Plaisir à l’internat.
Retour de vacances
par Bluboy
L’histoire que je vais vous raconter, n’a pas vraiment eu de conséquences sur ma vie actuelle. Néanmoins, j’en garde un souvenir qui restera, je pense, gravé dans ma mémoire.
Tout a commencé au lycée. J’étais étudiant en BTS et pour éviter un trop long trajet en train, j’étais interne. Je partageais ma chambre avec trois autres mecs de mon âge.
Au fil des mois qui passèrent, nous devînmes inséparables et les autres internes que nous connaissions nous avaient baptisé « Les trois mousquetaires ». Chacun de nous avait sa personnalité. Damien, était quelqu’un de très extraverti. Dès les premiers jours de cohabitation, il n’avait pas hésité à se balader nu dans la chambre, nous montrant son anatomie plus que généreuse. Ghislain, au contraire, était quelqu’un de très pudique et introverti. Il avait mis plus de deux semaines à nous adresser la parole. Venait ensuite Stéphane, un mec gentil et sans histoire. Toujours à l’écoute des autres et de bon conseil.
Je me souviens des parties de rigolades que nous avions, des délires plus ou moins stupides qui nous amusaient à l’époque. Il y avait pourtant, une petite chose que je leur avais toujours cachée. J’étais, et suis toujours, bisexuel. Quand nous nous racontions nos aventures, je prenais bien soin de féminiser mon partenaire s’il était du genre masculin.
Une autre ombre au tableau, c’était Ghislain, qui, malheureusement était encore puceau à dix-neuf ans. Avec les filles, sa timidité devenait maladive et par moment, nous avions envie de lui trouver une fille pour le déniaiser.
Stéphane et moi, retournions généralement à l’internat le dimanche soir, tandis que nos complices, rentraient le lundi matin. J’étais le premier à arriver et je profitais généralement de ce laps de temps pour prendre une douche. Puis, Stéphane arrivait prenait la sienne et nous nous racontions nos week-end et/ou, nos vacances.
Je venais à peine de sortir de la douche quand il est arrivé. J’étais nu en train de m’essuyer. Ses yeux se sont immédiatement posés sur ma queue, mais je mis ça sur le compte de la curiosité. Il déballa ses affaires, se déshabilla et fila sous la douche alors que je finissais de me coiffer. J’en profitais bien sûr pour jeter un œil à son sexe. Pudique, il ne le montrait jamais. A travers la vitre opaque, je pus voir qu’il n’avait pas grand-chose à envier à Damien.
Plus tard, alors que je bouquinais un magazine allongé en caleçon, il m’a rejoint, s’est assis sur le bord de mon lit en silence. Je le regardais faire et je fus surpris de voir qu’il semblait gêné.
– Je… J’ai… (Il cherchait ses mots, ne sachant pas vraiment comment aborder le sujet. Il soupira et se lança enfin). J’ai un conseil à te demander.
– Je t’écoute ! Je fermais ma revue et la posait sur ma table de chevet. Qu’est-ce que tu veux ?
– Promet moi de n’en parler à personne ! Il se mit à rougir.
– Tu m’intrigue là ! Allez ! Crache le morceau !
– C’est pas facile ! Il prit une grande inspiration et se lança enfin. J’me suis branlé avec un autre mec !
– Qu…Quoi ? J’étais assez surpris de cette révélation, puis je me mis soudain à rire. Il me regardait assez incrédule. Mais c’est pas grave ça ! Ça arrive à tout le monde !
– T’es sûr ? Il jouait nerveusement avec le bord de son caleçon. Moi j’crois pas ! J’suis en train de devenir homo !
– T’es un crétin ! Je ne riais plus, sa détresse était assez visible. C’est pas parce que tu t’es tripoté avec un autre mec devant un film de cul que t’es gay !
– C’est pas comme ça que ça s’est passé ! Il se leva et alla s’asseoir sur le lit de Damien, en face du mien. Y’avait pas de film de cul !
– Bin alors comment c’est arrivé ? Il m’intriguait de plus en plus.
– J’t’ai déjà parlé de mon pote Bruno ! Je hochais de la tête. Et bin ! On était sur ma terrasse ! Mes vieux étaient chez les siens pour l’apéro.
– Et alors ? Il se mit à rougir.
– On parlait de cul et ça m’excitait grave ! Il l’a vu et a sorti sa queue pour se branler !
– Et t’as fait pareil ! Mine de rien, cette histoire m’excitait légèrement. Je repliais ma jambe pour cacher mon début d’érection.
– Oui ! Il regardait ses pieds, incapable de soutenir mon regard.
– Et tu t’en veux parce que t’as aimé ça !
– Oui et non ! J’men veux parce que ça m’a excité encore plus ! Je le vis rougir de nouveau et je remarquais soudain une bosse qui se tendait sous le tissu de son caleçon ample.
– Y’a vraiment rien de grave. Je me relever pour m’asseoir à côté de lui. Mon érection était à présent totale, mais il était sans doute trop occupé par ses pieds pour le voir. Tu sais, ça m’est déjà arrivé aussi !
– C’est vrai ? Il me fixa enfin.
– Ouais ! Et plus d’une fois ! Je haussais des épaules. Et ça fait pas de moi une folle !
– Nan ! Mais… Il plaça sa main devant son sexe pour se cacher. Lui aussi devait être bien raide. J’ai peur d’y prendre gout !
– J’vois pas où est le problème ! Je me penchais en arrière, m’appuyant sur mes coudes. Mon caleçon semblable à un chapiteau. T’as baisé une fille depuis ?
– Oui ! Ses yeux ne quittaient pas mon entrejambe. J’voulais voir si j’y arrivais encore ! Sa main quitta sa jambe et il me laissa entrevoir son propre sexe tendu. Je sentais l’envie irrésistible de le toucher monter en moi. Il fallait que j’arrive à mes fins.
– Et avec ton pote ? Vous avez fait quoi exactement ? Il haussa un sourcil. J’veux dire, vous avez été jusqu’où ?
– Bin ! Il se gratta la tête. A un moment, il a attrapé ma bite pour la branler.
– Et puis ? Ma main massait délicatement ma cuisse avec un mouvement circulaire, remontant de plus en plus vers ma queue. Tu l’as branlé aussi ? Il se mit à rougir en hochant de manière affirmative. J’étais bouillant. Et t’as aimé ?
– J’ai adoré ! Il frottait, lui aussi, sa cuisse à présent. Puis il baissa les yeux vers le sol, intimidé. Je dois même te dire que j’ai hâte de le revoir pour remettre ça ! Je me levais du lit, puis me dirigeais vers la porte d’entrée que je verrouillais rapidement. Puis je me retournais vers lui et avança jusqu’à ce que mon sexe tendu sous mon caleçon soit pile devant son visage.
– Pourquoi attendre aussi longtemps ! Il me regarda droit dans les yeux, plutôt surpris. Je lui souriais et fit lentement glisser ma queue vers l’extérieur. Tu m’as bien excité avec ton histoire ! Ça m’a donné des envies !
Il se gratta la tête de nouveau et j’agrippais sa main que je vins plaquer sur ma queue. Il sursauta au contact de ma peau mais ne la retira pas. Hésitant, il s’empara alors de mon membre, le soupesa, puis glissa ses doigts autour de ma hampe avant de commencer une longue série de va-et-vient sensuel. Son autre main s’enfonça dans son caleçon et je le vis empoigner sa queue qu’il branla doucement. Je me mis alors à caresser son épaule, je sentais ses muscles se contracter au rythme de ses mouvements. Il tira sur l’élastique de mon caleçon et le fit descendre jusqu’à mes chevilles. J’étais à présent nu devant lui. Il était temps pour moi d’entrer en action, je le forçais à se relever, puis à mon tour, le déshabillais rapidement. Sa main était toujours collée à ma queue mais à présent, je voyais également la sienne. Epaisse avec un gland large dépassant à peine de son prépuce très long. Je tirai sur la peau pour le découvrir totalement, puis je commençais à mon tour à le masturber. Lentement d’abord, puis de plus en plus vite. Il se mit à gémir de plaisir et s’activa de plus belle sur mon sexe. Nous nous branlions mutuellement avec une certaine bestialité. Nos autres mains parcouraient le corps de l’autre, profitant pleinement de cet instant. C’est alors qu’on tambourina à la porte. Stéphane sursauta et se recula immédiatement en cherchant son sous vêtement du regard. Le mien était toujours sur mes chevilles et je le remontais à toute vitesse. La voix de Damien se fit soudain entendre à travers la porte :
– Bordel les mecs ! Qu’est c’que vous foutez !
– J’arrive ! J’enfilais mon T-shirt pour cacher mon érection encore tenace. Mon complice s’était également rhabillé et s’était assis sur mon lit en croisant les jambes. Je déverrouillais la porte et il entra en trombe, essoufflé, son sac de voyage sur les épaules.
– Pourquoi vous avez fermé la porte ! Vous étiez en train de vous branler ou quoi ? Il n’attendit pas la réponse et se dirigea vers on lit, jetant son sac dessus. Je fixais Stéphane dont le visage s’était empourpré. Il était rouge de honte.
– C’est de ma faute ! J’l’ai fermée en allant prendre ma douche ! Il dessinait des cercles sur la moquette avec son pied.
– Mouais ! Damien enleva son blouson et le jeta sur son sac.
– Mais qu’est-ce que tu fais là au fait ! Je m’installais sur mon lit à côté de mon complice, ses yeux fixaient le sol, je lui envoyais un léger coup de genou pour qu’il se ressaisisse.
– Mes parents ! Ils me faisaient chier ! J’suis parti plus tôt ! Il ôta ses chaussures et s’assit sur son lit, nous faisant face ! Il remarqua tout de suite la gêne de Stéphane. Ça va pas ? Le jeune homme redoubla de honte.
– J’sais pas trop ! Il est comme ça depuis qu’il est arrivé ! J’essayer de sauver la situation. Alors ! Tes vacances ?
– Bof ! Il se laissait tomber en arrière, s’appuyant sur le mur. J’ai pas réussi à serrer une seule gonzesse ! Il sourit soudain. Ah ! Si ! Y’a eu un truc !
– Racontes ! J’aimais bien les histoires de Damien, parce qu’il nous racontait tout dans les moindres détails.
– Bin ! Ça me concerne pas ! Il fit un geste de la tête en direction des autres lits de la chambre. Il a enfin conclu pendant les vacances ! J’étais étonné de cette annonce ! Même Stéphane était surpris.
– C’est pas vrai ! Je réfléchis quelques minutes. Comment tu sais ça ?
– J’étais avec lui ! Il se redressa et se penchant vers nous ! J’lui ai présenté une copine à moi ! Une nana super canon et très ouverte si vous voyez ce que je veux dire ! Il haussa des sourcils puis se leva. Mais j’vous en parlerais après ! Là, j’vais à la douche ! Je pus la sueur !
Sans même attendre une réponse de notre part, il se déshabilla devant nous, ouvrit son sac pour en sortir une serviette qu’il jeta sur son épaule. Je jetais un œil à Stéphane qui ne put s’empêcher de fixer la queue généreuse de Damien. Sans nous jeter un regard, ce dernier entra dans la salle de bain. A peine quelques secondes plus tard, l’eau se mit à couler.
– Steph ! Reprends-toi bordel ! Je chuchotais, mais mon ton était assez directif. Tu veux qu’il se doute de quelque chose ?
– Je sais ! Il me regardait soudain, droit dans les yeux. Mais c’est comme si c’était écrit sur ma figure ! J’suis sûr qu’il a compris !
– Il sait rien ! Je me levais et me mis à tourner en rond. Écoute ! J’l’adore, c’est un mec génial, mais il est nombriliste ! Il ne voit rien tant que ça ne le concerne pas !
– T’as peut-être raison ! Il se leva à son tour et se dirigea vers son coin de chambre. Il attrapa une revue et vint se rasseoir sur mon lit.
– Allez ! N’y pense plus ! Je retournais également à ma place. Fais juste comme si rien ne s’était passé !
Damien sorti de la douche quelques minutes plus tard. Toujours nu, il se dirigea vers son lit, posa son sac sur le sol et s’allongea sur son lit, les bras croisés derrière la tête. Stéphane, lui, feuilletait son magasine mais, de temps à autre, il jetait un œil au membre viril de notre camarade. De mon côté, mon regard passait de l’un a l’autre. Une idée venait de me traverser l’esprit et je cherchais un moyen de la réaliser.
Nous entendîmes soudain des pas dans l’escalier. Damien se contenta de jeter sa serviette sur sa queue quand la porte s’ouvrit. Ghislain apparu dans la pièce.
– Tiens ! T’es revenu plus tôt aussi ! Je le fixais en essayant de voir si son dépucelage l’avait quelque peu changé.
– Bin c’est Dam’s qui m’a dit qu’il revenait aujourd’hui ! Le jeune homme timide alla poser ses affaires devant son lit et revint aussitôt vers nous en enlevant sa veste en jeans. Seulement il ne m’avait pas dit quel train il allait prendre ! Il paraissait légèrement agacé !
– Et alors ! Damien retira sa serviette pour nous offrir de nouveau, une belle vue de son sexe. On n’est pas mariés que j’sache !
– Peut-être ! Mais ce n’est pas toi qui t’es tapé Rudy pendant tout le trajet !
– Aie ! Je connaissais évidement le mec en question et je comprenais. Trop bavard, agaçant et menteur pathologique, ce type avait le don d’énerver la plupart des gens qu’il croisait. Et j’suppose qu’il t’a raconté ses vacances !
– Ouais ! Il se laissa tomber sur le lit de Damien qui me fit soudain un clin d’œil. Je n’ai pas pu en placer une ! Il a parlé, parlé et parlé pendant tout le trajet !
– De toute façon ! Toi t’es pas bavard ! Damien se redressa légèrement. On s’est vu mardi et t’as même pas voulu me dire comment ça s’était passé avec Sandra ! Ghislain s’empourpra.
– Je… J’ai… Il se leva d’un bond. Ça te regarde pas !
– Hey ! Moi j’te raconte tout ! Tu pourrais au moins me dire si t’as été à la hauteur avec elle !
– Fiches lui la paix ! Mon idée toujours en tête, j’avais envie de détourner la conversation. Même s’il te racontait en détails ! Ça t’avancerait à quoi ?
– Ca m’exciterait ! J’aime bien les histoires de cul ! Ce fut pour moi un déclic, je savais comment faire évoluer les choses !
– Pourquoi faire ? Te branler ? Stéphane me lança un regard noir, je clignais discrètement d’un œil.
– Bin ! Pourquoi pas !
– J’te signale qu’on est dans la même pièce que toi ! Me dis pas que tu le ferais devant nous ? Du coin de l’œil, je vis Stéphane se tasser sur lui-même. Ghislain, lui, ne semblait rein comprendre. Damien me regardait avec un air amusé.
– T’es en train de me mettre au défi là ! Je lui souriais avec une pointe d’ironie dans le regard ! Méfies toi mon pote ! Moi aussi je pourrais te demander la même chose ! Je remarquais que ça queue c’était légèrement gonflée, la situation semblait l’exciter.
– Euh ! Attendez les mecs ! Ghislain était blanc comme un linge, il nous regardait tour à tour avec une certaine crainte dans les yeux ! Si vous avez l’intention de vous branlez ! Prévenez-moi, que je reste dans mon coin de chambre !
Damien se mit à rire.
– C’est sûr que toi ! T’es pas du genre à relever un défi !
– Espèce d’enfoiré ! Le jeune homme semblait en colère ! Comment tu peux l’savoir !
– Temps mort les gars !
Stéphane commençais à comprendre ma démarche, son visage avait repris une couleur normale et son ton était plus enjoué. Il regardait Ghislain avec un air interrogateur. Si j’te comprends bien, tu serais capable de relever le défi ! Le visage de ce dernier s’empourpra, il baissa les yeux.
– J’crois que si tout le monde le fait…
– Très bien ! Damien pivota sur son lit pour être en position assise les jambes bien écartée et une demi molle qu’il exhibait sans aucune honte ! Alors si tout le monde est OK ! Il empoigna sa queue et commença à s’astiquer. Celle-ci commença à gonfler de plus en plus, prenant des proportions monstrueuses.
– Bon ! Et bin ! Le coup d’envoi est lancé !
A mon grand étonnement, Stéphane avait ôté son caleçon pour exhiber sa belle queue raide. Il mouilla légèrement ses doigts, puis tira son prépuce pour découvrir son gland avec lequel il se mit à jouer. Ghislain les regardait tour à tour, puis il me lança un regard. Je comprenais sa gêne.
– Va fermer la porte à clef !
Je commençais moi aussi à bander. Il hocha de la tête et se leva pour tirer le verrou pendant qu’à mon tour, je retirais le peu de vêtement qu’il me restait. Je remarquais que lui aussi était excité. Il restait là, à nous regarder de loin. Damien se leva alors. Son énorme queue ballotait de gauche à droite. Il fit quelques pas en direction du jeune timide, l’attrapa par le bras et le força à revenir s’asseoir. Puis, il le fit légèrement basculer vers l’arrière pour que tous puissions voir qu’il était en érection.
– Allez ! Ne fais pas le timide ! Il posa la main sur la cuisse de son ami et remonta vers son entrejambe. Le jeune homme le repoussa du revers de la main et se résigna. Lentement, il ôta ses chaussures, puis sa ceinture et son pantalon, puis, déboutonna lentement sa chemise. Je découvrais un corps, qui, quoiqu’un peu maigre à mon goût, était assez harmonieux. Une courte toison blonde foncée recouvrait son torse. Damien n’en perdait pas une miette et se branlait à vive allure. Stéphane, lui, avait les yeux rivés sur la bosse de son slip qui était assez imposante. Il nous dévoila enfin la bête et nous sommes resté silencieux en voyant ce qu’il nous avait toujours caché. Son sexe était surdimensionné par rapport au reste de sa personne :
– Quand je pense qu’il est monté comme un âne et qu’il s’en est presque jamais servi ! Damien avait quasiment le nez collé dessus ! Le jeune timide se mit à rougir, gêné par cette remarque.
– Jaloux ! Comme les autres, je ne pouvais quitter des yeux ce mastodonte. J’avais envie de le prendre en main, le masser, le faire jouir entre mes doigts, mais j’ignorais comment cet action serait accueillie. Aussi, je me résignais à laisser mon imagination faire le travail.
Cela faisait à présent cinq bonnes minutes que nous nous caressions. Quatre jeunes hommes nus, assis sur deux des quatre lits de la pièce. Nous alternions les rythmes, tantôt lents, tantôt rapides, mais avec une même chose en commun. Aucun de nous ne perdait une miette de ce que nous avions sous les yeux. Nous nous regardions en train de prendre du plaisir. En ce qui me concerne, mon regard passait de l’un à l’autre et j’admirais leurs corps nus. Damien était une montagne de muscles. Depuis longtemps rompus aux exercices de barres parallèles, cheval d’arçon et autres appareils de gymnastique, c’était celui d’un vrai sportif, bien dessiné ayant gardé une certaine souplesse. J’étais sûr qu’il aurait pu se sucer lui-même sa jolie queue s’il l’avait voulu. Bien que Ghislain me paraisse beaucoup trop maigre, j’étais assez impressionné par sa pilosité abondante. Quand à Stéphane, il était bien proportionné avec une musculature ordinaire. Nous étions tous plus ou moins silencieux, excepté les quelques gémissements qui sortaient de nos bouches par moment. Mon regard s’attardait surtout sur Damien qui n’avait d’yeux que pour le membre de Ghislain. Il s’arrêta soudain de se branler et sans crier gare, se pencha vers le jeune homme et sans que celui-ci ai le temps de réagir, passa la langue le long de sa hampe. Nous le regardions faire avec une bonne dose de surprise. J’étais sous le choc de le voir à présent gober le gland de son ami et descendre lentement aussi loin qu’il le pouvait. Je sentis alors une main sur ma cuisse qui remonta vers mes couilles. Stéphane prenait, lui aussi, des initiatives. Il se mit à palper puis pétrir mes bourses avant de prendre mon manche en main en écartant mes doigts. Mon reflexe fut de partir à tâtons, à la recherche du sien, mais avant que j’atteigne le haut de sa cuisse, il me poussa fermement vers l’arrière et se jeta sur mon sexe qu’il prit en bouche. Mon regard croisa celui de Ghislain qui paraissait tout aussi surpris que moi.
Les deux hommes nous sucèrent encore un bon moment. Maladroit au début, Stéphane s’améliorait au fur et à mesure. Damien quant à lui, était descendu du lit pour se mettre à genou devant son partenaire, m’offrant une vue imprenable sur ses puissantes fesses musclées. Il s’était remis à se branler longuement. Je repoussais alors mon partenaire qui ne semblait visiblement pas comprendre. Je le fis s’allonger sur le sol de sorte que sa bouche soit pile au-dessous du pieu du Damien. Il se jeta dessus avec gourmandise et je vis l’autre se raidir de plaisir. Ghislain semblait totalement libéré de ses craintes et me fit signe d’approcher Il empoigna ma queue dès qu’elle fut à sa portée et me fait monter sur le lit, debout, pour qu’à son tour, il puisse tester la fellation. L’excitation fit qu’en quelques minutes, je lui déchargeais une bonne giclée de foutre dans la bouche. La réaction en chaine commença alors. Il éjacula dans celle de Damien qui, à son tour, se lâcha dans celle de Stéphane. Celui-ci, surprit, en laissa échapper une bonne partie qui coula de son menton jusque sur le sol. Les deux autres s’était relevés et le regardait se branler avec force. Je l’empêcher d’aller jusqu’au bout et le fis s’allonger sur mon lit. Sa tige droite était sur le point de craquer. M’agenouillant devant lui, je gobais l’extrémité en faisant tourner ma langue autour de son gland, tandis que d’une main, je le branlais avec énergie. Il ne tarda pas, à son tour, à cracher sa semence dans ma bouche. Je me relevais en m’essuyant les lèvres.
– Vous savez quoi les gars, Damien avait passés ses bras autour de mon cou et celui de Ghislain en regardant Stéphane. Je crois qu’on a tous gagné notre pari !
très bien raconté, excitant, dommage qu’il n’y aie pas eu au moins une fille
C’es très confus et mal raconté
Une histoire rendue illisible par son style. Des commentaires surgissent en plein milieu des répliques de dialogues ce qui fait qu’on ne sait plus qui fait quoi ni qui dit quoi