Passif
par rugbyboy20eme
Magnifique.
C’est tout ce qui me venait à l’esprit lorsque je me plongeais dans ses yeux verts. Sublime créature qui hantait mes rêves et occupait mes séances de plaisir solitaire.
Tout me plaisait en elle, sa longue chevelure brune, son incroyable chute de rein, ses fesses rondes, ses seins parfaits aux tétons arrogants défiants les lois de la pesanteur. Sans oublier sa peaux de pêche brune, typique des filles brésiliennes.
Au milieu de cette féminité exacerbée, trônait un pénis, fièrement dressé vers son ventre plat. Etrangement, cela ne me dérangeait pas, au contraire, j’en étais même excité, moi l’hétéro sur de lui, de ses envies et de son orientation. Moi qui n’ai jamais eu de pulsion bitophile je m’imaginais lécher ce sexe masculin, le faire bander, durcir dans ma bouche, donner du plaisir à sa propriétaire.
J’avais énormément envie de cette femme, mais je n’osais pas franchir le pas. Rien de plus facile pourtant, un coup de téléphone suffisait à fixer le rendez-vous, en effet, la belle monnayait ses charmes. Un jour, alors que je me trouvais dans le quartier de la belle avec du temps devant moi, je décidais d’appeler son numéro, depuis longtemps enregistré dans mon téléphone, pour enfin réaliser ce dont je rêvais depuis plusieurs semaines. Le cœur battant, j’attendais que la sonnerie prenne fin et qu’elle décroche. Une voix suave et mélodieuse me répondit, la belle était libre et me proposait de la rejoindre à son appartement.
Après un détour par un distributeur de billets, je me retrouvais au pied de son immeuble, face au dernier obstacle en elle et moi : huit étages sans ascenseur. Arrivé au sommet, mes efforts furent récompensés par une vision paradisiaque. Elle m’attendait sur le pas de sa porte, vêtue d’une simple nuisette et d’un string, un petit sourire en coin, sure de son effet. Cette fine lingerie accentuait la perfection de son corps, la fermeté de ses seins, sa cambrure et ses fesses lorsqu’elle me précéda dans son appartement. Une fois le détail du paiement réglé, elle ouvrit enfin la porte de mon paradis, celle de sa chambre.
Les mains légèrement tremblantes d’émotion et d’excitation, je faisais glisser les bretelles de sa nuisette afin de la faire tomber à ses pieds. Pendant ce temps, ses mains agiles m’ôtaient ma ceinture et déboutonnaient mon jean. Mon excitation, plus que visible à travers mon boxer, lui donna un petit sourire. Toute mon attention était maintenant focalisée sur sa poitrine. Je caressais les globes de ses seins, faisant pointer ses tétons, ils étaient doux et chauds. Approchant mon visage je me suis mis à les lécher, les suçoter et les téter, tandis qu’elle me passait tendrement ses belles mains fines dans les cheveux, accentuant parfois son étreinte pour appuyer mes caresses buccales.
Elle s’écarta alors doucement de moi et m’invita à la rejoindre sur le lit. Je retirais prestement mes derniers habits et m’allongeai contre son corps chaud. Nos langues se trouvèrent et commencèrent un délicieux balai, tandis que nos mains caressaient nos corps. La mienne s’attarda de plus en plus souvent sur son string, jusqu’à lui masser directement le sexe à travers le fin tissu. Elle souleva légèrement son bassin afin que je puisse retirer ce dernier rempart entre elle et moi. Son sexe était beau, dressé, très dur, complètement épilé aussi doux et chaud et que ça poitrine. Je l’ai longuement caressé, en alternance avec sa poitrine, passant par son ventre plat et descendant parfois le long de ses belles cuisses.
Elle sortit alors deux préservatifs de sa table de nuit et en enfila un sur chacun de nos sexes. Elle me proposa un 69 que je ne pu refuser et nous nous retrouvâmes têtes bêches chacun prodiguant de délicieuses caresses à l’autres. Je lui léchais tendrement le sexe sur toute sa longueur avant d’en aspirer le gland et de le mettre dan ma bouche pour une fellation que j’espérais bien faite. Par moment, je redescendais le long de sa hampe pour lui lécher et gober les testicules. De son coté elle me prodiguait les mêmes caresses sans qu’elles m’aient l’air mécanique ou préparées à l’avance. Parfois un doigt fureteur passait le long de ma raie culière, ses passages étaient de plus en plis appuyés. Enfin, il s’arrêta au niveau de mon anus et commença un agréable massage fais de légères pressions et de ronds concentriques de plus en plus serrés.
Un doigt entra en moi, doucement. Cette sensation nouvelle ne fit qu’augmenter mon excitation, mon sexe avait rarement été si tendu. Apres un petit moment, elle se releva et m’installa sur le dos, un coussin me relever les fesses. J’étais face à elle, les jambes écartées exhibant mon intimité en toute impudeur. Avec une noisette de gel, elle me massa doucement l’anus. Elle fit pénétrer un doigt, puis deux, tout en me masturbant avec son autre main. Enfin elle se redressa, face à moi, entre mes jambes. Elle prit son sexe dressé en main et le pencha vers l’entrée de mes fesses, son gland poussa les parois de mon anus pour entrer, une fois passé, le reste du sexe glissa d’un coup en moi, sans aucune douleur. La sensation était exquise et l’excitation a son comble. Ses premiers vas et vient étaient long et lents, je sentais toute la longueur de son sexe entrer et sortir de moi. Elle se tenait à moi avec une main sur une de mes hanches, l’autre était toujours bien accrochée à mon sexe en érection. Ses mouvements se firent plus rapides, moins profonds et plus saccadés, elle respirait plus fort et me branlait plus vigoureusement. Mon plaisir venait plus du fait d’être pénétré par cette femme phallique, que de la pénétration elle-même, plus psychologique que physique.
Sous les plaisirs conjugués de ses coups de reins et de sa masturbation, l’orgasme me submergea, long et puissant. Je sentais les grands jets de sperme sortir de mon sexe, heureusement que mon préservatif était toujours en place, sinon il est fort à parier que j’en aurais eu partout. Sitôt mon orgasme terminé, ma belle d’un jour, ralentit ses va-et-vient jusqu’à s’arrêter complètement. J’aurais aimé qu’elle jouisse en moi, qu’elle remplisse sa capote entre mes fesses, mais dans le feu de l’action j’ai oublié de lui demander si c’était possible.
Cette rencontre fut ma première avec le troisième sexe, d’autres, non vénales, ont suivies, où je suis resté totalement ou partiellement actif. Je ne sais pas ce qui m’a poussé, a mon plus grand plaisir, à m’abandonner complètement a cette femme, alors que l’envie de se représenta pas avec mes autres partenaires. Mais une chose est sûre, je retournerai la voir et je lui demanderai de jouir en moi.
J’ai longtemps fréquenté régulièrement une magnifique trans au bois de Boubou, visage d’ange et corps de déesse. La seule phrase qu’elle savait prononcer correctement en français c’était « Je t’aime mon chéri ! » Tu parles… c’est mon fric qu’elle aimait…Et puis un jour je ne l’ai pu revu. Dommage, elle m’enculait bien.
Environ tous les quinze jours, je me rends au bois où exerce ma shemale préférée, quand ce n’est pas elle c’est une copine mais qu’est-ce que j’aime me faire enculer. Et puis ça me plait bien quand des voyeurs me regardent !
C’est un peu la loterie avec les escorts transsexuelles mais quand on tombe sur des perles, quels délice !
Sucer la bite d’une trans est une expérience inoubliable, croyez-moi !
Ça m’a rappelé des souvenirs (des bons !)
Un joli texte. Pour ma part je suis surtout passive, mais ça m’est arrivé d’enculer des mecs, il faut bien varrier les plasirs, non ?
Mon trip c’est d’aller avec deux belles trans. Je suce la bite de la première pendant que le deuxième m’encule. Le pied !