Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 7 – Dyane, Gundula et moi par Nicolas Solovionni
– Reste cinq minutes, je vais te présenter ma seconde de vaisseau, tu auras affaire à elle quand on embarquera…
– Si on embarque un jour… Soupira Gundula
On fait les présentations, bisous, bisous, Dyane a toujours été très câline et affectueuse…
– Je lui a tout raconté ! Précisais-je à l’intention de Gundula. Je n’ai aucun secret pour Dyane.
– Elle en a de la chance ! Se gaussa l’infirmière.
– En revanche, puisqu’il est question de secret, Gundula en a un mais elle en veut pas me le dire ! Ajoutais-je à l’intention de Dyane.
– Oh, la vilaine !
– Bon je vous laisse ! Voulut conclure l’infirmière.
– Dis-moi, ton secret c’est un truc dans quel genre, je veux dire : un gros secret ou un petit secret ?
– J’en sais rien, c’est une info que le capitaine cherchait à obtenir. Il se trouve que cette info, je peux lui apporter.
– Parce que tu veux quelque chose en échange ?
– Eh, oui !
– Et pourquoi tu ne lui donnes pas !
– Parce que pour l’instant je n’ai pas l’article.
– C’est d’un clair ! Tu sais que t’es une belle femme, tu serais lesbienne ou bi, je t’aurais volontiers dragué. Lui déclare Dyane en papillotant des yeux
– Je ne suis pas lesbienne ! Se défend mollement Gundula.
Quelle gourde, elle n’a pas dit « je ne suis pas bi non plus » Dyane a un boulevard devant elle si elle sait en profiter.
– On sera amené à se revoir, je pense ! Autant rester en bon terme ! Reprend ma seconde de vaisseau.
– Mais je ne demande que ça !
– Alors tu ne vas pas me refuser un baiser sur tes jolies lèvres ?
Ben non, elle ne voit pas comment refuser et de toute façon, elle n’a pas le temps de réfléchir, et quand la langue de Dyane sollicite l’entrée de sa bouche, elle l’accepte.
Dyane en profite pour lui plaquer négligemment ses mains sur les seins
– Tu ne serais pas en train de me peloter, là ?
– Ce n’est qu’une innocente caresse…
– Tu parles ! Elle joue à quoi ta copine ? M’apostrophe Gundula.
– Je crois qu’elle tente sa chance ! Réponds-je
– Ben oui, je tente ma chance ! Renchérit Dyane.
– Et tu crois que je vais me laisser faire ?
– J’en sais rien mais pour l’instant tu as les tétons qui pointent.
– C’est une réaction purement mécanique ! Ma chère
– Tu crois vraiment ? Fais mine de demande Dyane en serrant les tétons à travers les tétons.
– Arrête, on va finir par faire des bêtises !
– D’accord j’arrête, mais embrasse-moi.
Les deux femmes se roulent alors une galoche baveuse et Dyane oubliant volontairement sa promesse continue à peloter à tout va, Sa main passe maintenant sous le haut, arrive au niveau du soutien-gorge et en fait sauter l’un des bonnets.
– Tu peux peut-être enlever tout ça ? Lui propose Dyane ?
– T’as vraiment envie de me sauter, on dirait !
– Ben oui !
– Tu vas être déçue !
– Pourquoi ? T’es en silicone ?
– Non, mais la dernière fois que j’ai fait des trucs avec une fille, c’était il y a des années.
– Et t’avais aimé ?
Elle est formidable, la petite Gundula, elle se piège toute seule.
– Bon je ne dis plus rien ! Consent-elle en retirant son haut et son soutien-gorge. C’est trop gros tout ça !
Ça y est ça la reprend !
– L’essentiel, lui répond Dyane c’est qu’ils soient beaux et doux.
Et elle se jette sur les tétons pour les sucer avec gourmandise.
– Vous seriez peut-être mieux sur le canapé ! Leur suggère-je
Elle ne m’entendent même pas ! Dyane fait une petite pause en se dépoitraillant à son tour et en offrant ses nénés à la petite infirmière, laquelle n’affiche aucun scrupule à lui rendre la politesse.
Bon, et moi, qu’est-ce que je deviens ? Je n’aurais pas l’outrecuidance de m’immiscer dans ce prologue lesbien qui me ravit les yeux et me chatouille la bite. Si elle veulent de moi, il leur suffira de m’appeler et j’accourrais. Mais cela dit je suis chez moi, je fais ce que je veux et décide de me mettre à poil et de me branler doucement en attendant la suite des événements.
Et justement les événements se poursuivent de façon logique, si toutefois on peut qualifier de logique les activités sexuelles, Dyane a fini de déshabiller sa partenaire et s’est accroupit devant sa chatte afin de la lui lécher. Gundula se laisse faire en fermant les yeux, mais a du mal à se maintenir en équilibre devant les sollicitation de sa lécheuse.
Elles se dirigent donc vers le canapé en se tenant la main comme deux vieilles copines. Dyane en profite pour se mettre à poil à son tour. Quel charmant tableau que j’ai là sous mes yeux avec ces feux fausses blondes nues comme des grenouilles. Je bande comme un bout de bois, mais je serais transparent, le résultat serait le même, pour elles, en ce moment, je n’existe pas !
Sur le canapé, ça s’embrasse et ça s’enlace, ça se caresse et ça se tripote, et au bout d’un moment les voilà en soixante-neuf, Dyane en-dessous, Gundula dessus, Placé comme je suis-je ne peux pas voir ce que fait l’infirmière. En revanche ma collaboratrice ne se contente pas de lécher la cramouille de sa partenaire, mais viens de lui introduire un doigt dans le trou de balle. Je la reconnais bien là.
Ça devient très chaud, dans tous les sens du terme, ça s’agite, ça transpire, ça gémit, ça mouille ! Gundula est la première à faire éclater son plaisir. Dyane s’abandonne aux mouvement de langue de sa partenaire. Je me demande si elle va y arriver. Elle manque sans doute d’expérience.
Si elles avaient adopté une position plus accessible, je serais venu « aider » mais non, je me suis promis de ne pas m’immiscer, alors je ne m’immisce pas.
Et soudain je sens que Dyane est en train de partir. Les deux femmes quittent leur position et s’enlacent. Un coup d’œil sur les cuisses de Dyane, elles sont trempées, elle n’a donc pas simulé !
– Eh ben toi, alors ! Dit simplement Gundula !
– T’as vue, hein ?
Ça c’est du dialogue !
Et soudain je ne suis plus transparent !
– Mais tu as vu l’autre cochon ! Dit Dyane, il s’est branlé en nous matant !
– Hi ! Hi ! Répond Gundula avec un grand sens de la répartie.
– On va l’entreprendre à deux !
Dyane s’approche de moi, Gundula la suit comme un toutou.
Ma collaboratrice préférée commence par me tirer les tétons, ce n’était pas la peine, je bandais convenablement, mais c’est toujours agréable, et elle fait signe à l’infirmière de prendre ma bite en bouche.
Après cette petite séance de voyeurisme, je crains de ne pas pouvoir tenir bien longtemps. Finir dans la douce bouche de Gundula, pourquoi pas, mais si l’une de ces dames m’offrait son anus, ce serait encore meilleur. Et c’est avec une délicatesse que je vous laisse deviner, que je pose la bonne question :
– J’encule qui ?
– On tire au sort ! Propose Dyane.
On fait ça à la « pair-impair » Dyane choisir l’impair. J’allume mon spacephone, le premier chiffre qui apparaît est un huit. C’est donc Gundula qui va s’y coller. Ce ne sera jamais que la seconde fois que j’aurais le plaisir de lui ramoner la rondelle.
Elle s’est prêtée gentiment au jeu, et comme la fois dernière elle a préféré se mettre sur le dos en levant les jambes plutôt que se mettre en levrette, je l’ai donc pilonné pendant que Dyane lui faisait des mimis sur les seins. A ma grande honte, je n’ai pas tenu la distance et j’ai déchargé trop vite ce sont des choses qui arrivent.
– Il faut que je fasse pipi, je ne peux plus me retenir ! Dit alors Dyane.
– Je peux en profiter ? Demandais-je
Dyane et moi affectionnons cette pratique, reste à savoir comment Gundula va réagir.
– Je vais lui pisser dessus, il adore ! T’as déjà fait ça, toi ? Demande-t-elle à l’infirmière.
– Je sais que ça se fait, mais moi personnellement, non.
– Tu veux essayer ?
– Un jour peut-être.
Elle a le tact de ne pas insister, je suis Dyane dans la salle de bain, Gundula vient aussi, elle est curieuse, l’infirmière !
Je m’allonge sur le sol, Dyane s’accroupit au-dessus de ma bouche et ouvre les vannes, j’en avale une bonne goulée, c’était délicieux, Il faudra juste que je passe un coup de serpillère pour éponger ce qui est tombé par terre.
– Fait moi un bisou sur la chatte ! Demande alors Dyane à Gundula en minaudant.
– Mais tu ne t’es pas essuyée !
– Je sais !
– Et tu veux que…
– Juste un peu, ça ne va pas te tuer !
– C’est pas vrai ! Qu’est-ce que tu me fais faire ?
– T’es pas obligée, mais ça va te prendre juste une seconde.
– Et tu ne m’en crois pas capable ?
– Si, justement !
Alors Gundula s’est penché, a approché sa petite langue de la foufoune de Dyane, juste un petit coup.
– Oui, bon, c’est spécial ! Pas de quoi en faire un plat ! Commente-t-elle.
– Ça a quel goût ? La taquine Dyane
– J’en sais rien un gout de pisse !
– Mais encore !
– Attends je vais te dire !
Et voilà que Gundula se plonge vers la chatte de ma collaboratrice et cette fois lèche pendant plusieurs secondes.
– Non, je ne sais toujours pas quel goût ça a, mais ce n’est pas si mauvais que ça !
– C’est bien, la prochaine fois je te pisserais peut-être dans la bouche.
– Ça ne va pas, non ! Quoi que si tu me demande gentiment…
Je suis épuisé, les deux nanas aussi. On se boit un coup.
– Tu peux peut-être le dire ton petit secret, maintenant ? Lance Dyane à Gundula.
– Non, non ! Et j’espère que ce n’est pas pour ça que tu m’as débauchée.
– Va savoir ? Tu ne regrettes pas j’espère.
– Non, pas du tout !
J’ai un appel en absence sur mon spacephone, c’est Riquita. Il est assorti d’un message, j’en prend connaissance puis le repasse en hautparleur à l’attention de Gundula :
« A la limite, je peux virer Diamond, elle ne supporte pas que soit moi la nouvelle régisseuse… »
Qui c’est Diamond ? Je suis en train de m’apercevoir que j’ai acheté une boite sans en connaitre ni tous les rouages, ni tous les acteurs.
« …Mais c’est un poste à mi-temps, et puis faut pas rêver, je ne sais pas comment est ta petite protégée, mais quand elle va voir les différences de salaires entre-elle et les autres, ça va lui faire drôle… »
– Elle est incapable de comprendre, ta pétasse, que je n’ai aucune envie de faire du sexe avec des inconnus ? S’agace Gundula.
– Bon je vais essayer de trouver autre chose, on pourrait aller bouffer tous les trois ensemble ? Proposais-je.
– C’est une excellente idée ! Répond Dyane, mais nous allons faire ça demain ! Parce qu’aujourd’hui mon cher capitaine j’ai des choses à te dire et entre quatre yeux !
On a donc laissé partir Gundula, puis sans attendre Dyane me questionne :
– T’en es où ?
Je lui explique, j’espère simplement ne pas la mettre en péril en lui dévoilant le secret de l’intrusion au Carrie’s bar par l’homme masqué.
– Bien, bien, dit-elle ! On peut voir les choses de façon complètement différente.
– Ah ?
– Mets-toi dans la peau des adorateurs des précurseurs, n’oublie pas qu’il s’agit d’une secte et que les ces gens-là ont des réactions qui peuvent paraître incompréhensibles ou farfelus aux yeux des non-croyants
– Pas si facile !
– On peut toujours essayer ! Donc les adorateurs locaux, ils en sont où ? Ils ont tué Dernoul, coupable selon eux de sacrilège, le reste de l’équipage semble leur avoir échappé, je ne vois pas comment ils vont pouvoir leur courir après. Mais la bonne question est : est-ce que leur mission est terminée ?
– Quelle mission ?
– Laver le sacrilège !
– Je n’en sais rien, moi, c’est quoi ton idée ?
– Mon idée, c’est que le caillou qu’il ont piqué à Dernoul, ils vont vouloir le remettre à sa place sur sa planète d’origine. Rétorque Dyane
– C’est de la folie douce !
– Rappelle-toi qu’il s’agit d’une secte.
– Et une fois que tu as dit ça ?
– Eh bien la petite Dyane, elle a été trainer à l’astroport consulter les appels d’offre, et que dans les offres, figure-toi que j’ai trouvé un passager qui offre très cher pour un aller et retour sur une planète à numéro. Et le numéro correspond à la planète où s’est posée Dernoul.
– Putain !
– Je t’en bouche un coin, là.
Du coup, on s’est servi un grand verre de watchibole avec des glaçons.
– Donc, on prend le passager, et dès qu’on a décollé on le neutralise, on le prend en photo et on l’abandonne dans l’espace, et l’affaire est terminée ! Génial ! Proposais-je
– Sauf qu’on peut faire mieux que ça ! Le mec il doit savoir des tas de trucs, on va le cuisiner et aller jusque-là bas, c’est un peu loin mais c’est un investissement, on va arriver sur un site de précurseurs, on ne se laissera pas avoir comme Dernoul, les types là-bas ils ne doivent pas être si nombreux que ça, et il y a surement du fric à se faire…
– Tu me tentes !
– Eh oui, l’aventure, le fric…
– Le fric, j’en ai déjà…
– Reste l’aventure, c’est bien l’aventure !
– O.K. ! Accepte et bloque l’offre du mec, avise-le qu’on part… euh… combien de temps pour réunir tout l’équipage ?
– Deux jours !
– C’est bon !
J’aurais pu prévenir de suite Gundula que nous allions partir, mais j’ai préféré la faire lanterner, son petit secret ne doit pas être si important que ça, mais à coup sûr il est en rapport avec Hofjom. Alors ? Sa date de sortie ? Des informations sur ses échanges téléphoniques, sur ses visites ?
J’ai donc attendu le lendemain pour l’appeler.
– Tu peux démissionner de la clinique, je viens d’avoir une opportunité, je décolle demain ou après-demain.
– Super !
– Rejoins-moi à mon appart !
– J’arrive !
Elle est essoufflée.
– Décidemment, me dit-elle, c’est la journée des surprises, hier j’avais une info, maintenant j’en ai deux.
– Moi aussi j’en ai deux.
– Hein ?
– Laisse tomber, je faisais de l’humour, je t’écoute :
– Première information : Hofjom sort aujourd’hui, je ne sais pas s’il est guéri mais Levkovich avait besoin d’un lit, il va faire de la chirurgie esthétique à une pétasse…
Voilà une nouvelle qui m’embarrasse plus qu’autre chose, me voilà obligé « moralement » de prendre cet énergumène dans mon équipage…
– O.K. et l’autre information ?
– Levkovich nous a réuni ce matin pour nous dire qu’il allait s’absenter de l’établissement pour plusieurs semaines, c’est un de ces collègues, un mec que je ne connais pas qui assurera l’intérim.
Bingo ! Tous les doutes sont désormais levés, c’est donc bien Levkovich mon mystérieux passager et c’est donc bien Levkovich l’assassin de Dernoul !
Il me reste à organiser tout ça. Sur sa demande d’offre Levkovich a laissé un numéro de spacephone, un appareil anonyme sans doute acheté uniquement pour l’occasion.
Je le préviens donc d’être prêt à se présenter une heure avant le décollage. L’heure précise lui sera communiqué en temps voulu.
A suivre
Partouzes spatiales avec de l’anal, ce n’est pas banal
Et l’apesanteur, ça ne gêne pas pour faire l’amour ?
On va dire que le vaisseau génère une pesanteur artificielle…
De la bonne partouze comme on les adore !
Les partouzes cosmiques continuent de plus belle… pour notre plus grand plaisir