

C’est vraiment une des positions que je préfère.

Mes mains sur ses fesses je l’empoigne, je la guide, je la soulage. Elle descend sur ma tige, remonte lentement, fait des va-et-vient, s’encule à fond en m’écrasant les couilles… Elle me broie le pilon la matrone… Elle remonte…

– Oh putain je jouis…je décharge en son cul…oh c’est bon !

Elle s’enfonce et jouit à son tour… elle crie… elle s’affole puis se plie sur mes genoux. La courbure de son cul arrondi laisse échapper ma pine luisante, ouvrant aux courants d’air son anus béant qui dégorge, insolent, le flot de mes amours qui en longs filets blancs striés de quelques marbrures brunes, s’échappe des insondables profondeurs de son trou des délices.

Bon je sens que je fais des envieux… Du calme les gars !… et vous Mesdames…une petite chevauchée… ça vous direz ?… ou alors planquez vos fesses !… Mais je vous sais assez coquines certaines, pour les ouvrir ce soir !… Allez, après-tout dans cette position c’est vous qui commandez !… Adorables vicieuses !

Bon, quant à nous ça suffit. On ferme la boutique, on plie les fesses et l’instrument du bonheur. Une petite fessée pour remettre tout en place, ce qui ne gâche rien et après une aussi bonne mise en train matinale, on se bécote comme de nouveaux mariés, puis cul décongestionné et quéquette soulagée on peut se mettre au boulot.

Allons-y pour une nouvelle histoire. Elle se déroule au siècle dernier, entre les deux guerres, dans un milieu d’aristocrates. Ça devrait vous plaire.

(N’oubliez pas qu’en cette époque les mœurs bien que discrètes n’en n’étaient pas moins cochonnes et s’il y avait des risques sanitaires, en tous cas le sida n’existait pas. D’où l’absence de certaines entraves dans les textes que vous allez découvrir).

C’est une histoire que lui a raconté sa vieille tante Pauline que vous connaissez déjà… (Oui Pauline, cette gentille personne qui a eu le bonheur de se faire si bien éduquer par son brave mari ‘Charles ‘dans l’épisode précédent ! Un artiste dans son genre !)

Ça débute avec Madame Agnès, la cinquantaine avancée, mariée à un certain Marquis Bertrand Belmotte (un nom bien flatteur pour son épouse !). Ils habitent une maison cossue dans une ville moyenne de province. Ce monsieur est une notabilité, son épouse bonne chrétienne, fait partie de la chorale et chante les dimanches la messe ou les vêpres à l’église pour le plaisir des fidèles mais… pas seulement.

Même s’il se montre de temps en temps aux offices avec sa femme, pour faire bien, monsieur Belmotte est loin d’être un pilier d’église. Il est plus disposé à aller en après-midi dans une ville plus lointaine, pour rendre visite de courtoisie à une certaine Madame Claude, une brave femme qui fournit à cet important personnage et en toute discrétion, de bien jolies pensionnaires chargées de le revitaliser. Par retour ces quelques complaisances facilitent le commerce de la dite bonne dame. Bien entendu cette dernière profite aussi de bonnes galanteries que le Monsieur est encore en mesure de lui procurer pour compenser ses désillusions quand elle voit passer sous son nez de talentueux amateurs réservés pour ses pensionnaires.

Sûrement qu’après tant de service, son petit entre fesses ayant été bien rôdé elle est restée gourmande la vieille, me dit ma copine et se faire honorer par un Marquis ça doit la piquer au vif…on ne peut pas dire mieux !

Madame Belmotte ne joue pas dans la même cour que ce beau monde. Elle a sa cour à elle et elle a beau porter un joli nom, elle n’offre pas bien souvent cette jolie partie de son corps à son vénérable époux. Et il sèche le malheureux, il sèche ! Enfin il sécherait si ce n’était justement le ‘clos fleuri’ de madame Claude. Une Dame compréhensive, celle-là.

Il a aussi d’autres distractions notre bonhomme. Quand il monte pour ses affaires à Paris, il ne va pas voir que des monuments historiques ! Alors quand il revient guilleret de son agréable tournée…

– Bertrand, je vois que l’air de Paris te fait du bien, la prochaine fois je viendrai avec toi !

Mais il n’est pas con le Belmotte, il se trouve toujours une bonne raison pour lui dire qu’elle ne peut pas venir.

– Manquerait plus qu’elle m’accompagne la grognasse…

Pour autant elle n’est pas de glace la ‘Belmotte’. Non, pas du tout. Si côté motte ça n’est pas sa tasse de thé avec son mec, de l’autre côté elle ne craint pas des faveurs dont elle a été si bêtement privée dans sa jeunesse.

En effet elle a commencé jeune avec des copines à se la gratter la motte et puis elle a connu des copains qui lui ont appris à fourrer son doigt ailleurs que dans son minou et sûrement pas dedans son nez ! Et si dans sa cramouille poilue ça lui fait du bien, c’est dans son trou du cul que ça lui plaît le plus. Ça a un petit goût d’interdit et l’intrusion d’un doigt inquisiteur en ce lieu si serré lui provoque une étrange sensation de soumission et la découverte d’un plaisir viscéral.

Même qu’il y en a un qui veut lui mettre son gros machin en cet endroit. Vous pensez bien qu’à cet âge les garçons ils ont du mal à garder leur machin long enfermé dans leur pantalon et comme les filles sont curieuses…

Malheureusement un vieil oncle bénédictin et vicieux les surprend juste au meilleur moment quand la petite étoile commence à s’ouvrir sous la pression du bel instrument.

– Oui nous savons bien mesdames comme c’est bon quand un gros gland inquisiteur vient nous taquiner le trou de balle et que partagées entre la crainte et l’envie nous ressentons cette immense frisson qui grimpe le long de notre épine dorsale, depuis le centre des délices jusqu’à la base du crâne…Humm ! alors nos épaules tressaillent et nos seins se durcissent tandis que nous ouvrons les jambes ! Oh putain que c’est bon !ça fait peur mais c’est bon ! N’est-ce pas !…

Ça ce sont les explications d’Ernestine, elle est connaisseuse apparemment, moi je ne sais pas j’y connais rien dans la mécanique du trou du cul des dames, mais à les sentir tant gigoter quand je leur joue ma partition, je me dis qu’en effet ça doit leur faire du bien… je ne sais pas si vous êtes du même avis… Bof… vous ne vous posez pas toutes ces questions, moi non plus d’ailleurs… je pousse et j’entre… c’est bon !… C’est vrai que chez l’homme ce sont les couilles qui commandent… le cerveau il est hors-jeux… On est bien des salauds !

Donc du coup ça leur a coupé la chique à nos deux amoureux…

Elle a plus de 19 ans la bichette. Elle en est très déçue (j’en devine parmi mes lectrices ou même mes lecteurs, qui n’en seraient pas moins…). À cette époque et chez ces gens-là ce n’est pas permis d’user des bonnes choses avant le mariage aussi l’envoie-t-on direct au couvent pour lui faire expier ses péchés. Quant au copain, ne vous en faites pas il a dû se faire apprivoiser par d’autres petits trous consentants. Pour un gars c’est normal ça fait partie de l’apprentissage, il faut qu’il l’aiguise son plumeau avant de devenir un homme…

– N’empêche que se faire appréhender par le collet juste au moment où il se saute la gonzesse…ça dû être dur pour le coquin !…il a dû cracher sa semence aux oiseaux sur le cul de la belle…
– En plus Je suis sûr que le vieil homme a dû se la sauter la pécheresse!…Que je dis à Ernestine.
– Oh juste une petite fellation qu’il lui demande le padre. C’est normal pour lui accorder son pardon…et comme elle a l’air de trouver ça bon il lui dit : « ouvre-moi tes fesses je vais essayer de te pardonner un peu plus ! »…. mais il est mou le bon à rien, il la laisse sur sa faim la pauvre !.

Là-bas on lui donne, une robe noire, de l’éducation et on lui apprend à chanter des cantiques (sans doute pour lui apprendre à bien ouvrir la bouche…) ce qui ravit les bons maîtres chanteurs qui enseignent aux jeunes femmes l’Amour de leur prochain et qui leur expliquent tout ce qu’il faut faire pour monter au ciel (au septième étage sûrement…).

Il y a beaucoup de vieilles sœurs dans ce couvent. Il faut bien convenir qu’ils n’ont plus grand-chose à leurs expliquer à ces vieilles, aussi cherchent-ils à renouveler le staff (comme on dit de nos jours…) de jeunes recrues pour les éduquer méthodiquement et profondément afin d’en faire des nonnes bien dévotes. Et elles apprennent vite les novices et même un peu trop vite si bien que bientôt il y a un orphelinat qui se construit à côté du couvent.

Tous ces bons pères aiment bien la messe du dimanche car ils bandent sous leur soutane (enfin les jeunes surtout…) en distribuant la communion à toutes les jolies filles du quartier qui se plaisent à tirer leur langue vicieusement tout en gonflant leur opulente poitrine comme des miches de pain, sous le nez de ces officiants…

C’est ainsi qu’une fois bien instruite et bonne à marier, Agnès est demandée en mariage par Bertrand le notable du coin, qui ayant le nez fin et un goût particulier pour ce genre de chrétienne, en fait son épouse. Pour elle c’est une chance et une bonne affaire, pour lui c’est une chaste couverture lui permettant de paraître comme un honorable chef de famille devant la société mondaine.

Bien installée dans ce monde nouveau, bâti sur l’hypocrisie et l’aisance elle côtoie des gens huppés, devient une grande Dame orgueilleuse, hautaine qui très vite n’a plus beaucoup de relations intimes avec son mari. Elle compense ses déceptions amoureuses avec d’autres relations plus secrètes et aisées en naviguant dans ces milieux ecclésiastiques clos et insoupçonnables de la moindre hérésie et dont elle sollicite souvent le pardon.

Ayant obtenu la direction de la chorale, ça lui ajoute de l’honorabilité et la protège contre les on-dit des mauvaises gens qu’elle méprise. Elle se pavane devant tout ce monde qu’elle mène à la baguette. Sous le couvert d’une vie pieuse elle profite de l’entourage et des amabilités des bons pères empressés de la récompenser en la gâtant bien sûr par là où ça lui plaît le plus.

– Hi, hi ça doit les changer que de faire ça entre eux, me dit Ernestine.

Ainsi elle peut rentrer à la maison tous les soirs comme toute bourgeoise honnête, dévouée à son mari et la pachole nette. Le côté opposé laissant indifférent son mari qui trouve donc son bonheur par ailleurs, même si toutefois il prend plaisir souvent à lui tapoter le cul, histoire de lui montrer qu’il est le chef à la maison.

Un jeune curé récemment nommé en cette église s’est vite senti très émoustillé par la personnalité et le charme secret du beau postérieur de la bonne dame. Il la retient souvent après la répétition de l’après-midi. Les autres dames s’en retournent chez elles laissant le jeune abbé et Agnès dans le presbytère pour discuter du bon déroulement de la séance et ranger les livres de chant, mais pas que pour cela, osent dire certaines mauvaises langues…

Un jour en se penchant sur un tabouret à fin d’y ramasser des livres, elle sent le jeune abbé se frotter contre son bas du dos. Soi-disant offusquée, mais surtout émotionnée par le bon souvenir d’un certain événement inachevé, et flattée par la jeunesse du prétendant, elle n’ose pas se dégager, bien au contraire elle laisse son derrière profiter des amabilités de la soutane sous laquelle elle devine une robuste et impatiente présence.

Quelqu’un qui aurait eu l’oreille fine aurait pu alors entendre le bruissement caractéristique d’une soutane dont on dégrafe la fermeture en l’égrenant bouton après bouton. C’est alors qu’il aurait pu apercevoir en flagrant délit d’exhibition le bas ventre du saint homme nu et joliment prêt à forniquer en bandant comme un dieu ! Elle attend fébrilement…

Il ne peut plus se retenir le malheureux, il soulève la jupe de la mécréante…

– Seigneur…elle n’a pas de culotte la pécheresse !… il retourne le crucifix accroché au mur…
– Oh Jésus pardonne-lui, elle ne sait pas ce qu’elle fait l’ingrate…mais moi je sais et je bande, et d’après ce qu’on dit, tu as connu toi aussi Seigneur une aussi grande souffrance !…

Alors, la saisissant par les hanches il s’engouffre entre ses fesses volumineuses et blanches…

– Oh Dieu ! Pourquoi avez-vous fait la femme si belle et si cochonne et le cul si fendu ?…

Elle offre son popotin tout en geignant et laisse le saint homme se soulager de ses mauvaises pulsions au fond de ce chef d’œuvre qu’a fait le Créateur.

– Oh oui prend moi !…fous-moi ta sainte pine, donne-moi tes saintes huiles ! et que dieu me pardonne !
– Elle commence à me plaire celle-là… qui sait très bien par où se faire pardonner… me fait remarquer Ernestine… vous vous en doutiez

Alors il lui met le p’tit curé ! Il lui met son zizi tout entier d’abord dans le bénitier qu’elle a déjà bien gras… puis dans le petit tiroir, histoire de le ressuyer.

– En voilà un qui n’en est pas à son premier péché… il sait si prendre avec les dames….
– Ola, que c’est bon qu’il dit le cureton (et oui plus le péché est grave, meilleur il est !). Merci Seigneur d’avoir fait la moniche si chaude et le cul si profond !

Mais là ça entre un peu trop facilement…Elle n’est pas très grosse la zigounette, pas vraiment grosse, même que la mémère elle ne la sent pas beaucoup dans son gros cul… (Ben oui elle en a connu des plus glorieuses…), elle aurait aimé plus gros, c’est clair ! Aussi elle le bouge son postérieur. C’est qu’elle en veut la vieille !

– C’est vrai que les plus grosses qu’elle a connues lui ont agrandie la boutonnière et que donc les petits boutons ce n’est pas trop sa tasse de thé !
(C’est encore une remarque très pertinente de mon agréable compagne…).

Cependant ils y prennent goût et ils remettent cela souvent. Tant pis si la chose est courte car le péché est gros et le plaisir est ‘saint’.

Et quand elle crie la Marquise, oh putain ce qu’elle crie fort !…

C’est qu’elle enrage la putassière…elle en dit des insanités, des blasphèmes, des gros mots, ça l’excite le bourrichon qui lui turbine le trou d’évent jusqu’à lui enfiler, aurait-t-on dit, même ses couilles.

Heureusement le bruit des cloches que secoue le sacristain pour sonner l’angélus couvre les hurlements de plaisir que pousse la bonne dame et grâce à cette complicité le saint homme peut finir son affaire…

– Oh Agnès, auriez-vous tant péché, que l’entrée est si large ?…que Dieu vous pardonne, diablesse, en vous accordant mes grâces !…Qu’il vous a faite bonne !…

Et il lui en livre encore des grâces. Il lui fait le plein et gratis avec ça ! Même qu’elle est un peu fâchée car ça lui coule entre les jambes. (Le trou étant plus gros que la petite bite). Elle passe sa main le long de ses cuisses et la porte à sa bouche. Humm ! Que c’est bon !

– Elle a raison me dit Ernestine, le jus du péché a toujours bon goût, c’est de l’eau bénite !

Il se retire ensuite, secoue sa zézette, reboutonne sa soutane, prend ses cliques et ses claques et sans même remarquer le sacristain éberlué qu’il croise dans le couloir il se sauve en criant, mais toujours trop tard :

– Vade retro satanas, mauvaise fille que Dieu te punisse !…Tu iras en enfer !

Alors elle rentre chez elle la Belmotte, satisfaite, mais aussi bien déçue que le curé ne l’ait pas vraiment plus grosse… mais si c’est ça l’enfer… elle veut bien y aller la païenne… elle y en trouvera sûrement des plus grosses.

N’empêche que toute Marquise qu’elle est, elle a joui comme une cantinière. Cela lui a fait du bien et elle n’a pas l’intention d’en rester là avec l’homme de l’église.

Agnès et Bertrand s’étaient mariés un peu sur le tard. Ç’avait été un mariage d’affaire plus qu’une histoire d’amour, nous l’avons vu… Au début bien sûr il se la secoue tous les soirs dans le lit. Elle aime ça, elle en redemande et elle a une prédilection (on s’en doute à se faire chahuter la rondelle. Il lui ouvre bien grand la pastille. C’est qu’il a une superbe biroute le Bertrand. Aussi connaissant son vice il se la défonce souvent son épouse pour lui faire plaisir, il aime cela lui aussi. Mais bien plus vieux qu’elle, il fatigue bientôt et ne bande plus assez pour satisfaire son insatiable gourmande qui sous sa robe noire garde la fesse fraîche. Elle finit par se lasser de lui sucer le mou.

C’est sûr, passer son temps à lui pomper le chichi sans même avoir de récompenses…elle va voir ailleurs sa besogneuse !… ça c’est du Ernestine tout craché, qui de ce côté-là n’aime pas la carence.

Et lui pendant ce temps pour se faire sucer il rencontre en cachette de braves gars qui le satisfont tout en lui accordant des faveurs du côté opposé. Ce qui loin d’être un désagrément lui permet d’agréables moments d’autant que si c’est un couple qui le reçoit ça lui permet d’être satisfait des deux côtés à la fois.

D’ailleurs Bertrand se fait un bon copain qui s’appelle Georges. Un peu plus jeune que lui, la cinquantaine, il est connu comme un sacré baiseur. Ils ont tous les deux l’occasion de se faire de bonnes petites réunions entre hommes. Ça se fait à cette époque entre gens de même classe, plutôt fortunés et assez fripons. Ils mangent, ils boivent, ils chantent et généralement dans la soirée avancée et quand l’alcool a bien coulé, il se passe des petites combinaisons où chacun se fait une chacune qui en fait n’a rien de très féminin si ce n’est que leur trou du cul. Ensuite ils rentrent chez eux en collant sur le nez de leur épouse endormie, leur troufignon bien graissé, histoire de leur faire partager généreusement leurs joyeusetés de la nuit.

Hi, hi les hommes entre eux !… ils sont supers ces mecs et généreux avec ça… (dixit Ernestine bien sûr !).

Parfois il y a des épouses qui prennent le risque d’accompagner leur mari.

Alors là, ces téméraires elles ne doivent pas ressortir avec le cul propre… que je dis à Ernestine en pouffant d’un petit rire vicieux.
– Mais c’est leur choix. Elles se défoulent, elles aiment ça et elles ne rechignent pas à la sauterie. L’ambiance est survoltée, elles y passent par toutes les bites et par tous les trous. Elles sautent sur la table, pissent à la volée sur tout ce qui bouge et chient dans la soupière les cochonnes. Tandis qu’en file indienne les hommes enfilent les wagons pour faire le p’tit train.

Sacrée Ernestine… elle prendrait bien son ticket pour de telles joyeusetés !

Bertrand partage toutes ses fortunes avec ce Georges qui très compréhensif s’est lié d’une très profonde amitié avec lui. Ça a du charme, il a quelque peu viré sa cuti le Bertrand et des fois il se retrouve avec deux paires de couilles entre les jambes… il trouve cela un peu encombrant mais très drôle, c’est pénétrant et c’est bon finalement… ça fait du bien…c’est peut-être ce que ressent une nana.

Un de ses plus grands souhaits serait d’entraîner son épouse dans une petite partouse et de la voir se faire sauter par ce diable de Georges qui d’ailleurs se sent prêt à lui rendre ce service.

Tant elle mène son petit jeu avec les hommes d’église, qu’Agnès ne s’aperçoit pas que Finette la jeune servante de Monsieur, s’est rendue compte de ses fredaines. Les petites culottes du vendredi soir jamais bien propres, les soutifs froissés et les bas filés lui ont mis la puce à l’oreille. Elle n’est pas conne la soubrette. Ces relents d’effluves masculins qui embaument les sous-vêtements de Madame lui ont fait comprendre à quel jeu celle-ci se dévoue quand elle va à la chorale.

Agnès n’est pas très tendre avec ses employés et particulièrement avec Finette qu’elle jalouse. Sachant que cette dernière a les faveurs du Marquis, elle fait tout pour la mettre en défaut et lui provoquer le courroux de Monsieur qui se fait un plaisir d’accorder de la reconnaissance à sa vieille pour profiter évidemment de fesser la servante. Ça excite beaucoup la méchante dame qui se réjouit d’assister à la correction ou qui s’en charge elle-même quand son mari n’est pas là.

Ainsi l’autrefois :

– Tu vas me la corriger la petite garce… je suis trop pressé j’ai un rendez-vous, mais occupe-t’en bien elle s’est mal comportée je reviens dans un instant !

(Quand on suce la queue de son patron qui debout est en train de boire son café, il faut veiller à ne pas le faire jouir si fort qu’il en renverse le précieux breuvage sur les cheveux de la gourmande… un bon plaisir pour un gâché…).

Aussi inutile de vous dire que dès qu’il est sorti l’offensé, Agnès s’est régalée d’accrocher les mains de la soubrette au crochet prévu à cet effet au-dessus du buffet de la cuisine. Et là, nue, jambes écartées et chevilles attachées aux pieds du meuble, elle va expier tous ses péchés la Finette ! (elle connaît le bon supplice, elle n’est pas trop récalcitrante. Elle sait que son cul écarté de la sorte ça va drôlement exciter sa maîtresse qui va lui astiquer vigoureusement la raie du cul…elle va passer un bon moment se dit-elle). Oh combien elle reçoit de bonnes baffes sur le gras de ses fesses la beauté ! elle appuie même sur son trou du cul la salope… (et oui la vilaine elle a l’endroit si sensible et si coquin…) Même que pour ne pas s’abîmer les mains elle se sert de la planche à rôti la mégère ! (c’est que pour de bons gigots elle en a deux bien bons la jeunette, ça lui met l’eau à la bouche à Agnès et la mouille au ventre tant elle a la rage…).

Pour finir, comme elle a envie de pisser la soubrette, Agnès lui glisse un seau entre les pieds et elle pisse la punie… oh putain comme elle pisse avec un grand bruissement, de la joie et un soulagement non dissimulé qui rejaillit sur son visage !

Ensuite elle s’en va Agnès sans s’occuper de la pisseuse et Monsieur le Marquis arrive tout gentil bien sûr pour la consoler sa soubrette. Qu’est-ce qu’elle est belle avec son fessier rouge et sa mouille qui descend je long de ses cuisses !

Oh oui il la console bien le bon monsieur en l’enconnant debout, sans la détacher, c’est pratique. Comme elle est petite et grande ouverte ça entre facilement et les mains libres il peut lui branler la chagatte et lui titiller les tétons… et bon dieu comme elle jouit la salope…

– Oh oui que c’est bon ! qu’elle crie ! Elle jouit …
Eh bien voilà de gentils amusements sûrement bien mérités, s’exclame Ernestine en pouffant de rire, la garce !… qu’importe la justice, pourvu que la fessée soit bonne… et oui nous les femmes on est comme ça !

Chaque fois que Finette sur les genoux de son aimable patron, se reçoit une bonne déculottée, sa garce de patronne devant la beauté du geste, se mêle d’en rajouter et d’encourager son homme à se défouler sur le joli petit cul.

Elle a tôt fait de pousser des cris la belle soubrette et d’avoir le cul en feu. Mais en réalité elle mouille la coquine. Elle mouille par ce qu’elle aime ça et elle inonde les cuisses de son fouetteur qui s’excite encore plus en sentant la bonne crue déborder sur ses jambes.

Voilà une soubrette qui a du métier me dit Ernestine

Un jour quand même, la petite comédie terminée Finette décide de se venger de sa salope de patronne.

Sitôt sortie de chez Bertrand, la bonne servante va trouver Julien, le sacristain de l’église où chante notre cantatrice, pour lui tirer les vers du nez. Elle sait que son sacerdoce à lui c’est de soulager quelques bons pères en leur suçant la bite ou en leur offrant, pour les plus jeunes, l’amabilité de son trou de balle. Grâce à ces dévouements et dans le secret des alcôves il en apprend de sacrées choses. Il ne les partage avec personne sauf avec Finette qui en jouant son amoureuse arrive à lui soutirer ce qu’il sait sur la relation entre madame la Marquise et le petit curé.<

Pour en savoir davantage et le remercier elle lui lèche le trou du cul au sacristain la coquine. Elle sait que ça lui fait du bien. Ne dit-on pas que pour faire parler quelqu’un il faut lui chatouiller la plante des pieds. Eh bien avec le sacristain en lui chatouillant le trou du cul c’est un truc imparable. Elle n’est pas tout à fait ravie car fatalement il a souvent la rosette malpropre le vilain, mais il faut savoir ce qu’on veut et puis elle a l’habitude avec son gros dégueulasse de Marquis qui lui fait si souvent torcher son cul en sortant des cabinets de toilette.

– Alors dis-moi qu’est-ce qu’ils font tous les deux dans la sacristie ? Qu’as-tu vu mon gros béta,….
– Oh pas grand-chose mademoiselle. Pas grand-chose…le trou était petit.
– Mais de quel trou parles-tu imbécile ! Le trou du cul de la patronne ?
– Mais non…le trou de la serrure !
– Ah et qu’as-tu vu quand même par ce trou ?
– Ben le trou du curé…putain qu’il était beau !….
– On s’en fout de celui-là… mais Madame ?
– Je n’ai vu que ses jambes grandes ouvertes et…sa robe sur la tête…
– Et qu’est-ce qu’il faisait entre ses jambes le cureton…
– Il poussait putain ! Mais qu’est-ce qu’il poussait le salaud !
– Mais elle que faisait-elle ?
– Elle criait, elle disait des gros mots… Et puis je n’ai plus rien vu. Il s’est enfuit comme un fou, tandis qu’elle est partie en pétant comme une malpropre la cochonne même que ça faisait floc, floc sous ses jupes !

Donc à partir de là, vous vous doutez bien chers internautes que la Finette en déduit tout ce qu’elle peut combiner pour élaborer une vengeance bien agréable contre cette garce d’Agnès qui la tourmente si souvent.

Aussi elle va trouver Georges qu’elle connaît bien, ayant eu souvent quelques profondes faveurs de sa part. Férue de bonnes intentions, elle est prête à se soumettre encore à ses joyeux services pour peu qu’il l’aide en son projet. Notre homme toujours très faible devant les offres alléchantes du cul d’une coquine, lui fait toutes promesses avant même de lui avoir réglé son deuxième acompte. Ce qu’il fait d’ailleurs rapidement en enfilant sa pine bien ferme dans le cul de la Belle qui hurle de bonheur sans doute, tout en savourant d’avance sa vengeance.

Pour un second contrat ce fut un gros morceau et même qu’en la suçant pour en faire le ménage…

Elle a bon goût ta pine qu’elle lui dit la salope. Elle vaut bien en ma bouche la meilleure des bouchées, d’autant qu’assaisonnée d’un peu de crème d’homme elle est agrémentée des saveurs de mon cul.
– (Oh comme tu écris bien cela qu’elle me dit Ernestine !  » crème d’homme  » : un condensé d’amour dont vous savez si bien nous faire profiter, Messieurs ! ).

Ainsi le projet qu’elle fait adopter à son bon ami, c’est de venir enculer sa patronne devant son mari, pour la plus grande joie des deux comparses…Tu parles s’il est volontaire le Georges !…

Je vais tout régler de moi-même se dit-elle, et convaincre Bertrand de la manigance.

Elle choisit donc un jour où elle est en train de sucer Bertrand pour lui raconter les petites foutreries de son épouse.

– Quelle dévergondée Monsieur. Elle se paye toutes les bites du monastère mais en plus elle se fait sauter par le petit curé ! Elle vous déshonore ! Elle vous humilie !
– Ah la salope avec des vieux encore passe, c’est de la charité, mais avec un jeune !… il va me falloir sévir ! Tu as bien fait de me dire tout ça…
– Bien sûr, Monsieur… je peux vous aider.
– M’aider !… Que veux-tu dire salope… qui t’a permis ?… C’est une affaire entre elle et moi !
– Oh pardon ! Mais je crois savoir, Monsieur, que vous aimeriez la voir se faire sauter devant vous… avec votre permission, bien évidemment…
– Par qui et comment ?… Sale petite vicieuse !.. .mais d’où sors-tu cela ? Dis-moi vite !
– C’est votre copain, Monsieur, une gentille personne de bon conseil, et sauf votre respect, il pourrait vous cocufier… il fait ça si bien ! Monsieur !… ça ne vous déplairez pas…
– Mais qui t’as mis ça dans la tête petite garce ?
– C’est lui-même Monsieur…Je sais comment faire pour délier les langues… c’est pour vous aider… Au cul, Monsieur, il est prêt pour vous cocufier… je vous le dis, … Hi, hi…Oh pardonnez-moi !
– Vicieuse… Me faire cocu par devant moi !… Tu seras punie pour une telle vilenie, mauvaise fille… va !… tu vas voir ce que je vais te faire sur les fesses !
– Je ne dirai plus rien Monsieur, répond la petite garce en faisant mine de partir avec une moue désarmante…
– Non, non, reste… bon on oublie pour la fessée… dommage !… Je veux bien, mais arrange-toi avec Georges, fait le venir à la maison, prépare-nous une belle fête. Que Madame ne se doute pas de notre manigance. Qu’elle vienne et prépare-la… on va faire des folies. Je compte sur toi Finette ! Salope, j’en jouis d’avance !
– Oui Monsieur vous serez un cocu content… j’y mettrai les mains… n’est-ce pas !
– Ok nous allons fêter cela… je m’occuperai de toi ensuite… mais pour l’instant, ouvre tes fesses, qu’on signe le contrat…

Alors déjà tout content il lui fait une petite gâterie… il lui bouffe le cul toujours avec autant de plaisir et ce que ne peut plus faire sa bite, sa langue s’en replet qui se glisse entre les plis soyeux de ses jolies fesses fraîches.

– Salope tu as toujours aussi bon cul ! Oh putain qu’il est tendre ! ça te fait du bien mes fessées…et il se la tapote la bonne chair…Qu’elle a le cul tendre la garce !
Tu t’imagines un peu ce beau cul de la soubrette ! C’est du gâteau pour Monsieur ! Que je dis à Ernestine.
– Ce salaud de Bertrand il ne perd pas le Nord ! Bon dieu ! et il a bien raison, souligne Ernestine !

Et voilà la soubrette qui se prend un troisième acompte…

Les trois contrats en poche (en cul vous dirait Ernestine…), elle file la chipie, annoncer à sa Maîtresse que vendredi prochain son époux invite Georges à dîner. Finette elle-même assurera le service dans une ambiance sereine et décontractée.

Monsieur me fait vous dire qu’il lui plairait que Georges son très grand ami soit reçu avec beaucoup de considération et de sympathie pour que vous passiez une soirée conviviale.

D’ailleurs Bertrand lui a demandé de veiller à ce que Madame revête ses plus beaux atours : guêpière, jarretière, culotte blanche et bas noirs, le tout recouvert de cette superbe robe noire qui lui sied si bien en moulant son cul et ses seins et enfin, elle chaussera ses hauts talons noirs

Agnès n’hésite pas une seconde à donner son accord. Ce Georges est un bel homme qu’elle verrait bien dans son lit. Et qui sait, voilà peut-être l’occasion de se rapprocher de ce personnage qui semble d’ailleurs lui porter un intérêt particulier.

C’est donc un vendredi que nos trois acolytes se retrouvent en soirée pour partager un bon repas préparé par cette chère Finette qui en plus de ses qualités de soubrette est une bonne cuisinière. Elle a bien épicé les menus, ajouter du gingembre et autres produits aphrodisiaques et sert beaucoup du très bon vin et de nombreux alcools.

Elle en mouille d’avance la chipie et tellement elle mouille (mais cela vous ne le direz à personne, chers amis…), oui tellement elle mouille la coquine qu’elle en met une petite rasade dans la sauce du rôti (ce n’est pas possible !)

– Hi, hi… la bonne cuisine !…me dit Ernestine…c’est mieux que du fond de veau…pouf !

Habillée (ou plutôt déshabillée…) telle que le veut sa fonction, elle tourbillonne la soubrette autour de nos personnages, change une assiette ici, verse du vin là-bas, un petit sourire par ici, une grimace à l’autre, le tout en dandinant son petit cul à la faveur des regards de son patron et du beau Georges qui lorgnent évidemment ce bel arrière-train qui tressaute chaque fois qu’une main s’aventure sous le petit jupon.

Madame a enfilé ses plus beaux atours. Plantée sur deux superbes jambes en fuseau, serrée dans un joli bustier noir qui met en faveur sa forte poitrine, elle porte une jupe ample sous laquelle on devine une opulente paire de fesses qui ondulent au rythme de sa démarche sur ses chaussures noires à talons très haut.

La soirée commence donc très bien. Tout le monde plaisante, Georges raconte quelques histoires grivoises, les yeux brillent de plus en plus, sous la table des jambes se croisent et se décroisent, sûrement pour s’aérer car il fait chaud là-dessous !

On en est au dessert…

Finette devient de plus en plus insolente, qui se fend d’un joli sourire sous sa jupette qui fronce…

Georges et Bertrand se lancent des œillades complices…

Et Agnès boue sur sa chaise dans cette ambiance délétère où son regard se perd entre le cul de Finette, la main de Georges qui s’est posée sur sa cuisse et la bite de Bertrand qu’il a sortie de sa braguette pour se branler.

Eh bien faites-en autant vous tous en attendant la suite…

À bientôt si vous le voulez bien….

01/07/2022

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2 réponses à Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 5 – Madame Belmotte… Manigances… par Verdon

  1. Cassandra dit :

    En voila un récit au ton particulier. L’auteur a du se souvenir de Rabelais !

  2. Harivel dit :

    Verdon c’est un peu le San Antonio de la gaudriole 😉

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