Parfums de Rousse… par Verdon
J’aime une beauté rousse
Aux couleurs de la brousse,
Ce n’est pas une sorcière,
Peut-être une Diablesse…
Sa rouquine crinière
La rend très séductrice,
Souvent dominatrice
Et quelques fois tigresse.
Sur ses tétons cuivrés,
En ouvrant son corsage
Je me suis enivré
De ses parfums sauvages,
Me gavant à merci
Comme veau sous sa mère
De ses lardons de chair
Fumés comme cochon
À l’ail et au persil,
Craquants comme croûtons
Sous mes hardis pinçons.
Dessus ses chairs laiteuses
Pigmentées de rousseurs
Je bois, impétueuse,
La crue de ses sueurs,
Je flaire sous ses aisselles
Ce relent de faisselle
Au bon vieux goût de chèvre
Qui me pique les lèvres.
Fourrageant sur sa motte
Son broussailleux minou,
Je respire les arômes
Au bon vieux jus de pommes
De son fond de culotte
Aux couleurs de ses fautes.
Je peux du même coup
Goûter la saveur crue
De sa chatte charnue
En glissant mes narines
Dans sa fente rouquine,
Buvant tant que j’ai pu,
À la source, son jus.
Je ne suis pas déçu
Du charme de son cul
Diffusant à l’envie
Le parfum naturel
De sa fine rondelle
Au petit goût roussi
Des tomes du Berry.
Je lape le sillon
De ses fesses pisseuses
Aux séquelles douteuses
Que de bons compagnons
Ont laissées au passage
De leurs derniers outrages,
Sur les poils rouquins
De son p’tit trou badin,
Impertinent filou
Puant bon l’échalote.
Et par tant de couleur,
Et par tant de rousseur,
Et par tant de saveur
Et par autant d’odeur
Je peux souvent flatter
Cette rousse beauté
Prête à toutes les audaces….
Brûlante de désir
Puante de plaisirs
Qui veut de bonne grâce
S’offrir à ma passion.
Chaque matin lorsque mon pouce
Qui vigoureux, joyeux se presse
Dans la rousseur de ses fesses,
Elle gémit et se trémousse
Dès qu’en l’œillet mon doigt la trousse.
Emoustillée la Belle glousse
Quand en son cul, ma pine pousse.
Et plus qu’une autre dans mes draps
La Belle Rousse dans mes bras
Va suer comme chienne en chasse
Qui sous le mâle ne tient en place
Car dessous moi, comme en enfer
Elle va ruer des quatre fers
En me livrant avec passion
Tous ses arômes à profusion.
27/09/2023
Qu’une seule et belle évocation?…à vous lire, ma chère (rouquine se pourrait-elle ?) , j’en devine bien plus et des plus colorées autant que parfumées!
Belle évocation