Tant va le Temps… Tant va le Cul… 029 – Dévergondages… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… 029 – Dévergondages… par Verdon

Bon si vous vous êtes bien branlés à la fin de la lecture de mon précédent chapitre, c’est que vous savez que mon pote Charles, et moi, après un conciliabule très particulier (hi, hi… ), on a décidé que je me chargerai d’enseigner les bonnes manières à sa petite femme qui est adorable mais un peu trop récalcitrante à lui accorder le charme de ses fesses. Charmée d’apprendre que je vais combler sa solitude amoureuse, pendant l’absence de son homme, elle me reçoit, la gentillette comme si j’étais son Charles. (c’est comme cela que je comprends l’Amitié !).

Vous vous doutez bien sûr, que je compte passer du bon temps avec cette jolie personne indocile, afin de lui apprendre gentiment la façon de déverrouiller son charmant petit alésage.

– Avec de l’affection et de la tendresse, mais pas de ceinturon, rajoute Juliette.

Ah ! Le ceinturon… je n’aurais pas dû. Mais si je lui ai flatté un peu la raie du cul, c’est qu’elle avait fait une grosse bêtise la cochonne ! Alors, c’était peut-être un peu mérité, juste pour l’amadouer, gentiment… et puis elle avait un si beau cul… nom de dieu !

C’est vrai qu’elle a couiné un peu en serrant les fesses… (même qu’elle a coincé le ceinturon dans sa raie … la crapule !)… Alors :

– Promis juré, plus de ceinturon !… Mais tout de même il ne faudra plus me pisser dans les sabots, petite garce !
– N’empêche que pour autant ce n’est pas ce qui t’a permis de faire sécher tes chaussettes… Salaud !

Sur ce bon mot et mes bonnes intentions je lui confirme sur la croupe, mes promesses d’affection et de tendresse !… les Dames savent bien qu’une bonne éducation demande parfois un peu de fermeté… mais juste un peu, un tout petit peu ça aide à la compréhension, d’ailleurs elles comprennent vite… et une petite fessées, c’est sympa… .non !… et puis, c’est connu il paraît qu’elles aiment ça !… Oups !

Juliette raffole de son Mari. Il est adorable lui aussi. Il lui fait l’amour comme un dieu. Elle est chatte ! Coquine aussi, dans son genre, et pas très regardante si son homme s’attarde parfois pour rentrer à la maison (s’il revient toujours à la maison c’est qu’elle est la meilleure !). Quand il s’engouffre dans le lit le soir après ses petites affaires, elle aime lui sucer la queue qui a un parfum différent selon ses dernières pérégrinations ! (des fois ça sent le bouc !… Non, mais pourquoi vous me regardez comme ça !).

Mais nous savons que notre homme a un gros défaut (au dire de Juliette évidemment..), le défaut de vouloir lui mettre la chose … eh bien là, où elle ne veut pas !…

Elle dit que ça ne se fait pas. Que c’est sale ! Que c’est caca ! Qu’il a un trop gros sexe … elle se trouve un tas d’excuses, si bien que le gros machin de Charles, n’a jamais franchi la douane !

– Non ! Arrête Chéri !… Tu te trompes de porte !
– Ah ! Pardon je n’ai pas remarqué… (menteur ! Va… c’est vrai que ce n’est pas fléché… hi, hi !).
– Mais tu me fais mal !
– Serre les dents… Tu vas aimer ensuite… (ben oui, quand c’est les autres… ).
– Eh bien elle serre les dents et… le cul avec !

Ils font l’amour comme de bons chrétiens, à la missionnaire, Elle est heureuse Juliette… heureuse de se faire baiser par son bon mari. Qu’il aille se faire tringler le trou de balle par quelques conasses qui n’ont d’ailleurs pas réussi à l’assouvir jusqu’ici !… elle s’en fout.

Donc dès le premier soir on se met au turbin ! Conscient que le Charlot est un peu trop mou avec elle (c’est un comble !), je décide d’être ferme. Je vais me la dresser (en douceur… ne vous inquiétez pas !… juste pour la stimuler un petit peu)et la remettre ‘cul mettable’ dans les bras de son mari.
Pour ne rien vous cacher, avec son Charles, on l’a sautée ensemble, avant qu’ils ne se marient. ( histoire de l’essayer, vous savez !… Charlot me demande souvent des conseils… même que je lui ai essayé sa dernière voiture… une superbe bagnole !Remarquez que la Juliette,… Question de carrosserie !!!… .Oups !)

– Commence donc par te mettre à poil !
– Mais j’ai honte !
– Honte de quoi, je le connais ton cul, alors finies ces simagrées ! (de la fermeté !).
– Toute nue ! Devant toi ! Je n’ai pas l’habitude…
– Eh bien je vais te la donner l’habitude, moi ! et je lui dégrafe son chemisier.

Ses deux gros seins jaillissent, tout blanc avec des mamelons marbrés pigmentés de petits nodules plus foncés et dominés par de jolis tétons brun et bandés comme des petits pénis. Elle est toute rouge mais ne baisse pas les yeux. Purée ! Le joli sourire et les beaux lolos !

Elle place ses mains sous ses encombrantes mamelles, cherchant à me les camoufler en les remontant. Mais au contraire ses deux globes de chair laiteuse n’en sont que plus voluptueux et quand elle les soulève ils ressemblent, sans doute, beaucoup plus à son cul qu’à une paire de nichons. Je souris d’admiration. Décontenancée, mais flattée, elle les lâche.

– Dis-moi au moins qu’ils sont beaux !
– Ils sont beaux et tu as un joli cul que je lui dis tout en lui plaquant une main entre les fesses pour lui torpiller son petit trouillard.

Stupéfaite, au premier abord elle se raidit mais ne se dégage pas, ni ne serre les fesses. Je pénètre aisément son anus (une main sur un tétin et un doigt dans le cul… Hi ! hi ! ça lui plaît à la cochonne !).

Elle se ramollit, détend ses fesses, ses yeux scintillent !… (Humm ! la moite profondeur de ses fesses dans laquelle mon doigt s’enlise, me fait dresser la queue !)… C’est alors qu’elle me fout un putain de patin auquel je ne m’attendais pas.

– Humm ! qu’elle dit… Que c’est bon ces choses coquines que tu me fais!

Du coup pour encourager son envie et récompenser son élan, je lui titille un peu plus l’anus et je dégrafe ma braguette en lui donnant la permission de sucer ma pine qui est joliment en forme. Elle est ravie. Mes mains sur sa tête je l’aide à m’emboucher profondément.

– Humm ! Oui, comme ça !… Que tu suces bien !… Il doit être heureux ton Charlot !… Eh, ne t’emballe pas, vas-y doux…
– Humm ! qu’elle dit… En serrant son anus. Tu ne veux pas m’en faire un peu plus, là, maintenant ?

La salope, tout à l’heure elle faisait la nunuche et maintenant elle y prend goût ! Je vais me la faire languir… vous allez voir…

– Oh je ne suis pas très en forme !
– Menteur, tu bandes comme un bourrin !

Je dévie la conversation :

– Au fait, ça te dirait d’aller au théâtre ce soir.
– Voir quoi ?… une comédie?
– Oui… mais une comédie très coquine…
– On y va !… c’est une comédie joyeuse ?
– Plus que ça… .Vicieuse !
– Qu’est-ce que tu vas me faire découvrir !…
– Des petites histoires de cul…
– Chiche… .Hi, hi !

Un réconfort sur le cul et je lui dis :

– Va vite te fringuer, fais-toi belle et habille-toi court, s’il te plaît. On va être en retard !

Excitée comme un pou, elle me regarde avec ses grands yeux blancs et engloutit de nouveau ma pine.

Je la lui retire brusquement de la bouche et la cache derrière ma braguette
.
– Allons, ça suffit, on va être en retard… (non mais qui est-ce qui commande, ici ?… ).

Elle fait une mine déconfite en se passant une langue sensuelle sur les lèvres. Elle m’aguiche la coquine, mais je ne me laisse pas tenter.

Une caresse sur les fesses et elle file droit en remuant insolemment son popotin.

Autant gaie, qu’inquiète, elle s’assoit serrée contre moi sur ces fameux sièges rouges et crado (pas très ragoûtants..) qui décorent le petit théâtre où on est allé. On est au premier rang devant la scène. Elle est impatiente de curiosité, elle trépigne d’excitation.

La salle est comble, ça sent un étrange remugle de sueur et d’hormones masculines et même de pisse. Il faut vous dire qu’à part Juliette et quatre ou cinq autres nanas, il n’y a que des hommes. La plupart fiers, d’autres discrets et certains timides la main dans leur froc.

Les Dames sont surexcitées, elles rient et se font bousculer par des mecs assez entreprenants. Certaines se retrouvent avec plusieurs mains fouineuses sous leur jupe et elles rigolent comme des folles en rabaissant leur jupe, tandis que par derrière d’autres foutent leurs mains dans la culotte

A côté de Juliette, s’est assis un vieux monsieur, élégant et sympathique, avec des yeux de pervers. Il lui fait déjà du plat alors que la séance n’a pas commencée. Flattée mais pas très rassurée elle lui sourit tout en s’accrochant après moi et en me le montrant du doigt…

Je remarque en effet qu’il est en train d’ouvrir sa braguette. Je fais au mec, un petit signe de connivence et soulève légèrement le côté de la jupe de Juliette pour l’exciter un peu plus, mais mollo… Furieuse, elle se retourne vers moi, rabaisse sa robe et s’écrie :

– Mais qu’est-ce que tu fais ? et que lui as-tu dit ?
– Rien, ma biche… .Tes jolies cuisses lui ont tapé dans l’œil…
– Ça ne lui a pas fait mal, apparemment… Mais que fait-il avec sa bite ?
– Oh ! Il se fait une petite gracieuseté tout au plus !… tu ne veux pas l’aider… Pff !
– Non, mais ça ne vas pas !… Regarde il est en train de la sortir… Qu’elle est grosse !… Il va me violer ce couillon !
– Ne t’inquiète pas, je suis là pour te protéger… On sait se tenir dans ces lieux, tant qu’on n’a pas donné son accord. Il est plutôt sympa non ?
– C’est heureux… Il a une belle bite ! … Oh ! il se branle … Il y a un mec qui se branle à côté de moi ! Oh ma Mère si tu me voyais !
– Pourquoi ! Elle n’aime pas les bites ta mère !…
– Si… Puisque je suis là !
– Sûr ?… si elle a un beau cul, je la sauterais bien…
– Cochon ! Va lui demander !

Sur la scène il y a déjà deux tantouzes dont on ne sait pas qui va enculer l’autre. Juliette me serre le bras à me faire mal.

– Oh Chéri, il va lui mettre !… Le plus gros… il va lui mettre, je te dis… au jeune… Je suis sûre !… oh je n’ai jamais vu ça !… hi ! hi !… ‘Vas-y’… qu’elle crie soudainement, se croyant seule dans la salle.
– Encule-le !… Reprend plus fort, une partie de la salle… .dont certains se sont mis debout en se branlant la queue. Subjuguée, elle lâche ma main pour se pencher et regarder de plus près, avec des yeux médusés. À même pas deux mètres de son visage un mec en encule un autre !… Elle se jette dans mes bras.

– Oh que c’est drôle !… pff ! c’est la première fois que je vois cela… c’est à mourir de rire !… il se fait enculer le mec… oh ! je n’y crois pas !… Putain ça entre !… ça doit faire mal au trou du cul !
– On s’y fait… on s’y fait… Que je lui dis en lui caressant la cuisse…
– Eh bien il lui a tout mis ! Regarde, on ne voit plus que les grosses couilles de l’enculeur ! Hi !, Hi ! tout dans le cul ! … Bien fait pour lui ! Tapette… Va !
– Oh ! ça ce n’est pas gentil ! Vilaine petite dévergondée !
– Eh bien moi ça me fait mal !… j’en ai l’anus tout resserré…
– Fais voir !

Elle ne me laisse pas lui mettre un doigt au cul, mais je m’aperçois qu’elle est trempée entre les fesses… la salope !

Mais elle est distraite par son voisin qui, encouragé par la tournure de l’ambiance, sort son nœud de la braguette devant ses yeux décidément toujours exorbités. La jeune femme ne sait plus quoi regarder… la scène ou bien la bite qui lui paraît énorme et agressive. L’autre qui se fait enculer sous ses yeux, ça l’excite drôlement la Juliette !… mais la jolie pine que le voisin se tripote joyeusement l’inquiète beaucoup. D’ailleurs, il en profite le sadique pour lui mettre une main sur la cuisse.

– Chéri … il m’a mis sa main sous la jupe ce cochon ! Et elle se précipite contre moi.
– Que ça !… Oups !
– Vois-donc il veut me mettre un doigt dans la culotte !
– Oh ! Si ce n’est qu’un doigt ! … Tu en as déjà vu d’autres…
– Con !… Arrête-le ou bien on s’en va !

Je fais un signe amical au bonhomme pour lui faire comprendre qu’on ne veut pas aller plus loin… Déçu, il me fait signe qu’il a compris. Il n’insiste pas le vadrouilleur. Il retire ses doigts qui se croisaient déjà avec les miens sur le liseré de la culotte de Juliette et se tourne de l’autre côté, intéressé semble-t-il par un jeune homme plus coopératif qui lui a pris sa pine en main.

Rassurée, mais déconcertée, elle lui lance un regard de soulagement associé à un petit regret.

L’autre ne lui répond pas, trop intéressé par la branlette que lui procure son voisin et qui se termine par un vigoureux jet de foutre qui va tapisser le dossier du siège, en face.

Elle regarde de nouveau le spectacle sur le théâtre : c’est une fille qui se fait couvrir par une ribambelle de mecs plus excités les uns que les autres dont elle doit sucer les bites à la chaîne.

– Celle-là, elle va se prendre une indigestion de foutre ! Remarque Juliette avec un sourire malicieux.
– En attendant de s’en prendre autant de l’autre côté, que je lui rétorque.
– Oh ! Dégueulasse !
– N’empêche qu’elle n’a pas l’air de se plaindre la suceuse !
– Sûr… la bouche pleine, que veux-tu qu’elle dise… et l’autre qui lui tripatouille la foufoune !
– Elle les ouvre ses cuisses la salope… elle aime ça !
– Quand même toute seule pour tous ces mecs !… Elle n’a pas l’air de s’ennuyer !
– Ben voyons !… Tu ne veux pas les rejoindre ?
– Pff !

Sur la scène il y a un mec très costaud qui court après un jeune gringalet pour l’enfiler. Mais quand il va y arriver, face au public, le jeune homme échappe à son enculeur qui décharge ses bontés non pas dans l’endroit convenu, mais vers la première rangée de fauteuils où je me trouve justement avec Juliette ! On est arrosé copieusement.

– Oh c’est dégueulasse, s’écrie Juliette, furieuse et vexée d’en prendre plein le visage. Quel cochon ce mec ! dit-elle en s’essuyant de partout

Hi ! Hi… tout le monde rigole, sauf elle évidemment. Je la couvre de mes bras en me penchant sur elle, et comme c’est la fin du spectacle, on se sauve dans le couloir, tandis que l’éjaculateur continue à détremper les nibars d’une nana qui n’en n’a pas l’air offusquée pour autant.

– Putain mais il en a pleins les couillons, ce dégueulasse ! Me dit Juliette qui a retrouvé le sourire en observant de loin la fille qui a ouvert son décolleté pour profiter davantage de l’arrosage.
– Mais non, ne vois-tu pas que c’est bidon ! c’est avec une poire pleine de lait et de farine, qu’il arrose les spectatrices ce cochon…
– Dommage… On s’y serait cru, ajoute-t-elle… avec un petit sourire dépité…
– En tout cas le spectacle m’a beaucoup amusée.
– Il a une sacrée bite l’arroseur !…
– J’espère qu’elle n’est pas fausse elle aussi… et la fille avec toutes ces bites autour d’elle !… rien que pour elle !… Ben alors elle se fait gâtée comme cela tous les soirs !…
– Ça t’aurait plu… Cochonne ?
– Oh ! Va savoir, je ne serais pas fière sous cette avalanche de bites… Quoique… Oups ! Tu crois qu’elle va se faire enculer par tous les gars, ensuite la pauvre fille !
– Ben voyons ils ne sont pas venus pour enculer des mouches !
– Tous des salauds… les hommes !
– Ça commence à chauffer chez les dames, il y en a qui doivent mouiller leur culotte !
– Oh ! Là-bas il y en a une toute trempée qui voltige entre plusieurs mains ! … et c’est mon voisin de tout à l’heure qui la récupère et s’en fait une pochette ! Quel vicieux !…

On rentre à la maison. Comme elle a été bien gentille pendant cette soirée et pour la récompenser, je m’assois cul nu sur la banquette et je l’invite à venir me sucer…

– On va faire un petit extra !

Ébahie devant moi, elle n’y croit pas… mais très vite enchantée, son visage se réjouit et elle ouvre une bouche toute grande comme si elle avait peur de ne pas l’ouvrir assez !

– Allez à genoux, salope, et suce-moi la queue… petite garce ! (faut toujours faire un peu le macho dans ces cas-là… ).
– Je ne suis pas une salope !
– Ne t’inquiète pas tu vas le devenir ! à poil greluche !
– Idiot !
Je lui chauffe un peu la fesse et elle s’y met au boulot ma chichiteuse…

– Tu as vu comment ils faisaient au théâtre, alors fais-nous ça comme il faut !

Accroupie entre mes cuisses, elle veut me prendre en bouche, mais je la fais râler en lui tapotant le museau et le nez avec ma pine bien raide et bien lourde. Je fais glisser mon gland sur ses lèvres. Elle cherche à le gober mais je l’esquive à chaque fois. Elle finit par attraper le morceau avec ses mains et l’engloutit dans sa bouche sans se faire prier, l’affamée. Oh ! Quelle bouche ! Comme elle suce bien ! Que ses lèvres sont douces et habiles…

– Oui va s’y comme ça ! Humm c’est bon… met-moi un doigt au cul !
– Au cul !!!
– Ben oui un doigt dans le cul, il ne t’a rien appris ton Charlot !
– Mais c’est sale ! dit-elle en m’enfonçant tout de même consciencieusement et avec rage, son index au fond du cul, … la conasse !
– Ouille ! … La garce !… Humm … Voilà c’est bon ! Remue-le … encore !

Putain j’éjacule… et pour de vrai, pas comme le gars du théâtre… et c’est du gras… elle fait la grimace, elle s’étouffe, ça lui sort par les trous du nez ! Puis elle saisit ma pine pour la sortir de sa bouche… Tandis qu’elle avale le plus gros du bouillon.

Mais comme j’en n’ai pas fini, je crache mon jus sur son visage et sa poitrine… elle en a partout… et c’est du bon ! Qu’elle est belle avec cette goutte qui lui pend au bout du nez ! Elle a des larmes d’amour aux coins des paupières et aux commissures des lèvres.

Quand elle refait surface, elle sourit avec son doigt dans la bouche… et quelques moustaches pas très claires… ah ! La salope !

– Eh bien vois-tu ce n’est pas si dégueulasse que ça en a l’air… n’est-ce pas ?
– Oh qu’est-ce que tu me fais faire ! C’est mieux qu’au théâtre !… le doigt dans ton cul !
– Ben voyons, c’est du concret et ça n’a pas l’air de t’avoir déplu ?
– Mon Charles, il a un bon Ami qui me fait découvrir de drôles de choses !
– Mais qu’est-ce que vous êtes dégueulasses, les hommes !…
– Pourtant je crois que ça t’a plu ?
– En effet, toutes ces bites, humm!… Oh mon dieu qu’est-ce que je dis ?… Je vous aime tous les deux !
– Nous aussi on t’adore. Alors tu peux nous aimer tous les deux.
– Hi ! hi ! Oui, tous les trois… comme au théâtre ?…

Bon c’est sûr, on va l’aimer tous les deux la dame néophyte.

On a bien commencé avec le théâtre !… Bon avec ma bite ça a l’air de marcher aussi. Il me reste à lui défriser le trou de balle ! Hi ! Hi ! Et lui attendrir la couenne à la jeune dame, elle va s’y faire. Elle est de plus en plus coopératrice notre apprentie…

Bon ce soir elle est HS… Elle a vu et fait pas mal de choses. Elle ne sait plus trop où elle est, si non qu’elle se jette toute nue dans son lit et s’endort en oubliant complétement ma présence… et moi je débande devant tant d’insouciance et d’ingratitude. Je me colle à elle contre son dos et je dors jusqu’à l’aube. Au petit matin je la tripote un peu et comme elle ne réagit pas, je me lève et je rentre chez moi.
Ah !, j’avais oublié… Avant de partir, je lui laisse un mot sur la table :

– Je suis absent jusqu’à après-demain. Ma copine Ernestine va venir te tenir compagnie. Soit gentille avec elle… elle t’aime beaucoup, elle est adorable mais perverse… bisous.

Quand je rentre chez moi, ça sent le chacal… je reconnais un peu cette odeur assez **** mais aphrodisiaque qui traîne entre les cuisses de ce garçon à qui j’ai prêté les clés de ma piaule pour loger sa solitude. (après qu’il m’est si souvent ouvert ses genoux pour qu’on la partage ensemble !).

Lui, il roupille sur le canapé, une jambe en vadrouille, la bite en perdition et les couilles en guenilles. Une bouteille de bière renversée sur le sol à côté de son slip et un peu plus loin une énorme culotte tâchée mais sûrement pas de bière.

Dans la chambre à côté,… Un cul !… Un large cul… Qui squatte, insolemment mon pieu… Le lit de mes débauches ! Celui de mes amours !… Au milieu d’un monticule de draps froissés !… .On ne voit que lui resplendissant dans la lumière d’un rayon de soleil matinal.

Bon dieu mais à la découverte d’une petite abeille tatouée sur la fesse gauche, je le reconnais ce cul… C’est celui de Rosette (oui ! rappelez-vous : celle qui n’avait pas pu me recevoir dans l’épisode précédent, tellement elle avait le cul défoncé par une demi-douzaine de jobards qui l’avaient prise pour un terrain de golf !).

Vous comprenez bien qu’un cul pareil et de bon matin je ne vais pas lui pardonner sa lascive paresse mais au contraire je m’en vais vous le secouer, lui ouvrir les fesses et lui planter gaillardement dans son accueillant orifice, mes plus chères et vigoureuse dispositions !

Elle ne crie pas la Rosette, elle ne bouge pas, le lui plaque la tête dans l’oreiller, elle s’ouvre et je l’enfile ras mes roustons.

Elle jouit…

Je sens dessus mon cul des attentions bizarres… Mais qu’est-ce qu’il fout mon Charlot ! !

Ouille !… Le con !… J’ai une petite impression (ou une grosse peut-être) qu’il abuse de mes bonnes dispositions !… Boff… quand il y en a pour deux… il y en a pour trois… Oups !

16/11/2023

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Une réponse à Tant va le Temps… Tant va le Cul… 029 – Dévergondages… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Et tout le monde s’encule à la queue leu-leu… A la queux leu leu !

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