Samedi 26 octobre 2002
Textes tirés des cahiers de mes soumis, agrémenté de phrases personnelles et
des impressions que j’ai cru percevoir chez mes soumis
Soubrette : Maître nous a demandé de nous tenir prêt et en tenue, assis sur
nos sexes de plastique pour 21 heures. Apres nous être douchés et lubrifiés,
nous avons pris positions et attendons la venue de Maître. La semaine a été
chargée. Chaque soir, après la fermeture du magasin, je devais monter
rejoindre Maître pendant que valet m’attendait dans le magasin. Maître a
visité mes orifices un à un et a chaque fois, je devais garder la semence de
Maître dans la bouche afin de la partager avec Valet. Maître nous a écrit
que pour ce Week-end. Il s’en prendrait aux testicules de valet mais que je
ne serais pas oubliée.
Maître est arrivé à 21 heures pile mais a constaté que valet n’était pas
complètement assis sur son gode. Il me l’a fait constater puis m’a demandé
de prendre de la ficelle de cuisine et de préparer trois brins en
confectionnant des nœuds de pendu.
» Je raffole de ce genre de nœud qui ne se desserre pas et de la ficelle de
cuisine qui est très fine »
Valet : Je crains que ce week-end soit très dur pour moi. Maître a décidé
que c’est avec moi qu’il va jouer. En plus, je dois lui avouer quelque
chose. J’ai fait un rêve érotique dans la semaine et j’ai pénétré soubrette.
Pas très longtemps mais je l’ai fait alors que Maître me l’a interdit.
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Je sentais en arrivant que François n’était pas à son aise. Il y avait
d’abord le fait que j’allais jouer avec lui et qu’il le savait. Mais il y
avait autre chose. Marilyne m’avait annoncé dans la semaine que son mari
l’avait prise pendant son sommeil. Arrivé à son degré de soumission, il
allait forcément me l’avouer et c’est cela qui le rendait encore plus
inquiet. Il devait se demander quelle punition j’allais inventer pour un
acte de cette gravité.
» Valet, je crois que tu as commis un acte d’une extrême gravitée cette
semaine et que tu dois être puni. Peux-tu me dire ce que tu as fait ? »
» J’ai désobéi Maître. J’ai rêvé et j’ai voulu prendre Soubrette. Je vous
promets que cela ne reproduira plus et je vous implore le pardon »
Je feignais une colère noire.
» Non mais, pour qui te prends tu, petit pédé. Tu sais que Soubrette
m’appartient et que tu n’as le droit d’y toucher qu’avec mon accord. Et en
plus tu oses demander pardon. C’est plutôt l’inverse qui va se passer. Je
vais te faire passer l’envie de bander « .
Je demandai aussitôt à Marilyne de se lever et d’attacher un nœud de pendu à
la base du gland de François avant que celui ci ait une érection. Je lui
ordonnai ensuite de passer la ficelle entre les fesses de son mari, de tirer
et de l’attacher au collier dans le cou. Ainsi positionné, son sexe était
replié entre son entre cuisse. S’il voulait avoir une érection, la ficelle
lui comprimait le gland et son membre ne pouvait se relever.
» Va dans le jardin, soubrette, et rapporte-moi une branche de noisetier.
Pour le reste de sa punition, je pense avoir emmené ce qu’il faut. Toi,
valet, tu vas te mettre à quatre pattes et tendre tes fesses en arrière. A
son retour, ta petite salope de femme va te défoncer le cul avec le gros
gode « .
Marilyne s’éclipsa dans le jardin à la recherche d’une baguette tandis que
François tentait encore de me faire changer d’avis en promettant de nouveau
et surtout, en redoutant ce que j’allai lui infliger. Il avait compris que
la baguette était destinée à son postérieur et redoutai ce traitement. Elle
revint bientôt avec une branche fine et souple qu’elle me donna puis
s’occupa de l’anus de son mari. En fait, elle prenait un vif plaisir à
pratiquer cette action : Elle me l’avait déjà avoué a plusieurs reprises.
» Bien soubrette, je pense que son cul est suffisamment dilaté. Passons
maintenant à la vrai punition »
1- Pour avoir fait un rêve érotique : dix coups de bâton
2- Pour avoir voulu baiser soubrette : quinze coups de bâton
3- Pour te couper l’envie de recommencer : quinze coups de bâton
» C’est toi soubrette qui va officier. Pas de demi-mesure. Attention petit
pédé. Tu vas compter les coups : Si tu te trompes ; cinq coups de plus et si
tu perd ton gode, même punition. Tu peux commencer petite salope »
Marilyne commença à frapper le postérieur de François sans retenu. De son
côté, il comptait les coups avec un petit gémissement à chaque fois que la
baguette touchait ses fesses. La fin de la première série arriva.
» Ce n’est pas mal valet mais nous allons devoir recommencer la première
série. En effet, tu as oublié de commencer par le chiffre zéro. Oh, ce n’est
pas très grave, c’est juste cinq coups de plus. Au travail soubrette et
ajuste tes coups. Tu ne frappes pas bien le bout de sa bite qui dépasse des
fesses et mets-y un peu plus d’ardeur. Je te sens molle »
Le sexe de François, de la façon dont il était attaché, dépassait de son
fessier et Maryline, fidèle à mes ordres, accentua ses coups vers cette
zone. La punition dura bien plus de trente minutes et au final, les fesses
de François étaient zébrées de rouge, preuve que Maryline avait fait son
travail correctement.
» La badine c’est bien, mais pour une faute comme celle que tu as commise,
cela mérite beaucoup plus. Soubrette va ouvrir le sac qui se trouve près de
moi. Elle va prendre ce qui se trouve dedans et te frotter le cul et les
couilles. Je pense que cela devrait te passer l’envie de recommencer »
Marilyne sorti du sac une poignée d’orties que j’avais cueillis avant de
venir. Elle me regarda avec inquiétude, n’osant accepter ma requête. Mon
regard dur eut raison d’elle et elle frotta le postérieur ainsi que les
testicules de François. Le pauvre se mis à gémir et à crier. La brûlure des
coups ajoutée à celle des orties était à la limite du supportable. Il tomba
plusieurs fois sur le côté et je le punissais en le traitant de nom d’oiseau
en demandant à Maryline une nouvelle friction. Après le traitement, les
fesses de François étaient rouges et des petits points blancs, résultat de
la capacité urticante de l’ortie, ornait l’ensemble. Le gland n’avait pas
été épargné et le fait d’être toujours attaché et en tension le rendait
encore plus douloureux.
» Très bien mon petit pédé. Je vais maintenant m’occuper de tes couilles.
Salope, prends les deux autres ficelles et attaches lui chaque couilles
avec. Ensuite, tu attendras mes ordres »
Marilyne s’acquitta de sa tâche et vint se placer à genou devant son mari.
Je disposais alors une chaise entre les deux, passais les ficelles sur le
dossier et les attachaient aux poignets de Marilyne.
» Pour cette nouvelle punition, c’est ma femelle, du moins celle qui est
mienne maintenant qui va peut être te faire souffrir. Soubrette va tendre
ses bras et je vais déposer un plateau dessus. Sur ces plateaux, je vais y
poser des objets. Si soubrette faiblit, elle va baisser les bras et tirer
sur tes petites couilles. A elle de résister si elle ne veut pas te voir
souffrir « .
Sur ces mots, je chargeais le plateau de divers objets et attendait en
fumant une cigarette. Le résultat ne se fit pas attendre et Maryline du
baisser les bras, entraînant une traction sur les bourses de François. Le
pauvre se mis à gémir devant la douleur. Elle tenta alors de reprendre
quelques forces mais pour peu de temps. Alors, les tractions recommencèrent,
entraînant de nouvelles plaintes. Je les laissais ainsi une demi-heure pour
que François comprenne que c’était une vraie punition. Je libérai Marilyne
mais laissai le gode toujours en place dans le postérieur de François.
» Je pense que valet a eut très chaud ce soir. Pour conclure cette soirée,
soubrette va t’enfiler six glaçons dans le cul. Tu dormiras avec au pied du
lit pendant que je baiserai ta femme. Ta punition n’est pas finie pour
autant. Tu as intérêt a récupérer car demain, on continu »
François revint de la cuisine, enleva le gode et introduisit les glaçons.
Toujours à ma demande, elle mit en place le plug dans l’anus de son mari et
nous gagnâmes la chambre à coucher, François sur le tapis et son épouse à
mes côtés. Je fis l’amour à Maryline le plus bruyamment possible pour qu’il
ne perde rien de nos actions.
Au matin, François vint nous apporter le petit déjeuner. Il du attendre au
pied du lit et regarder sa femme me faire une fellation avant que je la
prenne en levrette. Je me répandais dans la bouche de mon soumis et il du me
remercier du spectacle ainsi que de l’offrande de mon sperme. L’après midi
était très ensoleillé et la chaleur était tout à fait correcte.
» Soubrette, habille-toi en pute, nous allons faire un tour. Quand tu seras
prête, tu attacheras les couilles de valet avec les poids et le plug dans
les fesses. Il vient avec nous mais à poil sous son manteau »
Nous partions et direction la forêt de xxx où j’avais prévu quelques actes.
François marchait derrière nous, le manteau ouvert. A chaque pas, les poids
s’entrechoquaient et il devait écarter les jambes pour ne pas que les fils
se coincent et tirent davantage ses testicules. De temps en temps nous nous
arrêtions et je profitais de Maryline en la caressant sous sa jupe courte.
Son sexe nu et rasé s’humidifiait davantage à chaque arrêt. Elle avait envie
de faire l’amour.
» Ta poufiasse est trempée. Elle a encore envie de se faire baiser. Mais
cette fois, pas question que tu nous regardes. Elle va donc t’attacher les
mains dans le dos et le bout de ta queue à l’arbre. Si tu veux te sauver,
adieux la bite »
Marilyne fit selon ma demande et nous laissions François, le sexe à l’air
avec les poids. Après une cinquantaine de mètres, j’arrêtais et observais.
François jetait des regards inquiets dans toutes les directions, redoutant
l’arrivée de promeneur. Malgré tous, il était en érection. Je caressais
Marilyne que la scène excitait. Elle aimait voir son mari à ma merci et
adorait que j’abuse d’elle sachant qu’il ne pouvait rien faire. Notre
expérience avait réveille sa libido et en fait, elle avait un amant en toute
honnêteté avec son mari. Bien sur, elle acceptait les souffrances que je lui
faisais mais elle aimait par-dessus tout la soumission de son homme. Nous
laissions François une demi-heure et revenions.
» Si tu savais ce qu’elle a pris dans le cul, cette salope. Elle est
incroyable ; plus ça va, plus elle aime ça. Quand je pense qu’avec toi, elle
n’a jamais voulu que tu lui mettes un doigt. Remarque, ça ne m’étonne pas.
Avec la queue que tu as, elle n’aurait pas senti grand chose. Tu n’es qu’une
gonzesse juste bonne à te faire sauter et à avaler des bites. Tu vas donc te
foutre à poil et mettre les vêtements de Soubrette. Ainsi, tu seras vraiment
une pute »
Ainsi fut fait. François marchait maintenant devant nous, vêtus de la jupe
courte, du chemisier. Il avait enfilé les bas et le porte-jarretelles. Les
poids dépassaient de la jupe et il avait du mal à marcher dans ce bois avec
les chaussures trop petites pour lui et à talons hauts. Après quelques
kilomètres de promenade forcée, nous retrouvions la voiture et retour à la
maison.
» J’ai réfléchi. Désormais, Valet sera habillé en pute le week-end. Tu iras
t’acheter des chaussures à ta taille. Je trouve que cette tenue te va mieux
que quand tu es à poil. Nous allons aménager la petite pièce du bas en une
salle de soumission. Avec quelques objets usuels, nous en ferons un superbe
lieu ou je pourrais abuser de vous. Avant que je rentre, Valet va me tailler
une pipe comme il sait si bien le faire. Soubrette va prendre le caméscope
et filmer. Il regardera la cassette tous les soirs pour qu’il voit bien
qu’il est pédé. Soubrette caressera sa petite bite avec un préservatif
jusqu’à ce qu’il éjacule. Il pourra ainsi boire sa jute après chaque
visionnage. Pour la prochaine séance, il me faudra des courgettes, des
bananes et un entonnoir. J’ai l’intention de vous remplir le cul de toutes
les façons. Allez valet, vient faire plaisir à ton maître »
François se positionna à genou devant moi et pratiqua sa fellation pendant
que Marilyne filmait. Sur mes directives, il se tourna vers la caméra pour
que l’on voit bien mon éjaculation et la lente déglutition de mon soumis. Je
les quittais alors, repu de sexe et heureux de cette nouvelle journée qui
renforçait encore notre relation.
cerf35@aol.com
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